[Lausanne / Genève], Les Cahiers de l'Anglore, [vers 1930]. In-8 broché de [4]-45-[7] pages, couverture imprimée.
Edition originale au tirage limité à 37 exemplaires numérotés, le nôtre ne l'étant pas. Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de l'auteur à René Lambert.
[Genève], édité par le bureau de l'Entente Internationale Anticommuniste, 1937. In-8 broché de 64 pages, couverture imprimée.
Discours prononcé au Palais Eynard le 25 mai 1937. Édition originale, exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur à Jacques Le Fort.
Genève, Ed. du Journal de Genève, 1957. 1 vol. in-4 de 147-[4] pages. Demi-basane marron à coins, dos lisse, 1er plat de couverture conservé. Un mors légèrement frotté, ceci mis à part en belle condition.
Illustré de gravures en noir de René Guinand. Tiré à 550 exemplaires, celui-ci un des 500 numérotés sur vélin d’Arches. Dédicace de l’auteur.
Genève, Les trois anneaux, à l'Édition Indépendante, 1937. In-4 broché de 58-[2] p., couverture rempliée. Petit accroc en queue.
Enrichi en plus un dessin original signé de Mario Beretta en page de garde. Un des 525 exemplaires numérotés (229). Avec un bel envoi autographe signé de l'auteur à l'encre rouge et au pinceau. Emilio Maria Beretta, né le 27 mars 1907 à Muralto et mort le 1er juillet 1974 à Genève est un artiste peintre suisse. Après avoir suivi ses études à école des beaux-arts de Genève, il part pour Paris en 1930 où il fréquente l'atelier de Gino Severini à Paris. Il retourne ensuite en Suisse et travaille dès 1936 avec Alexandre Cingria et Jean-Louis Gampert, réalisant de nombreuses fresques et peintures murales. On y joint un long article signé Henri de Ziegler suivi de poèmes de Piachaud, le tout paru dans le supplément du dimanche de la Tribune de Genève de novembre 1941.
Genève, Les trois anneaux, à l'Edition Indépendante, 1937. In-4 broché de 57-[5] pages, couverture rempliée.
Editon originale au tirage limité à 525 exemplaires numérotés, celui-ci exemplaire d'auteur, avec mention Pour Bernard Gagnebin. Un envoi autographe de l'auteur lui est en outre adressé, et l'on retrouve son ex-libris au premier contreplat. Bernard Gagnebin fut conservateur des manuscrits de la Bibliothèque publique et universitaire de Genève.
Genève, Les trois anneaux, à l'Edition Indépendante, 1937. In-4 broché de 57-[5] pages, couverture rempliée.
Editon originale au tirage limité à 525 exemplaires numérotés, celui-ci exemplaire d'auteur, avec mention Pour Monsieur René Lambert. En envoi autographe de l'auteur lui est en outre adressé. Couverture un peu insolée, avec quelques traces de plis en bords, petit trait de stylo au premier plat.
Genève, Les trois anneaux, à l'Edition Indépendante, 1937. In-4 broché de 57-[5] pages, couverture rempliée.
Édition originale au tirage limité à 525 exemplaires numérotés, celui-ci exemplaire d'auteur, portant la mention manuscrite de Piachaud: "Pour Monsieur Édouard Demolis.RLP" Et l'auteur a indiqué en dessous une petite correction à apporter p.18, 1ère strophe, 4ème vers il faut lire: "Monte, pour t'épouser, de la tombe Id'seult".Au premier feuillet blanc, un bel envoi autographe de l'auteur lui est en outre adressé "à Édouard Demolis, esprit agile, jarret nerveux, coeur admirable, en priant les Dieux de le maintenir en paix et en joie. Si affectueusement. René Louis Piachaud. Genève, en mai 1937".
Genève, Alexandre Julien, 1932. In-8 broché, couverture imprimée, un peu défraîchie.
Edition originale sur papier courant. Exemplaire agrémenté d’un envoi autographe signé du poète.
A Genève et Carouge, se vend pour le compte de l'auteur par les soins de l'Edition indépendante et Castoldi / chez Louis Cottier, 1935. In-4 broché de 39 pages, couverture imprimée, dos muet.
Illustré de 4 hors-texte en noir, dont 1 en frontispice. Le Cé qu'è lainô complet en fin de volume. Edition originale au tirage limité à 910 exemplaires, celui-ci un des 900 non numérotés. Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de l'auteur à René Lambert. Couverture tachée.
Genève, Société anonyme des étidtions Sonor, 1920. In-8 de [4]-96-[4] pages, demi-percaline rouge, titre et filets dorés au dos, couvertures conservées.
Bien complet du dessin de H.-C. Forestier, signé et colorié à la main par l'artiste, accompagnant le tirage de tête. Edition originale au tirage limité à 61 exemplaires numérotés sur Hollande van Gelder (26), seul grand papier. Signature de l'auteur au faux-titre.
Genève, Alexandre Jullien, 1930. In-8 broché, couverture marbrée rempliée, vignette de titre contrecollée au premier plat. Frottements en tête et en queue, rousseurs sur tranches aux gardes.
Tirage limité à 550 exemplaires, celui-ci nominatif et signé par l'auteur au justificatif. Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de René-Louis Piachaud.
1943 Ensemble de 10 lettres autographes signées "Edith", au total 19 pages au format in-4 ou in-8, écrites de Marseille, Paris, New York et Hollywood, entre 1943 et 1956.Rare et émouvante correspondance inédite à Robert Dalban (1903-1987), mémorable majordome des Tontons flingueurs que Piaf rencontre par l'entremise de son épouse, la comédienne Madeleine Robinson avec laquelle elle a sympathisé aux Bouffes-Parisiens. Plus qu'un ami, "son Bob" devient pour Piaf un confident, un frère : elle signe à plusieurs reprises ses lettres d'un "ta frangine Edith".Cette correspondance dévoile toute l’ardeur sentimentale de la chanteuse. En 1943, elle évoque les tensions avec son amant en titre le parolier Henri Contet, alors même qu’elle entretient une liaison avec Yvon Jeanclaude, jeune chanteur ténébreux à la voix de basse. En 1946, c’est Yves Montand qui fait battre son cœur, "tout ce que je peux te dire c'est que je l'aime à en crever !" L’interprète évoque son état de santé fragile, "c'est patraque tout le temps cette pauvre mère Piaf", et sa joie de faire la nique à "Trenet, Chevalier et Tino" qui, comme elle, se produisent en matinées à Marseille en zone libre.Le coeur d’Edith est à son paroxysme en 1949 : elle a rencontré Marcel Cerdan. Mais le boxeur disparaît dans un accident d’avion le 28 octobre alors qu'il rejoignait Piaf en tournée à New York. Dans les lettres écrites entre le 3 novembre 1949 et le 21 janvier 1950, on peut lire le choc, la profonde détresse et le deuil provoqué par ce drame : "Tu sais, ma douleur, c'est affreux, je ne réalise pas. C'était la première fois que j'aimais et puis voilà. On m'enlève tout, on me brise le cœur, on me l'arrache, on m'écrase. Je voudrais mourir mais j'ai peur de ne pas le retrouver si je me suicide. Je ne vis que dans cet espoir, être là où il est, le reste je m'en fous! (...) je n'ai plus envie de chanter, tout ce que je faisais c'était pour lui!".Les dernières lettres couvrent la période avec son mari le chanteur Jacques Pills. Si le cœur d’Edith s’est apaisée, notamment avec le soutien qu’elle a trouvé auprès des Rose-Croix, elle fait montre d’une lassitude morale et physique, "aussi je veux serrer les poings, pendant deux ou trois ans avant qu'il ne m'arrive un pépin !" (1956). Fiche détaillée sur demande.
1 p. in-4 (petites déchirures marginales)
Lettre autographe signée adressée à une destinataire non identifiée. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
[Nice], studio Erpé, s.d. In-4, 1 f. 237 x 177 mm.
Photographie originale avec envoi autographe signé à l'académicien Maurice Genevoix. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Genève, Mamco, 2003. Grand in-8 broché de 249-[6] pages, couverture illustrée.
Portrait de Maurice Pianzola par son père, Alfred Pianzola, en couverture. Exemplaire du service de presse, avec une "dédicace en guise de postface" en fac-similé, ce qui nous permet d'identifier l'auteur de la lettre manuscrite jointe qui est bel et bien de Maurice Pianzola, quoique ce dernier se soit donné plus de peine pour la postface. Cette lettre, un feuillet A4 recto-verso, est adressée à Isabelle Martin, journaliste culturelle, pour la remercier de son article tout en parlant de médecins, d'hôpital, de Château d'Oex, du col des Mosses et ses fleurs. A noter que l'auteur, qui fut conservateur en chef du Musée d'art et d'histoire de Genève, est décédé l'année qui suivit la sortie de cet ouvrage.
1926
Carte de visite autographe du mathématicien, membre de l’Académie des Sciences, Émile Picard (1856-1941) adressée à l’avocat et historien français Henri-Robert (1863-1936). Il le remercie de lui avoir fait parvenir un exemplaire de son dernier ouvrage Les Grands procès de l’histoire, paru en 1926 chez Payot : « Merci mon cher confrère, pour l’envoi de votre Vème série des Grands procès de l’Histoire. »Il s’appuie ensuite sur la brillante définition du genre romanesque par Paul Bourget pour faire l’éloge du travail de son confrère : « Paul Bourget a défini un jour le roman : « de la petite histoire probable ». En vous lisant on se dit qu’il y a parfois de l’histoire qui est du roman et du roman qui est de l’histoire, et le tout fait au fond de la grande histoire. »