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Paris, Garnier Frères, 1849. Petite plaquette in-12 (16 x 10 cm) couverture imprimée, 71 pages. Auréoles claires sur la couverture dos.
Léon Pillet était considéré en 1880 comme « un chef anarchiste intelligent ». Il était le correspondant à Marseille des journaux L’Etendard révolutionnaire (Lyon), Le Réveil (Genève) et Le Prolétaire (Paris). Secrétaire de la Fédération des travailleurs socialistes du midi, il était à ce titre en correspondance avec les principaux groupes de Paris, Genève, Lyon et Montceau-les-Mines. (in "Dictionnaire des militants anarchistes").
Paris, Pierre Lorin, 1883. In/8 broché, couverture illustrée d’une vignette, illustrations in-texte, 208 pages. Deuxième édition. Petits manques à la couverture et au dos.
Paris, Delaunay librairie, 1821. In-8 en brochage d'attente, tranches non massicotées, 42 pages. Seconde édition revue et augmentée.
Il s'agit de l'histoire sous forme allégorique de la Charte octroyée par Louis XVIII. QUERARD X, 66.Jean Vatout (1791-1848) littérateur et poète, fut bibliothécaire du duc d’Orléans (plus tard Louis-Philippe), député de 1831 à 1840, élu à l'Académie en 1848, il mourrut dans l'année, en Angleterre où il avait suivi Louis Philippe dans son exil.
Tours Alfred Mame et Fils, 1888, fort volume grand in/4, en pleine reliure éditeur, doré sur les trois tranches, dos en chagrin rouge et plat personnalisé avec Jean-Baptiste de la Salle avec deux enfants sur le plat, en percaline. 686 page. Introduction par Mgr. D'Hulst. Richement illustré, in et hors texte, gravures en noir par les grands artistes, Detaille, Guillaumot, Froment, ...
"Saint Jean-Baptiste de La Salle, né le 30 avril 1651 à Reims et mort le 7 avril 1719 au manoir de Saint-Yon, dans les faubourgs de Rouen, est un ecclésiastique français et un innovateur dans le domaine de la pédagogie, qui a consacré sa vie à éduquer les enfants pauvres. Il est le fondateur de l'institut des Frères des écoles chrétiennes. Canonisé en l'an 1900, il est fêté le 7 avril."
Hachette "Tout par l'image", 1961, grand in/8, reliure éditeur, 95 pages. Abondante iconographie en noir et en couleur par Marie-Thérèse May.
Paris Garnier Frères, sans date vers 1854, nouvelle édition revue avec le plus grand soin., reliure en demi-chagrin noir, dos orné à nerfs, 428 pages.
Jacques Nicolas Augustin Thierry, né le 10 mai 1795 à Blois et mort le 22 mai 1856 à Paris, est un historien français. Reconnu comme l'un des premiers historiens à avoir travaillé sur des sources originales, il se démarque de ses homologues contemporains par une narration très vivante et presque romancée, mêlant érudition et imagination. On lui doit aussi la première étude critique des institutions communales françaises. Il est considéré par Jules Michelet comme appartenant à la Pléiade Historique. Augustin Thierry tous ses ouvrages furent de véritables travaux de bénédictin.
Paris Garnier Frères, sans date vers 1854, nouvelle édition revue avec le plus grand soin., reliure en demi-chagrin noir, dos orné à nerfs, 633 pages.
Jacques Nicolas Augustin Thierry, né le 10 mai 1795 à Blois et mort le 22 mai 1856 à Paris, est un historien français. Reconnu comme l'un des premiers historiens à avoir travaillé sur des sources originales, il se démarque de ses homologues contemporains par une narration très vivante et presque romancée, mêlant érudition et imagination. On lui doit aussi la première étude critique des institutions communales françaises. Il est considéré par Jules Michelet comme appartenant à la Pléiade Historique. Augustin Thierry tous ses ouvrages furent de véritables travaux de bénédictin.
Icare revue de l'aviation Française, N° 78, Tome IV, 1976. Grand in/4 (32 x 24 cm) broché, couverture illustrée en couleurs, 135 pages. illustrations en noir. La seconde guerre mondiale, le Groupe de Reconnaissance II/33 jusqu'à l'armistice.
Paris, Editions Schall, 1946, in/4, cartonnage illustré de l'éditeur, sans pagination. Importante documentation photographique en noir et blanc réunie par Jacques Belin.
Rennes, typographie Oberthür et fils, 1874. Plaquette in-8 (23 x 14 cm) brochée, couverture imprimée, 47 pages. Notes anciennes manuscrites sur le texte en fin d'ouvrage. Une auréole claire sur la couverture, petits manques sur le dos.
Paris, Drouot, Catalogue de vente, 1970. In/4 (27 x 21 cm) broché, couverture imprimée, quelques illustrations en noir, 71 pages.
Estampes, aquarelles, dessins Au ballon, collection relative au ballon, bibliothèque, livres et autographes sur l'aéronautique.
Paris, chez Paulin libraire, 1846. Grand in-8 (23 x 14 cm) broché, couverture imprimée, 364 p., 2 f., XIII p., 3 f. Exemplaire non coupé en bon état hormis quelques rousseurs.
Auguste Barbet : Economiste, Conseiller général de la Seine Maritime en 1831, Receveur général des Finances à Montpellier.
Paris Alfred Duquesne, 1887, in/12 broché, couverture restaurée, 285 pages. Illustrée de 50 gravures en noir et portraits.
"Georges Ernest Jean-Marie Boulanger, né le 29 avril 1837 à la Caliorne à Rennes et mort le 30 septembre 1891 à Ixelles, est un officier général et homme politique français. Ministre de la Guerre en 1886, il est notamment connu pour avoir ébranlé la Troisième République, porté par un mouvement nommé boulangisme ».
Paris chez Michaud, 1823, in/8 broché couverture d'attente, XI-324 pages.
Louis Collignon, Baron de KOLLI (1757-1825), agent politique italien, né en Piémont vers 1775, mort vers 1825. Lors de l'occupation de son pays par la France, il se réfugia en Angleterre, partisan déclaré des idées monarchistes-Ayant formé, en 1810, le projet de faire évader de la prison de Valençay Ferdinand VII et la famille royale d'Espagne , et de les conduire sur la côte de Bretagne, Kolli obtint assentiment du gouvernement britannique, des instructions du marquis de Wellesley, une lettre de George III pour Ferdinand et pour deux cent mille francs de diamants bruts. Il se rendit alors sur Paris pour y faire les préparatifs nécessaires et l'exécution de son projet ; mais, au moment où il se disposait à gagner Valençay, il fut arrêté sur la dénonciation d'un domestique en qui il avait toute confiance, jeté dans les cachots de Vincennes et transféré , après une tentative d'évasion, au château de Saumur, où il resta jusqu'en 1814. Rendu à la liberté après la rentrée des Bourbons, le baron Kolli se rendit à Madrid, où Ferdinand VII l'accueillit favorablement, reçut, pendant les Cent-Jours, le commandement du régiment de Marie-Thérèse, revint en France après Waterloo, réclama alors au gouvernement français les deux cent mille francs de diamants qui lui avaient été pris par la police lors de son arrestation en 1810 , mais ne put rien obtenir, sous le prétexte que ce qu'il réclamait provenait d'un gouvernement alors en guerre avec la France, et termina ses jours dans un état voisin de la misère.
Paris Emile-Paul Frères, éditeur, 1914, in/8, 115 pages, le dos et les couvertures conservées, reliure demi-maroquin, dos à nerfs, coins, 414 pages + table des matières. Tirage 30 exemplaires sur papier impérial du Japon, N° 24.
Université Lyon 2, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales Centre Inter universitaire d'Histoire et d'Archéologie Médiévales, Lyon, 1986. In-4 (30 x 21 cm) broché, couverture illustrée d'une vignette, 244 pages, illustrations en noir.
Artipresse, 2012, in/4 broché, 124 pages, et VIII planches en couleur, photographies en noir et blanc.
"Vous trouverez dans ces pages l'histoire complète des aviateurs du Groupe de Chasse Montpellier. Ces pilotes de chasse polonais servirent dans des unités de l'Armée de l'Air durant la campagne de France de mai-juin 1940. Équipés au départ avec de Morane-Saulnier MS 406, ils reçurent ensuite quelques Curtiss H-75A, Dewoitine D 520 et Bloch MD 152. Cet ouvrage vous fournit également tous les données précises sur les pilotes de cette unité, leurs victoires sur la Luftwaffe, leurs pertes, ainsi que des détails sur les avions sur lesquels ils ont combattu. Il est illustré avec de nombreuses photos rares et inédites ainsi que des profils couleurs de qualité."
G. Mont-Louis in/8 broché, sans date vers 1900, 152é mille, 381 pages. Avertissement et préface de Marie Quinton. Frontispice portrait du Général Boulanger et de Marguerite.
"En fin de volume sont reproduit plusieurs fac-similés de lettres du Gal. Boulanger. En juillet 1887, le Général Boulanger prend ses fonctions militaires à Clermont. En Octobre il est mis aux arrêts et prend avec sa compagne, résidence à l'Hôtel des Marroniers tenu par Marie Quinton, dite la Belle Meunière, à Royat. Une amitié se lie entre le couple et l'hôtelière. Cette dernière livre son journal qui est le récit de cette amitié jusqu'à la mort de Boulanger en 1891"
Lavauzelle / Alphil, 2006, collection Histoire, mémoire & patrimoine, 367 pages, in/8 broché.
"La particularité de la frontière entre la France et la Suisse vient de ce qu'elle n'est pas tributaire d'une histoire conflictuelle. Elle a suscité l'existence d'une «société frontalière», d'un habitus (social, religieux, culturel, technique, économique) de «transfrontiérité» qui a traditionnellement tendu à relativiser la de rupture de la frontière politique.Au cours de la Deuxième Guerre mondiale, tous les acteurs politiques du moment (suisses, allemands, français et italiens) s'efforcent de transformer cet espace transfrontalier en limite infranchissable et surveillée. Mais l'imperméabilité désirée et organisée a-t-elle été effective ? Les politiques coercitives ont-elles réussi à avoir raison de la force de cette tradition de solidarité transfrontalière ? Dans ces conditions, comment circulent les biens, les personnes, les renseignements ? Comment des flux clandestins s'organisent-ils pour venir en aide aux persécutés ou aux résistants ?Mais la frontière en guerre n'est pas un simple objet d'histoire. C'est aussi un lieu de mémoire. Il convenait donc également de tenter de dévoiler les phénomènes de représentation et de remémoration auxquels cette histoire a donné lieu. Comment la société frontalière s'est-elle souvenue de cette histoire émaillée de drames et de compromissions mais aussi de remarquables actes de courage et de sauvetage ? L'épreuve de la guerre et les solidarités créées dans l'extrême ont-elles été de nature à renforcer cette identité régionale après-guerre ?Pour mener à bien ce projet ambitieux, il convenait de dépasser les cadres nationaux de la recherche sur la Seconde Guerre mondiale et l'après-guerre en développant une coopération scientifique transfrontalière dans un cadre régional. Car l'enjeu ultime est d'aboutir à un croisement des regards et des sources susceptible de constituer un jeu de miroir où pourraient se rencontrer les multiples facettes d'une réalité complexe, incluant notamment les Français en Suisse et les Suisses en France, mais aussi les autres acteurs, Allemands, Italiens,Américain et Anglais."
Lavauzelle / Alphil, 2006, collection Histoire, mémoire & patrimoine, 367 pages, in/8 broché.
"La particularité de la frontière entre la France et la Suisse vient de ce qu'elle n'est pas tributaire d'une histoire conflictuelle. Elle a suscité l'existence d'une «société frontalière», d'un habitus (social, religieux, culturel, technique, économique) de «transfrontiérité» qui a traditionnellement tendu à relativiser la de rupture de la frontière politique.Au cours de la Deuxième Guerre mondiale, tous les acteurs politiques du moment (suisses, allemands, français et italiens) s'efforcent de transformer cet espace transfrontalier en limite infranchissable et surveillée. Mais l'imperméabilité désirée et organisée a-t-elle été effective ? Les politiques coercitives ont-elles réussi à avoir raison de la force de cette tradition de solidarité transfrontalière ? Dans ces conditions, comment circulent les biens, les personnes, les renseignements ? Comment des flux clandestins s'organisent-ils pour venir en aide aux persécutés ou aux résistants ?Mais la frontière en guerre n'est pas un simple objet d'histoire. C'est aussi un lieu de mémoire. Il convenait donc également de tenter de dévoiler les phénomènes de représentation et de remémoration auxquels cette histoire a donné lieu. Comment la société frontalière s'est-elle souvenue de cette histoire émaillée de drames et de compromissions mais aussi de remarquables actes de courage et de sauvetage ? L'épreuve de la guerre et les solidarités créées dans l'extrême ont-elles été de nature à renforcer cette identité régionale après-guerre ?Pour mener à bien ce projet ambitieux, il convenait de dépasser les cadres nationaux de la recherche sur la Seconde Guerre mondiale et l'après-guerre en développant une coopération scientifique transfrontalière dans un cadre régional. Car l'enjeu ultime est d'aboutir à un croisement des regards et des sources susceptible de constituer un jeu de miroir où pourraient se rencontrer les multiples facettes d'une réalité complexe, incluant notamment les Français en Suisse et les Suisses en France, mais aussi les autres acteurs, Allemands, Italiens,Américain et Anglais."
Arhims, 1991. Grand In/4 reliure éditeur, couverture illustrée, 77 pages., illustrations en noir et en couleur. Photographies de Marc Bernard-Jean Michel Serveau, avec la collaboration de Brian Lavery, Christian Buchet.
"Le 8 juillet 1747, un vaisseau anglais de 50 canons, le Maidstone, fait naufrage sur la roche des Sécé au nord de l’Ile de Noirmoutier. La stratégie anglaise au XVIIIème siècle, la "liquidation” de l’épave du Maidstone, son retentissement sur les trois administrations : royale, seigneuriale et marine, puis, 244 années plus tard, la passion de plongeurs archéologues amateurs qui vont mener à bien une fouille sur le site pendant dix ans, tout ceci est présenté comme le Miroir d’une mémoire."
Aux éditions Arc - en - Ciel, Paris 1945, in/4 broché, couverture rempliée, 170 pages. Frontispice de Douking en noir. Exemplaire numéroté sur velin de chiffon des papeteries de Lana.
"La famille Bernard n'a pas été épargnée par l'occupation allemande: Tristan Bernard, célèbre homme de lettres, arrêté à Nice avec son épouse, n'a été finalement libéré de Drancy qu'à la suite d'interventions d'amis fidèles (Sacha Guitry, Arletty). Son fils, le dramaturge, Jean-Jacques Bernard a subi une terrible captivité dans le camp allemand de Compiègne, où la famine et le froid ont entraîné la mort de dizaines d'internés juifs. Quant à son petit-fils François-René, il n'est pas revenu du camp de Mauthausen où il a été assassiné par les nazis. Jean-Jacques Bernard a été libéré avec quelques autres internés de Compiègne en mars 1942 à l'article de la mort."
Les éditions de France, Paris, 1940. In/8 reliure demi-basane havane, dos à nerfs et pièces de titres rouge et noir, couvertures conservées, 323 pages.
Editions Lavauzelle, 1983. In-4 (31 x 23 cm) cartonnage éditeur sous jaquette illustrée, illustrations en noir et quelques rares en couleurs, 227 pages.
Publications de la Sorbonne, Karthala, 1981, in/8 broché, 403 pages. Photographies en noir.
"La Méditerranée fasciste fut une grande ambition mussolinienne, issue du mythe de la Renaissance de Rome. Elle devait conduire l'Italie à la conquête de son "espace vital" jusqu'en Afrique et au Moyen-Orient. Ce projet expansionniste, qui heurtait de plein fouet les intérêts coloniaux de la France en Méditerranée, ne pouvait qu'aggraver le contentieux entre les deux pays, déjà important depuis l'avènement du fascisme en Italie. Avec la Seconde Guerre mondiale et l'appui de l'axe Rome-Berlin, les visées mussoliniennes ont semblé se réaliser intégralement. Au coeur de cette tourmente : la Tunisie, "prolongement de la Sicile en terre d'Afrique", verrou de la Méditerranée commandé par le port de Bizerte, charnière entre le Maghreb et le Machrek, pivot nécessaire à une étroite liaison Italie-Libye. Dans cet ouvrage, Juliette Bessis apporte aussi des informations, nombreuses et inédites, sur le Mouvement national tunisien d'entre les deux guerres, ses chefs historiques, ses rapports avec le pouvoir français et le régime mussolinien. Son ouvrage est à ce titre une contribution importante à l'histoire de la Tunisie et, plus largement, du Maghreb et des pays méditerranéens."