Paris, Imprimerie Nationale exécutive du Louvre, an II (1793) in-4, 6 pp., en feuilles.
Réglant de manière plutôt libérale les successions en faveur des enfants conçus hors-mariage, et non légitimés, le décret du 12 brumaire an II [2 novembre 1793] met sur le même pied enfants légitimes et enfants naturels : "I. Les enfans actuellement existans, nés hors mariage, seront admis aux successions de leurs père & mère, ouvertes depuis le 14 juillet 1789. Ils le seront également à celles qui s'ouvriront à l'avenir (...). - II. Leurs droits de successibilité sont les mêmes que ceux des autres enfans." Le Code civil de 1804 reviendra très largement sur cette égalité, et instaurera un régime très défavorable aux enfants illégitimes, plus ou moins conservé jusqu'en 2005. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1927 xii 23 Salle Van Herck Anvers - Expert Van Herck & Fils - Successions de M.M. de C. et autres :
Reference : 38324
2. Anvers ( Antwerpen ) , Eug. Van Herck & Fils ( expert ) , 1927, large in -8°, 51 pp + 10 plates h.t., sewn, orig. stiff wrapper.
1927 X 25 - Salle Van Herck Anvers - Expert Van Herck & Fils - Successions de Mme A. LAMBRECHTS - M.M. de C. d'Anvers :
Reference : 51063
2. Anvers ( Antwerpen ) , Eug. Van Herck & Fils ( expert ) , 1927, large in -8°, 48 pp + 6 plates h.t., sewn, orig. stiff wrapper.
Paris Imprimerie Royale 1767 in-4 en feuilles
10 pp.On fait traditionnellement remonter à cet édit de Henri II l'origine de l'institution des commissaires-priseurs, du moins dans leurs compétences judiciaires. En réalité, il s'agit plutôt de la naissance de l'office lié à cette charge connue dès le moyen âge (et que l'on n'appelle pas encore commissaire-priseur, le nom n'apparaissant qu'en 1713). Les ventes judiciaires étaient jusque là réservées aux sergents à verge, les ventes volontaires aux fripiers ; l'édit unifie leurs attributions (sous la dénomination de priseurs-vendeurs) et leur impose d'acquérir un office auprès du Grand Chambellan de France