Albin 1931 12x19. 1931. Broché. 253 pages. Bon état vu son âge intérieur propre et sans rousseurs
Albin 1931 in12. 1931. Broché. 250 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs légères marques sur la couverture
Paris Pro Amici 1962 1 vol. relié plaquette in-16, bradel éditeur de toile orange, dos lisse muet, nom de l'auteur et tire en lettres dorées sur le premier plat avec filet doré en encadrement, étui noir, 35 pp. Edition originale. Avant-propos de Pierre Varenne et Alfred Diard. Tirage unique à 50 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches pur chiffon. En bonne condition. La découverte par Colette en 1909 de la vente des droits des Claudine aux éditeurs fut à l’origine d’une querelle littéraire et matrimoniale qui alimenta la presse et l’édition pendant plus de vingt ans. Chaque partie avait ses défenseurs et ses tribunes, les proches étaient sommés de choisir leur camp et tous les coups étaient permis: menaces, chantages, procès, insultes… Le premier avait été donné par Willy, Colette le lui rend dès le mois de mars. Elle menace de porter à la connaissance de la justice des lettres compromettantes de Mme de Serres dans un procès qui opposait Willy à son ancienne maîtresse. Forte de ce moyen de pression, Colette obtient un premier accord concernant la signature des Claudine, qui paraîtront désormais sous leurs deux noms. L’année suivante, apprenant qu’une opérette tirée de Claudine va être montée au Moulin-Rouge, elle saisit la SACD, menace, réclame et obtient la moitié des droits et son nom sur l’affiche. La partie ne fait que commencer. Le second coup vient de Colette qui dans La Vagabonde fait de Willy l’odieux et félon Adolphe de Taillandy. La réplique de l’intéressé arrive, un an plus tard, et prend la forme de deux romans: le premier Lélie fumeuse d’opium, signé Willy et dû aux bons soins de Paul-Jean Toulet, où Colette apparaît sous les traits de Bastienne de Bize, un temps appelée la baronne Gousse de Bize, «épaisse, sa taille courte roulant sur des hanches évoquant la gourde plutôt que l’amphore», puis dans Les Imprudences de Peggy, signé Meg Villars et «traduit» par Willy où apparaît Vivette Wailly qui «s’acoquina publiquement à une vieille morphinomane qui s’habillait en homme, la baronne de Louviers.» Attentif à ces différentes passes d’armes, Jules Marchand, directeur de la revue Sur la Riviera propose à Willy de dire sa vérité. L’ancienne gloire des années 1900 avait alors perdu la plupart de ses collaborations journalistiques et faisait face à d’importants problèmes d’argent, dus notamment à sa manie du jeu. De décembre 1920 à février 1921, il s’acquitte de sa tâche depuis Monte-Carlo en inscrivant sur les premières pages des quatre Claudine sa version de la genèse et des personnages. Savait-il alors que Marchand débuterait, moins de quinze jours après sa mort, la publication de ces commentaires ? Il a emporté ce secret dans la tombe. Publié du 25 janvier au 15 février sous le titre «Willyana», il n’est pas certain que ces textes aient redoré son image si on en juge par la somme de calembours d’un goût douteux et de remarques fielleuses, voire ordurières, à l’égard des personnages, telle Olympe Terrain, l’institutrice de Colette devenue Mlle Sergent: «La directrice, Mlle Terrain, forniquait assidûment avec Merlou, quoique très laide, car elle avait des économies qu’appréciait ce poisson besogneux»… Le dernier mot revint à Colette qui en publiant, en 1936, Mes apprentissages, sous-titre «Ce que Claudine n’a pas dit», enterra définitivement Willy et cette période de sa vie. Les commentaires de Willy furent repris, sans doute à l’initiative de Pierre Varenne et d’Alfred Diard qui préfacent l’ouvrage, sous le titre Indiscrétions et commentaires sur les Claudine par le librairie Auguste Blaizot qui les publia en cette petite plaquette tirée à 50 exemplaires: «Allons-nous condamner l’un et gracier l’autre, alors que les deux qui nous sont différemment aussi chers, se sont rendus coupables de perversité, de méchanceté et de mauvaise foi, pour ne pas dire plus, à l’égard l’un de l’autre? Mais ne devons-nous pas tenir compte aussi du bien qu’ils se sont fait mutuellement? Sans Willy, Colette fût-elle devenue l’incomparable styliste qui fait honneur aux lettres françaises? Sans Colette et les Claudine dont elle fut la mère si Willy en fut le père, celui-ci eut-il connu la période la plus prestigieuse de sa vie?» Plaquette très recherchée. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
A la baconnière 1956 Neuchatel. in8. 1956. Broché. 166 pages. Bon Etat intérieur propre
De Vos Dirk Le Loup Willy Marechal Dominique
Reference : 100125250
(1900)
ISBN : 9055440280
Graphic Matter/Uitgeverij Ludion 1900 in4. 1900. Broché. 255 pages. Très bon état
Arthaud 1954 in4. 1954. broché. 88 pages. Mauvais état interieur propre mais manque à la 1° de couverture vendu en l'etat
Mercure de france 1921 in12. 1921. reliure demi-toile. 291 pages. Bon Etat intérieur propre
Chantecler 1983 in8. 1983. Broché. 111 pages. Bon Etat
Forlag 1977 in8. 1977. Broché. 39 pages. Bon Etat
Calmann-Lévy 2000 in8. 2000. Broché. 237 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat intérieur propre pointes cornées
Hachette 1961 in8. 1961. Relié jaquette. 334 pages. Bon Etat intérieur propre
Erasme 1981 20x26. 1981. livret Agrafé. 32 pages. état intérieur propre couverture froissée sur son dos et pointes légèrement cornées
Marabout université 1964 poche. 1964. Broché. 2 volume(s). Bon Etat des 2 livres intérieurs propres
Petite bibliotheque payot 1963 poche. 1963. broché. Très bon état
Albin 1951 13x20. 1951. Broché. 357 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs couverture légèrement frottée sur ses coiffes
Mercure de france 1923 in12. 1923. Broché. 265 pages. Bon Etat du livre quelques rousseurs en début et fin de livre