COGNIOT Georges - (Montigny-lès-Cherlieu 1901 - 1978) - Homme politique et écrivain français
Reference : GF21627
1 page in12 + enveloppe - Paris le 5 mai 1976 -
Il ne pourra être présent car il a à la même heure une "réunion du Comité de rédaction des 'Cahiers d'histoire', dont [il est] le directeur" - Il reste à sa disposition -
Roanne, Imprimerie typographique M. Souchier, 1912. In-8 broché de VIII-X-536 pages, couverture imprimée. Quelques rousseurs.
Illustré de 12 gravures hors-texte, dont 5 portraits. Dédicace de l’auteur au baron Girod de l’Ain au faux-titre.
Gallimard 1956 1 vol. broché in-8, broché, 452 pp., 8 planches hors-texte. Edition originale en service de presse avec un bel envoi de l'auteur à Pierre Descaves. Prière d'insérer joint. Bon état général, non coupé.
Paris Editions Kimé 2001 1 vol. broché in-8, broché, 338 pp. Envoi autographe signé de l'auteur à un poète et critique. Bon état.
Art Editions 1994 in-8, broché, 424 pp. Edition originale. Envoi autographe signé de l'auteur à un poète et critique. Très bon état.
1 page in8 - trés bon état -
Trés interessante lettre à propos de l'ouvrage de Decourdemanche sur le Tsigane français: "utile répertoire lexical" mais les "explications etymologiques sont du type fantaisiste-maniaque", ce qui peut expliquer le scepticisme familial sur la méthode du lexicographe qui voulait partout retrouver "cinq éléments fondamentaux dont l'un est le Christ"...-
Paris Grasset 2008 1 vol. broché in-8, broché, 382 pp. Bel envoi autographe de l'auteur à Jean-Claude Perrier. Très bon état.
1928 Le Blanc, Collection Littéraire des "Feuilles du Bas -Berry", Imprimerie Grenat, 1928 ; in-12, broché, de 81pp.; couverture crème imprimée en noir .Tiré à 500 exemplaires numérotés, ci n°96. Volume 2 de la collection littéraire des "Feuilles du Bas-Berry". Envoi autographe signé de Robert Coiplet.
Petites déchirures en bordure des plats de la couverture sans manque. (CO1/CH1)
Paris Editions Saint-Germain-des-Prés 1985 1 vol. broché in-8, en feuilles, non coupé, 55 p. Édition originale de ce recueil de poésies où alternent l'exaltation de la nature et les complaintes de solitude et d'angoisse teintées de féminisme. L'autrice (1903-2022) est une militante du droit à l'avortement, fondatrice en 1979 de l’association "Dialogue de femmes" destinée à l'étude de l’histoire des femmes. Un des 50 exemplaires numérotés sur Vergé "grand Style" (seul grand papier) comprenant une lithographie originale numérotée et signée de Miguel Anibal et un bel envoi autographe signé de la poétesse à Maurice Nadeau : "... et le coeur est un chasseur solitaire / qui lance ses chiens doux au fond des cités" (ouverture du poème de la p. 17). En excellente condition.
1969 polycopié in-quarto, dos muet toile verte insolée, couverture crème légèrement salie, envoi autographe manuscrit de l'auteur sur la page de garde de la première de couverture, illustrations par stencils électroniques : nombreuses figures in et hors-texte - dont 29 planches hors-texte in fine, 227 pages, 1969 à Nantes Coopérative Nantaise d'Imprimerie - Aux Dépens de l'Auteur,
rare, bon état intérieur
Paris, Victor Havard, 1882. 3 vol. in-12 ; XI-530 pp.-(1) f., (2) ff.-525 pp., (2 )ff-521 pp.; Bradel demi maroquin rouge à coins, dos lisse avec chiffre en queue, tête dorée (rel. ép. signée de Carayon).
De la Bibliothèque du Comte Foy avec un envoi autographe du Compte de Colbert-Laplace. Parti volontaire en 1793, Le Général Colbert fit la plupart des campagnes de la Révolution et du début de l'Empire. Aide-de-Camp du Général Grouchy en 1797, Général de Brigade en 1805 il fut tué en Espagne en 1809, à la tête de son régiment. C'est une des plus belles figures de l'Epoque napoléonienne.Rare et important témoignage sur les guerres de Vendée, d'Allemagne et d'Italie, les campagnes d'Autriche, de Prusse, de Pologne et d'Espagne. Au chiffre de Feuillet de Conches, le célèbre bibliophile et historien.Fierro, Tulard, 338. Superbe exemplaire. Photos sur demande.
Paris Librairie José Corti 1947 In-12 Broché
Traduction de Henri Parisot. Envoi autographe signé du traducteur à Georges Sadoul Bon 0
Lettre autographe signée, datée 26 octobre 1838 (cachet de la poste), adressée à Madame Pilate . Elle est souffrante, et réclame l'argent dû par Mr Delaunay (?)… Déchirure sans gravité; cachet sec à ses initiales. En feuille Très bon Paris 1838
Lettre autographe signée, adressée à Madame Pilate. À propos d'une collection de la revue L'Artiste que devait payer Mr de Castellane ... Cachet sec à ses initiales. En feuille Très bon Paris 1838
Paris Georges Crès et Cie 1918 1 vol. relié petit in-12 carré, bradel demi-maroquin ocre rouge à coins, dos lisse avec pièce de titre de maroquin vert gris, plats de papier moucheté ocre, doublures et gardes de papier marbré, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (Stroobants), 158 pp. Édition originale de cette série d’articles d’actualité, chacun décoré de jolis bandeaux et culs-de-lampe à motifs floraux. Un des 6 exemplaires de tête numérotés sur Chine, celui-ci truffé d'une belle lettre autographe signée "Colette Willy" à propos de "l'affaire Steinheil" (3 p. in-16, à l'en-tête imprimé du "25, rue Torricelli", s.l.n.d., infimes perforations ne gênant pas la lecture). Bel exemplaire dans une sobre reliure de Stroobants.Un an après Les Heures longues, Colette rassemble d’autres articles du Matin, parus cette fois avant-guerre, pour former la matière d’un nouveau recueil, dont le titre reprend celui d’un article paru le 2 mai 1912 consacré à «l’arrestation» de Jules Bonnot. Les sources d’inspiration des textes réunis ici sont multiples:faits divers (affaire de la bande à Bonnot, procès Guillotin), politique intérieure (élection législative), sport (arrivée du Tour de France, match de boxe, course cycliste, vol en dirigeable). Dans chaque texte s’exprime magistralement cet art de la chose vue dont Colette journaliste fit sa marque: «voir et non inventer».Le manuscrit joint répond à l’enquête féministe du journal Fin de siècle sur l’affaire Steinheil, intitulée «Opinions de quelques femmes célèbres». Rappelons que Marguerite Steinheil, maîtresse de Félix Faure, fut accusée d’être la complice du meurtre de son mari. La réponse de Colette fut intégralement publiée dans le journal du 7 mars 1909: «Une «faible femme» n’a nullement besoin, pour tuer une, deux, trois ou dix personnes, d’un complice effectif. Une femme, toute seule, aura toujours assez de force nerveuse pour tuer, et pour se livrer ensuite, avec un génie enfantin et inégal, à une mise en scène intelligente qui pêchera toujours par plus d’un point. Force nerveuse incalculable, duplicité, fausse légèreté, mépris du risque, inconscience – très relative –, machiavélisme imparfait servi par l’insuffisance des juges et de la police… Voilà ce que je démêle, à peu près, en madame Steinheil.» (extrait)On pourrait s’étonner qu’Henri Clarac ait choisi de truffer son exemplaire d’une lettre antérieure de plusieurs années au recueil, mais ce choix témoigne au contraire d’une lecture très attentive, puisque dans le texte intitulé «À Tours» - reprenant deux articles parus dans Le Matin le 27 et le 28 juin 1912 consacrés à l’affaire Guillotin -, Colette fait un parallèle entre Mme Guillotin, elle-même accusée d’être la complice de son cousin dans le meurtre de son mari, et Mme Steinheil. On notera, d’ailleurs, que le titre du second article initialement publié dans Le Matin était «Que c’est solide une femme!» qui reprend l’idée développée dans la réponse de Colette à l’enquête sur l’affaire Steinheil et que l’on trouvait déjà exprimée dans La Vagabonde (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac).
Paris, Editions Baudinière, (sans date); in-12 broché de 185pp.; vignettes de Valette dans le texte; couverture cartonnée, titre doré au 1er plat et dos sur fond marbré de vert et rouge. Collection "Les Maîtres de la plume". Envoi autographe signé de Colette sur le faux-titre à René-Maurice Picard.
René- Maurice Picard était un auteur, producteur radiophonique. Couverture frottée avec manque au dos. (Reu-Bur)
s. l. [Paris] s. d. [circa 1935] | 17.70 x 22.50 cm | 2 pages sur un feuillet
Belle lettre autographe signée de Colette adressée à son amie Bolette Natanson. Deux pages rédigées à l'encre sur un papier bleu.Pliures transversales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Cette lettre a probablement été adressée à Bolette à la suite d'un cadeau fait à sa "vieille amie" :"Ah ! dangereuse Bolette ! Je ne peux rien dire devant toi. Voilà les deux charmantes épaisses petites cuves qui émigrent chez moi." C'est l'occasion pour Colette, très contente de ce nouveau cadeau de dévaloriser avec humourles précédentes oeuvres de la designeuse :"Désormais tes cadres sont moches, tes miroirs troubles comme une conscience d'honnête homme, et tes papillons sont - horreur ! - fidèles !"Les fameux "papillons", naturalisés et enfermés dans des cadres de verre, sont visibles sur plusieurs photographies de l'écrivaine dans son intérieur. Evoluant depuis sa plus tendre enfance dans les milieux artistiques - elle est la fille d'Alexandre et la nièce de Thadée Natanson, les créateurs de la fameuse Revue Blanche - Bolette Natanson (1892-1936) se lia d'amitié avec Jean Cocteau, Raymond Radiguet, Georges Auric, Jean Hugo ou encore Colette. Passionnée par la couture, elle quitte Paris pour les Etats-Unis avec Misia Sert, grande amie de Coco Chanel et est embauchée chez Goodman. Avec son mari Jean-Charles Moreux, ils créèrent en 1929 la galerie Les Cadres boulevard Saint-Honoré et fréquentèrent de nombreux artistes et intellectuels. Leur succès fut immédiat et ils multiplièrent les projets : la création de la cheminée de Winnaretta de Polignac, la décoration du château de Maulny, l'agencement de l'hôtel particulier du baron de Rothschild, la création de cadres pour l'industriel Bernard Reichenbach et enfin la réalisation de la devanture de l'institut de beauté de Colette en 1932. Bolette Natanson encadra également les uvres de ses prestigieux amis peintres: Bonnard, Braque, Picasso, Vuillard, Man Ray, André Dunoyer de Segonzac, etc. En dépit de cette fulgurante ascension, elle mettra fin à ses jours en décembre 1936 quelques mois après le décès de son père. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Monaco Imprimerie Nationale de Monaco 1955 1 vol. Broché in-4, en feuilles, sous couverture rempliée, non paginé. Belle plaquette éditée par le Conseil littéraire de la Principauté de Monaco en souvenir de feue sa présidente d'honneur. Avec 41 petites photographies contrecollées, sans doute parmi les dernières de Colette, un texte inédit de l'écrivain et des hommages par Rainier de Monaco, Jean Giono, Julien Green, André Maurois, Marcel Pagnol, Jules Supervielle, André Billy, Roland Dorgelès, Georges Duhamel, Pierre Gaxotte, Maurice Genevoix, Franz Hellens, Emile Henriot, Léonce Peillard, André Siegfried, Henri Troyat. Excellent exemplaire offert à Michèle Manceaux, toute jeune journaliste qui venait de commencer sa carrière à L'Express, avec des envois autographes signés par les dix écrivains précédemment cités.«Monaco est le seul pays dont les frontières sont des roses», se plaisait à dire Colette. Amie de longue date de Pierre de Polignac, avant qu’il ne devienne par son mariage prince de Monaco, Colette eut le bonheur de voir l’affection du père se transmettre à son fils, le prince Rainier III, dont elle fut dans les années 40 et 50 l’invitée permanente. À la recherche de repos et d’un peu de chaleur pour soigner l’arthrite qui l’handicapait, Colette passa de fréquents séjours à l’Hôtel de Paris. On dit même que c’est dans le hall de l’hôtel qu’elle remarqua, lors d’un tournage, une jeune figurante alors inconnue qu’elle choisit pour incarner sur scène Gigi et qui devait connaître une brillante carrière: Audrey Hepburn.Le conseil littéraire de la Principauté de Monaco fut créé à l’initiative du prince Pierre de Monaco, protecteur des lettres et des arts. Il était constitué de membres de l’Académie Goncourt et divers écrivains francophones chargés de remettre un prix récompensant un auteur de langue française de renom pour l’ensemble de son œuvre. Quelques mois après la mort de Colette, l’ensemble des membres et plusieurs lauréats lui rendent hommage dans un ouvrage soigneusement imprimé, avec de nombreuses photographies en noir et blanc contrecollées qui en font un véritable album-souvenir. C’est également dans ce recueil qu’est reproduit pour la première fois le discours que Colette enregistra en 1954 pour des étudiants venus assister à une projection du Blé en herbe dont on dit – à juste titre – qu’il est un peu son testament moral et littéraire : «Laissez-moi vous révéler que l’expérience ne compte pour rien. Tout ce qui m’a étonnée dans mon âge tendre m’étonne aujourd’hui bien davantage. L’heure de la fin des découvertes ne sonne jamais. Le monde m’est nouveau à mon réveil chaque matin et je ne cesserai d’éclore que pour cesser de vivre.» (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Paris 1914 | 13.60 x 21.20 cm | en feuillets
Lettre autographe signée de Colette adressée à son ami l'homme de lettres et avocat Adrien Peytel, deux pages rédigées à l'encre noire d'une écriture hâtive sur un double feuillet à en-tête du journalL'Eclair. Une pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Belle lettre de Colette, témoignage de la confusion qui s'empara de la France à l'aube de la Grande Guerre : "Rien ne marche. Je suis bloquée ici pour un papier qu'on me demande."L'écrivaine s'inquiète : "Je suis sans nouvelles de Sidi [Henry de Jouvenel]. Je me fais toute une chevelure de soucis. Je ne sais pas où il est, il m'a écrit qu'il partait avec le 29è pour la Somme. Ah ! la la la la la la..." "Colette a entendu sonner le tocsin en Bretagne, où elle passait un séjour ensoleillé avec le baron Henry de Jouvenel, et leur fille, dans sa maison de Rozven. La guerre la surprend en plein bonheur, à quarante et un ans. [...] Son mari, appelé dès le 2 août, devant rejoindre le 29e régiment d'infanterie, à Verdun, elle a aussitôt envoyé sa fille, à peine âgée d'un an, avec sa nurse, au château de Castel Novel, en Corrèze - chez sa belle-mère. Et elle est rentrée à Paris." (Dominique Bona,Colette et les siennes) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 18 Octobre 1948 | 21 x 13.50 cm | Une page + une enveloppe
Billet autographe signé de Colette adressée à son ami Jean-Joseph Renaud sur son célèbre papier à lettre bleu (9 lignes à l'encre noire) à propos de ses difficiles débuts en littérature. Trace de pliure inhérente à l'envoi postal, enveloppe jointe. A la faveur d'une question de son correspondant, Colette se remémore les premiers ouvrages de sa carrière, lorsque son mari Willy, grand mondain et ayant recours à beaucoup de "nègres" de talent comme Jean de Tinan, Curnonsky, Paul-Jean Toulet ou encore Tristan Bernard pour écrire ses livres, s'appropriait ses productions: "Du sein d'un lent orage de travail je vous assure que je n'ai rien signé avant 1904. Et pour cause, M. Willy y voyait mille inconvénients... Colette loue également les ouvrages de son amiJean-Joseph Renaud: "Je vous lis avec fidélité et un grand plaisir. Vite, vos mémoires!" Jean-Joseph Renaud fut un fleurettiste et un écrivain qui, souvent, publia sous les noms de plume deJean Carmant et Jean Cassard. Courte mais évocatrice lettre dans laquelle Colette dit le combat des femmes-écrivains pour leur reconnaissance dans le monde des lettres phagocyté par la gent masculine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris Edouard Joseph, coll. "L'Edition originale illustrée" 1920 1 vol. relié in-8, cartonnage bradel de papier brique, tête dorée, non rogné, couverture illustrée d'une vignette en couleurs et dos conservés (Honnelaître), 196 pp. Edition originale illustrée en frontispice d'un bois en deux couleurs et de nombreux dessins en noir in-texte par Picart Le Doux. Exemplaire sur vélin parcheminé Lafuma non numéroté et complété à la justification par cet amusant envoi autographe signé à Francis Carco : "n°? Mais "numéro un", voyons, comme la tendresse que je porte à Carco. Colette de Jouvenel".Largement inspiré par la Première Guerre mondiale, le recueil, constitué pour l’essentiel d’articles parus dans Excelsior, complète Les Heures longues (1917) et met en scène tour à tour Bel-Gazou, la fille unique de l’écrivaine qui fait ici une de ses premières apparitions dans l’œuvre, les bêtes familières et les êtres malmenés par l’Histoire. Colette y évoque avec justesse, émotion et drôlerie parfois, la vie à l’arrière, cet envers du front dont elle est sans doute une des plus fines observatrices. Colette avait rencontré Francis Carco, de treize ans son cadet, en 1918 devant les bureaux du journal L’Eclair. Entre l’auteur de Jésus-la-Caille et la célèbre «vagabonde», ce fut un véritable coup de foudre littéraire et amical comme en témoigne cette dédicace inédite, deux ans après leur rencontre. Une amitié P.L.V. comme l’écrit Carco, c’est-à-dire «Pour La Vie», dont le ciment fut une fascination commune pour le Paris interlope, la poésie des rues et des cabarets de la Butte. Colette et Carco échangèrent une abondante correspondance et se retrouvèrent en 1945 à la table des Goncourt. Après la mort de sa «grrrrande amie», Carco lui consacra un magnifique livre d’hommage: Colette, "mon ami" (1955). Très belle provenance. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Lettre autographe signée de Colette à un destinataire inconnu, probablement un éditeur, auquel elle s’adresse par un impersonnel «Cher Monsieur».Le papier à lettre à l’en-tête du 69 boulevard Suchet, où Colette résida entre novembre 1916 et décembre 1926, ainsi que la référence à sa pièce «Chéri» : «Les représentations de «Chéri» au Daunou n’ont pas suscité quelque tirage ?» nous permettent de dater la lettre de 1925.Colette répond à son interlocuteur à propos d’une potentielle traduction polonaise : «La Pologne a une monnaie chère, et il n’y a pas de danger que je diminue un chiffre déjà trop bas. Je préfère de beaucoup, n’être pas traduite en polonais.»Pliures et trace brune laissée par un trombone dans la partie supérieure de la lettre.
1929 Paris J. Ferenczi et Fils, 1929, In-12, broché, , 270 pp. Édition originale. Un des 35 Exemplaire numérotés sur vélin bibliophile / H.C numéro 111, envoi autographe" à Charles Brun , sa confrère et amie Colette" le dos est pratiquement manquant, couverture en mauvais état
Edition originale
Milieu du Monde, 1946. Format 12x19 cm, broche, 218 pages. La couverture est tachetee de rousseurs. Envoi autographe de l'auteur.Bon etat, petites traces d'usage sur un livre d'occasion.
Marseille s. d. [novembre 1923] | 13.70 x 18.70 cm | une page sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Colette adressée à son ami l'homme de lettres et avocat Adrien Peytel, une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête du Grand Hôtel de Noailles et Métropole à Marseille. Une pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Jolie lettre adressée depuis Marseille alors que Colette effectue une tournée de conférences : "Je finis ma tournée. Je serai dimanche à Paris, et nous nous occuperons de cette histoire, - à laquelle je n'ai encore rien compris." "En novembre 1923, elle traita (...) d'un sujet qu'elle connaissait par coeur,Le Théâtre vu des deux côtés de la rampe. Son très jeune amant Bertrand de Jouvenel la rejoignit à Marseille, auGrand Hôtel de Noailles et Métropole. Scandale : Bertrand de Jouvenel n'était autre que le fils de son deuxième mari, le diplomate Henry de Jouvenel ; émoi garanti autour de l'écrivaine âgée de cinquante ans, tandis que le fils de son mari venait de fêter son vingtième anniversaire. Colette avait, deux ans plus tôt, initié à l'amour le futur économiste et politologue, dans cette liaison scandaleuse qui fournit thème et situations duBlé en herbe(publié en cette même année 1923)." (Rémi Duchêne,L'Embarcadère des lettres) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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