Paris BnF & revue Arts & Métiers du livre 1997 1 vol. broché in-8 carré, brochage avec perforations et 2 faveurs de soie bleue, couverture de papier bleu imprimée, non paginé. Catalogue d'exposition avec 128 numéros décrits et des textes de Michel Déon et Philippe Delaveau. Tirage limité à 200 exemplaires sur Rives justifiés et signés par Baltazar, avec un bel envoi de l'artiste assorti d'une composition à l'encre noire. Bon état.
La Louvière Le Daily-bul - Collection "Babli" 1995 In-8 carré En feuilles, couverture illustrée à rabats Dédicacé par l'auteur
EDITION ORIGINALE illustrée hosr texte de 18 dessins d'Antonio Segui sur fond beige , dont un repris sur la couverture. Exemplaire numéroté sur Leykam, portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'auteur. Très bon 0
La Louvière Le Daily-bul 1982 In-8 carré En feuilles, couverture illustrée à rabats Dédicacé par l'auteur
EDITION ORIGINALE illustrée hosr texte de 9 dessins d'Antonio Segui, dont un repris sur la couverture rose. Exemplaire sur Flashprint justifié "H.C. pour les amis", portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'auteur. Très bon 0
Paris Maeght 1970 In-2 En feuilles, couverture illustrée Edition originale Dédicacé par l'illustrateur
PREMIER TIRAGE de ce numéro édité pour l'exposition de sculptures de MIRO à la Galerie Maeght Textes d'André Balthazar et de Jacques Dupin. 2 LITHOGRAPHIES originales en couleurs de Joan MIRO, en couverture et à double page. Six autres lithographies en couleurs hors texte sont réalisées d'après des compositions de l'artiste. Reproductions et liste des 53 oeuvres exposées in fine. >>Couvrant la première page blanche, ENVOI autographe signé au crayon de MIRO avec le dessin d'une étoile. Très bon exemplaire 0
Chassy 30 décembre 1953 | 9 x 14.50 cm | une feuille
Carte postale autographe signée de Balthus adressée à la galerisre Henriette (Gomès), 17 lignes à l'encre noire. Une claire mouillure en marge supéreure droite de la carte postale représentant une piste de ski. "Chassy le 30 XII 53 Ma petite Henriette, comme il n'est pas impossible que mon petit mot de Rome ait été englouti par la pgrève, je préfère pour plus de sûreté t'envoyer une nouvelle litanie de souhaits et de bons voeux d'ici où je suis rentré hier - Quand viens-tu ? J'espère que tu t'arrangeras popur rester quelques jours. Je t'embrasse ainsi qu'André. B. L'adresse de Georges Parent G. Parent, 1, rue de Narbonne Paris 7e."" "Durant l'été 1952, Balthus trouve un château dans la Nièvre, entre Autun et Avallon qu'il décide de louer et où il s'installe au printemps de l'année suivante. Les moyens lui en sont donnés par ses marchands, Henriette Gomès, Pierre Matisse et avec eux un collectif de collectionneurs, dont Maurice Rheims, Alix de Rotschild et Claude Hersent. Ils lui versent une pension en échange de ses derniers tableaux qu'ils répartissent entre eux. Le château est fort dégradé et Balthus y vit modestement dans un continuel chantier de remise en état. Il a pour lui tenir compagnie, l'aider à s'installer et assurer une présence quand il se rend à Paris la poétesse Léna Leclercq, rencontrée par l'intermédiaire de Giacometti. Cette dernière reste jusqu'au printemps 1955. Entre temps, Balthus a commencé une relation amoureuse avec sa nièce par alliance, Frédérique Tison, fille d'une précédente union de l'épouse de son frère Pierre." (Fondation Balthus) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Chaumard juillet 1953 | 21.80 x 27.90 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Balthus adressée à la galerisre Henriette Gomès. Une page rédigée à l'encre noire sur un feuillet, enveloppe jointe. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. "Impossible de me souvenir de l'adresse de Baladine Bd St Michel..."Baladine est le surnom de Merline Klossowska, la mère de Balthus qui fut également la maîtresse de Rilke. "Durant l'été 1952, Balthus trouve un château dans la Nièvre, entre Autun et Avallon qu'il décide de louer et où il s'installe au printemps de l'année suivante. Les moyens lui en sont donnés par ses marchands, Henriette Gomès, Pierre Matisse et avec eux un collectif de collectionneurs, dont Maurice Rheims, Alix de Rotschild et Claude Hersent. Ils lui versent une pension en échange de ses derniers tableaux qu'ils répartissent entre eux. Le château est fort dégradé et Balthus y vit modestement dans un continuel chantier de remise en état. Il a pour lui tenir compagnie, l'aider à s'installer et assurer une présence quand il se rend à Paris la poétesse Léna Leclercq, rencontrée par l'intermédiaire de Giacometti. Cette dernière reste jusqu'au printemps 1955. Entre temps, Balthus a commencé une relation amoureuse avec sa nièce par alliance, Frédérique Tison, fille d'une précédente union de l'épouse de son frère Pierre." (Fondation Balthus) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Rome s. d. [circa 1961] | 22 x 27.50 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Balthus adressée à la galerisre Henriette (Gomès). Une page rédigée à l'encre noire à en-tête de l'Académie de France à Rome dont Balthus a été nommé directeur par André Malraux en 1961, 13 lignes. Pliures transversales inhérentes à l'envoi, ldeux petites déchirures en marges gauche et droite de la lettre sans atteinte au texte, traces d'épingle en marge gauche supérieure de la lettre, l'encre de certains mots ayant pâli. "Ma petite Henriette, imossible de me souvenir de l'adresse de Claude Hersent ni de celle de Lefebvre dont je ne trouve plus l'enveloppe. C'est donc à toi que j'envoie le papier ci-joint à remettre au personnage en question. - Quant aux dégats subis par mon tableau, une fois la toile montée, il n'y parait plus. Donc inutile de se lancer dans des correspondances à n'en plus finir. Je t'embrasse. B." "Durant l'été 1952, Balthus trouve un château dans la Nièvre, entre Autun et Avallon qu'il décide de louer et où il s'installe au printemps de l'année suivante. Les moyens lui en sont donnés par ses marchands, Henriette Gomès, Pierre Matisse et avec eux un collectif de collectionneurs, dont Maurice Rheims, Alix de Rotschild et Claude Hersent. Ils lui versent une pension en échange de ses derniers tableaux qu'ils répartissent entre eux. Le château est fort dégradé et Balthus y vit modestement dans un continuel chantier de remise en état. Il a pour lui tenir compagnie, l'aider à s'installer et assurer une présence quand il se rend à Paris la poétesse Léna Leclercq, rencontrée par l'intermédiaire de Giacometti. Cette dernière reste jusqu'au printemps 1955. Entre temps, Balthus a commencé une relation amoureuse avec sa nièce par alliance, Frédérique Tison, fille d'une précédente union de l'épouse de son frère Pierre." (Fondation Balthus) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Chassy 4 Janvier 1954 | 21 x 27 cm | une feuille + une enveloppe
Lettre autographe signée de Balthus adressée à la galerisre Henriette Gomès. 7 lignes, enveloppe jointe. Pliures transversales inhérentes à l'envoi, une petite déchirure en marge gauche de la lettre sans atteinte au texte, l'encre ayant pâli. "Chassy, mardi (le r et le d ayant bavé) Ma petite Henriette, je reçois ce papier mystérieux - si tu trouves un moment pourrais-tu voir de quoi il s'agit ? En toute hâte - Je t'embrasse et André. B." "Durant l'été 1952, Balthus trouve un château dans la Nièvre, entre Autun et Avallon qu'il décide de louer et où il s'installe au printemps de l'année suivante. Les moyens lui en sont donnés par ses marchands, Henriette Gomès, Pierre Matisse et avec eux un collectif de collectionneurs, dont Maurice Rheims, Alix de Rotschild et Claude Hersent. Ils lui versent une pension en échange de ses derniers tableaux qu'ils répartissent entre eux. Le château est fort dégradé et Balthus y vit modestement dans un continuel chantier de remise en état. Il a pour lui tenir compagnie, l'aider à s'installer et assurer une présence quand il se rend à Paris la poétesse Léna Leclercq, rencontrée par l'intermédiaire de Giacometti. Cette dernière reste jusqu'au printemps 1955. Entre temps, Balthus a commencé une relation amoureuse avec sa nièce par alliance, Frédérique Tison, fille d'une précédente union de l'épouse de son frère Pierre." (Fondation Balthus) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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0 1 lettre manuscrite de 2 pages sur papier à en-tête du journal '' L'Hérault '' à Béziers, signée par Auguste Baluffe, datée du : '' 25 mars 1878, à Béziers '', et adressée à : '' Monsieur et cher confrère '' (de format: 210mm x 130mm). Auguste Baluffe, Abeilhan (Hérault) 1843, mort en 1900, poète, homme de presse et moliériste, rédacteur en chef de L'Artiste (1881), membre de la Société archéologique de Béziers, dont il fut exclu pour injures publiées dans L'Hérault
Très bon Pas de couverture Signé par l'auteur
[Editions des Facettes] - BALYNE, Claude ; (BERNARD, Valère)
Reference : 68653
(1928)
Hors-texte de Valère Bernard, 1 brochure in-12, Editions des Facettes, A Toulon, s.d. (circa 1928), 16 pp.
L'ouvrage est dédicacé par l'auteur, le poète, notaire et sous-préfet à Orange Claude Balyne, au médecin et écrivain Maurice Courtois-Suffit (1861-1947). Claude Balyne a joué un grand rôle dans le rayonnement de Port-Cros.
1 vol. in-18 reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs, toutes tranches dorées, initiales H.C. au premier plat, Librairie Nouvelle, Paris, 1856, 2 ff., 405 pp. et 1 f. n. ch.
Etonnant exemplaire enrichi en garde d'une note autographe signée de l'écrivain Lucien Descaves (1861-1949) : "Les initiales H.C. au dos de la reliure sont celles de ma mère Hélène Chateau, qui avait 17 ans en 1856". On peut voir dans cet exemplaire un véritable passage de témoin de Balzac à Lucien Descaves ! Etat satisfaisant (mq. en coiffe sup.)
1936 broché in-octavo, dos et couverture jaune, non-rogné en partie non-coupé long papier, avec introduction et variantes par Maurice Allem ainsi quun envoi autographe manuscrit de Maurice Allem à Georges Courville le célèbre libraire Balzacien de la rue Bonaparte, 365 pages, 1936 Paris Garnier Editeur,
de la collection des classiques Garnier, parfait état.
Paris La Jeune Parque, coll. "Le cheval parlant" 1947 1 vol. Broché in-8, broché, couverture rempliée, non coupé, 415 pp. Edition originale de ce recueil de textes choisis par Jean-Louis Bory et précédés d'un essai : "Balzac et les ténèbres". Exemplaire du service de presse avec un très bel envoi de Jean-Louis Bory à Justin Saget, alias Maurice Saillet. En excellent état.
La Table Ronde 1945 1 vol. broché in-12, broché, 240 pp. Envoi de l'auteur à Jean Duché. Couverture et dos défraîchis, intérieur frais.
[Se vend chez Teycheney, Baillière] - BANCAL, A. P. ; [ BANCAL, Antoine Pascal ]
Reference : 64708
(1834)
1 vol. in-8 reliure bradel demi-vélin blanc, couvertures conservées, Se vend chez Teycheney, Bordeaux, Baillière, Paris, 1834, ii-195 pp.
Mention autographe non signée "de la part de l'Auteur à Mons. Didier Béchade" en couverture conservée. Bon exemplaire (ex-libris Vicomte de Pelleport Burète, baron de l'Empire). Labadie, 672
Saint-Laurent du Pont (Isère) Le Verbe et l'Empreinte 1991 1 vol. broché in-8 étroit, en feuilles, sous couverture à rabats, 33 pp. Edition originale imprimée par Thierry Bouchard et illustrée de 4 gravures originales par Marc Pessin. Tirage limité à 50 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, tous signés par l'auteur et l'artiste. Envoi de l'auteur sur une carte jointe, complet du bulletin de souscription. En belle condition.
Gallimard 1985 1 vol. broché in-8, broché, 259 pp. Edition originale avec un bel envoi de l'auteur à Françoise Ducout, critique littéraire au Magazine "Elle". Cet ouvrage reçut justement le Prix des lectrices de "Elle". Très bon état.
2 vol. in-8 br. (le second sous jaquette illustré), NRF, Gallimard, 2000, 1985, 99, 259 pp.
Bon ensemble dont chacun des 2 volumes a été dédicacé par François Marie Banier à son confrère l’académicien, grand médecin, poète et humaniste, le professeur Jean Bernard, dont un magnifique envoi enrichi d’un dessin de l’auteur sur double page. Avec signature de l'auteur
Périgueux Imprimerie Périgourdine 1969 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 31 pp. Edition originale enrichie d'une envoi autographe signé de l'auteur au duc de Lévis-Mirepoix. Très bon état.
Seghers, coll. "Autour du monde" n° 92 1966 1 vol. relié in-12, cartonnage éditeur, jaquette, 65 pp. Edition originale de la traduction de Guillevic avec un envoi de la poétesse roumaine à Georges-Emmanuel Clancier, contresigné par son traducteur. Jaquette très légèrement salie, sinon bon exemplaire.
Paris Michel Lévy 1864 1 vol. relié in-12, demi-basane chagrinée bleu nuit, dos à nerfs orné de fleurons dorés, 65 pp. Edition originale. Dos un peu frotté, sinon bon exemplaire.
Paris, Jules Tardieu, 1864 ; in-8, demi veau bleu marine, dos à faux nerfs et titre dorés (reliure de l'époque) ; (4), IV, 438 pp. , (1) f. d'Errata.
Deuxième édition en partie originale : l'édition originale est de 1842. Sont nouveaux : Livre quatrième. 1843-1845. Les Stalactites ; Livre cinquième. 1848-1852. Odelettes ; Livre sixième. 1848-1854. Le sang de la coupe. Les Cariatides sont le premier livre de Théodore de Banville à 19 ans et qui scandalisa la société de son temps. Petits frottements à la reliure, très bon exemplaire, bien frais. (Vicaire I-257,258).Envoi autographe signé "A Madame de Lormel..."
Phone number : 06 60 22 21 35
1 page in-8, (210 x 133), adressée à André Gill, le samedi 17 août 1878.
Très belle et émouvant lettre de Théodore de Banville (1823-1891) au dessinateur et caricaturiste André Gill (1840-1885) à propos d’un article très élogieux publié dans la Lune Rousse le 18 août 1878 à l’occasion d’une nouvelle édition des Odes funambulesques : « Vous m’avez traité magnifiquement et fraternellement ; il est toujours bien doux d’être loué ; mais combien plus quand on l’est par ceux dont on aime la pensée et l’esprit ! Dessinateur ou poëte, vous êtes toujours parmi les vaillants, au plus fort de la mêlée, et vous avez le plus puissant des charmes, la bravoure »L’admiration est réciproque car dans le numéro 63 de l’année 1879 de la revue Les Hommes d’aujourd’hui, dont Gill était le co-fondateur, on trouve un portrait particulièrement élogieux de l’écrivain.Petite perforation sans manque de papier et pliures. Infime déchirure à la pliure.Provenance : de la collection René Coursaget (1898-1974).
Paris le 19 juin 1875. 1 page et demie, in-8. On joint un portrait de Théodore de Banville, gravé à l'eau-forte par Dehodencq, paru en frontispice des Exilés" chez Lemerre en 1867. (Dehodencq eut pour élève Georges Rochegrosse, le fils adoptif de Banville qui lut un poème aux obsèques du peintre en 1882 et qui lui sert désormais d'épitaphe).
Belle lettre rédigée d'une écriture fine et bien lisible, dans laquelle le poète remercie son correspondant de ne pas l'avoir oublié. "Je viens de commencer la lecture de votre livre que je trouve infiniment curieux et tout à fait digne de fixer l'attention, et je serai très heureux d'en parler dans le National..." Il s'excuse cependant de ne pas avoir la possibilité de le faire rapidement, mais il s'y engage : "je ferais pour vous et avec joie, non pas seulement la chose difficile, mais la chose impossible"...
(Paris),, (c.1885). in-8, 3 pages.
Chaleureuse lettre adressée à un ami romancier nécessiteux (non identifié) dont il a pris les intérêts en main et pour lequel il semble avoir obtenu de l'Académie une somme de 800 francs. Il invoque le rôle bienveillant joué par le secrétaire perpétuel Camille Doucet, avec qui, quoique souffrant, il a parlé santé mais aussi élections académiques. "Maintenant cher ami, voici, je crois, une idée très pratique. Tu devrais m'envoyer, pour que je le remette à Camille Doucet dès son retour, une très courte note sur toi, sans aucunes phrases, énonçant tes noms, filiations si tu veux, lieu et date de naissance, et la liste très complète de tes ouvrages et travaux littéraires, avec les dates, en y joignant même si tu veux, les noms des journaux auxquels tu as collaboré, bien entendu en ne mettant que ce qui se présente avantageusement...". "La note en question étant, dans ma pensée, destinée au seul Camille Doucet...". Il évoque ensuite un journal, Le Diable Boiteux, qui a donné une fête au profit des inondés de l'Île Maurice qu'Arsène Houssaye et lui-même devaient présider. "Vieux tous les deux, et moi malade, nous avons tous les droits possibles à ne pas passer des nuits, aussi n'avons nous rien présidé, mais on a laissé nos noms dans les journaux et sur les affiches, et, à ce que je crois bien, c'était tout ce qu'on voulait...". "A l'heure où je t'écris, cher ami, en regardant mon jardin enseulé sous la neige, je n'ose sortir dans Paris..".