‎MOL-WEISS Augusta Mme‎
‎La Femme, La Mère, L'Enfant‎

‎MALOINE A. & FILS. 6ème édition.. 1917. In-8. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur frais. 191 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte. Sans les 2 planches de patrons. Couverture contre-pliée. Manques sur le dos, charnières fendues. Marges usées.. . . . Classification Dewey : 640-Economie domestique. Vie à la maison‎

Reference : RO80047727


‎Préface du Dr Morache. Classification Dewey : 640-Economie domestique. Vie à la maison‎

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‎WEISS AUGUSTA‎

Reference : R240073942

(1897)

‎LA FEMME LA MERE L'ENFANT - GUIDE A L'USAGE DES JEUNES MERES.‎

‎A.MALOINE. 1897. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Tâchée, Manque en coiffe de pied, Intérieur acceptable. 167 pages - illustration en monochrome sous serpente en frontispice - tranches salies - coiffe en tête frottée - coins frottés.. . . . Classification Dewey : 649-Puériculture, soins à la maison des malades et des infirmes‎


‎Préface de M. Le Dr Morache. Classification Dewey : 649-Puériculture, soins à la maison des malades et des infirmes‎

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‎WEISS AUGUSTA‎

Reference : R200086590

‎LA FEMME, LA MERE, L'ENFANT - GUIDE A L'USAGE DES JEUNES MERES‎

‎A. MALOINE. NON DATE. In-12. Relié plein cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 167 pages. Frontispice en noir et blanc - Quelques schémas en noir et blanc,dans le texte.. . . . Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎


‎Préface de M. le Dr morache. Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO50048979

‎LES GRANDS SUCCES DU JOUR : CHANSON NAPOLITAINE + LETTRE D'UNE MERE A SON FILS + SOUVENIR DE MONTFLUCON + DANS LA FENT', FAUT METTR' DEUX SOUS + AMOUR DIVIN + QUI M'AURAIT DIT ! + LA MARCHE DE LA FEMME + MIGNON + PARDON D'ENFANT...‎

‎"CENTRALE. NON DATE. In-Plano. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 2 pages in-Plano non paginées. Déchirures altérant parfois la lecture. Quelques illustrations en noir et blanc dans le format texte. Partition pour chant pour le titre ""Les lièvres sont jolies"".. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions"‎


‎CHANSON NAPOLITAINE + LETTRE D'UNE MERE A SON FILS + SOUVENIR DE MONTFLUCON + DANS LA FENT', FAUT METTR' DEUX SOUS + AMOUR DIVIN + QUI M'AURAIT DIT ! + LA MARCHE DE LA FEMME + MIGNON + PARDON D'ENFANT + LE CHIEN SERGENTD'VILLE + LES LIEVRES SONT JOLIES + PETITS PETONS + LES JOYEUX METIERS. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

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‎DEVENTER, Henry, de - BRUIER d'ABLAINCOURT, Jean ‎

Reference : 19698

(1733)

‎Observations importantes sur le manuel des accouchemens - Complet des 2 parties en 1 volume- Première partie où l'on trouve tout ce qui est nécessaire pour les opérations qui les concernent, et l'on fait voir de quelle manière, dans le cas d'une nécessité pressante, on peut, sans avoir recours aux instrumens, remettre dans une situation convenable... les enfans mal situés, vivans ou morts... sans les endommager, ni la mère.- Seconde partie où l'on fait voir la nécessité d'examiner les corps des femmes mortes sans accoucher, afin de connaître si la sage-femme a été la cause de la mort de la mère et de l'enfant ; et où l'on donne des avis importans à tous les maris qui s'intéressent à la conservation de leurs femmes, et de leurs enfans. Traduit du latin de M. Henry de Deventer, Docteur en Médecine & Augmentée de réflexions sur les points les plus intéressants par Jacques-Jean BRUIER d'ABLAINCOURT, Docteur en la même faculté.‎

‎ 1733 A PARIS, chez Pierre Prault, 1733 - E.O. - Bien complet des 2 parties en un volume in-4 pleine basane brune de l'époque - Pièce de titre grenat - Dos à cinq nerfs, & à caissons fleuronnés dorés - 1 Vignette - Culs-de-lampe - 37 planches gravées très fraîches, offrant 40 figures, dont une dépliante, en très beau tirage, représentant principalement des ftus en positions diverses, diveres instruments, et une chaise percée servant aux acchouchements - XXXIX-[1]-431-[2] pages - Coiffe usagée, coins frottés, Sinon Bel exemplaire, Très propreEpitre dédicatoire à François Chicoyneau, Conseiller d'Etat & en la Cour des Comptes, Aides & finances de Montpellier, Premier Médecin du Roi, etc...Ex-libris manuscrit d'époque "Rigoine, élève en chirurgie à Dijon".‎


‎Henrik Van DEVENTER (1651-1739), médecin hollandais, fut le plus grand obstétricien de son époque. Premier médecin à décrire précisément la physiologie et la pathologie de lappareil génital de la femme, il est considéré comme le père de l'obstétrique moderne. Dans cet ouvrage Deventer met en évidence la nature rigide du bassin osseux de la femme pendant le travail de l'accouchement. Il démontre également, par l'examen de plusieurs sujets, que l'épaisseur de la matrice reste la même pendant tout le cours de la grossesse. Il pense que la dépression du coccyx permet d'éviter l'emploi du forceps et, pour les cas les plus laborieux, il préconise la pratique de la césarienne. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

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