207 books for « femme et mere »Edit

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086773

(1980)

‎PARIS MATCH N° 1641 - Marie France Garaud : la politique est une chose, la gentillesse en est une autre, Bernard Lefort : il ne manque a son bonheur qu'une mini salle a manger pour divas par Philippe Bouvard, Peter O'Toole : femme partie, mère cardiaque‎

‎PARIS MATCH. 7 novembre 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 104 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Marie France Garaud : la politique est une chose, la gentillesse en est une autre, Bernard Lefort : il ne manque a son bonheur qu'une mini salle a manger pour divas par Philippe Bouvard, Peter O'Toole : femme partie, mère cardiaque, Macbeth lui a porté malheur, Ursula Andress présente son jeune mari a Paris Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30154402

(1982)

‎ELLE - N°1916 - 27 sept. 1982 / Grace, la princesse, la femme, la mère - ses photos de star - les articles de Jean d'Ormesson et de François Nourissier / mode : grisez-vous de gris / beauté : 19 mots magiques pour votre rentrée / menus minceur...‎

‎ELLE. 1982. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 147 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎"Sommaire : Grace, la princesse, la femme, la mère - ses photos de star - les articles de Jean d'Ormesson et de François Nourissier / mode : grisez-vous de gris / beauté : 19 mots magiques pour votre rentrée / menus minceur / Gérard Depardieu dans ""le grand frere""... Classification Dewey : 791.43-Cinéma"‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30171327

(1994)

‎HORS SERIE L'AVANT-SCENE OPERA N°6 - JOCASTE - CHARLES CHAYNES / présentation / un compositeur au service des compositeurs / Livret français intégral / Charles Chaynes et l'eternel féminin / une reine lucide, femme et mère...‎

‎AU BUREAU DU JOURNAL. 1994. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 67 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur 2 colonnes. . . . Classification Dewey : 790.2-Arts du spectacle (Généralités)‎


‎Sommaire : présentation / un compositeur au service des compositeurs / Livret français intégral / Charles Chaynes et l'eternel féminin / une reine lucide, femme et mère... Classification Dewey : 790.2-Arts du spectacle (Généralités)‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110646494

(1948)

‎Eve n° 94 - L'ile au miroir, Cruelle énigme par Marguerite Gondran, Germaine Sablon, artiste, femme et mère par Paul Corday, Blanche de Castille épouse et mère par J. Léon Treich, Nuit d'anniversaire par Jacqueline Laharpe‎

‎Bureau du journal. 30 janvier 1948. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎Wood Joss Harlen Brenda‎

Reference : 500028568

(2019)

ISBN : 9782280416528

‎Architecte femme et mère - Un amour pour Noël‎

‎Harlequin 2019 384 pages 11x2x18cm. 2019. Broché. 384 pages.‎


Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR5.00 (€5.00 )

‎Bhairo-Smith Veena Aragnou Isabelle‎

Reference : 25929

(2011)

ISBN : 9782354252472

‎Le livre de la séduction au féminin : Pour être une femme une mère et une amante fabuleuse‎

‎Editions Fetjaine 2011 160 pages 20x13x2cm. 2011. Broché. 160 pages.‎


‎French edition -Aucun pli sur tranche infimes traces de stockage Excellent état d'ensemble. Expédié soigneusement dans enveloppe à bulles depuis la France‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR6.00 (€6.00 )

‎Ravololomanga Bobo ; Condominas Georges (préface)‎

Reference : 126237

(1992)

ISBN : 2738416985

‎Etre femme et mère à Madagascar (Tanala d’Ifanadiana)‎

‎L'Harmattan, coll. « Connaissance des hommes » 1992 In-8 broché 21 cm sur 13. 237 pages. Bon état d’occasion.‎


‎ Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR22.00 (€22.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110564729

(2002)

‎Croire aujourd'hui n° 129 - Avons nous oublié le développement ? par François Boëdec, Etre femme et mère en Italie par Marc Rastoin, Religions : a chacun sa vérité ?, Avec Dieu, faire confiance, entretien avec Claire Clouet‎

‎Bayard Presse. 1er mars 2002. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 34 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎


‎ Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎MOL-WEISS Augusta Mme‎

Reference : RO80047727

(1917)

‎La Femme, La Mère, L'Enfant‎

‎MALOINE A. & FILS. 6ème édition.. 1917. In-8. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur frais. 191 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte. Sans les 2 planches de patrons. Couverture contre-pliée. Manques sur le dos, charnières fendues. Marges usées.. . . . Classification Dewey : 640-Economie domestique. Vie à la maison‎


‎Préface du Dr Morache. Classification Dewey : 640-Economie domestique. Vie à la maison‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎WEISS AUGUSTA‎

Reference : R240073942

(1897)

‎LA FEMME LA MERE L'ENFANT - GUIDE A L'USAGE DES JEUNES MERES.‎

‎A.MALOINE. 1897. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Tâchée, Manque en coiffe de pied, Intérieur acceptable. 167 pages - illustration en monochrome sous serpente en frontispice - tranches salies - coiffe en tête frottée - coins frottés.. . . . Classification Dewey : 649-Puériculture, soins à la maison des malades et des infirmes‎


‎Préface de M. Le Dr Morache. Classification Dewey : 649-Puériculture, soins à la maison des malades et des infirmes‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎BHAIRO-SMITH VEENA‎

Reference : RO30120699

(2011)

ISBN : 2354252471

‎LE LIVRE DE LA SEDUCTION AU FEMININ- POUR ETRE UNE FEMME UNE MERE ET UNE AMANTE FABULEUSE‎

‎FETJAINE. 2011. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 159 pages- quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 155.6-Psychologie des adultes‎


‎ Classification Dewey : 155.6-Psychologie des adultes‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎WEISS AUGUSTA‎

Reference : R200086590

‎LA FEMME, LA MERE, L'ENFANT - GUIDE A L'USAGE DES JEUNES MERES‎

‎A. MALOINE. NON DATE. In-12. Relié plein cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 167 pages. Frontispice en noir et blanc - Quelques schémas en noir et blanc,dans le texte.. . . . Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎


‎Préface de M. le Dr morache. Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎CHAFIK SERENADE‎

Reference : R260194050

(2003)

ISBN : 2840989905

‎REPUDIATION - FEMME ET MERE EN EGYPTE : LOIN DES SPLENDEURS PHARAONIQUES LA TERRIBLE REALITE‎

‎MICHEL LAFON / CARRERE. 2003. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 366 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎Chafik Sérénade‎

Reference : RO30311554

(2003)

ISBN : 2840989905

‎Répudiation : Femme et mère en Egypte : loin des splendeurs pharaoniques, la terrible réalité‎

‎Michel Lafon. 2003. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 366 pages.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎


‎Avec la collaboration de Danièle Georget. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎BERNEDE Arthur‎

Reference : 11980

‎Reine ... Femme et mère !‎

‎ « Les beaux romans de lhistoire » n° 173 - Tallandier (1930) - In-4 broché de 124 pages - Couverture en couleurs de Maurice Toussaint - Bon état‎


Phone number : 06 15 22 89 43

EUR15.00 (€15.00 )

‎Collectif - Ct J. CABON - Maître DEBROISE - E. MOREL - Président CORBES - Dr Fr. TULOUP - M.-E. MONIER - H. HILPERT - F.-C. de BOODT - Cte de La TOUR-du-PIN VERCLAUSE - Prince C. DEDEYAN - H.-G. GAIGNARD - Vicomte L. du LONGBOIS - P. DELON‎

Reference : 19704

‎Annales de la société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Saint-Malo - 1968Extrait du sommaire : Thèse sur l'origine de la langue bretonne et ses rapports avec le langage monosyllabique primitif de l'homme - Jacques Cartier, Notaire à Saint-Malo - Les Maîtres de Poste de Saint-Pierre-de-Plesguen - Etudes sur les Marées - Famille Desrochettes - Instructions de Vauban pour la defense de Saint-Malo et des environs en 1693 - Filles de joie ou filles du roy - Stendhal, Bonaparte, Chateaubriant et les Pyramides - Chateaubriant - Essai sur l'enseignement maritime à Saint-Malo - Les 3 maris d'Anne de Bretagne - La Bretonnisation des Pays de Dol & Saint-Malo - Y.-G. LOCQUET de Grandville, belle-fille, femme et mère d'un Maréchal de France - Le salon de Mde Récamier et le cosmopolitisme de Chateaubriand ‎

‎ LAVAL, Imprimerie de la Mayenne - 1969 - Grand in-octavo, dos et couverture marrons imprimés- Tranches lisses - Illustrations - 367 pages- Neuf .‎


‎ - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

EUR16.00 (€16.00 )

‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR495.00 (€495.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

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Reference : 16188

(1833)

‎[Compagnons de la Femme]. 1833, ou L'Année de la Mère. Janvier. Février.‎

‎Lyon, Mme S. Durval, 1833. 2 livraisons in-8 brochées de 47 pp. et 45 pp., couvertures vertes imprimées. ‎


‎Rarissime publication fondée et rédigée par Émile Barrault. Les couvertures portent les mentions Janvier et Février. Installé à Lyon, Barrault fonda en janvier 1833 l'ordre des Compagnons de la Femme pour rassembler les saint-simoniens après la condamnation d'Enfantin et la dissolution de la société saint-simonienne. Il prit la décision de partir pour l’Orient et l'annonça le 15 février dans son journal 1833 l’année de la Mère qui contient un extrait de la Prédication sur l’Orient et l’Occident donnée par Barrault le 15 décembre 1832 ; il déclarait à ses compagnons : « je sais où est la Mère, en Orient ; Orient ! Occident ! Femme ! Homme ! Voilà l’hymen de la terre et de l’humanité ! ».En mars il s'embarqua avec onze de ses compagnons pour l'Égypte pour chercher d’Istanbul à Alexandrie, la Femme-Messie prophétisée par le Père. Enfantin qui les avaient rejoints en octobre, leur demanda d’arrêter de chercher et leur assigna un but plus précis, un mariage entre l’Est et l’Ouest, percer le canal de Suez. Deux autres livraisons rédigées par Collin, Rogé et Maréchal parurent en juin et juillet sous un autre titre : Mission du midi et Mission de l'est.Provenance : Hippolyte Carnot (1801-1888), ministre de l'éducation en 1848, fils cadet de Lazare Carnot dit le Grand Carnot. Walch, 392. ‎

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‎Collectif‎

Reference : R260257018

(1981)

‎Des femmes en mouvements hebdo N°66 du vendredi 13 au vendredid 20 novembre 1981 Sommaire: Femme, mère, homosexuelle; Cuba se prépare à affronter une itervention nord-américaine; Indira Gandhi à Paris...‎

‎Au bureau du journal. 1981. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de quelques photos en noir et blanc dans texte.. . . . Classification Dewey : 305.4-La femme‎


‎Sommaire: Femme, mère, homosexuelle; Cuba se prépare à affronter une itervention nord-américaine; Indira Gandhi à Paris... Classification Dewey : 305.4-La femme‎

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‎MESRINE Jacques‎

Reference : 85081

(1976)

‎Belle lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine, toute empreinte de révolte contre les journalistes et pleine d'admiration pour les infimières, écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider : "une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé... oui ma puce... cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [...] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux."‎

‎Fleury-Mérogis 22 Septembre1976, 21x29,5m, une page recto verso.‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du samedi 22 Septembre1976, 67 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis et privé de chaleur humaine, s'enthousiasme de toutes les visites qu'il reçoit au parloir, battant ainsi en brèche le mythe du bandit asocial et denué de sentiments humains : "Et après cela on dira que je suis un sauvage ! non justement et les gens qui ont eu un contact avec moi, désirent me revoir. Cela m'a fait un immense plaisir et sais-tu la suite... elle va demander aussi pour te voir. Parait-il que je suis regretté par les infirmières "monsieur sourire" voilà le secret." Il a apprécié tout particulièrement la visite de l'infirmière de la prison de la Santé qui sera également leur témoin de mariage avec Jeanne Schneider et qu'il encense : "... une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé... oui ma puce... cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [...] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois." Jacques Mesrine le révolté se surprend à apprécier sa solitude carcérale : "Sais-tu que je commence à me plaire ici... Quel calme tu sais manou, mon isolement je le supporte dans la mesure où j'ai la paix. En détention il n'est pas prouvé que je l'aurais. C'est de me réactions que j'aie peur... et la mentalité des prétendus truands est de plus en plus dégueulasse ! |...] dans mon isolement, il y a du bon et du mauvais... mais personnellement je ne veux pas me plaindre... car il n'y a pas de motif à le faire." et achève sa lettre par des considérations paternelles pour sa fille peu assidue à l'école et pour laquelle il se fait du mouron : "Je vais savoir si Sabrina a été régulièrement à ses cours... je fais le voeu que oui car si le cas contraire se présentait... pas de pitié cette fois-là... Mais que de souci peut représenter cette môme et quelle impuissance j'ai à la contrôler en étant ici !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine débordant de révération pour la corporation des infirmières et de regrettable détestation pour celle des journalistes. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎COLLECTIF‎

Reference : R200064804

(1970)

‎LE SUPPLEMENT N°94 - SEPT 1970 : LE PRETRE, LA FEMME ET SA MERE - AUTOUR DE LA VIE COMMUNE - BULLETIN DE PSYCHOLOGIE PASTORALE;‎

‎DU CERF. 1970. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 284 à 392.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎


‎SOMMAIRE : LE PRETRE, LA FEMME ET SA MERE ; Points de vue des médecins / Révolte contre la mère ? + AUTOUR DE LA VIE COMMUNE ; Les petites communautés et la critiuqe de la société par Callewaert / La commune. le lieu d'une transformation révolutionnaire de la conscience par Wilhelmer, etc. Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎

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‎PALISSOT DE MONTENOY (Charles) - Pierre Augustin Caron de Beaumarchais‎

Reference : 13086

(1773)

‎La Dunciade, poëme, nouvelle édition, revue, corrigée & augmentée de deux nouveaux chants.tome 1 seul;relié avec: DESFORGES;La femme jalouse,comedie- relié avec: CARON-BEAUMARCHAIS : l'autre tartuffe ou la mere coupable,EDITION ORIGINALE,Remis au théâtre de la rue Feydeau, avec des changements, et joué le 16 floréal an V (5 mai 1797) par les anciens acteurs du Théâtre-Français.‎

‎ 1773 A Londres, s. n.,: , 1773 tome 1 en un volume in-8, 212 pp., plein veau blond glacé d'époque, Outre les dix chants du poëme qui n' occupent que 196 pp., le premier tome contient : des notes sur chaque chant , des variantes choisies,relié avec: DESFORGES;La femme jalouse,comedie PRAULT 1785,xv 155p.+ CARON-BEAUMARCHAIS:l'autre tartuffe ou la mere coupable,drame en 5 actes en prose,RONDONNEAU 1797,imprimé EDITION ORIGINALE,preface 13p EDITION ORIGINALE -128p., manques importants au dos et coin émoussé, mais bel exemplaire.‎


‎Première édition avouée et préfacée par Beaumarchais. Malgré la mention "édition originale" inscrite sur le titre, cette édition de la Mère coupable fut précédée selon Cordier de trois tirages autour de l'an III (1795) imprimés par les amis de Beaumarchais pour prévenir l'abus de la contrefaçon. Cordier, 272.Elle représente la troisième partie de la trilogie de Figaro, après Le Barbier de Séville et Le Mariage de Figaro. ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR150.00 (€150.00 )

‎VARIOUS‎

Reference : R130012283

(1975)

‎DISQUE VINYLE 33T : PARTI COMMUNISTE FRANCAIS, ANNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME - 1975: La Condition de la Femme. Hélène Martin, Je vis, je meurs. Mireille Bertrand, Des Millions de Femmes S'affirment. Berceuse de Mère Courage, Germaine Montéro...‎

‎PCF. 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs. 1975: La Condition de la Femme. Hélène Martin, Je vis, je meurs. Mireille Bertrand, Des Millions de Femmes S'affirment. Berceuse de Mère Courage, Germaine Montéro. TémoignagesMaternité: Pour Un Vrai Choix. Claude Réva, Demande aux femmes. Madeleine Vincent, Ce que nous souhaitons pour les femmes. Francesca Solleville, Comme Une Blessure. René Bourdet, Les Mains de Jeanne-Marie. Hélène Martin, Soeurs d'espérance. Madeleine Dissoubray, Elisa Nordman, Odette Passeau, Marie-Claude Vaillant Couturier, Evocation de Danielle Casanova. Elsa Triolet, La voix d'Elsa Triolet. Monique Morelli, Elsa. Nguyen Thy Binh, Libérer le Viet-Nam de la guerre. Jean Ferrat, Dix-sept ans. Valentina Térechkova, Ouvrière du textile devenue cosmonaute. Georges Marchais, Sur la condition féminine. Amélir Prévost, Il faut lier la vie des hommes et des femmes par le mot qui nous unit: Camarades.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° UCT 70675. Classification : 410-33 Tours‎

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