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‎HEINEMANN, Franz:‎

Reference : 115603aaf

‎Trésors d’art suisse.‎

‎Lausanne, F. Haeschel-Dufey, 1922, in-4to, 103 p., richement ill. d’env. 35 planches n./b. et couleurs, reliure en toile originale.‎


‎Extrait de contenu: BURNAND, E.: La descente de l’alpage. / DURHEIM, J. L. R.: L’atelier Durheim. / GIRARDET, J.: La fuite de Cholet. / HESS, D.: Comité de salut public. / DE PURY, E.: Les Brodeuses de Perles. / ROBERT, L.: Napolitaines... ‎

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CHF60.00 (€64.31 )

‎HEINIGER, E. A. ‎

Reference : 42966

‎NOS 4000 METRES ‎

‎Lausanne Editions Jean Marguerat 1948 1 volume reliure toilée grège de l'éditeur, jaquette illustrée en noir et blanc, 4 pages de texte liminaire (Avant-propos d'Emile Blanchet), suivies de 86 photographies originales en noir et blanc (tirées en héliogravure), et d'une table des illustrations. Collection ''Merveilles de la Suisse''. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎


‎Bon Jaquette en bon état Reliure ‎

Librairie Rouchaléou - Saint André de Sangonis

Phone number : 06 86 01 78 28

EUR30.00 (€30.00 )

‎HEINIGER, E.A.: ‎

Reference : 24025aaf

‎Nos ( 4000 ) quatre mille mètres. Avant-propos d'Emile Blanchet. ‘Merveilles de la Suisse’.‎

‎Lausanne, Marguerat, 1948, gr. in-8°, 6 ff. + 96 planches photogr. + 6 ff., reliure en toile originale, jaquette originale, ex. frais.‎


‎Bel album de photographies l'auteur des 4000 des Alpes suisses. Perret 2210 image disp.‎

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CHF20.00 (€21.44 )

‎Heinrich KLIER‎

Reference : LFA-126721426

(1956)

‎CE BEL ETE‎

‎Un ouvrage de 303 pages, format 200 x 145 mm, broché, publié en 1956, Editions Arthaud‎


‎Roman dont l'action se situe dans la montagne Suisse et Autrichienne‎

Phone number : 04 74 33 45 19

EUR8.00 (€8.00 )

‎HEISINGER, G.:‎

Reference : 589.1aaf

‎Nyon, Canton de Vaud en Suisse, ‎

‎Basel, Krüssi, um 1880, 12.4x19.3 cm, (26.2x31.8) gravure sur acier / orig. Stahlstich. ‎


‎ Image disp.‎

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CHF40.00 (€42.87 )

‎Heitmann, Adriano.‎

Reference : 92259

‎Panorama Gottardo. La ferrovia di montagna. Le chemin de fer de montagne. The Mountain Railway.‎

‎ Bellizona, Casagrande 2018, 180x240mm, 188pagine, legatura del editore. ‎


‎ fotografie a colori, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal‎

Phone number : 41 26 323 23 43

CHF25.00 (€26.80 )

‎HELBLING, Robert:‎

Reference : 73248aaf

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CHF30.00 (€32.16 )

‎HELBLING, Robert:‎

Reference : 73324aaf

‎I. Die Anwendung der Photogrammetrie bei geologischen Kartierungen. / II. Zur Tektonik des St. Galler Oberlandes und der Glarneralpen. In 1 Bd. ‘Beiträge zur geologischen Karte der Schweiz’, N.F., Lfg. 76.‎

‎Bern, A. Francke, 1938, in-4to, X + 133 S., 18 Textfig., Bibl. Stempel ‘Ausgeschieden’, ohne Einband (ausgebunden).‎


‎Die 22 Tafeln fehlen. ‎

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CHF30.00 (€32.16 )

‎Helbronner (Paul)‎

Reference : 4119

(1925)

‎Description géométrique détaillée des Alpes Françaises. Tome 8. Chaine méridienne de Dauphiné-Provence. ‎

‎ 1925 1925 Gauthier-Villars et Cie, Paris, 1925. Grand in-4 dans le cartonnage de l'éditeur, [2ff.], 660 pages non coupées, 1 carte dépliante, pl. II à IV et [18] grands panoramas photographiques dépliants in-fine. Reliure à restaurer. ‎


‎ La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. ‎

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Phone number : 02 31 86 36 38

EUR260.00 (€260.00 )

‎HELBRONNER, Paul (1871-1938):‎

Reference : 141081aaf

‎Au travail sur le grand pic de Meije (3982 m) le 31 juillet 1906.‎

‎Paris, éd. Gauthier-Villars, 1935, gr. in-4to, 16 p., illustré d’un grand panorama (225x231 cm) dépl. (photogr. en noir et blanc commentée du tour d’horizon vu du sommet de la Meije) exlibris Peter E. Obergfell, brochure originale d’époque.‎


‎Tiré à part du tome X de la description géom. détaillée des Alpes Françaises. Perret 2214-A. ‎

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Phone number : 41 (0)26 3223808

CHF250.00 (€267.97 )

‎Hendschels 4 - MÜHLSTäDT, Dr.:‎

Reference : 139652aaf

‎Hendschels Luginsland. Heft 4. München - Kufstein - Innsbruck - Bozen - Meran. Brennerbahn.‎

‎Frankfurt a M; M Hendschel 1910, in-8vo, 64 S. 3 Karten, 1 Streckenprofil und 23 Abb., illustrierte Original-Broschüre. Gutes Exemplar.‎


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Phone number : 41 (0)26 3223808

CHF30.00 (€32.16 )

‎Hendschels - LANGHANS, Josef Ernst:‎

Reference : 136148aaf

‎Ueber das Stilfserjoch. Landeck - Trafoi - Bormio - ‘Hendschels Luginsland. Heft 36’.‎

‎Frankfurt a. Main, Druckerei August Oesterrieth, 1912, in-8vo, 95 S., 2 farb. Karten, 1 Streckenprofil und 39 Abb., illustrierte Original-Broschüre. (Umschlag hinten: Milka die beliebte Alpenmilch).‎


‎ bild‎

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Phone number : 41 (0)26 3223808

CHF45.00 (€48.23 )

‎Hendschels - MÜHLSTäDT, Dr.:‎

Reference : 139651aaf

‎Hendschels Luginsland. Heft 5. Toblach - Cortina - Bozen - Predazzo - San Martino. Dolomitenstraße.‎

‎Frankfurt a M; M Hendschel 1910, in-8vo, 72 S. 3 Karten, 1 Streckenprofil und 36 Abb., illustrierte Original-Broschüre. Gutes Exemplar.‎


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Phone number : 41 (0)26 3223808

CHF30.00 (€32.16 )

‎HENNEQUIN (Capitaine breveté)‎

Reference : WOC-384

(1909)

‎Le Corps d'observation des Alpes en 1815 – Une Campagne d'un mois.‎

‎Avec 3 croquis dans le texte. Paris, Henri Charles-Lavauzelle, sans date(vers 1909). In-8(22x14cm) broché, manques aux bords. 100pp. Complet de la feuille volante. ‎


‎Rare.‎

Librairie Hermès - Annemasse

Phone number : +33 450 92 04 43

EUR75.00 (€75.00 )

‎HENNEZEL (Henri d')‎

Reference : 35006

‎Le Musée historique des tissus de la Chambre de commerce de Lyon, par Henri d'Hennezel, directeur du Musée.‎

‎ In-12, broché, couverture imprimée, 64 p., 41 planches d'illustrations hors texte. Paris, Henri Laurens, 1922.‎


‎Edition originale et unique. Présentation du musée historique des tissus de la Chambre de commerce de Lyon, par son directeur. 41 planches d'illustrations hors texte (tissus, borderies, soieries, tapisseries, vêtements, etc.).Très bon exemplaire, très frais. ‎

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Phone number : 33 01 47 07 40 60

EUR50.00 (€50.00 )

‎Henri AZEAU‎

Reference : LFA-126720643

(1968)

‎La LUTTE POUR les ALPES‎

‎Un ouvrage de 284 pages, format 135 x 210 mm, illustré, relié simili-cuir, publié en 1968, Presses de la Coté, bon état‎


‎Concerne la Libération (1944-1945). Tome 1 : Les Deux Savoies‎

Phone number : 04 74 33 45 19

EUR9.00 (€9.00 )

‎Henri BÉRAUD‎

Reference : 84506

(1946)

‎" ...J'ai peu de choses à faire savoir à notre Germaine, si ce n'est mon habituel, éternel, sempiternel remerciement suite obligée de son éternelle, habituelle, sempiternelle bonté ! " ..." Lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman"‎

‎S. n. | Poissy 8 Juin 1946 | 13 x 21 cm | une page recto verso‎


‎Belle lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (45 lignes à l'encre bleue sur une page recto-verso) souffrant psychologiquement de sa situation de prisonnier. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy, trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Le prisonnier Henri Béraud se remémore l'intense joie d'avoir eu la visite consolatrice de sa belle-mère de manière un peu plus privée qu'à l'accoutumée : "... l'heureux hasard qui nous donna ce parloir tout intime. Souhaitons que ce ne soit là qu'un coup d'essai, et que tout concourra désormais à en faire une réconfortante habitude..." Il prie sa femme Germaine de lui faire parvenir quelques objets qui permettraient de le soulager un peu de sa condition d'incarcéré :" Il me faudrait un flacon d'encre bleue-noire waterman pour remplir le bel encrier dû à la gentillesse de mon épouse ! Une ou deux têtes d'ail, un ou deux crayons très tendres..." Enfin, Henri Béraud, conscient de tout le soutien psychologique et matériel qu'on lui témoigne, manifeste sa reconnaissance : "... Chère maman Mickey, je vous embrasse avec toute ma tendresse en vous disant à bientôt ..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR600.00 (€600.00 )

‎Henri BÉRAUD‎

Reference : 84040

(1945)

‎" ... je crains toujours que vous ne vous priviez pour moi. Surtout ne faites pas cela..." Emouvante lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman"‎

‎S. n. | Poissy 2 Juin 1945 | 13 x 21 cm | trois pages‎


‎Touchante lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (65 lignes à l'encre bleue puis noire sur trois pages) relatant sa situation de prisonnier tout en louant l'amour de cette dernière et de sa femme qui veillent sur lui et qui lui permettent d'envisager la vie carcérale sous de meilleurs auspices. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy, trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Henri Béraud se réjouit d'avoir pu voir sa belle-mère en bonne santé et s'inquiète des sacrifices qu'elle s'inflige pour le bien-être de son beau-fils détenu : "... j'ai été heureux jeudi de vous voir avec si bonne mine...je pense aux difficultés... je crains que toujours que vous ne vous priviez pour moi..." tout en restant lucide sur l'avanie de sa condition de prisonnier qui ne lui permet pas de protéger les siens : "... je compte tellement sur vous pour veiller sur notre Germaine (la femme d'Henri Béraud) pour l'obliger à se soigner et à se ménager..." Il estime son arrestation et son emprisonnement illégitimes et abusifs et se montre confiant pour son avenir avec sa mère et son épouse "à ses côtés" : "... le triste et injuste sort qui m'est fait. C'est cela qui me donne le plus de confiance dans l'avenir - cela et votre bonté à mon égard chère maman et, bien sûr, l'amour de la plus noble et de la plus belle des épouses..." Enfin, Henri Béraud poursuit à l'encre noire en se fendant d'une recommandation pour sa femme : "... en ce qui concerne sa visite à l'ami d'H. Espiau, je la laisse naturellement juge d'orienter cette conversation... au mieux de mes intérêts immédiats..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR750.00 (€750.00 )

‎Henri BÉRAUD‎

Reference : 84062

(1945)

‎"... le colis de jeudi dernier était comme à l'ordinaire magnifique..." Emouvante lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman"‎

‎S. n. | Poissy 29 Septembre 1945 | 13.50 x 21 cm | une page recto verso‎


‎Touchante lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (36 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso) relatant sa situation de prisonnier tout en louant l'amour de cette dernière et de sa femme qui veillent sur lui et qui lui permettent d'envisager la vie carcérale sous de meilleurs auspices, grâce notamment aux colis qui améliorent son ordinaire. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy où Henri Béraud est soigné, traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Henri Béraud sait sa belle-mère souffrante et déplore son absence au parloir de la semaine dernière : "... j'ai été peiné de ne pas vous voir jeudi..." et espère sa prompte guérison : "... je forme les voeux les plus fervents pour que vos piqûres donnent de bons résultats..." grâce notamment à son intervention : "... grâce à mon collègue, dont le père est pharmacien, vous aurez peut-être de l'endopancrine..." Il remercie sa chère belle-mère pour tous les soins affectifs et matériels dont elle l'entoure et qui embellissent sa condition de prisonnier malade : "... le colis de jeudi dernier était comme à l'ordinaire magnifique..." Combien je vous remercie toutes deux de tant de soins et de peine ! " Il réclame aussi papier et enveloppe pour s'évader épistolairement de la noirceur de son quotidien carcéral : "... ne manquez pas de mettre enveloppe et papier dans votre lettre..." et demande des nouvelles de ses proches : "donnez-moi des nouvelles de votre belle-famille, qui est aussi la mienne, et qui me manifeste tant de généreuse affection..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Henri BÉRAUD‎

Reference : 84179

(1946)

‎" ...Ne regrettez pas trop de ne pouvoir faire le voyage, en raison, primo de ce temps sans bonne grâce, et secundo de l'état moral plutpot vaseux de votre gendre. Mauvaise période ! ..." Lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman"‎

‎S. n. | Poissy 22 Juin 1946 | 13 x 21 cm | une page recto verso‎


‎Belle lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (43 lignes à l'encre bleue sur une page recto-verso) souffrant psychologiquement de sa situation de prisonnier. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy, trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Affecté moralement, le prisonnier Henri Béraud tente de faire preuve d'optimisme en relativisant sur ses avanies : "... Mauvaise période ! Mais après la pluie le beau temps. Celui qui a trouvé cela est un consolateur qui en vaut bien d'autre, et qui, somme toute, n'est pas le plus bête..." Il prie sa femme Germaine de lui faire parvenir :" ... Si elle en a la possibilité, elle peut forcer sur le pain d'épices, qui vraiment est d'un grand secours..." et se réjouit ironiquement de sa condition : "... Pour le reste, madame la marquise, tout va très bien, trop bien ! " Enfin, Henri Béraud attend impatiemment une nouvelle photographie de son épouse: "... pour cela, je suis insatiable. Et ma cellule, pourtant, en est illuminée dejà ! ..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Henri BÉRAUD‎

Reference : 84064

(1946)

‎" ... On est à se demander si le soleil s'est mis en grève ou s'il est allé se promener au pays lointain de la vraie justice et du bon sens ..." Emouvante lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman"‎

‎S. n. | Poissy 15 Juin 1946 | 13.50 x 21 cm | une page recto verso‎


‎Touchante lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (40 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso) relatant sa situation de prisonnier tout en louant l'amour de cette dernière et de sa femme qui veillent sur lui et qui lui permettent d'envisager la vie carcérale sous de meilleurs auspices, grâce notamment aux colis qui améliorent son ordinaire. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy où Henri Béraud est soigné, traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Un tampon imprimé de l'administration péniteintiaire "Vu et contrôlé" en marge gauche et supérieure de la lettre Henri Béraud se réjouit de la bonne santé de sa belle-mère qui l'autorise à le visiter à nouveau : "... A présent que vous avez retrouvé le chemin de Poissy, il ne faudra plus l'oublier..." même si le temps n'est pas de la partie :" ... On est à se demander si le soleil s'est mis en grève ou s'il est allé se promener au pays lointain de la vraie justice et du bon sens ..." établissant ainsi un parallèle entre sa sombre condition de prisonnier et la noirceur du ciel. Il espère revoir sa femme Germaine : "... avec la coiffure qui lui va si bien..." et recevoir de nouvelles photographies d'elle. L'auteur du Martyre de l'obèse veut rassurer sa famille grâce au soutien de laquelle il fait face : "Dites-leur que le moral est toujours ferme - et les colis admirables." et achève sa missive, en pamphlétaire qu'il reste, par une saillie anti-américaine : Je vous embrasse avec ma tendresse profonde et respectueuse, quoique respect et Mickey jurent un peu ! " Il réclame aussi papier et enveloppe pour s'évader épistolairement de la noirceur de son quotidien carcéral : "... ne manquez pas de mettre enveloppe et papier dans votre lettre..." et demande des nouvelles de ses proches : "donnez-moi des nouvelles de votre belle-famille, qui est aussi la mienne, et qui me manifeste tant de généreuse affection..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Henri BÉRAUD‎

Reference : 84202

(1945)

‎" .. Oui, il faut espérer que cette année, qui pour moi commence, sera meilleure que celle qui s'achève..." Lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman" concernant un colis qu'il a reçu pour son anniversaire du 21 Septembre‎

‎S. n. | Poissy 22 Septembre 1945 | 13.50 x 21 cm | trois pages‎


‎Belle lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (43 lignes à l'encre bleue sur une page recto-verso) au lendemain de son 60ème anniversaire. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy, trace de pliure inhérente à la mise sous pli, Henri Béraud a erronément indiqué dans la date l'année 1942 en lieu et place de l'année 1945. Henri Béraud se confond en remerciements : "... quel époustouflant colis cette semaine ! Il n'y manquait que les petites bougies du rituel gâteau..." et se projette dans un avenir plus heureux et libre : "Espérons qu'au 21 septembre prochain nous le mangerons en famille... avec une bougie de plus." Il se réjouit des réussites professionnelles de ses beaux-frères pour mieux se caricaturer en vilain petit canard :" ... vous seriez, chère maman comblée par la vie, si votre gendre ne vous donnait, à lui seul, plus de souci que toute la famille réunie ne vous en a jamais donné. Ce n'est pas mon moindre chagrin, vous le savez..." et en assisté: "... il m'est cruel, après toute une vie de travail, d'être une charge, pour les miens et de ne pouvoir leur apporter que le poids d'une destinée affreuse, encore qu'immeritée, pour vous plus encore que pour moi." Henri Béraud est également tourmenté par son épouse Germaine qu'il pressent malheureuse bien qu'elle veuille le lui cacher : "... il faut qu'elle me dise tout. J'ai tellement confiance en elle, qu'elle ne doit rien me cacher. Nous la savons si courageuse ! mais mon propre courage a besoin de tout savoir..." Après les préoccupations psychologiques, Henri Béraud bascule dans les impératifs matériels si cruciaux pour le prisonnier qu'il est : " j'aurais besoin d'un tube de brillantine, si toutefois il est possible d'en trouver. Je voudrais aussi que mes caleçons fussent prêts..." s'intéressant même au potager familial : "... il faudra utiliser, cette semaine au jardin, la seconde moitié des grains envoyés par Pierre. C'est le moyen qu'ils ne soient pas tous perdus..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Henri BÉRAUD‎

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(1945)

‎" ... seul, en somme, votre gendre vous donne du souci. Que voulez-vous, il faut bien que dans toutes les familles, y comprises les meilleures, on compte un mauvais sujet ..." Emouvante lettre autographe de prison datée et signée et adressée à sa belle-mère qu'il appelle affectueusement "sa chère maman"‎

‎S. n. | Poissy 6 Octobre1945 | 13 x 21 cm | deux pages‎


‎Touchante lettre autographe datée et signée d'Henri Béraud adressée à sa belle-mère alors qu'il est incarcéré à la prison de Poissy (46 lignes à l'encre bleue sur une page recto-verso) relatant sa situation de prisonnier et s'inquiétant de la santé vacillante de sa belle-mère. La lettre est à en-tête de l'infirmerie de la maison centrale de Poissy, trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Henri Béraud est bien triste de n'avoir pu voir sa belle-mère qui rencontre quelques problèmes de santé lui interdisant ses réconfortantes visites à Poissy : "... j'ai été bien peiné de ne pas vous voir jeudi..." mais gage de la revoir bientôt en pleine forme : "... que du moins après cela je vous retrouve en belle santé et toute gaie, comme toujours..." Il demande des nouvelles de la famille de sa secourable belle-mère et se pose en vilain petit canard de la famille" :" ... seul, en somme, votre gendre vous donne du souci. Que voulez-vous, il faut bien que dans toutes les familles, y comprises les meilleures, on compte un mauvais sujet ..." Enfin, Henri Béraud ironise sur sa condition de manière à ne pas trop faire culpabiliser "sa chère maman" de manquer leurs rendez-vous au parloir, seule source d'évasion vers le monde exérieur d'Henri Béraud : "... ne vous fatiguez pas surtout, comme je vous soupçonne de le faire, pour les colis de ce chenapan. Il est infiniment trop gâté, et une fois de plus, il vous remercien de tout coeur, pour la peine que vous prenez..." Bon vivant natif de Lyon, Henri Béraud est un journaliste et reporter international (Le canard enchaîné, Le Crapouillot, Petit Parisien, France-Soir et Gringoire) et un écrivain prolifique (Prix Goncourt 1922 pour Le martyre de l'obèse et Le vitriol de lune paru un an plus tôt) dont l'évolution politique, passant de l'extrême gauche à l'extrême droite pro-collaborationniste, est caractéristique de l'inexorable montée en puissance des totalitarismes de l'entre-deux guerres et du dévoiement de nombreux intellectuels français. Ami de Roland Dorgelès, Albert Londres et surtout de Joseph Kessel qu'il rencontra en 1922 en Irlande alors récemment et partiellement libérée du joug britannique, Henri Béraud défend des opinions très à gauche. Mais après un voyage en U.R.S.S., il commence à réviser ses positions tout en dérivant vers l'antiparlementarisme, l'anglophobie (Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage ? paru en 1935 et dédié à Joseph Kessel), l'antisémitisme "sans s'en rendre compte" selon son ami le journaliste Jean-Galtier Boissière. C'est l'affaire Stavisky et son corollaire les émeutes des ligues fascistes et antiparlementaristes du 6 Février 1934 qui déclenchent chez Henri Béraud son passage manifeste à l'extrême droite allant jusqu'à rompre son amitié avec son grand ami Joseph Kessel. En 1936, ses violents articles dans Gringoire conduiront au suicide du ministre de l'intérieur du Front Populaire Roger Salengro accusé de désertion pendant la Première Guerre Mondiale. Arrêté enseptembre 1944 etcondamné à mort le29 décembre 1944pour intelligence avec l'ennemi, il est gracié par le général De Gaulle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎HENRIETTE (Princesse de Belgique, S.A.R. la Duchesse de Vendôme):‎

Reference : 140082aaf

‎Les Croix des Alpes. Avec une préface de Gabriel Hanotaux. Publ. sous les auspices de la Société des Bibliophiles et Iconophiles de Belgique.‎

‎Bruxelles, Desmet-Verteneuil, 1937, in-4to, 175 p. avec 40 reproductions d'aquarelles en couleurs, exlibris Peter E. Obergfell, en feuilles avec couverture impr. en rouge et emboitage orig. Bel exemplaire.‎


‎Ce magnifique ouvrage est limité à 500 exemplaires numérotés sur papier d'arches. Notre exemplaire porte le no. 356. Ce superbe album illustré nous montre la beauté naturelle de nos Alpes par des aquarelles finement exécutées. Peu courant et recherché (Perret). Perret 4432. Image disp.‎

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(SLACES, NVVA)

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‎Henri FERRAND‎

Reference : LFA-126713955

(1984)

‎GRENOBLE CAPITALE des ALPES FRANCAISES‎

‎Un ouvrage de 156 pages, format 240 x 300 mm, illustré de 180 gravures, broché, réimpression (1984) de l'édition de 1911, La Manufacture, collection "Architecture et Patrimoine en Montagne - Cahiers Henri Ferrand 6", bon état‎


‎Grenoble et sa région au début du XXe siècle‎

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