Gustav-Adolf MOSSA - [Nice 1883 - 1971] - Peintre symboliste français
Reference : 33766
1 page 1/2 in8 - trés bon état - petite salissure en marge basse -
Il vient de recevoir son catalogue et a touché son mandat de 300 francs "pour solde" - Il est surpris de voir les couleurs "verte" de la couverture en "blanc" - "Est ce voulu?" - Ou est ce inachevé ? - Un projet: la Société des Beaux Arts de Nice organise une exposition en mars - Veut il y exposer "les originaux de Zadig" ?- Il pourrait en même temps distribuer ses catalogues et exposer dans une vitrine les autres volumes qu'il a illustrés pour lui - Un mot pour qu'il puisse organiser cela et préparer les encadrements -
Gustave BOULANGER - [Paris 1824 - 1888] - Peintre orientaliste français
Reference : 33376
1 page in12 - trés bon état -
Comme il le prévoyait, le Ministre était absent, probablement depuis déjà quelques jours - "Je lui ai laissé ma carte cornée" -
Gustave BRUNET - [Bordeaux 1805 - 1896] - Bibliographe et éditeur français
Reference : 32950
1 page in4 - bon état -
Il est heureux qu'il ait trouvé un éditeur pour les proverbes de Voltaire - Il faudrait joindre à ceux qu'il a publiés 43 ou 44 autres imprimés à Lyon- Il ne peut lui adresser un exemplaire de son supplément aux proverbes [basques] de [Arnault] Oihénart - Il lui joint la copie de 12 de ces adages avec la traduction - Il lui poste la copie d'un imprimé de la bibliothéque de Richelieu regardé comme majeur - La classement alphabétique lui parait le meilleur pour les proverbes - Il suggère aussi de s'occuper de Nouveau Testament basque publié à La Rochelle -
Gustave CLAUDIN - [La Ferté sous Jouarre 1823 - 1896] - Journaliste et romancier français
Reference : GF29768
2 pages in8 - bon état -
Il a remis son épreuve corrigé au metteur en pages - "Vous seriez bien aimable de me faire passer ce soir" - Il trouvera dans le Moniteur un mot trés sympathique de Villemot -..rare -
Gustave COQUIOT - [Puits 1865 - Paris 1926] - Ecrivain et critique d'art français
Reference : 33511
1 page in12 - adresse au dos - bon état -
Il est heureux de savoir que leur pièce (avec Frappa) est reçu par lui et sera jouée "cette saison même" - "Vous étes le plus exquis des directeurs" - En déjeunant avec Jousseaume, il lui a dit la même chose: "Nous allons raccourcir" - Peut il annoncer la pièce dans les journaux ?
1874 | 13.20 x 20.70 cm | 4 pages sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Gustave Doré adressée à Paul Dalloz. Quatre pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier blanc, enveloppe jointe. Belle lettre pleine de tourments, dans laquelle Gustave Doré redoute d'être à nouveau appuyé pour le grade d'officier à la Légion d'Honneur, lui qui fut fait chevalier en 1861 après la publication deL'Enferde Dante et grâce à l'intervention de Paul Dalloz. Doré le remercie d'ailleurs de cette influence passée : "Je viens te remercier encore et du plus profond de mon cur de l'amitié toute dévouée que vous m'avez témoignée dans ces dernières circonstances ; et je t'assure que je te conserve pour ce fait des sentiments aussi reconnaissants que pour le service que tu m'as si spontanément et cordialement rendu il y douze ans."Il lui demande néanmoins de ne le proposer pour le grade d'officier : "Mais je viens réclamer de toi les mêmes amitiés te priant, te suppliant même de t'arrêter complétement et absolument ce qui je n'en doute pas te coûtera plus encore qu'autre chose. J'ai beaucoup pensé à tout ce que tu m'as dit hier et je trouve que je me suis trompé tout à fait en te laissant t'engager si obligeamment dans ces démarches." Gustave Doré sera cenpendantnommé officier de la Légion d'honneur le 15janvier1879...sur l'intervention de Paul Dalloz. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. (Paris) s. d. [5 ou 12 janvier 1860] | 13.60 x 21 cm | deux pages sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à l'archéologue Charles-Ernest Beulé. Deux pages rédigées à l'encre noire sur un feuillet remplié. Le destinataire de cette lettre a apposé neuf lignes manuscrites, brouillon de sa future réponse, à la suite de la lettre de Flaubert. Cette lettre a été retranscrite et reproduite sur le site internet du Centre Flaubert de l'Université de Rouen. Le transcripteur de cette missive précise: «Les lignes écrites sous la signature sont-elles de Beulé ou de Flaubert-lui-même ? L'écriture ressemble à la sienne. Stéphanie Dord-Crouslé suggère que Flaubert a pu aller voir Beulé et écrire sous sa dictée ces éléments qui répondent aux questions posées.» Cette hypothèse nous semble peu probable dans la mesure où l'on connaît la réponse de Charles-Ernest Beulé à ce courrierelle-même numérisée par le Centre Flaubert et datée du 10 février 1860. Cette réponse ne nous paraît pas induire une visite de Flaubert chez Beulé. Il nous semble plus vraisemblable que Beulé ait inscrit sous la lettre de Flaubert un brouillon de sa future réponse du 10 février 1860 qui ne sera qu'une reformulation élégante de ses notes. Beau et important témoignage des recherches colossales qu'entreprit Flaubert pour la rédaction deSalammbô. «Commencé en 1857, le roman paraît en 1862, période où l'Antiquité revient à la mode et où Carthage est « au goût du jour » grâce aux fouilles récentes de Charles-Etienne Beulé à Byrsa (1859) et dans les ports puniques.» (Vanessa Padioleau, «Flaubert et Carthage : Salammbô, roman polymorphe» in Revue Flaubert, n° 9, 2009) C'est donc à l'un des spécialistes de la question que Flaubert adresse ses questions, commentant sa récente lecture d'Ammien Marcel: «J'ai appris, dans ce même Ammien, que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte [...] Qu'est-ce que cela veut dire? Ce passage est, je crois, peu connu?» La tâche de Flaubert n'est pas mince: on ne connaît à l'époque rien ou presque sur la période de la Révolte des Mercenaires qui s'étendit sur deux années, de 240 à 238 av. J.-C. Il entame alors un travail de fourmi, appuyant ses recherches sur les textes des grands historiens de l'Antiquité qu'il lit en latin dans le texte. La lettre que nous proposons en montre d'ailleurs sa grande maîtrise : « J'ai appris, dans ce même Ammien que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte, livr[e] xvii, ch. iv. "Hanc inter exordia pandentis se late Carthaginis, improviso excursu duces oppressere Poenorum" [« À l'époque où Carthage commençait sa large expansion, les généraux des Phéniciens vainquirent celle-ci par une attaque à l'improviste »]. » Malgré ces recherches des plus approfondies, la porte de Carthage ne connaîtra qu'une très brève description dans la version finale deSalammbô. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 9 mai 1877 | 13.50 x 20.50 cm | 2 pages sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à Léon Cladel. Enveloppe jointe. Quelques soulignements et corrections manuscrites de l'auteur. Minuscules taches d'eau. Trois petites restaurations à l'aide d'adhésif sur la seconde page ainsi que deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli du courrier. Amusante lettre dans laquelle Gustave Flaubert, dont la renommée littéraire n'est plus à faire, apporte son soutien à son ami Léon Cladel qui peine à faire publier l'un de ses ouvrages. Le « maître » - c'est ainsi que Léon Cladel nomme son confrère - démarre cette lettre avec enthousiasme: « J'ai commencé votre bouquin hier à 11 heures il était lu, ce matin à 9 ! ». Le « bouquin » dont il est ici question est L'Homme de la Croix-aux-Bufs que Flaubert avait accepté de relire pour son ami le 30 avril; il en avait d'ailleurs réclamé le manuscrit déposé chez l'éditeur Georges Charpentier à ce dernier: « Cladel m'a écrit pr me dire qu'il désirait que je lusse (pardon du subjonctif) le roman en feuilles qui est chez vous. Donc envoyez-le-moi, ou apportez-le-moi. » (Lettre du 3 mai 1877). Léon Cladel, très proche de Gustave Flaubert, semble lui avoir fait part des craintes de l'éditeur édouard Dentu quant à la publication de son ouvrage: « Et d'abord il faut que Dentu soit fou, pr avoir peur de l'im le publier. » En familier aguerri de l'impitoyable monde de l'édition, Flaubert se place en professionnel et déclare : « Rien n'y est répréhensible soit comme politique, soit comme morale. Ce qu'il vous a dit est un prétexte ? » Cette question de la répréhension morale n'est pas sans faire écho au célèbre procès intenté à l'auteur de Madame Bovary. Tel un critique littéraire dithyrambique, Flaubert complimente son confrère : « Je trouve votre livre, un vrai livre. C'est très bien fait, très soigné, très mâle. & je m'y connais mon bon. » Lecteur scrupuleux, il se permet néanmoins quelques remarques sur le manuscrit de Cladel (« J'ai deux ou trois petites critiques à vous faire (des niaiseries) - ou plutôt des avis à vous soumettre.») avant de se raviser : «Qqfois, il y a des prétentions à l'archaïsme et à la naïveté. C'est l'excès du bien. » L'attitude de Flaubert est ici quasi paternelle et en tout cas bienveillante: conscient des capacités de son ami il souhaite l'encourager et voir la publication de son ouvrage aboutir : « Mais encore une fois, soyez content & dormez sur vos deux oreilles - ou plutôt ne dormez pas - et faites souvent des uvres pareilles.» L'écrivain bienveillant évoque également dans cette missive un autre éditeur, Georges Charpentier : « Quant à Charpentier (auquel je remettrai vos feuilles vendredi - jour où je dîne chez lui) je vais lui chauffer le coco violemment, & en toute conscience, sans exagération & sans menterie. » Charpentier qui édite Flaubert depuis 1874 est devenu un proche ami de l'écrivain avec lequel il entretient une riche correspondance. En ce mois de mai 1877, il vient juste de publier Trois contes qui fut pour Cladel l'occasion d'une émouvante célébration de son maître ès Lettres : « Où diable avez-vous pris ce rutilant pinceau dont vous brossez vos toiles, les petites comme les grandes, et cette sobriété que certains latins vous envieraient ? Être à la fois Chateaubriand et Stendhal, et de plus Flaubert ». Cette admiration est réciproque et Flaubert éprouve pour ce «véritable artiste» une estime non feinte : «La fin est simplement sublime! - & du plus gd effet.» Il réitèrera, quelques semaines plus tard ses compliments : «C'est travaillé, ciselé, creusé. L'observation, chez vous, n'enlève rien à la poésie ; au contraire, elle la fait ressortir.» En effet, Cladel s'affirmera comme le véritable héritier du style flaubertien, bien plus que Zola qui lui reprochera justement de «travaille[r] sa prose avec acharnement » et de « s'efforce[r] de rendre parfaite chaque phrase qu'il écrit». C'est finalement Edouard Dentu qui publiera le manuscrit de L'Homme de la Croix-au
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s. l. s. d. [ca 1860] | 19.60 x 31.70 cm | deux pages sur un feuillet
Manuscrit autographe de Gustave Flaubert intitulé"De l'état de l'église en Gaule au Ve et VIe siècle", rédigé à l'encre noire des deux côtés d'une feuillet. Pliure transversale. Abondant manuscrit de notes probablement rédigées en vue de la rédaction deLa Légende de Saint Julien l'Hospitalier. Précieux manuscrit, témoignage de la méthode de travail de l'écrivain. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1841 1 page in8 - Bon état -
Il a bien reçu "Jolies ames" - Il voudrait bien faire ce qu'il lui demande au Journal mais c'est Silvestre qui gouverne le département des livres - Il fera son possible -
1841 1 page in8 contrecollée sur une page in4 - En tête "Académie Goncourt 1903" - Bon état -
Il le remercie du soin qu'il prend à sa littérature - "c'est tourné! de main d'ouvrier et de main de maitre" - Il sait faire tenir "beaucoup en une ligne" - Et puis, il y a son "coeur d'ami" - Il envoie son article à Clemenceau par une voie sûre - Il ajoute: "Tu as reçu 25 kilogs de pommes de terre grâce à Marty, sorti de l'hopital" -
Gustave KAHN - [Metz 1859 - Paris 1936] - Poète et critique d'art français
Reference : 34362
1 page in8 - enveloppe - bon état -
Il lui demande une dizaine de jours pour lui envoyer sa collaboration au numéro spécial [Mercure de Flandre] sur Marcel Batilliat -
Gustave KAHN - [Metz 1859 - Paris 1936] - Poète et critique d'art français
Reference : 33347
2 pages in8 - assez bon état - quelques piqures -
Il l'a aperçu sans pouvoir le joindre à la représentation d'Adam - Il aimerait avoir un fragment de son prochain livre pour "la Société Nouvelle" - ll n'a pu faire l'étude qu'il voulait lui consacrer - "Ce sera à l'occasion de votre prochain volume" -
1934 Paris - Editions de l'Amitié Française - sd - [1934 ?] - 1 plaquette in8 broché de 18 pages + planches en noir et blanc - couverture un peu poussièreuse -
Bel envoi autographe signé de FEDER -
Gustave LE BON - [Nogent-le-Rotrou 1841 - Marnes-la-Coquette 1931] - Anthropologue et sociologue français
Reference : GF27234
1 page in12 (carte-lettre) + adresse au dos -
Trés interessante et amicale lettre sur l'éducation de l'inconscient: Ils sont souvent d'accord meme si les mots sont différents - "Il faut apprendre à l'enfant à se trouver lui-même" - "Il faut dresser nos inconscient" - Laisant croit trop que la raison nous guide alors que nous sommes menés par l'inconscient - D'ou l'idée de "fabriquer" un bon inconscient grâce à des "méthodes" qui seraient l'apanage de "parfait éducateurs" -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33738
1 page in12 - trés bon état -
Il se permet de lui adresser un article "qui peut intéresser les lecteurs du Journal" - Il le place sous sa "haute protection" -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33739
1 page in8 - trés bon état -
Il se permet d'appeler son attention sur le roman de Maurice Simart: "L'entresol de M. Perrucot" - "C'est, je crois, une oeuvre qui se distingue des romans habituels parce qu'elle apporte une formule neuve et ingènieuse" - Mr Simart sollicite le prix Goncourt -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33740
1 page 1/2 in8 - trés bon état -
Il vient de lire son "admirable article sur Guernesey" - Il est "vibrant et profondèment émouvant" - Il le remercie pour le courage qu'il lui donne dans "la laborieuse tâche" qu'il poursuit et qu'il espère mener jusqu'au bout - (ses travaux sur Victor Hugo] -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33741
2 pages in8 - trés bon état -
Il vient lui demander s'il lui ferait "l'honneur d'être membre du Comité de Direction de la Fondation Victor Hugo" - Son nom est celui qui s'impose avec le plus d'éclat dans le palmarès car il compte parmi ceux "qui ont écrit les plus beaux, les plus brillants et.. les plus émouvants articles sur notre grand poète" -
Gustave SIMON - [Marie Charles Stéphane Suisse dit] - [Paris 1848 - 1928] - Ecrivain français
Reference : 33742
3 pages in8 - trés bon état -
Il s'occupe de la cérémonie de Guernesey et de certaines dispositions à prendre - Il sait qu'il est parmi les invités - Ne voulant pas s'imposer une "grande fatigue", il n'ira pas à Guernesey - "On doit partir le 13 - La Cérémonie à Hauteville House aura lieu le 14" - Ces renseignements sont pour l'instant confidentiesl - Il devait prendre la parole le premier au nom de la famille - Il ne peut le faire et lui demande de le remplacer en lisant son discours - Il lui en serait très reconnaissant et Jeanne Hugo aussi -
Préface de Pierre Tchernia, Maquette de Robert Hanès, 1 vol. in-4 cartonnage éditeur illustré, Inter-Relais, 1982, 95 pp.
Remarquable exemplaire enrichi d'un dessin (Marianne levant un verre) et d'une dédicace de Gus à son préfacier " Pierre Tchernia, sans qui cet album ne serait que ce qu'il est. Avec une amitié grosse comme ça". Bon état (cartonnage très lég. cintré, trè bon état par ailleurs).
Paris, 28 octobre 1969. À propos de l'enseignement de la littérature française. En feuille, avec enveloppe. Très bon Paris 1969 27 x 21
Paris, Corréa, 1947 ; in-12, broché, couverture illustrée d'un dessin de Sennep, 304 pp. Prière d'insérer joint.
Bel envoi autographe de l'auteur à l'écrivain Richard Borel. Bel exemplaire. Photos sur demande.
1 vol. grand in-8 reliure demi-chagrin maroquiné à coins rouge, dos à 4 nerfs doré, tête doréer, couvertures et dos conservés, Bernard Grasset, Paris, 1962, 244 pp.
Magnifique exemplaire parfaitement relié, en état superbe, enrichi d'un envoi de l'auteur. "Et Paris naïf, qu'est-ce que c'est ? Le Paris tel qu'il était, ou à peu près, au jour de sa naissance [ ... ] Ce sont les lambeaux de ce Paris que je veux saluer avec qu'ils ne soient mangés par les excavatrices et remplacés par ces menhirs d'habitation qui insultent le ciel". Paul Guth (1910-1997) reprend ici l'adjectif "naïf" qu'il utilisa avec un si grand succès dans de nombreux écrits (Mémoires d'un naïf, Le Naïf aux quarante enfants, etc...)
GUTH Paul - (Ossun 1910 - Ville d'Avray 1997) - Ecrivain français
Reference : GF22927
1/2 page in4 - ratures et corrections -
Beau texte sur le Cirque:"Tous les autres spectacles sont carrés, rectangulaires ou affectent la forme stupide de la demi-lune - Seul le cirque est rond.."-... Pour lui, "le cirque est le spectacle de la perpétuelle enfance"..-