27 books for « chez grand pere »Edit

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‎"Gisèle Vallerey Kennedy"‎

Reference : 1312

(1936)

‎"Chez grand-père"‎

‎"1936. Paris Fernand Nathan Editeur 1936 - Broché 20 cm x 26 cm 28 pages - Texte de Gisèle Vallerey - Ills in et hors-texte couleur et noir et blanc de A.E. Kennedy S. Lloyd et Harold Earnshaw - Bon état - 4 chapitres des aventures de Dédé et Mimi chez leur grand-père : L'heureux temps ; Commencement des tribulations de Poucet ; Fin des tribulations de Poucet ; Le cousin Lucien" "Nous disposons d'un stock important de livres pour la jeunesse. N'hésitez pas à nous contacter"‎


Librairie Sedon - Rochefort

Phone number : 06 19 22 96 97

EUR40.00 (€40.00 )

‎VALLEREY Gisèle. ‎

Reference : 13754

‎Chez Grand Père‎

‎ In 8 cartonné, dos pincé toilé avec titre en long 200x255mm. Premier illustré en couleurs (une vignette contrecollée) frontispice en couleurs, titre 28 pages, 1 page de table 20 illustrations en noir dans le texte et 8 en couleurs, hors texte, sur papier couché, y compris le frontispice de A.E KENNEDY, S.LLOYD et Harold EARNSHAW. Fernand Nathan sans date (1935) Bon exemplaire.‎


Charbonnel - Bar le Duc

Phone number : 03 29 79 40 63

EUR40.00 (€40.00 )

‎Collectif‎

Reference : 012682

(1949)

‎HEIDI N° 5 : De Retour Chez Grand-père‎

‎Paris Télé-guide / Eurédif 1949 In Quarto Collection " Comme à la télévision " . Avec les vrais personnages de la télévision . Photographies du film tout en couleurs . - 50 p. , 450 gr.‎


‎Couverture rigide Très Bon État . 1° édition‎

Phone number : 04 67 98 96 91

EUR12.00 (€12.00 )

‎VALLEREY Gisèle Illustrations de A. E. Kennedy - S. Lloyd et Harold Earnshaw.‎

Reference : 79728

(1935)

‎Chez grand-père.‎

‎Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. 28 pages. Défraîchi.‎


‎Livre. Illustrations de A. E. Kennedy - S. Lloyd et Harold Earnshaw. Editions Nathan, 1935.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR13.50 (€13.50 )

‎ROYANNEZ Ad.‎

Reference : RO70051477

‎CHEZ GRAND PERE‎

‎PICARD & KAAN Bibliothèque d'éducation récréative. sans date. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 12ème série, 6ème édition. 125 pages illustrées de gravures noir et blanc in et hors texte. Frontispice illustré. Dos absent.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎ROYANNEZ Ad.‎

Reference : RO80085504

(1886)

‎Chez Grand-Père.‎

‎PICARD-BERNHEIM & Cie.. 1886. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 110 pages. Frontispice en noir et blanc. Quelques gravures en noir et blanc, en planches.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎Collection Picard. Bibliothèque d'Education Récréative. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO40151481

‎HEIDI, N° 5, DE RETOUR CHEZ GRAND-PERE‎

‎Eurédif. Non daté. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. 50 pages. Illustré de nombreuses photos en couleur.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎


‎'Télé Guide'. Comme à la télé. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R160133538

‎TELEGUIDE. HEIDI. N°5. DE RETOUR CHEZ GRAND-PERE‎

‎TELE GUIDE. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages. Nombreuses photos tirées de la télévision en couleurs et quelques illustrations en noir et blanc dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎ Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R200053940

‎HEIDI N°5- DE RETOUR CHEZ GRAND PERE‎

‎INTERTEL TELEVISION. NON DATE. In-4. Relié. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages- nombreuses illustrations en couleurs dans le texte. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎


‎TELEGUIDE EUREDIF Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎COLOMB J.‎

Reference : RO30137007

(1922)

‎MAITRE PIZZONI - COLLECTION BIBLIOTHEQUE DES ECOLES ET DES FAMILLES - L'ELEVE DE LEONI - LE CHANTEUR FLORENTIN - TANTE GERTRUDE - UNE SIGNATURE - CHEZ GRAND-PERE‎

‎LIBRAIRIE HACHETTE. 1922. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Mouillures. 189 pages augmentées de quelques planches en noir et blanc - traces de mouillures essentiellement en début d'ouvrage, au niveau des tranches, sans conséquence réelle pour la lecture - coiffes abimées. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎5e édition Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎VALLEREY Gisèle‎

Reference : 2121

‎Chez Grand-Père.‎

‎Paris, Fernand Nathan, 1935, in-8 cartonnage de l'éditeur avec une vignette (Butler), 28 pp avec quelques planches hors-texte en couleurs (illustrateurs divers) et des illustrations en n&b dans le texte (A.E. Kennedy, S. Lloyd et Harold Earnshaw). Couverture en bon état, intérieur très bon (frais).‎


‎AUTRES TITRES DISPONIBLES du même auteur. ‎

Phone number : 06 34 99 23 95

EUR15.00 (€15.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110157552

(2009)

‎LA VIE DE LA MOTO N° 552 - La fille du destin, Du 6 au 15 février Rétromobile vous attend, De l'exception chez Artcurial, Les motos de mon grand père, Enfin des motocyclettes, théo chez les Incas, Panorama des bicylindres loufoques, Le twin anglais‎

‎LVA. 5 février 2009. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 40 pages. Texte en colonnes. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La fille du destin, Du 6 au 15 février Rétromobile vous attend, De l'exception chez Artcurial, Les motos de mon grand père, Enfin des motocyclettes, théo chez les Incas, Panorama des bicylindres loufoques, Le twin anglais sur roulettes, Terrot 500 RSS, assemblage et centrage du vilo Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10087529

(1995)

‎PARIS MATCH N° 2397 - Paul Newman, la nouvelle vie du septuagénaire le plus sexy du monde, Marine Picasso : mon grand père a tout détruit autour de lui, Gerhard Berger : j'épouse Anna, nous aurons un bébé en octobre, Tous chez Jospin, dès vendredi, Delors‎

‎PARIS MATCH. 4 mai 1995. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 124 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Paul Newman, la nouvelle vie du septuagénaire le plus sexy du monde, Marine Picasso : mon grand père a tout détruit autour de lui, Gerhard Berger : j'épouse Anna, nous aurons un bébé en octobre, Tous chez Jospin, dès vendredi, Delors, Martine Aubry, Rocard et Strauss Kahn se préparent a sa victoire du premier tour Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086142

(1968)

‎PARIS MATCH N° 1010 - Le seul péril, La révolte des étudiants en médecine de Paris, La semaine que la Roumanie a vécu dans l'angoisse, Olivier Guichard parle du problème des régions, Qui a tué l'infirmière ?, Le petit prince chez son grand père Monpezat‎

‎PARIS MATCH. 14 septembre 1968. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Le seul péril, La révolte des étudiants en médecine de Paris, La semaine que la Roumanie a vécu dans l'angoisse, Olivier Guichard parle du problème des régions, Qui a tué l'infirmière ?, Le petit prince chez son grand père Monpezat, Un député français suggère la création d'un parlement breton Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110302270

(1899)

‎LA REVUE MAME N° 270 - Les maréchaux de Napoléon - Prince Poniatowski par Gérard de Beauregard, L'esclavage chez les fourmis par Henri Coupin, La parole du grand-père par André Lemoyne, Les rivagiers (suite et fin) par Paul Bory, Le livre d'étrennes‎

‎ALFRED MAME ET FILS. 3 DECEMBRE 1899. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 145 à 160. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Journal hebdomadaire de la famille. Sommaire : Les maréchaux de Napoléon - Prince Poniatowski par Gérard de Beauregard, L'esclavage chez les fourmis par Henri Coupin, La parole du grand-père par André Lemoyne, Les rivagiers (suite et fin) par Paul Bory, Le livre d'étrennes par Paul et Victor Margueritte Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎LE VICOME PONSON DU TERRAIL‎

Reference : R240075012

(1857)

‎LE LION DE VENISE - Les oranges de la marquise - chez mon grand père - la dragonne du chevalier - le marquis de pré gilbert - la pupille de henri IV - La fée de noël - les folies d'une chanoinesse - la clef du jardin - le trésor mystérieux etc.‎

‎CHARLIEU. 1857. In-12. Relié. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Rousseurs. 307 pages - étiquettes collées sur la page de titre - plats et contre plats marbrés - coins frottés - étiquette orange sur les plats - dos désolidarisé - fortes rousseurs sans réelle conséquence sur la lecture - tranches salies.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎


‎Vendu en l'état - Exemplaire de travail - Les oranges de la marquise - chez mon grand père - la dragonne du chevalier - le marquis de pré gilbert - la pupille de henri IV - La fée de noël - les folies d'une chanoinesse - la clef du jardin - le trésor mystérieux - a trente ans - le vase de chine - le quatrain du vicomte - le rêve d'or. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎

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‎SARCEY (Francisque) : Journal de Jeunesse (1839-1857). Recueilli et annoté par Adolphe BRISSON et suivi d'un choix de Chroniques (Fagots, Notes de la Semaine, Grains de Bon Sens). Préface d'O. GREARD. Paris, Bibliothèque des Annales Politiques et Littéraires, sans date ([1903]. In-8 « carré », (3) ff.[blanc, faux-titre, titre]-XXVI-416pp., broché, couverture rempliée imprimée illustrée beige, sous chemise de toile saumon, dos lisse muet, titre doré sur le plat supérieur (traces de fentes pour les lacets qui ont disparu ; assez bel exemplaire non coupé). Préface d’Octave GREARD (Vire, 1828 – Paris, 1904), Académicien et ami de l’auteur. ‎

Reference : 80043-1

(1903)

‎AUTEUR : Francois, dit Francisque, SARCEY (Dourdan, 8 octobre 1827 – Paris, 20 mai 1899) ; sur le site geneanet, il était un des petits-fils d’un « ouvrier en soierie » lyonnais, terme pudique évitant celui de « canut », à la connotation subversive ; du côté maternel, il descendait d’une famille de petite noblesse, les « de Brunel de Serbonnes » ; son arrière- grand-père, Louis-François (1743-1802) était « Écuyer, seigneur de Serbonnes ». Si, dans ses « Souvenirs de jeunesse » (Paris, Ollendorff, 1885), Sarcey ne renie pas ses origines modestes, étant le "onzième enfant d’une famille de canuts lyonnais » (p.2), en revanche, côté maternel, « ma grand-mère était renommée pour la franchise brusque de son style (…) qui était vraiment incroyable chez une très honnête femme, marquise de plus, et marquise authentique s’il vous plaît, aux propos salés et aux mots crus ». Néanmoins, « elle était avec cela d’une dévotion outrée et d’un implacable légitimisme (p. 257). Voilà pour le roman de chevalerie, dans lequel la princesse épouse le manant. La fantaisie ne fait que commencer [NOTE 1] On n’insistera pas sur le parcours de l’auteur, républicain modéré, hors du commun mais contre la Commune… [NOTE 2] TEXTE : les « Chroniques » sont extraites du Temps, du Figaro et des Annales. Illustré de deux planches hors-texte, reproduites en photogravure (frontispice , d’après un Daguerréotype, et portrait en pied, daté:1857, p. 272, tirés sur papier fin) et de trois fac-similés in-texte pp. 21, 67, 118). ESSAI DE DATATION Aujourd’hui, 21/10/2023, quinze exemplaires sont proposés sur LRB :on a le choix entre, sans date [7] sans date (1903) [1], circa 1900 [4] ; deux péremptoires, 1900 [1] et 1895[1] ; un petit dernier ne propose pas de date… Qu’en est-il vraiment ? Un petit saut sur « Gallica » permet de résoudre ce faux vrai problème : la date de l’édition est donnée par Otto LORENZ , in « Catalogue général de la Librairie française », Paris, R. Jordell et Nilsson, 1909 (p.600) : 1903. Dans les fonds publics, les exemplaires « ordinaires » ne manquent pas ; l’ouvrage est annoncé généralement « sans date », quelquefois daté [1903] ; à l’exception d’une fiche figurant au SUDOC (dans sept bibliothèques, parfois prestigieuses), d’une part, à la date de 1860… année de naissance de Brisson (comme quoi la valeur n’attend point, etc. ) , d’autre part, avec la mention « Per Lamm », du nom du co- créateur des éditions Nilsson… en 1885 ! ‎

‎EDITION ORIGINALE posthume du journal de ce célèbre journaliste et critique littéraire (Dourdan, 1827 – Paris, 1899), publié par son gendre Adolphe BRISSON (Paris, 1860 – 1925) qui fut aussi Directeur des Annales Politiques et Littéraires. TIRAGE : En dehoirs du tirage ordinaire, au format in-12 ou in-16 (cm 12 x 19,5), il existe, au même format, un tirage numéroté montrant sur le faux-titre : « Exemplaire N°____ Hommage de l’auteur à M…………. », tirage important , non annoncé (voir à la B.M de Grasse, l’exemplaire n°2386, dédicacé par A. Brisson à Mme de Maupassant ( Laure Le Poitevin, mère de Guy, qui mourut à Nice, le 9 décembre… 1903 (AD06, Décès 1903, n°2914) ; un autre, n° 2214, « à M. Gérard », non daté (BNF, 31298404, Gallica) ; un dernier, vu sur Abebooks en 2021, portait le N° 683 ( en Germanie). Enfin, on trouvera de rares exemplaires – dont celui-ci- imprimés sur papier VERGÉ de HOLLANDE filigrané « Van Zonen », au format in-8 (cm16,5 x 19), à grandes marges (bordures des témoins un peu défraîchies), non justifiés, non annoncés (couverture différente). ‎


‎PROVENANCE : Exemplaire issu de la bibliothèque d’ANATOLE FRANCE, enrichi d’un envoi autographe signé d’Adolphe BRISSON « A [sic] Anatole France, en souvenir de Sarcey ». Exemplaire EXCEPTIONNEL. [NOTE 1] Sur des sites aussi sérieux que ParisMusée (Carnavalet) et BNF (data-bnf.fr) on découvre l’existence d’un parfait homonyme, Francisque SARCEY de SUTIERES (ou Suttières), miraculeusement né à Dourdan et décédé à Paris aux mêmes dates que notre Francisque, affublé parfois d’un pseudonyme « Bonhomme Chrysale », présenté comme notre auteur. Un site aussi sérieux que les précédents, le CTHS, va contribuer à casser ce mythe assez fréquent sur la toile : Le « Bonhomme Chrysale » était un pseudonyme utilisé par … Adolphe Brisson, gendre de Sarcey ; confirmation sur … la BNF : A. Brisson… forme rejetée « Bonhomme Chrysale », pseudonyme. Néanmoins, la tradition a la vie dure : - sur Wikipedia Deutschland, la légende a été reprise, avec une « source » minutieuse, in Lilian Straus-Horkheimer ; (F.S.) als Theaterkritiker. Geinhausen, Dissertation [Thèse] Frankfurt /Main, 1937. - sur geneanet british, avec une référence à Wikipedia. Plus près de nous, - dans Desurvire, Emmanuel : Charles Edmond Chojecki, patriote polonais (…) dramaturge, romancier, journaliste. Chez l’auteur, 2011-2014 . Biographie en six volumes (BNF 42567201) (tome III, Annexe VI. Index des noms cité, p. 440)… Liste non exhaustive. [NOTE 2] supprimée par l’Otto censure. BUR(H5/1) ‎

Roland Gautier - Jurançon

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EUR130.00 (€130.00 )

‎Collectif‎

Reference : R300301725

(2005)

ISBN : 2700231228

‎Cadeau mortel - Cinq nouvelles policières : Réveillon chez Magali par Lorris Murail - Du sang sur la neige par Evelyne Brisou-Pellen - L'habit rouge par Sarah K. - Comment j'ai tué mon grand-père par Catherine Missonnier - Lettres au père noël parS.Daniel‎

‎Rageot. 2005. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 153 pages. Léger accroc en coiffe de pied. 1er plat frotté.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎


‎"Collection ""Heure noire"". Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants"‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO80174681

(2005)

ISBN : 2700231228

‎CADEAU MORTEL : REVEILLON CHEZ MAGALI - DU SANG SUR LA NEIGE - L'HABIT ROUGE - COMMENT J'AI TUE MON GRAND-PERE - LETTRES AU PERE NOEL‎

‎RAGEOT. 2005. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 153 Pages. 1 Illustration en couleur sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

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‎LAIR Maire de Fréville‎

Reference : 45935

(1869)

‎Carnet manuscrit du voyage en Italie en l'année 1869 de M. Lair, maire de Fréville : "1869. Départ de Barentin le 1er février [ ... ] A Chambéry Statue d'Antoine Favre ancien premier président du Sénat de Savoie. En face palais de justice qui a été construit il y a 10 ans - sans style [ ... ] De l'hôtel des princes on aperçoit à gauche de très hautes montagnes couvertes de neige [ ... ] Le théâtre est neuf et très confortable. Le directeur y faisait répéter un drame. La fontaine des éléphants et du plus mauvais style [ ... ] L'ancien château des Ducs de Savoie, construit sous les romains, a été incendié il y a 50 ans environ, il sert de préfecture [ ... ] Quelques ouvriers se plaignent de l'annexion à cause disent-ils des impôts qu'ils paient mais la généralité des habitants est satisfaite. Une particularité à noter c'est que dans le château les ducs de Savoie y ont reçu tous les princes de l'Europe & que lors de ces réceptions les domestiquesau nombre de 2 ou 4 étaient montés sur des chevaux costumés du stylke de l'époque mais avec une cravate blanche & gilet noir [ ... il évoque le trajet en train :] Ma chère Angèle a éprouvé le mal de mer. Quant à moi je n'ai souffert un peu que lorsque nous nous sommes trouvés dans un tunnel construit en planches pour éviter les avalanches de neige. La fumée de la locomotive étant entrée dans notre wagon quoique tout fut fermé un commencement d'asphyxie s'est emparé de nous. Impossible de renouveler l'air, car ayant essayé d'ouvrir, un nuage de vapeur est entré et nous a fait regretter cette action (ce parcours est vraiment merveilleux). Nous sommes arrivés à Turin à minuit où nous sommes descendus à l'hôtel Grombetta [ ... suite la visite de Milan dont : ] Assisté à la représentation des Huguenots au théâtre de la Scala, le plus grand de l'Italie. Forte chanteuse très bonne. autres acteurs médiocres. ensemble orchestre & choeurs bons [ ... Passage à Venise : ] Descendus hôtel de l'Europe sur le Grand Canal. Cet hôtel est princier, on y parle bien le français. A la table d'hôtel français surtout quelques anglais & peu d'italiens. beau service & excellente nourriture (maître d'hôtel de Marseille) [ ... ] Après dîner loué une gondole à deux rameurs & 20 chanteurs gondoliers pour une heure. 10 choeurs au moins nous ont été chantés. harmonie ensemble et précision admirable voix superbes surtout les basses. les trois choeurs chantés sous le pont Rialto nous ont produit un effet saisissant. L'on peut dire de ces chanteurs qu'ils sont des artistes improvisés mais qui ont le sentiment du beau. [Passage à Bologne puis Florence : ] Descendus à l'hôtel Royal de l'Arno. De plus en plus princier [ ... Arrivée à Rome : ] Descendus à l'hôtel de Russie. Vu Mgr Bastide gracieuse réception vu M. l'abbé Clerc place Lancellotti 4 [ ... Dimanche 21 : ] Diné chez Mr Hébert directeur de l'Académie, en compagnie d'un peintre & de pensionnaires. 10 à table. Mme Hébert mère était souffrante et n'est pas descendue. Reste à la soirée. Belle société. Causé au prince de Solms [ ... Dimanche 28 Février : ] Assisté à l'audience de N St Père le Pape. Assez nombreuse réunions réception fort paternelle ma chère Angèle a demandé & obtenu du St Père la bénédiction de son anneau nuptial et une bénédiction particulière pour nous deux. Le pape après avoir parlé à tous ceux qui le désiraient a fait une courte allocution & a pris pour sujet (comme il le fait toujours) l'évangile du jour (le possédé du démon aujourd'hui) & a donné avec la plus grande onction et la plus grande bonté & conviction qu'il soit possible d'exprimer la bénédictionà tous ceux qui étaient là. il a aussi béni les croix, les chapelets qui lui étaient présentés. Notre St Père est plein de santé et de la plus grande affabilité ... Son allocution a été fait en français [ ... ] Rencontré le Pape dans une voiture attelée de 4 chevaux. Figure toujours bonne. Tout le monde se découvre beaucoup se mettent à genoux pour recevoir sa bénédiction. Trois dragons à cheval distancés de chacun 60 pas au moins annoncent le passage du St Père. 2 autres voitures de Cardinaux le suivaient. Escorte d'une douzaine de Dragons [ ... mardi 2 mars ] Vu l'abbé Clerc qui m'a remis le bref par lequel Notre Saint Père Pie IX a accordé sur ma demande un autel privilégié (Grand Autel) pour l'Eglise de Duclair à perpétuité. Le bref relatif à l'indulgence plénière pour Chapelet est (illisible) mais M. l'Abbé Clerc n'a pas pu encore l'obtenir il me l'enverra à Epinay [ ... Retour pittoresque en France, passage par le Mont-Cenis le 6 mars :] Trajet extraordinaire, incroyable, très dangereux. Quantité de neige comme on en avait pas vu depuis des années. Notre traineau s'est renversé en route, chevaux et mules tombés. Voiture accrochée par d'autres venant en sens inverse ... à un certain endroit nous nous sommes trouvés à 4 mètres au-dessus de la route et au bord d'un précipice. Couché à l'hôtel de la poste où le maître est très bourru - fort cher‎

‎1 carnet de notes format in-12, contenant dont 33 p. relatant un voyage en Italie dont nous proposons quelques extraits : Carnet manuscrit du voyage en Italie en l'année 1869 de M. Lair, maire de Fréville : "1869. Départ de Barentin le 1er février [ ... ] A Chambéry Statue d'Antoine Favre ancien premier président du Sénat de Savoie. En face palais de justice qui a été construit il y a 10 ans - sans style [ ... ] De l'hôtel des princes on aperçoit à gauche de très hautes montagnes couvertes de neige [ ... ] Le théâtre est neuf et très confortable. Le directeur y faisait répéter un drame. La fontaine des éléphants et du plus mauvais style [ ... ] L'ancien château des Ducs de Savoie, construit sous les romains, a été incendié il y a 50 ans environ, il sert de préfecture [ ... ] Quelques ouvriers se plaignent de l'annexion à cause disent-ils des impôts qu'ils paient mais la généralité des habitants est satisfaite. Une particularité à noter c'est que dans le château les ducs de Savoie y ont reçu tous les princes de l'Europe & que lors de ces réceptions les domestiquesau nombre de 2 ou 4 étaient montés sur des chevaux costumés du stylke de l'époque mais avec une cravate blanche & gilet noir [ ... il évoque le trajet en train :] Ma chère Angèle a éprouvé le mal de mer. Quant à moi je n'ai souffert un peu que lorsque nous nous sommes trouvés dans un tunnel construit en planches pour éviter les avalanches de neige. La fumée de la locomotive étant entrée dans notre wagon quoique tout fut fermé un commencement d'asphyxie s'est emparé de nous. Impossible de renouveler l'air, car ayant essayé d'ouvrir, un nuage de vapeur est entré et nous a fait regretter cette action (ce parcours est vraiment merveilleux). Nous sommes arrivés à Turin à minuit où nous sommes descendus à l'hôtel Grombetta [ ... suite la visite de Milan dont : ] Assisté à la représentation des Huguenots au théâtre de la Scala, le plus grand de l'Italie. Forte chanteuse très bonne. autres acteurs médiocres. ensemble orchestre & choeurs bons [ ... Passage à Venise : ] Descendus hôtel de l'Europe sur le Grand Canal. Cet hôtel est princier, on y parle bien le français. A la table d'hôtel français surtout quelques anglais & peu d'italiens. beau service & excellente nourriture (maître d'hôtel de Marseille) [ ... ] Après dîner loué une gondole à deux rameurs & 20 chanteurs gondoliers pour une heure. 10 choeurs au moins nous ont été chantés. harmonie ensemble et précision admirable voix superbes surtout les basses. les trois choeurs chantés sous le pont Rialto nous ont produit un effet saisissant. L'on peut dire de ces chanteurs qu'ils sont des artistes improvisés mais qui ont le sentiment du beau. [Passage à Bologne puis Florence : ] Descendus à l'hôtel Royal de l'Arno. De plus en plus princier [ ... Arrivée à Rome : ] Descendus à l'hôtel de Russie. Vu Mgr Bastide gracieuse réception vu M. l'abbé Clerc place Lancellotti 4 [ ... Dimanche 21 : ] Diné chez Mr Hébert directeur de l'Académie, en compagnie d'un peintre & de pensionnaires. 10 à table. Mme Hébert mère était souffrante et n'est pas descendue. Reste à la soirée. Belle société. Causé au prince de Solms [ ... Dimanche 28 Février : ] Assisté à l'audience de N St Père le Pape. Assez nombreuse réunions réception fort paternelle ma chère Angèle a demandé & obtenu du St Père la bénédiction de son anneau nuptial et une bénédiction particulière pour nous deux. Le pape après avoir parlé à tous ceux qui le désiraient a fait une courte allocution & a pris pour sujet (comme il le fait toujours) l'évangile du jour (le possédé du démon aujourd'hui) & a donné avec la plus grande onction et la plus grande bonté & conviction qu'il soit possible d'exprimer la bénédictionà tous ceux qui étaient là. il a aussi béni les croix, les chapelets qui lui étaient présentés. Notre St Père est plein de santé et de la plus grande affabilité ... Son allocution a été fait en français [ ... ] Rencontré le Pape dans une voiture attelée de 4 chevaux. Figure toujours bonne. Tout le monde se découvre beaucoup se mettent à genoux pour recevoir sa bénédiction. Trois dragons à cheval distancés de chacun 60 pas au moins annoncent le passage du St Père. 2 autres voitures de Cardinaux le suivaient. Escorte d'une douzaine de Dragons [ ... mardi 2 mars ] Vu l'abbé Clerc qui m'a remis le bref par lequel Notre Saint Père Pie IX a accordé sur ma demande un autel privilégié (Grand Autel) pour l'Eglise de Duclair à perpétuité. Le bref relatif à l'indulgence plénière pour Chapelet est (illisible) mais M. l'Abbé Clerc n'a pas pu encore l'obtenir il me l'enverra à Epinay [ ... Retour pittoresque en France, passage par le Mont-Cenis le 6 mars :] Trajet extraordinaire, incroyable, très dangereux. Quantité de neige comme on en avait pas vu depuis des années. Notre traineau s'est renversé en route, chevaux et mules tombés. Voiture accrochée par d'autres venant en sens inverse ... à un certain endroit nous nous sommes trouvés à 4 mètres au-dessus de la route et au bord d'un précipice. Couché à l'hôtel de la poste où le maître est très bourru - fort cher‎


‎On joint une reproduction d'un tableau de la baie du Mont Saint Michel avec ex-dono "A Monsieur Lair maire de Fréville", Avranches, 5 avril 1875, par Augusta Dumonteil. Le carnet est en état modeste (fort frotté avec nombreuses traces d'usure)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR340.00 (€340.00 )

‎MUGNIER, Abbé ; (MUGNIER, Abbé Arthur) ; (PIERLOT, Baronne)‎

Reference : 64928

(1894)

‎Correspondance d'environ 80 pièces autographes signées ou signées adressées par l'Abbé Mugnier à la Baronne Pierlot [ 1893 - 1943 ] [ Contient notamment : ] 1 L.A.S. de 5 pp. datée de Paris, le 18 septembre 1893 : "Madame, Mgr l'Archevêque qui a voulu, bien malgér moi, mon avancement hiérarchique, m'a nomme second Vicaire de Notre-Dame des Champs. Cette paroisse n'est pas d'ailleurs trop éloignée de celle que je quitte, et quoique de date assez récente, elle jouit d'un bon renom de piété. J'ai pris un appartement au premier, 46 rue Notre-Dame des Champs, un peu plus haut que Stanislas. Mes nouvelles fonctions m'assujettissent à une plus stricte résidence, on me trouve chez moi à la sacristie tous les jours jusqu'à 4 h. [... ] J'ose espérer, Madame, que nos bons rapports continueront, grâce à cette proximité relative. Un grand voyage que j'ai entrepris, à travers l'Allemagne du Nord, de Cologne à Berlin, en passant par Leipzig et Iéna, m'a seul privé du plaisir de vous saluer avant les vacances de vos enfants. Il n'est pas un champ de bataille dont je n'ai visité les coins et recoins, avec quelle émotion, vous devez le penser ! Et comme la Providence favorise généralement la curiosité, il m'a été donné de rencontrer le Prince de Bismarck se rendant aux eaux de Kissingen. En visiteur décrépit qui saisissait, d'une main avide, les bouquets de fleur qu'on lui offrait... comme de simples provinces françaises [ ... ]". - 1 L.A.S de 4 pp. datée de la Crête, le 13 décembre 1909 : "[ ... ] J'utilise des loisirs forcés en réalisant un vieux rêve qui est de visiter la Grèce, celle d'autrefois, celle d'aujourd'hui. Tant de monuments et de souvenirs me consolent un peu des vilenies humaines. Quelle n'a pas été ma joie, à Colone, près d'Athènes, de voir la stèle qui renferme le coeur de M. Charles Lenormant, le beau-père de votre amie [ .... ]." - 1 L.A.S de 4 pp. sur papier bleu, datée de Paris, le 5 septembre 1910 : "[ ... ] Madame, Voici plus de trois semaines que j'ai quitté Ouchy, rappelé par Monseigneur l'Archevêque qui m'a nomme aumônier des Soeurs de St Joseph de Cluny. Je m'installe, en ce moment, 7 rue Méchain, à côté du couvent. J'ai, dans le voisinage, les hôpitaux et l'Observatoire. Ici on découvre des plaies, là des étoiles. [... ] - 1 carte postale datée du 19 août 1914 : "Chère Madame, j'étais passé rue Cassette pour avoir de vos nouvelles et de celles de vos enfants. Où sont-ils ? Voilà une tragédie qui commence, plus vraie encore que celle de Claudel ! Pauvre humanité qui pourrait être héroïque à moindre frais, si cela savait se contenter des champs-de-bataille de l'âme ! [... ]" - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 2 juillet 1918 : "[... ] Chère Madame, j'arrive de [... ] où j'ai été bénir un mariage, et je trouve le splendide portrait de Barbey d'Aurevilly qui m'attendait. Comme je vous suis reconnaissant de ce souvenir qui vous regarde et vous parle ! Les romantiques avaient du bon. Ils vivaient ailleurs. Corrigeons leurs excès, [... ] leurs fulgurants rayons. Ayons un pied dans tous les systèmes. Mais que je comprend votre présente indifférence à tout ! C'est le lendemain des catastrophes où l'on reste étendu sur la route, avec ou sans le [don ? ] humanitaire. Le voudrait-on d'ailleurs s'il se présentait ? Il nous remuerait trop pour nous soigner corps et âme. Rappelez-vous le mot de Madame de Beaumont souffrante au cher égoïste Chateaubriand : "Il faut laisser tomber les flots". Flots de larmes c'est [certain ? ]. J'ai retrouvé les Aman-Jean [... ]" - 1 L.A.S. de 8 pages sous enveloppe, datée du 13 novembre 1919 : "Chère Madame, j'ai trop donné d'absolutions dans ma vie pour ne pas réclamer la vôtre aujourd'hui. Vous aurez pitié de moi quand vous saurez que [ ... ] 4000 volumes sont à peu près à terre et que j'ai dû faire faire une nouvelle bibliothèque [... ]. [... ] Je ne condamne pas mon temps, certes, j'envie les générations qui montent à l'horizon, votre chère petite fille... Mais je regrette comme vous, de n'avoir pas été un des familiers de Nohant, soit sous Louis-Philippe, soit sous le Second Empire et jusqu'en 1876. Il y a, dans ces lettres, trois ou quatre Sand au moins. Toutes me ravissent, comme des spécimens de cette vertu humaine que j'aime quand elle ne [... ] personne, qu'elle est aimante, un peu romantique et arrière petite fille de Jean Jacques. [ ... ] Je vais tous les ans à Nohant. J'éprouve une invincible mélancolie à n'avoir pas connu ce passé, et je le crie aux vieux arbres du jardin, aux fleurs plantées par elle, à tous les horizons de la Vallée Noire. Presque tout le monde aujourd'hui déteste G. Sand. Barrès m'avouait qu'il ne l'avait pas lu. Paul Valéry ne la goûte pas davantage. Et moi je veux goûter Paul Valéry, Barrès et les autres, sans oublier G. Sand. Ne nous privons d'aucune joie [...]." - 1 L.S. de 4 pp. daté du 7 rue Méchain le 4 mai : " Chère Madame la Baronne, le gâteau est arrivé splendide et savoureux, confectionné selon toutes les règles et toutes les inspirations de Brillat-Savarin. Je félicite l'artiste qui l'a confectionné , je remercie la châtelaine qui me l'envoie [... ]. Ce que vous me dites de Madame de Noailles est exquis ; elle vous aimait et son affection était toujours une forme de l'admiration. En réalité, personne ne l'a remplacée. Qui sait si Claudel ne finira pas par s'humaniser ? Son érudition est magnifique, il parle de la Bible comme un prophète. Je n'oublierai jamais que c'est chez vous que je l'ai rencontré pour la première fois. C'était avant la guerre. La Princesse Bibesco m'a toujours parlé de sa "Connaissance de l'Est". S'il rêve de convertir, c'est qu'il y a peut-être en lui des tendances sacerdotales qui viennent sans doute de ses aïeux. Ah ! Que ce ministère est difficile. Je me demande si le silence de l'exemple ne suffirait pas [... ] -1 carte autographe signée sous enveloppe datée de Noël 1929 : "[... ] Définir un système, le juger, c'est l'arrêter dans son expression. La vie, la vie, c'est l'essentiel. Je crois que l'Académie songe à M. Claudel. Oh ! l'abominable choix qu'elle ferait ! [ ... ]" - 1 carte autographe signée datée du 2 janvier 1927 : "[... ] Voilà Claudel aux Etats-Unis ! C'est le marchepied à l'Académie. Il y entrera, avec toutes les auréoles [... ]. - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 27 mars 1925 : "[... ] m'a dit : Mme la Baronne Pierlot trouve que vous êtes devenu froid à son égard. Je n'en reviens pas, moi qui me croyais toujours le même à votre endroit c'est-à-dire si heureux de vous connaître et de toutes les occasions de vous voir. Je suis quelquefois pressé. J'ai des rendez-vous qui me préoccupent [... ]Quand on a le bonheur de connaître certaines personnes depuis longtemps, on ne se surmène pas en manifestations [ ...]" - 1 carte pneumatique signée : "Madame la Baronne, pas de réponse à mon petit bleu ! M. Claudel est-il parti pour Hambourg ? [ ... ]" - 1 carte autographe signée sous enveloppe, s.d. : " [... ] Vous lisez, j'en suis sûr, et vous découvrez les génies de demain. C'est votre solitude, et j'en ai profité. Rappelez Claudel. Il y a longtemps que Paris ne l'a vu [... ] - 1 billet autographe signé daté du 7 mai 1926 : " [... ] si vous êtes encore en face de la mer frissonnante, dans ce printemps à la Proust, comme vous dites si bien, je vous félicite quand même et vous envie toujours [... ]"‎

‎Ensemble d'environ 80 pièces autographes signées adressées par l'Abbé Mugnier à la Baronne Pierlot [ 1894 - 1943 ] dont nombreux pneumatiques ("petit bleu"), cartes postales ou lettres sous enveloppes affranchies. Contient : Correspondance d'environ 80 pièces autographes signées ou signées adressées par l'Abbé Mugnier à la Baronne Pierlot [ 1893 - 1943 ] [ Contient notamment : ] 1 L.A.S. de 5 pp. datée de Paris, le 18 septembre 1893 : "Madame, Mgr l'Archevêque qui a voulu, bien malgér moi, mon avancement hiérarchique, m'a nomme second Vicaire de Notre-Dame des Champs. Cette paroisse n'est pas d'ailleurs trop éloignée de celle que je quitte, et quoique de date assez récente, elle jouit d'un bon renom de piété. J'ai pris un appartement au premier, 46 rue Notre-Dame des Champs, un peu plus haut que Stanislas. Mes nouvelles fonctions m'assujettissent à une plus stricte résidence, on me trouve chez moi à la sacristie tous les jours jusqu'à 4 h. [... ] J'ose espérer, Madame, que nos bons rapports continueront, grâce à cette proximité relative. Un grand voyage que j'ai entrepris, à travers l'Allemagne du Nord, de Cologne à Berlin, en passant par Leipzig et Iéna, m'a seul privé du plaisir de vous saluer avant les vacances de vos enfants. Il n'est pas un champ de bataille dont je n'ai visité les coins et recoins, avec quelle émotion, vous devez le penser ! Et comme la Providence favorise généralement la curiosité, il m'a été donné de rencontrer le Prince de Bismarck se rendant aux eaux de Kissingen. En visiteur décrépit qui saisissait, d'une main avide, les bouquets de fleur qu'on lui offrait... comme de simples provinces françaises [ ... ]". - 1 L.A.S de 4 pp. datée de la Crête, le 13 décembre 1909 : "[ ... ] J'utilise des loisirs forcés en réalisant un vieux rêve qui est de visiter la Grèce, celle d'autrefois, celle d'aujourd'hui. Tant de monuments et de souvenirs me consolent un peu des vilenies humaines. Quelle n'a pas été ma joie, à Colone, près d'Athènes, de voir la stèle qui renferme le coeur de M. Charles Lenormant, le beau-père de votre amie [ .... ]." - 1 L.A.S de 4 pp. sur papier bleu, datée de Paris, le 5 septembre 1910 : "[ ... ] Madame, Voici plus de trois semaines que j'ai quitté Ouchy, rappelé par Monseigneur l'Archevêque qui m'a nomme aumônier des Soeurs de St Joseph de Cluny. Je m'installe, en ce moment, 7 rue Méchain, à côté du couvent. J'ai, dans le voisinage, les hôpitaux et l'Observatoire. Ici on découvre des plaies, là des étoiles. [... ] - 1 carte postale datée du 19 août 1914 : "Chère Madame, j'étais passé rue Cassette pour avoir de vos nouvelles et de celles de vos enfants. Où sont-ils ? Voilà une tragédie qui commence, plus vraie encore que celle de Claudel ! Pauvre humanité qui pourrait être héroïque à moindre frais, si cela savait se contenter des champs-de-bataille de l'âme ! [... ]" - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 2 juillet 1918 : "[... ] Chère Madame, j'arrive de [... ] où j'ai été bénir un mariage, et je trouve le splendide portrait de Barbey d'Aurevilly qui m'attendait. Comme je vous suis reconnaissant de ce souvenir qui vous regarde et vous parle ! Les romantiques avaient du bon. Ils vivaient ailleurs. Corrigeons leurs excès, [... ] leurs fulgurants rayons. Ayons un pied dans tous les systèmes. Mais que je comprend votre présente indifférence à tout ! C'est le lendemain des catastrophes où l'on reste étendu sur la route, avec ou sans le [don ? ] humanitaire. Le voudrait-on d'ailleurs s'il se présentait ? Il nous remuerait trop pour nous soigner corps et âme. Rappelez-vous le mot de Madame de Beaumont souffrante au cher égoïste Chateaubriand : "Il faut laisser tomber les flots". Flots de larmes c'est [certain ? ]. J'ai retrouvé les Aman-Jean [... ]" - 1 L.A.S. de 8 pages sous enveloppe, datée du 13 novembre 1919 : "Chère Madame, j'ai trop donné d'absolutions dans ma vie pour ne pas réclamer la vôtre aujourd'hui. Vous aurez pitié de moi quand vous saurez que [ ... ] 4000 volumes sont à peu près à terre et que j'ai dû faire faire une nouvelle bibliothèque [... ]. [... ] Je ne condamne pas mon temps, certes, j'envie les générations qui montent à l'horizon, votre chère petite fille... Mais je regrette comme vous, de n'avoir pas été un des familiers de Nohant, soit sous Louis-Philippe, soit sous le Second Empire et jusqu'en 1876. Il y a, dans ces lettres, trois ou quatre Sand au moins. Toutes me ravissent, comme des spécimens de cette vertu humaine que j'aime quand elle ne [... ] personne, qu'elle est aimante, un peu romantique et arrière petite fille de Jean Jacques. [ ... ] Je vais tous les ans à Nohant. J'éprouve une invincible mélancolie à n'avoir pas connu ce passé, et je le crie aux vieux arbres du jardin, aux fleurs plantées par elle, à tous les horizons de la Vallée Noire. Presque tout le monde aujourd'hui déteste G. Sand. Barrès m'avouait qu'il ne l'avait pas lu. Paul Valéry ne la goûte pas davantage. Et moi je veux goûter Paul Valéry, Barrès et les autres, sans oublier G. Sand. Ne nous privons d'aucune joie [...]." - 1 L.S. de 4 pp. daté du 7 rue Méchain le 4 mai : " Chère Madame la Baronne, le gâteau est arrivé splendide et savoureux, confectionné selon toutes les règles et toutes les inspirations de Brillat-Savarin. Je félicite l'artiste qui l'a confectionné , je remercie la châtelaine qui me l'envoie [... ]. Ce que vous me dites de Madame de Noailles est exquis ; elle vous aimait et son affection était toujours une forme de l'admiration. En réalité, personne ne l'a remplacée. Qui sait si Claudel ne finira pas par s'humaniser ? Son érudition est magnifique, il parle de la Bible comme un prophète. Je n'oublierai jamais que c'est chez vous que je l'ai rencontré pour la première fois. C'était avant la guerre. La Princesse Bibesco m'a toujours parlé de sa "Connaissance de l'Est". S'il rêve de convertir, c'est qu'il y a peut-être en lui des tendances sacerdotales qui viennent sans doute de ses aïeux. Ah ! Que ce ministère est difficile. Je me demande si le silence de l'exemple ne suffirait pas [... ] -1 carte autographe signée sous enveloppe datée de Noël 1929 : "[... ] Définir un système, le juger, c'est l'arrêter dans son expression. La vie, la vie, c'est l'essentiel. Je crois que l'Académie songe à M. Claudel. Oh ! l'abominable choix qu'elle ferait ! [ ... ]" - 1 carte autographe signée datée du 2 janvier 1927 : "[... ] Voilà Claudel aux Etats-Unis ! C'est le marchepied à l'Académie. Il y entrera, avec toutes les auréoles [... ]. - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 27 mars 1925 : "[... ] m'a dit : Mme la Baronne Pierlot trouve que vous êtes devenu froid à son égard. Je n'en reviens pas, moi qui me croyais toujours le même à votre endroit c'est-à-dire si heureux de vous connaître et de toutes les occasions de vous voir. Je suis quelquefois pressé. J'ai des rendez-vous qui me préoccupent [... ]Quand on a le bonheur de connaître certaines personnes depuis longtemps, on ne se surmène pas en manifestations [ ...]" - 1 carte pneumatique signée : "Madame la Baronne, pas de réponse à mon petit bleu ! M. Claudel est-il parti pour Hambourg ? [ ... ]" - 1 carte autographe signée sous enveloppe, s.d. : " [... ] Vous lisez, j'en suis sûr, et vous découvrez les génies de demain. C'est votre solitude, et j'en ai profité. Rappelez Claudel. Il y a longtemps que Paris ne l'a vu [... ] - 1 billet autographe signé daté du 7 mai 1926 : " [... ] si vous êtes encore en face de la mer frissonnante, dans ce printemps à la Proust, comme vous dites si bien, je vous félicite quand même et vous envie toujours [... ]"‎


‎Très bel et passionnant ensemble de lettres autographes signées ou beaucoup plus rarement de lettres signées, adressées par l'Abbé Mugnier (1853-11844) à la baronne Pierlot (vers 1852-1941) qui fut une grande amie de Paul Claudel. La belle famille de Claudel était en effet liée anciennement à la baronne, et il dû la rencontrer peu après son mariage en 1906. L'abbé Mugnier évoque plusieurs fois Claudel dans cette correspondance, mais on y croise aussi les figures de George Sand, Anna de Noailles, Maurice Barrès, Paul Valéry, et même le chancelier Otto von Bismarck, croisé par l'abbé Mugnier au bains de Bade ! Bel ensemble non séparable. On joint à cet ensemble un télégramme envoyé par l'abbé Mugnier, une L.A.S. de la baronne Pierlot, la photo d'une tombe et un petit billet autographe signé par l'abbé, datée de mars 1943 et évoquant la figure de la chère disparue.‎

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(2000)

‎Golias magazine N°74/75- septembre decembre 2000- Joseph ratzinger, grand inquisiteur, la grave crise provoquee par dominus lesus- jorg haider chez le pape- les coulisses du prochain consistoire- avortement: entretien avec le pere nisand....‎

‎Golias / Vilo 2 diffusion. 2000. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 130 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :Joseph ratzinger, grand inquisiteur, la grave crise provoquee par dominus lesus- jorg haider chez le pape- les coulisses du prochain consistoire- avortement: entretien avec le pere nisand- lobby: l'ex patron du FMI recycle au vatican... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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(1962)

‎PARIS MATCH N° 710 - Un document retrouvé : la garde du déshonneur pour Dreyfus, Adieu mes chéries, Liège : ceux qui ont jugé, Les quatre moment du procès, La bombe du verdict : acquittés, Son père ne s'est pas faché, Chez les fauves du grand nord‎

‎PARIS MATCH. 17 novembre 1962. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 144 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


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