Paris 19 mai 1959 | 21 x 27 cm | une feuille
Touchante lettre autographesignée de Marcel Pagnol adressée depuis Monte Carlo à son grand ami Carlo Rim, 9 lignes à l'encre bleue, : "Petit Carlo, Où es-tu? Donne-moi ton adresse, car il faut que je t'écrive sérieusement à propos du droit d'auteur au cinéma. C'est urgent, et important pour tous. Je t'embrasse et aussi Alice, Marcel. Monte Carlo" Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli, Carlo Rim ayant inscrit une date au crayon de papier, probablement celle de la réception de la lettre. Il a également indiqué en dessous, toujours au crayon de papier : 27 mai ass.ger. SACD à Pleyel. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur notamment de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste : "Justin de Marseille", "L'armoire volante", "La maison Bonnadieu", et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. Répétiteur de l'aspirant bachelier Jean Marius, futur Carlo Rim, le tout jeune licencié Marcel Pagnol préféra lui enseigner le bilboquet, raillant l'inutilité du baccalauréat. Ce fut le début d'une amitié indéfectible entre les deux artistes dont la littérature, le théatre et les films contribuèrent à la célébrité du pays des cigales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Marcel POETE - [Rougemont 1866 - Paris 1950] - Bibliothécaire et Historien français
Reference : GF29790
2 pages in8 - En tête : Bibliothéque de la Ville de Paris -
Il remercie pour le cadeau de l'ouvrage:"Les Reliures révolutionnaires de la collection Gruel" qui intéresse grandement leurs collections - Il remercie aussi du précieux "lot de 4 pièces relatives à la Commune" dont il a bien voulu faire hommage à la Commission du Vieux Paris -
Marcel PREVOST - [Paris 1862 - Vianne 1941] - Romancier et académicien français
Reference : 34556
Manuscrit autographe composé de 46 pages in4 sur papier jaunes - râtures et corrections -
Longue et interessante conférence sur les femmes et le théatre, les plaisirs qu'elles y cherchent, les rôles qu'elles y jouent, "sur la psychologie de la spectatrice et sur celle de l'actrice" -
s. l. s. d. [ca 1907] | 12.60 x 20.40 cm | 3 pages sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Marcel Proust, probablement adressée à Madame Catusse. La destinataire ainsi que la date de la missive ont été déterminées par Jean-Yves Tadié. Trois pages rédigées à l'encre noire sur un bifeuillet de papier blanc bordé de noir. Une pliure transversale inhérente à l'envoi. Sombre et admirable missive empreinte de mélancolie proustienne, alors que le futur auteur de la Recherche ressent plus que jamais les affres du deuil de sa mère dont le souvenir est ravivé au passage de la nouvelle année. L'écrivain à la générosité légendaire charge également sa fidèle confidente, Madame Catusse d'acheter un cadeau au couple Straus, dont l'épouse a inspiré le personnage de la Comtesse de Guermantes. La fin 1907, date présumée de cette lettre faisant allusion au Nouvel An approchant, marque le deuxième réveillon passé sans Madame Proust, décédée deux ans auparavant : « Le jour de l'an n'est qu'une occasion pour moi comme s'il était besoin d'occasions ! de me souvenir et de pleurer ». Ce sentiment a été évoqué l'année précédente dans une lettre à Anna de Noailles (« le jour de l'an a eu sur moi une puissance d'évocation terrible. Il m'a tout d'un coup rendu les mémoires de Maman que j'avais perdues, la mémoire de sa voix », février 1906). Ce moment fatidique agira sur Proust comme une pernicieuse madeleine, à la fois réminiscence sensorielle et conscience aiguë du manque de l'être aimé.Il débutera bientôt l'écriture de la Recherche afin de conjurer par les mots cette figure maternelle dont l'absence demeurera insoutenable. Pour l'heure, Proust est en prise à ses éternelles crises d'asthme « provoquées ou exaspérées par ces brouillards terribles » qui le forcent à la réclusion et même au silence : « le téléphonage m'est très périlleux. Et je suis aussi très fatigué pour écrire ». Il s'attelle à l'écriture d'une série de Pastiches pour le Figaro « qui n'étaient, en réalité, qu'un avant-dernier détour avant l'écriture de la Recherche » (George D. Painter). L'un de ces Pastiches portait sur l'escroquerie subie par le président de la maison De Beers, dont Proust possédait des actions. S'imaginant déjà ruiné, il mentionne ses revers de fortune en lettres capitales « VOUS AI-JE RACONTE PAR TÉLÉPHONE MES DÉSASTRES FINANCIERS ? ... » Amie de la mère de Proust, la destinataire Mme Catusse est un soutien précieux pour l'écrivain. La prolifique correspondance de Proust avec celle que Ghislain de Diesbach surnomme sa « Notre-Dame-des-Corvées » représente une ressource inépuisable de connaissances sur sa vie secrète, ses peurs et ses tergiversations. Proust l'appela affolé lors d'une crise d'aphasie dont fut victime sa mère peu avant sa disparition. Alors que son isolement se fait toujours plus grand après son installation au 102 boulevard Haussmann l'année précédente, Proust sollicite l'aide de celle-ci dans de nombreuses affaires, notamment l'achat de fameux cadeaux : « J'aurais voulu vous demander si vous n'avez par hasard rien vu pouvant convenir aux Straus, quoique cela me déplaît toujours de coïncider avec le jour de l'an ». Ce sentiment inspirera un passage de La Prisonnière fustigeant ces mêmes « cadeaux du premier janvier » offerts à Madame Verdurin : « objets singuliers et superflus qui ont l'air de sortir de la boîte où ils ont été offerts et qui restent toute la vie ce qu'ils ont été d'abord [...] ». Connu pour ses frénétiques démonstrations de prodigalité, Proust surmonte ici son aversion pour ces cadeaux de circonstance. Le moindre service rendu à l'écrivain donnait en effet lieu à d'extravagantes dépenses auxquelles les époux Straus n'échappent pas. Avocat de son état, Emile Straus avait sans doute assisté l'écrivain dans ses affaires de succession : « je sens que les services répétés que m'a rendus M. straus ne peuvent rester sans remerciements, puisque je crois qu'il n'accepterait pas d'honoraires. Si vous aviez vu par hasard quelque chose de très joli, dans quelque genre que ce soit,
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s. l. s. d. [1908 ou 1919 ?] | 11.60 x 17.80 cm | 4 pages sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Marcel Proust à Maurice de Fleury, psychiatre et homme de lettres célèbre proche d'Émile Zola, qui a écrit un recueil de nouvelles ainsi que divers ouvrages médicaux sur la neurasthénie, l'insomnie, l'épilepsie. Quatre pages sur un double feuillet filigrané "Island Mill" bordé de noir. Traces de pli inhérentes à l'envoi. Publiée dans Kolb, VIII, n°32, p. 74-75. Superbe lettrevantantles mérites du pastiche littéraire, par l'un des plus grands écrivains du genre : Marcel Proust. L'écriture de la missivepeut coïncider avec la parution de sa série de pastiches sur l'Affaire Lemoine (escroquerie montée par un ingénieur français de ce nom, qui se prétendait capable de fabriquer des diamants authentiques), en première page du supplément littéraire duFigaroentre 1908 et 1909, ou bien dater de sa publication en volume, sous le titrePastiches et mélanges,en 1919. La lettre autographe est présentée sous une chemise en demi maroquin bleu nuit, plats de papier marbré à motif oeil de chat,contreplats doublés d'agneau beige, étui bordé du même maroquin. Proust remercie chaleureusement son ami Maurice de Fleury, «savant et écrivain», pour sa favorable réception de ses «petits pastiches»: «Votre double mérite devrait vous rendre doublement sévère : et vous excusez le pastiche, ce genre inférieur!», reconnaissant avec ironie la place encore précaire qu'occupait ce genre inhabituel, bien que populaire du temps de Proust. Le pastiche était davantage perçu comme une fantaisie stylistique ou même un exercice d'étudiant qu'une véritable création digne des belles lettres. L'écrivain le considère pourtant ici comme une rafraîchissante addition à la stricte hiérarchie des genres qui prévaut encore: « Manié pourtant par vos mains plus belles que les miennes, il me semble qu'il pourrait peut-être devenir comme une forme indirecte, plus discrète, plus frêle et plus élégante de critique littéraire. Des esprits très fiers pourraient s'y adonner, et des esprits très fins. comme le vôtre, très attraché par la grandeur, le sérieux, le devoir, aussi sage, pourrait s'y plaire, suivre ces jeux.»Proust revendique par ces mots l'intérêt du«pastiche critique», dontla tradition était déjà bien établie, agissant comme une analyse empirique du style d'un auteur. Depuis ses années à Condorcet, l'écrivain le pratique assidûment, avec,selon ses dires,plus ou moins de succès: «J'ai été aussi quelques fois à faire des pastiches de littérature médicale! Si j'avais pu les retrouver, ou les recommencer (mais tout cela est trop loin) je les aurais publiés si j'avais su que vous lisiez cela pour vous amuser. Je n'ai pas besoin de vous dire que jugé inimitable, vous n'y figuriez pas. Mais [] d'autres sont moins parfaits et joignaient à des qualités bien intéressantes, des petits défauts dont l'imitation et la caricature étaient possibles» Le pastiche aura de multiples vertus pour l'écrivain, et son usagel'aida sans nul douteà affiner son propre style. L'exercice dépassera bientôt les confins de la critique littéraire, comme le remarque Paul Aron: «Il n'est pas faux d'affirmer que la Recherche est un gigantesque pastiche du discours social fin de siècle.» Son grand uvre contiendra en effet des pastiches à divers degrés :leur manifestation la plus remarquable étant sans doute unevraie-fausse citationdu«journal inédit des Goncourt», passage écrit de toutes pièces par Proust qui apparaît dans Le Temps retrouvé. Exceptionnel témoignage de Proust à proposd'un important procédé de sacréation littéraire,qui nourrira les pages de saRecherche. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. mardi (25 octobre 1904) | 12.60 x 20.40 cm | 12 pages sur 3 bifeuillets
Lettre autographe signée de Marcel Proust,adressée à René Peter. Douze pages rédigées à l'encre noire sur troisbifeuillets de papier blanc bordé de noir. Déchirures aux extrémitéslelong des plis des bifeuillets, n'affectant pas le texte. Publiée dans Kolb, IV, n°168. Très longue lettre de Proust, pleine de sous-entendus, au dramaturge René Peter. Vantant le succès de ce dernier, Proust fait la sublime confession de sa propre vanité d'écrivain et de ses ambitions littéraires. Il laisse subtilement transparaître sa jalousie pour la maîtresse de Peter et déclare également sa dévotion absolue à Reynaldo Hahn. Il s'agit d'une des premières missives qu'il envoie à Peter, son ami d'enfance, après avoir récemment repris contact avec lui. * Proust, éternellement accablé de maux, reste reclus et s'excuse d'avoir manqué la répétition de la nouvelle pièce de Peter, Le Chiffon. La comédie en trois actes de Peter sur une musique de Reynaldo Hahn, créée à l'Athénée le mois suivant, connaîtra un franc succès et une soixantaine de représentations avant la fin de l'année. Le jeune Proust se remet à l'opinion dithyrambique de Hahn qui avait assisté aux répétitions, et lamissive se mue en une déclaration d'amour au compositeur et à son jugement impeccable : "Reynaldo m'a dit que votre pièce était délicieuse et ravissante, ce qui n'est pas tout à fait la même chose, qu'il y avait ri et pleuré comme il ne rit et pleure jamais au théâtre et que la langue était exquise. Cela j'en étais certain. Mais ne connaissant rien de vous, je ne pouvais savoir si vous aviez le génie dramatique. J'en suis certain maintenant car si je ne connais pas de juge aussi sévère, aussi ridiculement sévère que Reynaldo, je n'en connais pas non plus qui ait plus de goût. De sorte que sa sévérité habituelle, sa perspicacité foncière, donnent à son enthousiasme une valeur très grande à mes yeux". Dans un enchevêtrement caractéristique d'aveu et de déni, Proust cache à peine ses ambitions et sa quête de reconnaissance. Il appelle de tous ses vux les mêmes lauriers qu'il place sur la tête de Peter : «votre pauvre et charmante mère qui comme tous ceux qui aiment et qui ont vécu, la vie meurtrissant toutes nos tendresses, a tant souffert, assiste à ce grand bonheur, à ces premiers rayons de la gloire sur votre front charmant, que Vauvenargues dit plus doux que le soleil levant. Je n'en parle que par citation, ne les ayant jamais connus moi-même !» Il finira même par instiller sa vocation littéraire dans le parcours du narrateur de La Recherche, sa formation d'homme de lettres davantage marquée par les déceptions que par les «rayons de la gloire» tant attendus par Proust lui-même. Elle culmine cependant dans le Temps retrouvé par une épiphanie: le narrateur sait maintenant quoi écrire et, surtout, comment l'écrire. La lettre marque les débuts du trio Proust-Peter-Hahn dont la complicité était telle qu'ils formeront un vocabulaire spécial dont eux seuls avaient le secret. Le fleuve de mots de cette lettre illustre parfaitement cet indéniable lien entre désir et admiration intellectuelle : «Car je tiens aussi au succès, je suis extrêmement matériel dans mes vux pour ceux que j'aime et je leur souhaite toutes les voluptés depuis les plus hautes jusqu'aux plus grossières». Malgré ces démonstrations de générosité, l'écrivain ne peut cependant masquer une certaine jalousie envers Robert Danceny, fictif co-auteur du Chiffon qui n'était autre que la maîtresse de Peter, Mme Dansaërt. Proust lui fait élégamment mais explicitement référence : «Cela me rend heureux de penser que la charmante femme dont on m'assure que c'est elle qui se cache sous le nom masculin de votre collaborateur, sera de moitié dans votre uvre. Je ne dis pas de votre succès, car collaboratrice ou non, elle eût toujours par le cur partagé votre succès, ayant je crois pour vous une amitié profonde». Typique d'un Proust transposant ses désirs à travers la fiction, l'écrivain formera dans les a
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Les éditions de France 1932 Paris,Les Éditions de France , 1932 - In8 ( 12x19cm) , broché , non coupé - 282 pages - dos fripé , papier jauni - Exemplaire de Presse avec envoi
Bon Dédicacé par l'auteur
Paris Editions du scorpion 1960 In8 - broché - 220 pages - papier jauni - Envoi autographe signé de l'auteur à Germaine Beaumont écrivaine et journaliste . Roman se passant lors de la guerre d'Algérie
Bon Dédicacé par l'auteur
Editions Bernard Grasset 1969. In-8 broché de 175 pages au format 12 x 19 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé. Dos bien carré. Plats et intérieur frais. Complet de la bande annonce. Exemplaire du service de presse avec papillon d'expédition de l'éditeur. Etat proche du neuf. Edition originale. Précieux exemplaire accompagné d'une lettre autographe manuscrite signée de l'auteur sous enveloppe. Lettre recto verso de 29 lignes, datée et signée du 12 mai 1993.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Marcel SEMEZIES - [Montauban 1858 - 1935] - Poète et romancier français
Reference : 34934
1 page in4 - enveloppe - bon état - En tête de la revue "Le Nord" -
"L'Ami du Peuple" lui transmet sa lettre - Il lui assure son modeste concours pour le numéro d'hommage qu'il prépare sur Pierre Loti qu'il a beaucoup connu entre 1880 et 1914 - Il a beaucoup de souvenir sur lui et demande ce qu'il souhaite - Il a une très curieuse lettre de lui, écrite de Nagasaki, inédite, quand il préparait Madame Chrysanthéme et qu'il pourrait encadré d'un commentaire - Il l'a sauvé des eaux car il est un malheureux sinistré du Tarn qui vient de lui enlever 4500 volumes - Je campe sur des ruines - "passons" - Cette lettre a été sauvé par miracle, un carton sur une étagère élevée - "Les eaux ont de ces caprices" -
Editions Bordas ( Collection Les Imaginaires ) Paris 1945 In-12 ( 185 X 120 mm ) de 269 pages, broché. Edition originale sur papier d'édition ( achevé d'imprimer du 15 décembre 1945 après 85 ex. num ). Bel envoi autographe à Hélène GUENNE CINGRIA. Recueil de sept nouvelles d'inspiration surréaliste.
Paris,, (1944). Cahier d'écolier à "grands carreaux", couverture "Sully", 90 folios chiffrés.
Manuscrit à l'encre noire et rouge, écriture fine et lisible, très peu de ratures, quelques lignes caviardées. Il s'agit d'un projet (inédit) de livret d'opéra destiné au compositeur Henri Cuallau, que son confrère Maurice Fouret avait présenté à l'auteur. Un courte préface et un synopsis sont datés de Paris, juin 1941. Suit une note où l'auteur explique la poursuite de son écriture malgré le désintérêt croissant du compositeur. Cette dernière est datée de Paris, le 2 août 1944 (encre différente). - Les derniers feuillets sont vierges. Couverture très légèrement salie.
1 page in8 - bon état -
Il le remercie pour sa "vivante et intelligente synthèse" de son livre "Le Sang du Christ" -
Paris, Ambroise Dupont et Cie, 1828. In-8 de XII-368 pages, demi-veau glacé, dos à nerfs orné de filets dorés et à froid et du titre doré. Ex-libris.
Illustré d’un portrait lithographique en frontispice et de 2 fac-simile autographes. Pâles rousseurs.
1 vol. in-8 br., Siloë, 1993, 159 pp.
Envoi de l'auteur. Bon état
Paris GLM 1936 et 1937 2 vol. Brochés 2 vol. in-16, brochés, non paginés. Editions originales de ces deux recueils, le premier illustré de 10 dessins par Géa Augsbourg, le second de 5 images par Lucien Coutaud. Tirage limité respectivement à 350 et 450 exemplaires, ceux-ci numérotés sur alfa crème (et vélin pour le deuxième), et chacuns enrichis d'un envoi autographe signé de l'auteur [Coron, GLM, 110 et 168]. Charmants volumes.
Paris Librairie Tschann 1937 1 vol. broché plaquette in-12 oblong, brochée, couverture rempliée, non paginée (16 p.). Edition originale de ce poème en hommage au peintre Alfred Reth, avec un tableau de celui-ci reproduit en frontispice. Tirage limité à 110 exemplaires, celui-ci numéroté sur vergé de Hollande avec un envoi autographe signé de l'auteur : "A vous, cher et dévoué Roger Richard, ce dernier 'poëme au pinceau', très amicalement".
Paris Editions Sagesse 1933 In-8 Broché Ed. originale
Edition originale. Tirage à 501 exemplaires numérotés. Un des 500 exemplaires sur Navarre. Illustrations de Georges Malkine. ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE DE L'AUTEUR. Bon 0
Paris GLM 1937 1 vol. broché in-folio, en feuilles, sous couverture noire avec vignette de titre contrecollée, non paginé (3 ff.). Édition originale de ce poème illustré d'un dessin par Alfred Reth reproduit en simili. Tirage unique à 150 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches [Coron, GLM, 169], celui-ci enrichi d'un envoi autographe signé de Fernand Marc au poète d'origine roumaine Claude Sernet. En bonne condition.
Paris Galerie Gravitations 1934 1 vol. broché plaquette in-12 oblong, brochée, couverture rempliée, non paginée (16 p.). Edition originale de ce poème en hommage au peintre Jean Lafon, avec un tableau de celui-ci reproduit en frontispice. Tirage limité à 110 exemplaires, celui-ci numéroté sur vergé de Hollande, avec un envoi de l'auteur. Petite mouillure en pied des deux premiers feuillets. Sinon très bon état.
Paris Editions Sagesse 1935-1939 3 vol. Broché 78 fascicules in-8 en feuilles formant 3 séries sous chemises imprimées de l'éditeur. Collection quasi-complète de ces plaquettes de poèmes publiées à l'initiative de Fernand Marc et diffusées par la Librairie Tschann à Montparnasse. La génération des jeunes poètes qui succéda au surréalisme y est très bien représentée, et notamment les membres de l'Ecole de Rochefort : Jean Rousselot, Yanette Deletang-Tardif, René Lacôte, Jacques Maret, Camille Bryen, Gisèle Prassinos, Norge, Jean Follain, Edmond Humeau, Ivan Goll, Louis Emié, Jean de Bosschère, Audiberti, Michel Manoll, Maurice Fombeure, Tzara, Arp, Hugnet, Audisio, Léo Malet, Vincent Huidobro, Jehan Mayoux, Marcel Jean, Maurice Henry, Roger Gilbert-Lecomte, Pierre Albert-Birot, Ilarie Voronca, Jean Scutenaire, Alice Paalen, Eugène Jolas, René-Guy Cadou, Lucien Becker, Marcel Béalu, Guillevic, Marcel Lecomte, Maxime Alexandre, etc.Quelques chiffres pour finir : 4 plaquettes sont en tirage de tête sur Chine (notamment le Follain), les autres sur alfa Navarre, et 9 sont dédicacées (Tristan Tzara et Marcel Béalu à Louis de Gonzague Frick, Jean Scutenaire à Man Ray, Lucien Becker à René Lacôte, etc.). Il manque seulement 4 plaquettes pour que cette collection soit complète. Ensemble très rare.
Paris Éditions Sagesse 1935 1 vol. broché in-16, broché, couverture de feutre rouge avec vignette de titre blanche, 72 pp. Edition originale illustrés de 5 dessins de Jean Metzinger reproduits au trait. Un des 200 exemplaires numérotés sur Hollande, celui-ci enrichi d'un envoi autographe signé du poète à l'éditeur Yves Demailly. Minimes rousseurs.
Paris Glm 1937 plaquette in-12 Broché
EDITION OTRIGINALE. 5 illustrations hors texte de Lucien Coutaud. Tirage à 450 exemplaires numérotés. Un des 430 sur vélin, celui-ci portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'auteur à René de Obaldia Très bon 0
Paris Librairie Les Lettres 1946 1 vol. broché plaquette in-16, brochée, non paginée. Edition originale. Tirage limité à 325 exemplaires numérotés sur vélin Crèvecoeur, celui-ci avec un envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
1 vol. in-12 br., G. Charpentier, Paris, 1882, 268 pp.
Envoi de Gabriel Marc "à Monsieur Jourde, hommage de l'auteur". Né en 1840 à Lezoux (Puy-de-Dôme), Gabriel Marc débuta dans le Parnasse contemporain de 1866 sous les auspices de son parent Théodore de Banville. Après avoir célébré Paris dans ses "Sonnets parisiens", il chante ici, "dans une langue simple et robuste, les paysages, les mœurs, les traditions de son cher pays natal, apportant ainsi, comme il le dit lui-même, « une pierre nouvelle à l’édifice inachevé, mais en pleine construction, de nos poèmes de province. »" (Auguste Dorchain, in "Anthologie des poètes français du XIXème siècle", p. 430). Etat très satisfaisant (couv. un peu frottée, bon état par ailleurs).