S.l., s.d. [milieu du XIXe]. In-4, reliure du XIXe demi-maroquin rouge (sign. C.P.), dos à 5 nerfs orné de caissons dorés, titre doré, tranches mouchetées de noir ; 277 pp. manuscrite. Ex-libris gravée aux armes de la famille de Bonnault.
Copie intégrale du manuscrit N°26 de la bibliothèque de Compiègne. Légers frottements aux mors et aux coiffes, bel exemplaire. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Une déclaration imprimée le 8 mai 1871; l'autre manuscrite de 9 pages du 22 septembre 1861. En feuilles Bon 1861
Comte de CHAMBORD - Avant-propos et notes du Prince Sixte de Bourbon
Reference : 115528
(1933)
1933 Editions de France - 1933 - Petit in-8, broché - 250 p.
Bon état - Couverture frottée - Discret tampon sur le haut du quatrième plat
In 8 demi-chagrin bleu foncé à nerfs,titre et filets dorés.297 pages,Miche Levy éditeur 1873.avec un envoi manus-crit autographe de l’auteur;une tache brune coin inférieur jusqu’ à la page 53,sans gravité.non rogné.édition originale.
Comte Louis de BLOIS - [dit Avesnes] - [Daumeray 1880 - 1945] - Ecrivain et Homme politique français
Reference : GF28801
1 page in8 - bon état -
Il remercie d'avoir accepté les "vers de son ami" et transmettra -
Comtesse DASH - [Gabrielle Anna de Courtiras dite] - [Poitiers 1804 - 1872] - Femme de lettres française
Reference : GF26856
2 pages in12 - adresse au dos - bon état -
Malade puis trés occupée, elle n'a pu aller la voir - Elle est dans une situation financière catastrophique: "Je suis sans meubles, sans propriétés, sans rien que mon travail" - Elle ne travaille qu'au comptant et si sa bonne volonté est totale, son impuissance ne l'est pas moins - Il lui est impossible de sortir - Elle lui demande d'attendre quelque temps -
Comtesse DASH - [Gabrielle Anna de Courtiras dite] - [Poitiers 1804 - 1872] - Femme de lettres française
Reference : GF26857
2 pages 1/2 in8 - bon état -
Elle précise qu'elle a respecté leur convention et que rien d'inédit n'est paru - "ce sont tous des réimpressions" - "Depuis les 'Lions de Paris' rien d'inédit de moi n'est paru excepté des articles détachés dans des journaux" - Elle est tombé malade en 1862, "l'année de notre traité"- Ce quelle lui dit pourra être attesté par "cinquantes témoins" qui l'ont vu et plaint - Le retard dans la livraison de son manuscrit est involontaire et elle le déplore "encore plus que" lui - Mais elle renouvelle son offre de lui donner, "à titre de supplément, un roman inédit" -...
Copie manuscrite de ce roman publié à titre posthume en 1866.Eléonore Adèle d'Osmond -1781-1866-connue surtout pour ses Mémoires écrivit 2 romans publiés post-mortem, La Maréchale d'Aubemer en 1866, et Une Passion dans le Grand Monde en 1867.Très proche des Bourbons, intelligente,mondaine,pleine de séduction,Proust s'en inspira pour "La Recherche". In-8 carré en demi-percaline avec titre au dos en caractères dorés.Page de titre.Faux-titre.Intitulés de chaque chapitre. 343 pages d'une belle écriture très lisible. Copie XIXème.
Piérat : “Les répétitions à la Comédie-Française la retenant une grande partie de l’après-midi ...” - Louise Silvais : 26 octobre 1916, en réponse à une invitation. - Clémence Valpreux .
1 page in8 - trés bon état -
Amicale lettre de félicitations - "Mon coeur se réjouit de ce que ma tête approuve"...
, , 1798-1811. Ensemble 4 lettres autographes signées.
Correspondance autographe de Sophie de Condorcet adressée à Jean Antoine Debry, dont une première lettre non datée évoquant la situation de son frère Emmanuel de Grouchy, qui commandait la division du Piémont en 1798 et les trois autres écrites en 1811 (une seule est datée) adressée au préfet Debry pour un dénommé Emeric.- 3 pp. in-12 avec adresse « Au Citoyen J. de Bry représentant du peuple » sur un double feuillet, cachet. « Je suis bien touchée de votre souvenir mon cher concitoyen, il me parvient dans ma solitude 5 jours après la date de votre lettre. J'ai bien du regret de n'être pas à Paris et de ne pouvoir partager votre bonheur (…) pourquoi ne m'avez-vous pas nommé celui à qui vous confiez la destinée de votre intéressante fille (…) Vous devez bien penser quelle peine j'ai ressenties en voyant mon frère placé à côté de Sherer, je charge Marbot sur quels faits Briot se fonde : ma belle-soeur a une malle de pièces sur la situation de mon frère en Piémont (…) G.C. Meulan Seine et Oise ce 16. (1798) ». Frère de Sophie de Grouchy qui avait épousé en 1786 le marquis de Condorcet (1743-1794), Emmanuel de Grouchy, marquis de Grouchy, (1766-1847) général de la Révolution et de l’Empire, maréchal d’Empire, avait commandé la division du Piémont, le 11 décembre 1798.- 4 pp. in-8 « Au souvenir des derniers jours de M. de Condorcet à Auteuil, se trouve tellement joint le vôtre Monsieur, que c'est avec une entière confiance que je vous demande un service. Il a quelque rapport aussi à sa mémoire, puisqu'il s'agit d'un ami de Mde Vernet. C'est un homme de 42 ans d'un caractère sûr et doux et dont voici l a triste destinée M. Emeric (…) Grouchy Ve Condorcet Paris Grande rue verte n°30 St Honoré »- 2 pp. in-8 avec adresse « À Monsieur le Baron de Bry préfet à Besançon pour lui seul » sur un double feuillet, trace de cachet. « Je suis bien touchée de votre réponse, Monsieur, quoique mon coeur et mon estime l'attendissent. J'écris à M. Emeric à Lyon poste restante et perds pas une minute à vous rendre grâce, et prier de suivre votre bonne idée pour une place à l'Académie universitaire à laquelle je présume que quelques appointements sont attachés. J'attendrai son succès ou non probablement avant de parler à M. Quinette que j'ai cependant bien besoin de voir pour une malheureuse aveugle, cousine germaine de Buffon par son mari qui sollicite dans sa détresse (…) son entrée aux Quinze Vingt (…) G. Ve Condorcet, ce mercredy 8. »- 2 pp. in-8 avec adresse « À Monsieur le Baron de Bry préfet à Besançon pour lui seul » sur un double feuillet, trace de cachet. « Veuillez bien Monsieur en continuation de votre bienveillance, me faire le plaisir de me mander, si d'après vos recommandations à Monsieur le Recteur et d'après ce qu'il aura bien voulu écrire en sa faveur, Mr Emeric a quelque espoir d'être placé et surtout si cet espoir est pour Lyon ou pour Paris (…) Grouchy Ve Condorcet ce 21 8bre 1811 Grande rue Verte n°3 ».Épouse du marquis de Condorcet (1743-1794) et sœur du maréchal Emmanuel de Grouchy (1766-1847) général de la Révolution et de l’Empire, Sophie de Grouchy (1764-1822) tenait un salon fréquenté par les philosophes et encyclopédistes. Veuve en 1794, elle connut un temps la misère, mais rouvrit son salon dès 1795. Elle s'occupa de faire publier les œuvres de son mari, se rapprocha des idéologues en opposition au régime impérial, puis cessa de jouer un rôle public sous la Restauration. Voisin et ami fidèle de Condorcet à Auteuil, Jean Antoine de Bry (1760-1834) conventionnel, plénipotentiaire au congrès de Rastatt (seul survivant de l'attentat contre les ambassadeurs français), fut nommé préfet du Doubs par Napoléon.
[ Condé, Prince de - Baronne de FEUCHÈRE } GATIGNY, intendant du duc de Bourbon.
Reference : 3016
Paris, 23 janvier 1830.
2 pp. in-4 manuscrit à la plume, d’une calligraphie particulièrement soignée. Adresse au verso du second feuillet avec marques postales et cachet de cire rouge armorié.« A son Altesse Royale Monseigneur le Duc de Bourbon en son Château de Chantilly, Oise » Le maître chanteur est le fils de l’ancien intendant du Prince de Condé : De Gatigny, s’estimant lésé et injustement remercié, il révèle posséder la correspondance échangée entre le Duc et son père, ainsi que la correspondance entre Mme de Feuchère et son père. Il réclame un versement dans les dix jours (souligné) d’une somme de 50 000 francs (souligné) sou peine de quoi il se verrait contraint de publier dans les douze jours l’intégralité de ces documents qu’il se propose de diffuser auprès des journaux et des divers souverain d’Europe. Madame de Feuchère est une ancienne prostituée (Sophie Dawes) dont le Duc de Bourbon avait fait sa maîtresse durant son exil à Londres. Âgée de 20 ans, la très jeune et jolie servante anglaise fut mariée sur recommandation du Duc de Bourbon à Monsieur le Baron de Feuchère. Ayant découvert la véritable identité de son épouse, le Baron de Feuchère obtint la rupture de son mariage et une réparation qui fit scandale à l’époque. En 1829, le Duc de Bourbon, fit un lègue énorme à la Baronne de Feuchère : 2 millions de francs, les châteaux et propriétés de Saint-Leu, Taverny, Enghien, Montmorency, Mortefontaine, le pavillon du palais Bourbon et le Château d’Ecouen. En 1830, soit 7 mois après notre lettre le Duc de Bourbon est retrouvé pendu à l’espagnolette d’une fenêtre, ses pieds touchaient encore terre. La Baronne de Feuchère fut inquiétée, en allant jusqu’à soupçonner un jeu érotique ayant mal tourné, puis les charges furent abandonnées et l’on conclut à un suicide. Le style particulièrement fleuri de l’auteur de cette lettre, son écriture calligraphiée rend encore plus épouvantable, cet incroyable document concernant le dernier des Bourbons.
In-folio (375 X 259 mm) demi-chagrin brun, dos à nerfs muet (Reliure moderne) ; (1) f. de titre, (185) pages - 29 ff. blancs - (51) pages.
MANUSCRIT DU XVIIe siècle commençant en 1683 avec les statuts de la confrérie (5 pages), puis la création des officiers et leurs signatures. Chaque délibération est datée et signée par les officiers. Le registre finit en 1826 à la page 185. On trouve ensuite le « Rôle de Messieurs les Confreres penitens bleus », c'est-à-dire la liste des pénitents qui commence par le nom du fondateur, « Cosme Evêque de Lombez » jusqu’au 24 mai 1827 (51 pages). LA CONFRÉRIE DES PÉNITENTS BLEUS DE LOMBEZ a été fondée en 1683 par COSME ROGER ou ROUGIER (1615-1710), évêque de Lombez de 1671 à 1710. RARE DOCUMENT MANUSCRIT sur cette confrérie qui semble ne pas dépendre de celle de Toulouse, fondée en 1575. GOOD COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
[Congé militaire] Comte de MOREUIL - Brigadier des armées du Roi, Maitre de camp de Cavalerie, Commandant le régiment de cavalerie de Condé
Reference : GF15424
Manuscrit sur papier (18,5 x 29 cm) avec cachet de cire rouge signé, situé et daté : "à Montechevou au Comté de Montbéliard le 20 février 1678"
Manuscrit sur papier (24 x 18,5 cm) - avec cachet de cire rouge signé, situé et daté : "Au camp de Biche le 2 novembre 1705"
Résumé des états de service du sieur Bellere - A. LEE fut Brigadier des Armées du Roi et colonel d'un ancien régiment irlandais -
Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemin de Fer de l'Ouest ; BLOUNT, Edward-Charles
Reference : 41940
(1880)
1 registre in-folio reliure demi-basane marron, 400 pp. dont 18 seulement manuscrites, 1880-1883 : Détail du Contenu : Séance du 17 Novembre 1880. Commission du Budget de 1881 / Séance du 19 Novembre 1880. Commission du Budget de 1881 / Séance du 8 Février 1881. Commission du Budget de 1881 / Séance du 11 Février 1881. Commission du Budget de 1881 / Séance du 20 décembre 1881. Commission du Budget de 1882 / 3 extraits des délibérations / Séance du 1er Mai 1883. Commission du Budget de 1883. Les PV sont tous certifiés, signés par le Président Ed. Blount
Financier et diplomate britannique, Sir Edward-Charles Blount fut président de la Compagnie des Chemins de Fer de l'Ouest de 1880 à 1894. Mauvais état (reliure très abîmée avec très fortes mouill. colorées, un des feuillets manuscrits débrochés). Prix en l'état pour cet intéressant témoignage historique.
, Paris, Pierre-Guillaume Simon, imprimeur du parlement 1772, in-8, feuillet libre, (légt jauni), bon état, 1ff. [R°/V°].
Phone number : 01 43 29 46 77
[circa 1840], 34,50 mm [diam.]/ 17,10gr., Jeton octogonal en argent, (poisson partiellt effacé), tranche lisse, bon état.
Phone number : 01 43 29 46 77
1 page in8 - bon état -
Il le prie de remettre à sa bonne les ouvrages sur l'Autriche et la Prusse qu'il a bien voulu lui prêter pour M. Victor Tissot - Ces livres lui seront rendus "trés exactement" - Il lui rappelle aussi qu'il lui a promis sa brochure sur l'Alsace - rare -
1 page 1/2 in8 - bon état -
Son frère, Justin Amero est né à Toulon, le 8 aout 1825; mais il n'était plus membre de leur société quand il est mort - Son frère, dont le caractère s'était beaucoup altéré, avait donné sa démission "pour se dérober au paiement de plusieurs années de cotisation" oubliant que la société lui était plusieurs fois venue en aide - Le Bulletin fait d'ailleurs mention de sa mort -
in-8, 1 p. et adresse à Monsieur Charles Dumons, élève en médecine, rue et Isle St Louis à Paris, du 8 octobre 1827; “Je suis bien sensible, Monsieur, à ce que vous m’écrivez sur Adolphe. Absent de Paris, depuis deux mois, je m’empresse de vous répondre, pour que vous n’attribuiez qu’à mon absence le retard de ma réponse. À mon retour à Paris je serai charmé de vous voir... Benj. Constant. Brumath près Strasbourg; Cachets de la poste.”
Reliée avec “Adolphe. Précédé d’une préface par M. de Lescure”, Paris, Jouaust, 1879; in-12, bradel demi-maroquin grenat, titre doré, couverture conservée, tête dorée, portrait gravé par Félix Régamey. Bon état général.
Phone number : 06 60 22 21 35
Craïova (Roumanie) 9 octobre 1900 | 14.70 x 22 cm | deux feuillets rédigées au recto
Deux lettres autographes signées de Constantin Brâncu?i adressées au Préfet du département de Dolj et rédigées à l'encre brune et noire, l'une sur un morceau de papier ligné (14,7x22cm) et l'autre sur papier blanc d'un format supérieur (27x19,5cm). La première lettre est rédigée à l'encre sur un feuillet et porte le numéro d'enregistrement «12981» suivi du sigle «pPG» et signée du nom entier de l'artiste: «Constantin Brâncu». En bas à gauche de la page se trouve une annotation manuscrite de Brâncu?i: «j'ai reçu l'ordonnance», suivie de sa signature «C. Brâncu» et non pas «Brâncusi» ou «Brâncu?i», comme il signera après son arrivée à Paris. La seconde missive est écrite à l'encre sur une demi-feuille de carnet et contient le même message, la même signature et un numéro d'inventaire similaire. Un timbre de 10 bani (centimes) est collé en haut à gauche. Le côté gauche en dessous du timbre est découpé, ainsi que Brâncu?i procédait: il retirait les timbres ou effaçait une information qu'il ne souhaitait pas conserver. Ces deux importantes lettres viennent documenter un chapitre important de la biographie de l'artiste concernant ses études financées en partie par le département de Craïova. Le 28 septembre 1898, Brâncu?i achève avec succès sa scolarité de cinq ans à l'École des métiers de Craïova - chef-lieu de sa région natale - et s'inscrit à l'Ecole des beaux-arts de Bucarest. Il obtient des bourses de l'église Madona Dudu de Craïova qui l'aident à continuer ses études. Il est vite remarqué par ses professeurs à Bucarest qui lui accordent des prix pour la réalisation de bustes, tels Laocoon et la sculpture à l'antique Étude d'après Mars Borghese. En octobre 1900, Brâncu?i adresse une demande de bourse au Préfet du département de Dolj (dont la capitale est Craïova) qui l'aide à suivre «ses études pendant le trimestre d'octobre» et précise que cette bourse lui a été accordée par le Conseil départemental du budget 1900-1901. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris 17/30 janvier 1908 | 21 x 35 cm | une page sur un feuillet
Déclaration autographe datée et signée de Constantin Brâncu?i à M. Costadi, attaché à la légation roumaine de Paris, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et trace d'un tampon. Quelques pliures transversales. La déclaration est signée avec son nom complet qu'il gardera désormais: «C. Brâncusi» et datée «17/30 janvier 1908» - les deux dates témoignent de la coexistence des calendriers grégorien et julien dans les principautés roumaines du début du XXè siècle. Dans cette déclaration rédigée le 30 janvier 1908, Brâncu?i s'adresse à la légation roumaine de Paris représentée par M. Costadi. Il confirme par la présente la réception de la somme de mille deux cents lei et précise qu'il ne sollicitera plus d'aide de la Maison des Ecoles (section du futur ministère de l'Enseignement et de la culture) pour l'année en cours. Cette subvention est la dernière qui lui sera accordée par un établissement roumain. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris janvier 1914 | 21 x 28.50 cm | une page sur un feuillet
Très importante lettre autographe signée de Constantin Brâncu?i adressée au Ministère roumain des cultes, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et timbre postal à l'encre. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Dans cette lettre datée de janvier 1914 et adressée au ministre des Cultes, le sculpteur demande l'autorisation de faire entrer certaines de ses sculptures en Roumanie à l'occasion de l'exposition de la société «Tinerimea Artistica» (La Jeunesse artistique). Brâncu?i se trouve alors à Paris comme en témoigne son adresse: «54 rue du Montparnasse». Une liste des uvres étaient visiblement jointe à cette lettre mais elle a, hélas, disparu. Cette missive témoigne des liens étroits entretenus entre Brâncu?i et les artistes roumains de la «Tinerimea Artistica» qui organise depuis 1908 des expositions regroupant peintures et sculptures. En mars 1914 Brâncu?i présente six uvres dont La Prière (1907), Le Baiser (1907-08), Mademoiselle Pogany (1913) à la quatorzième exposition de cette importante société artistique. Il est déjà à cette époque un sculpteur de renom: la présence de cinq de ses uvres à l'Armory Show à New York (17 février - 15 mars 1913), où sa sculpture Mademoiselle Pogany a provoqué un scandale par sa modernité au côté du Nu descendant un escalier de Marcel Duchamp et lui a permis de devenir l'un des artistes majeurs de la deuxième décennie du XXèsiècle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris et Uzès Emile-Paul et Henri Péladan 1982 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 306 pp. Edition en partie originale. Un des 330 exemplaires de tête numérotés sur Japon mat, celui-ci hors commerce. On joint le prière d'insérer et une longue carte autographe signée de l'auteur adressée à Madame Henri Flammarion. Bel état, non coupé ni rogné.