1 page in4 - En tête: "El Rey" -
Concession à Sr Martin Hartmann, "cadete del Regimiento de infanteria suizo de Betschart, la subtenencia que en la tercera compania del primer batallon del mismo cuerpo se halla vacante por el ascenso de Josef Sutten" -
1 page in4 - En tête: "El Rey" -
Mutation pour : "Sr Martin Hertmann, subteniente de la tercera compania del primer batallon del Regimiento de Infanteria suizo de Betschart" pour "la subtenencia de la primera compania del primer Batallon del de Reding numero segundo" -
1 page in4 - En tête: "El Rey Don Fernando VII" - fente au plis -
Nomination de "Martin Hartmann, subteniente de guanaderos" para la "tenencia de la segunda compania del Batallon de linea de Suizos" -
s. l. 19 janvier 1955 | 13.50 x 10.50 cm | une carte recto verso
Carte autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 24 lignes écrites à l'encre bleue,deux soulignements de la main de l'auteur. Deux perforations portant atteinte à plusieurs lettres, une coupure sans manque, bavures sans gravité. Roland Barthes écrit cette carte pour remercier René Wintzen de lui avoir fait parvenir un livre dédicacé mais aussi pour l'accueil que ce dernier lui a reservé. René Wintzenfut rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes. Il dirige, au moment de la rédaction de cette lettre, les éditions et la revueVent Deboutet participe à l'hebdomadaire allemandNouvelle de France. Le livre auquel Barthes fait ici référence est probablement une étude de Wintzen sur Brecht parue l'année précédente. Brechtvient à Paris en 1954 avec le Berliner Ensemble et marquebeaucoup la réflexion sur le théâtre deBarthes qui fait paraître "La révolution brechtienne" dans la revueLe Théâtre populaire. Dans cette deuxième moitié des années 1950, Barthes s'investit en effet pleinement dans le théâtre en tant que spectateur et critique. René Wintzen est aussi organisateur de colloques et de rencontres entre auteurs.Roland Barthes participe d'ailleurs l'année suivante à une de ces rencontres à Vezelay où il intervient sur les rapports entre littérature et réalisme. Il écrit à son correspondant qu'il a été"sincèrement très content de ces rencontres et que l'espèce de scepticisme que l'on a toujours au seuil des parlottes d'écrivains a été en l'occurence absolumentcontrépar les faits". L'auteur semble ici mettre en doute l'importance des débats,"parlottes",entre écrivains. Ce jugement réprobateur apparait en conflit avec l'attitude de Barthes en cette année 1955. En effet, il participe et s'engage dans trois débats d'importance: avec Camus au sujet deLa Peste, avec Jean Paulhan à propos desPetites mythologies du moisque Barthes écrit dans les pages de la Nouvelle NRF, et enfin pour la défense de la pièceNekrassovde Sartre. Cette carte de Barthes montre l'enthousiasme du jeune auteur qui ne fréquente alors les milieux littéraires que depuis quelques années, mais aussi une critique de la parole des écrivains. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. Mercredi (n.d. circa 1956) | 13.40 x 10.50 cm | une carte recto verso
Carte autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 14 lignes écrites à l'encre bleue, datée "mercredi", un soulignement et une correction de la main de l'expéditeur. Deux perforations en bas de la carte, portant atteinte à une lettre. Roland Barthes envoie cette carte à René Wintzen, pour accompagner l'envoi d'un texte. René Wintzen était rédacteur en chef deDocuments,revue des questions allemandes, à cette époque, il travaille pour la revue et les éditions Vent Deboutet collabore avec la revue allemande Nouvelles de France. Il organise aussi des conférences ayant pour sujet la littérature. Le texte que Barthes lui envoieest d'ailleurs la version écrite d'une allocution que celui-ci a effectuée à Vezelay en 1955 sur la littérature et le réalisme(il y fait allusion dans cette lettre). Roland Barthesaffirme qu'il "mesure à le voir noir sur blanc toute la sécheresse" de son texte et insiste pour que son destinataire précise le caractère "parlé, présentatif, non exhaustif" de celui-ci dans sa présentation.Pour l'auteur qui n'est qu'au début de sa carrière, il y a une volonté de ne réaliser que des publications de qualité, de ne pas laisser attacher à sa personne des écrits qui ne lui apportent pas une entière satisfaction par peur d'un jugement négatif de l'audience. On retrouve dans cette lettre l'humilité qui caractérise Barthes. Son arrivée soudaine dans le milieu intellectuel grâce à Maurice Nadeau dix ans auparavantlui a laissé un sentiment d'illégitimité qui transparait ici, alors que la publication en 1953 du Degré zéro de l'écritureavait reçu un accueil favorable et confirmé la valeur de sa pensée. On ressent en lisant ces mots l'insécurité de l'auteur qui disait à propos de la publication de son premier livre : "en tant que sujet producteur d'un objet offert publiquement au regard des autres, j'étais plutôt honteux." (Roland Barthe par Roland Barthes). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Maroc 30 décembre 1968 | 15 x 10.50 cm | une carte postale
Carte postale autographe signée de Roland Barthes adressée à Georges Raillard. Treize lignes au feutre noir au verso d'une carte représentant un paysage de Tetouan au Maroc. "Cher Ami, nous nous sommes manqués à Barcelone. Je n'ai pu vous téléphoner - pris dans des retards d'avion - et sans doute étiez-vous déjà partis en vacances dans le Sud, comme vous m'aviez dit. Ne m'en veuillez pas et acceptez avec tous les vôtres mes voeux très amicaux. A bientôt j'espère. Vôtre. R. Barthes" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. 21 mai 1957 | 13.30 x 20.90 cm | une page sur une feuille
Lettre autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen, écrite à l'encre noire, datée du 21 mai 1957. Quelques mots soulignés de la main de l'auteur. Pliure centrale causée par l'envoi postal. Cette lettre est adressée à René Wintzen, ancien directeur en chef de Documents,revue des questions allemandes, et spécialiste de littérature allemande. Il est, au moment de la rédaction de la lettre, directeur des éditions Vent Debout et collabore avec l'hebdomadaire allemand Nouvelles de France. René Wintzen est aussi un organisateur de colloques entre écrivains, Barthes participa à l'un d'eux l'année précédente à Vézelay. Roland Barthes le félicite d'ailleurs pour la rencontre qu'il a organisée et à laquelle il ne peut assister : "la liste des participants est superbe ! Tous mes voeux pour cette rencontre, tous mes regrets". Roland Barthes envoie cette lettre pour prévenir son destinataire qu'il ne pourra pas venir à une rencontre d'auteurs en Allemagne. Il lui écrit : "il faut absolument que je séjourne en Suisse à cette date." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. 11 mai 1956 | 21 x 27 cm | 2 pages sur un feuillet
Lettre autographe signée de Roland Barthes de 39 lignes écrites à l'encre noire, une rature et deux ajouts de la main de l'auteur. Pliures causées par l'envoi postal. Roland Barthes envoie cette lettre à René Wintzen pour l'informer qu'il ne souhaite pas lui envoyer le texte que ce dernier réclame. Son interlocuteur est l'ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes. René Wintzendirige au moment de la rédaction de cette lettre les éditions et la revueVent Deboutet participe à l'hebdomadaire allemandNouvelle de France, il organise aussi des colloques sur la littérature. Le "texte sur le réalisme"auquel Barthes fait ici allusion est en fait une retranscription de son allocution prononcée lors du dernier séminaire organisé par Wintzen à Vezelay. Barthes est alors un jeune écrivain. Son premier texte,Le Degré zéro de l'écriture, paru en 1953, et qui faisait suite à son intronisation dans le milieu intellectuel par Maurice Nadeau en 1947, commence à faire des émules. Malgré ces prémices de succès, il ressort de ce texte toute l'humilité et l'autocritique de Barthes vis-à-vis deses productions. Il écrit à propos du texte de son allocution :"je viens d'ailleurs vous demander d'y renoncer : il ne me satisfait pas assez ; j'ai toujours considéré ce que j'avançais sur le réalisme d'avant-garde comme hasardeux", il ajoute :"je ne me sens pas assez solide".Le jeune auteur exprimait déjà un sentiment similaire lors de la publication de son premier livre :"en tant que sujet producteur d'un objet offert publiquement au regard des autres, j'étais plutôt honteux." (Roland Barthe par Roland Barthes). Dans la deuxième partie de la lettre, Barthes donne son avis sur la rencontre de Vézelay. Il en retient un questionnement sur les enjeux de tout débat et sur ce qui est réellement attendu par les confrontations des intellectuels :"j'en viens à me demander si le seul sujet du débat possible n'est pas précisément la confrontation des intellectuels, ses limites, ses espoirs, ses échecs, son action, ce qu'on attend d'elle etc."Cette méthode de questionnement des évènement en les considérant comme étant en eux-mêmes des structures signifiantes ressemble au projet que Barthes mène dans sesMythologiesqui paraissent l'année suivante au Seuil. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. 2 juin 1956 | 21 x 27.10 cm | 2 pages sur un feuillet
Lettre autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 23 lignes écrites à l'encre bleue. Pliures causées par l'envoi postal. Roland Barthes envoie cette lettre à René Wintzen à propos d'un article. Son interlocuteur est l'ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes qui dirige au moment de la rédaction de cette lettre les éditions et la revue Vent Debout et participe à l'hebdomadaire allemand Nouvelle de France. René Wintzen organise aussi des colloques sur la littérature. Les « 3 pages de [son] intervention » que Barthes évoque ici viennent d'un colloque de la même année où Barthes a traité des liens entre réalisme et littérature. Barthes n'est alors encore qu'un jeune auteur. Il a publié son premier livre en 1953, Le Degré zéro de l'écriture, après avoir été intronisé dans le milieu littéraire par Maurice Nadeau. On voit dans cette lettre toute son humilité vis-à-vis de son travail : « il ne s'agissait que de thèses càd [sic] de propositions de caractère parlé, non développé, et non prouvé », il ajoute : « j'aurais pu vous donner la version française, mais elle ne fera pas le poids ». Barthes laisse aussi entrevoir une peur du jugement des lecteurs français : « je redoute moins l'audience allemande ». Pour l'auteur qui n'est qu'au début de sa carrière, il y a une volonté de ne réaliser que des publications de qualité, de ne pas laisser attacher à sa personne des écrits qui ne lui apportent pas une entière satisfaction et dont il souhaite qu'ils demeurent « anonymes ». On ressent en lisant ces mots l'insécurité de l'auteur qui disait à propos de la publication de son premier livre : « en tant que sujet producteur d'un objet offert publiquement au regard des autres, j'étais plutôt honteux. » (Roland Barthes par Roland Barthes). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. n.d. (circa début 1956) | 13.60 x 21 cm | 2 pages sur un feuillet
Lettre autographe signée de Roland Barthes à René Wintzen de 19 lignes écrites à l'encre bleue. Pliures causées par l'envoi postal, une ombre en tête de feuillet. Roland Barthes envoie cette lettre à René Wintzen pour le prévenir de son arrivée à Vézelay : « Je ne pourrai donc quitter Paris, en auto, qu'à 19 h, je ne serai pas à Vézelay avant minuit ». Il s'y déplace afin de donner une conférence sur le réalisme et la littérature. René Wintzen est l'ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes, il est au moment de la rédaction de cette lettre directeur des éditions et de la revue Vent Debout et participe à la revue allemande Nouvelles de France. C'est lui qui organise le colloque où Barthes se rend. Barthes précise en début de lettre que ce départ tardif de Paris est dû à « un cours, vendredi 17 jusqu'à 18h30 ». En effet, à cette époque Roland Barthes mène plusieurs vie entre son travail au CNRS dont il fait alors une priorité et son investissement dans la vie littéraire, il le dit lui-même dans une lettre à Marcel Arland deux ans plus tôt : « je ne me sentirai pas libre vis-à-vis de la littérature avant d'avoir épuisé toutes les chances d'avoir l'appui du CNRS, ce qui pour le moment impose des sacrifices de temps. » Barthes précise dans sa lettre qu'il sera accompagné de Robbe-Grillet dont il soutient le travail dans ses textes, mais aussi de Bernard Dort, un autre défenseur des Gommes de Robbe-Grillet paru en 1953. Le « nouveau romancier » fait d'ailleurs un éloge sincère de la locution de Barthes sur la littérature et le réalisme dans une lettre à sa femme : « Ces réunions d'écrivains bavards et vagues sont terribles. Il y a eu, heureusement, la déclaration d'ouverture faite par Barthes, qui était très bien. Mais le reste... ! ». Les deux hommes ont pour ainsi dire commencé leur carrière ensemble puisqu'ils ont publié tous deux leur premier livre en 1953 alors qu'ils ne se connaissaient pas et ont connu une amitié durable qui donna lieu à de féconds échanges littéraires. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 16 décembre 1968 | 21 x 27 cm | 2 pages sur un feuillet
Longue lettre autographe signée de Roland Barthes adressée à Georges Raillard. Deux pages rédigées à l'encre bleue rédigée sur un feuillet à en-tête de l'Ecole pratique des hautes études. Enveloppe à en-tête identique jointe. Deux pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de l'enveloppe. "Cher ami, Merci pour votre bonne lettre, merci pour la liste des notabilités et merci pour le chèque. Le hasard veut que je vais repasser quelques heures à Barcelone à la fin de la semaine. Je n'ai pas pu avoir de place le samedi 21 dans l'avion Genève. Casablanca, qui n'a lieu qu'une fois par semaine et tenu par des dates compliquées, j'ai été obligé, pour aller au Maroc, de prévoir d'aller de Genève à Barcelone, puis de Barcelone à Madrid et à Tanger. Si tout va bien - car avec les avions on ne sait jamais, j'arriverai à Barcelone, de Genève, le samedi 21 à 19h40, je coucherai à l'hôtel Colon (dont j'ai un bon souvenir), je repartirai pour Madrid le dimanche après-midi 22. Je ne veuxen rienvous déranger (j'ai même hésité à vous dire mon passage), et au reste je serai pris, en principe le samedi soir - mais si par hasard, vous étiez à Barcelone le dimanche et que vous n'ayez vraiment rien de mieux à faire, on pourrait déjeuner ensemble ; maissurtoutne changez rien à vos projets, fussent ils de repos. Vous pouvez me laisser un mot à l'hôtel Colon d'où je vous téléphonerai samedi soir, à l'Institut ou chez vous. Je n'ose dire que j'espère vous revoir - car c'est aussi risquer de vous déranger ; de toutes manières, à bientôt. Amitiés autour de vous - et pour vous. Roland Barthes" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Mannheim s. d. [juin 1914] | 22.20 x 28.80 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Roland Garros adressée à son "vieux Toto" Jacques Mortane, rédigée à l'encre noire sur un feuiller à en-tête du Parkhotel de Mannheim. Pliures transversales inhérentes à la mise sous pli, quelques déchirures marginales sans manque. Rare et belle missive dans laquelle l'aviateur évoque "Le Groupe" et le "Jour des Aviateurs" à Juvisy : "Faitesl'impossibledans l'intérêttrès importantdugroupe(je vous expliquerai pourquoi jeudi à Paris) pour faire passer enbonneplacedans Excelsior l'article inclus, intégralement." Mortane parviendra avec succès à transmettre ledit article, qui sera publié dans le numéro du 14 juin 1914 sous le titre "Le Gala des Aviateurs - La fête aérienne d'aujourd'hui à Juvisy". C'est Roland Garros qui fut à l'origine de l'association, dont Jacques Mortane assura le secrétariat général, qu'il baptisa "Le Groupe". Réunissant une quinzaine de vedettes de l'aviation, il eut entre autres vocations de venir en aide aux veuves et orphelins de leurs camarades aviateurs ayant trouvé la mort dans l'exercice de leur passion. La "Journée des aviateurs" est la première manifestation caritative organisée par "Le Groupe" et revêt pour Garros, comme en témoigne cette lettre, une grande importance : "C'esttrès trèsimportantpour nous." Les lettres et signatures du plus célèbre des aviateurs, disparu à l'âge de vingt-neuf ans, sont rares et recherchées. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Roland OUDOT - [Paris 1897 - 1981] - Peintre et illustrateur français
Reference : 34682
2 pages in4 - bon état - petite effrangure et pli en angle -
Ils sont partis à la campagne au lendemain de la représentation de "Marie Stuart" - Ils ont beaucoup parlé de sa pièce et sont restés sur "une très grosse impression" - Ils l'ont trouvé encore plus belle sur scène "malgré une interprétation pas toujours homogène" - Cette pièce prendrait toute sa valeur sur une grande scène - Il n'est guère de l'avis de Gabriel Marcel - Il aime ce langage -"le même pour tous les personnages, c'est vrai" mais "c'est la plus belle convention théatrale" et elle n'est pas déplacée - "Rares sont les oeuvres de qualité qui, loin de perdre au théatre, y accentuent leur puissance" -
Roland OUDOT - [Paris 1897 - 1981] - Peintre et illustrateur français
Reference : 34683
1 page in4 - bon état -
Il voulait lui écrire mais il est arrêté par "une sorte de pudeur amicale" et se sent incapable de s'exprimer - Son livre les a bouleversés - Il a rarement rencontré "quelque chose d'aussi déchirant et naturellement élevé" - "Cest autour de l'être aimé une demeure spirituelle, la plus belle qui puisse être" - Il se rappelle un soir ou pénétrant chez eux ou il n'était jamais venu seul, il avait "succombé un moment" et ou, lui-même, incapable de dire un mot, n'avait pu que lui toucher le bras et "avec quelle timidité", comme seul message "qui ait pu traverser l'opacité de l'émotion retenue" -
À un ami pour une invitation “... Mercié est un vieil ami et un grand artiste ...”
1 page in8 - bon état -
A propos de la mort de son fils Louis Nazzi (1885-1913):- "C'est avec une douloureuse émotion que j'apprends la mort de votre fils"-...Il ne l'avait jamais vu mais le connaissait par ses articles:"Il était une des forces les plus sincères et les plus pure de la jeune littérature"
Carte format 5 x 8,5 cm - bon état - On y joint le programme de l'Athénée pour la 400eme représentation de "La Sonnette d'alarme", le 29 octobre 1923 avec de nombreuses signatures autographes dont Romain Coolus -
Il lui envoie avec retard des félicitations et voeux de bonheur pour leur mariage - La couverture du programme est de Paul Heuzé - Jacques DEVAL (ou Jacques Boularan) était un dramaturge, scénariste et réalisateur français par ailleurs père de Gérard de Villiers -
Nice 13 mars 1963 | 14.90 x 20.80 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe
Lettre autographe signée de Romaine Brooks adressée au Dr Francis Mars, une page rédigée au stylo bille noir sur un feuillet. Enveloppe jointe. "Mon cher Docteur, Je suis désolée que vous avez été aussi malade et Miss Barney et moi espérons avoir de vos nouvelles. Comment allez-vous depuis que votre fièvre est tombée ce qui nous laisse toujours un peu faible, n'est-ce pas ? [...] Your grateful patient Romaine Brooks" Natalie Clifford Barney et Romaine Brooks se rencontrèrent en 1915 et entretinrent une relation de près de cinquante ans. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Genève 10 Décembre 1914 | 21.50 x 13.50 cm | une page recto verso
Lettre autographe datée et signée de Romain Rolland, 19 lignes à l'encre bleue à en-tête du Comité international de la Croix-Rouge - Agence des prisonniers de guerre, et rédigée depuis Genève. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Dans cetre lettre adressée au directeur de la revue Cambridge magazine, Romain Rolland s'étonne de n'avoir pas été consulté ni mis au courant de la possible parution en volume de son article pacifiste Au-dessus de la mêlée qu'il avait précédemment donné à la revue. Il se montre flatté de cette éventualité même s'il tempère son enthousiasme en arguant du fait que l'auteur eût préféré être averti de ce projet éditorial afin que le texte soit conforme à ses volontés : "... parce qu'il peut vouloir ne publier en brochure qu'une suite de ses articles, donnant au lecteur l'ensemble de sa pensée, - et non pas un article isolé ; parce qu'il n'est pas mauvais qu'il revoie la traduction, avant de donner le bon à tirer..." L'édition originale en volumede ce manifeste pacifiste consistant en un recueild'articles parus entre septembre 1914 et août 1915 dans le Journal de Genève et d'autres journaux étrangers paraîtra finalement l'année suivante, à Paris, chez l'Imprimerie de L'émancipation. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Villeneuve (Canton de Vaud) 22 Janvier 1937 | 14 x 21.50 cm | une page
Lettre autographe datée et signée de Romain Rolland, 9 lignes à l'encre noire, écrite depuis sa villa Olga de Villeneuve dans le Canton de Vaud. Pliure inhérente à l'envoi postal. "Villeneuve (Vaud) Villa Olga, 22 janvier 1937. Cher camarade et ami. En hâte, je vous adresse ces quelques lignes pour notre réunion de dimanche 24, en l'honneur de notre cher Paul Langevin. Cordialement à vous. Romain Rolland." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Schönbrunn 12 Septembre 1913 | 13.50 x 20.50 cm | une page et demie sur un bifeuillet
Lettre autographe datée et signée de Romain Rolland, 21 lignes à l'encre bleue, écrite depuis Villeneuve Schönbrunn. Pliure inhérente à l'envoi postal, petites rousseurs sans gravité. Romain Rolland réclame des informations relatives à bonne écriture de la préface qu'on lui demande : "J'ai bien reçu les épreuves du volume, et je les ai lues. Il me manque encore les notes, qui me seront le plus nécessaires..." Il donne son adresse parisienne du boulevard du Montparnasse et avertit son correspondant qu'il voyagera quelques jours encore : "Je quitte Schoenbrunn, demain, et je ne saurais donner d'adresse stable, pour une quinzaine de jours." avant de s'atteler à la tâche stendhalienne : "Pourriez-vous me communiquer le premier volume paru des oeuvres de Stendhal ? Cela me guidera un peu." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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ROMAINS Jules - (Louis Farigoule dit) - (St Julien Chapteuil 1885 - 1972) -Ecrivain français
Reference : GF18059
2 pages in12 - + enveloppe -
Félicitations pour un article - "Si j'avais un reproche à lui adresser, ce serait d'être trop élogieux pour moi" ...-
ROMAINS Jules - (Louis Farigoule dit) - (St Julien Chapteuil 1885 - 1972) -Ecrivain français
Reference : GF21622
1 page in8 - bon état -
Il aimerait que son article sur la musique espagnole paraisse avant la fin de la semaine et une nouvelle séance de musique -
ROMAINS Jules - (Louis Farigoule dit) - (St Julien Chapteuil 1885 - 1972) -Ecrivain français
Reference : GF21623
1 page in12 - bon état -
Il compte lui rendre visite le lendemain - S'il ne le rencontrait pas, il souhaite un autre rendez vous -
ROMAINS Jules - (Louis Farigoule dit) - (St Julien Chapteuil 1885 - 1972) -Ecrivain français
Reference : GF21624
1 page in12 - bon état -
Il l'attend "demain mercredi" -