9 Quai de la Pêcherie
69001 Lyon
France
E-mail : phlucas2@gmail.com
Phone number : 04 78 30 94 84 Jules Rouff et Cie éditeur, Paris, 1925. 2 volumes fort in/4 de 2166 pages, reliure modeste en demi-toile rouge, dos lisse titre en noir.
Editions du Lérot, 2001. In/8 broché couverture rempliée illustrée en couleur, illustrations in-texte en couleur, 191 pages. Un des 50 exemplaires numérotés sur papier de Rives avec la reproduction en frontispice d'une gouache de R.F. Gautier. Non coupé.
Editions du Panama 2006, in/8 reliure éditeur et jaquette couleurs, 200 pages.
Tout l'univers de Dupuy-Berberian retrace plus de vingt années de collaboration graphique. De leurs sérigraphies représentant Kiki, Joséphine Baker, Arletty, Jacques Tati ou Charles Trenet, à leur travail publicitaire et leurs dessins pour la presse en passant par les couvertures pour Télérama, la campagne pour les vins Nicolas, mais aussi les pochettes de disque, les affiches de film, les livres, les carnets de croquis... Tout leur univers, ou presque !
Tresse éditeur, Paris, Gallérie du théâtre-français, 1878. In/8 reliure demi-chagrin bordeaux à coins, dos à nerfs et petits fers dorés, tranches dorées, nombreuses illustrations de l’auteur in-texte, 196 pages. Préface de Théodore de Banville.
Librairie Henri Leclerc, Paris, 1907. In-4 (28 x 18 cm) broché, 271 pages. Exemplaire tiré à 301 ex. (n°182). Frontispice gravé à l'eau forte par H. Manesse.Petites rousseurs claires éparses. Méditations de E. D. réimprimées sur l'unique exemplaire connu S.L.N.D. (vers 1611), précédées de la vie du poëte, par Guillaume Colletet et d'une notice par Frédéric Lachèvre.
Estienne Durand (v. 1586 - 1618) poète baroque français. Il est contrôleur provincial des guerres au service de Marie de Médicis. Il est l'auteur d'un pamphlet contre Louis XIII, La Riparographie, aujourd'hui perdu, qui lui vaut d'être rompu et brûlé avec ses écrits en place de Grève.Marie de Fourcy, Marquise et maréchale d'Effiat, veuve d'Antoine Ruzé, chevalier des ordres du Roi, conseiller aux conseils d'état et privé, Maréchal de France, surintendant des finances, grand maître de l'artillerie, gouverneur pour sa majesté dans les pays d'Auvergne et de Bourbonnais, lieutenant général des Armés d'Allemagne, marquis d'Effiat, demeurant à Paris Vieille rue du Temple, paroisse Saint-Gervais : déclaration relative à la donation par elle précédemment faite à Henri Ruzé d'Effiat, conseiller du Roi aux conseils, grand écuyer de France (c'est le fameux Cinq-mars), son fils des terres de Cinq-mars, Laugeais, Rillé et autres et portant que la maison des Creuillières, et dépendances près la dite terre de Cinq-mars est comprise en ladite donation.
René Touret 1947, in/4 broché, format à l'italienne, 29 pages. Illustrations en couleurs de l'auteur.
Publié par F. KELLERHOVEN, Chez l'auteur, Paris, 1860. In/4 reliure demi-maroquin à coins rouge, dos à nerfs à titres dorés, doré sur tête, 22 planches en chromolithographie et or dont le frontispice, une reproduction photographique sur chine, 218 pages, 1 f. n.p. Coins amortis, rousseurs éparses. Une erreur de numérotation de planche (saut de 21 à 23).
Les planches en chromolithographies sont de Franz Kellerhoven l'éditeur ( Cologne 1814 - 1872) qui fut un des meilleurs chromolithographes à travailler en France à cette époque (v.Twyman - A history of chromolithography. - pp. 352-353). La légende d’Ursule et de ses compagnes ne débuta qu’en 1155 lorsqu’on découvrit dans une église (appelée maintenant Sainte-Ursule) une petite inscription latine gravée sur une pierre et datant du début du Ve siècle. Il était écrit: XIMV. C’est au XIe siècle que le nombre des compagnes d’Ursule, les vierges martyres, fut fixé à 11 000. Il n’existe aucun fait vérifiable démontrant que les compagnes d’Ursule était dix ou 11 000. Cependant, on croit que les gens de l’époque auraient probablement mal interprété la numération romaine trouvée près des ossements attribués aux saintes vierges martyres. En effet, on pouvait lire XIMV, ce qui signifie plutôt XI pour «onze», M pour «martyres» et V pour «vierges». Autrement dit, l’inscription «XI Martyres et Vierges» aurait été interprétée comme étant «XI Mille Vierges». (in Christian Vanden BERGHEN).
Edition Calman Lévy, Paris, 1917. In/8 (18 x 12 cm) reliure demi-basane havane, dos à nerfs , pièce de titre chaînette et fleuron dorés, couverture conservée, 277 pages. Edition originale.
Editions Seghers, collection “Poètes d’aujourd’hui”, 1956. In/12 carré broché, couverture illustrée, planches en noir, 203 pages.
Bibliographie, choix de textes.
Librairie Alphonse Lemerre, Paris, 1876. In/12 broché, gravure en frontispice, 358 pages.
Editions Colbert 1943, grand in/8 broché, couverture rempliée, 122 pages. Illustrée de 19 compositions de Calbet en couleurs. Exemplaire numéroté, tirage 851 exemplaires.
Editions du Panthéon, collection "Le Panthéon des Lettres", Paris 1945, In/8 reliure demi-basane créme, dos à nerfs, couvertures et dos conservés, dos à nerfs, 296 pages. Illustrations en noir de Edou Martin. Exemplaire numéroté.
Librairie académique Perrin et Cie. 1927, In/8 broché, 313 pages, exemplaire numéroté, à toutes marges sur papier Vergé pur fil des Papeterie Lafuma.
Paris, à l’enseigne du pot cassé, Bibliotheca Magna, 1928. In/8 broché, couverture illustrée, illustrations (Bois) en noir de Henry Chapront , 217 pages. Exemplaire numéroté (N° 67 sur papier de Bornéo). Mise en trois actes avec transcription en vers modernes en regard du texte du XVé siècle par Edouard Fournier.
Ferenczi et fils éditeurs, Paris, 1923. In-8 (18 x 12 cm) cartonnage à la bradel, dos à pièce de titre, couvertures et dos conservés, 272 pages. Edition originale.
Jean d’Esme, pseudonyme du vicomte Jean Marie Henri d’Esmenard ( 1894 à Shanghai - 1966 à Nice) fut journaliste et écrivain. Spécialiste du roman colonial dont le plus connu et le plus original est Les Dieux rouges, roman fantastique qui se passe en Indochine française.
Paris Lbrairie Plon, collection : "Feux croisés ames et terres étrangères"1941, in/8 reliure en demi-basane rouge, dos à nerfs, 372 pages.
Calmann Lévy 1880/1881, Paris, in/8, 6 volumes, reliure en demi-basane marron, dos à nerfs. 470p., 457p., 454p., 426p., 497p., 529 pages. In fine la liste des artistes qui ont créé les rôles des pièces contenues dans ces six volumes.
"Petit-fils du romancier Guillaume Pigault-Lebrun, Émile Augier naît à Valence. Son père, Victor Augier, est avocat à la cour de cassation. Il reçoit une éducation soignée et lorsque sa famille s'installe à Paris en 1828, il poursuit des études brillantes au lycée Henri-IV, où il a comme condisciple le duc d'Aumale, puis à la faculté de droit et se destine d'abord au barreau, tout en ébauchant des pièces de théâtre. En 1844, son drame La Ciguë, refusé par la Comédie-Française, a un énorme succès à l'Odéon. Il devient en 1848 le bibliothécaire de son ancien condisciple, Henri d'Orléans, duc d'Aumale...Ce début tonitruant lance sa carrière dramatique, qui est dès lors ponctuée de grands succès. Il est élu à l'Académie française le 31 mars 1857 et fut reçu le 28 janvier 1858 par Pierre-Antoine Lebrun. En 1862, Le Fils de Giboyer, qui attaque le cléricalisme, n'est joué que sur l'intervention personnelle de Napoléon III. Sa dernière comédie, Les Fourchambault, est jouée en 1878. Il est nommé sénateur à la fin de l'Empire, puis conseiller municipal de Croissy-sur-Seine."
Editions Robert Laffont, 1994, collection "Vécu" sous la direction de Charles Ronsac, in/8 broché, 216 pages. Dédicace de l'auteur.
Bibliothèque Grasset éditeur, Paris, 1928. In/8 (21 x 14 cm) broché, couverture imprimée et rempliée, 256 pages. Exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur.
Le Club Français du Livre 1957. Grand in/8 carré en reliure éditeur noir, vignette sur le plat, 243 pages, exemplaire numéroté, dessins d'Holbein dans les marges de l'ouvrages, in fine vie d'Erasme, chronologie comparée, notes.
A l’enseigne du pot cassé, Paris, 1934. In/12 broché, couverture illustrée en couleur, illustrations en noir in-texte, 1 frontispice, et couverture par Albert Puyplat, 286 pages. Exemplaire numéroté sur papier de Bornéo.
Couverture composée par Albert Puyplat, frontispice dessiné par André Deslignères d’après le tableau de Holbein ; les quatre-vingt-cinq vignettes sont des reprints de Holbein (exemplaire de “L’éloge de la folie” conservé au Musée de Bâle.
Jean-Jacques Pauvert éditeurs, Paris, 1963, 512 pages .XII Contes Vosgiens - Le brigadier Frédéric - Les trois amoureux de la grand-mère - Le grand-père Lebigre et autres contes. Gravures en noir.
Collection "Athéna-Luxe" 1950, in/8 reliure en demi-basane rouge, dos à nerfs, pièce de titre vert olive, 207 pages. Illustrations en couleurs de Claude Chopy, bandeaux et cul-de-lampe d'après les originaux de l'artiste. Exemplaire numéroté.
Le grand livre du mois, collection "Les trésors de la littérature", 1995. In/8 reliure éditeur simili maroquin blanc, dos à nerfs à filets et titre doré, 129 pages. Traduction par MM. du Rozoir, Charpentier, Trognon, Baillard.
Eschyle, né à Éleusis vers 526 av. J.-C., mort à Géla Sicile en 456 av. J.-C., est le plus ancien des trois grands tragiques grecs. Précédé d'autres tragédiens, il participe à la naissance du genre grâce à certaines innovations, comme le nombre d'acteurs qu'il porte à deux selon Aristote. Treize fois vainqueur du concours tragique, il est l'auteur d'une centaine de pièces dont sept seulement nous ont été transmise
Club Français du Livre, 1965. Collection "les portiques" N° 39. In/8 (21 x 14 cm) reliure éditeur façon plein maroquin vert, titres dorés, 476 pages. Exemplaire numéroté. Traduction de Paul Mazon, maquette de Pierre Faucheux.