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Les amours de Napoléon III par l'auteur de La femme de César
Librairie et imprimerie universelles | Londres & Genève & Bruxelles & Milan & Turin 1863 | 18 x 28.50 cm | relié
Rare édition originale parue anonymement. Reliure en demi chagrin marron, dos lisse orné de filets noirs, quelques frottements sur le dos et les plats, plats de papier marbré, coins émoussés, reliure de l'époque. Quelques rousseurs, une resuaration et un manque affectant quelques mots aux pages 193-194. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Comment a péri la Commune.
Paris Albert Savine 1892 1 vol. relié in-12, demi-maroquin marron, dos à nerfs, tranches mouchetées, XIX + 474 pp. (dos légèrement passé), index. Édition originale peu courante. Le journaliste Pierre Vésinier (1824-1902) fut une figure de la Commune : il participa à l'insurrection de 31 octobre 1870 et siégea au conseil. Il se réfugia à Londres après la semaine sanglante. Bonne condition.
L'Histoire du nouveau César. Louis-Napoléon-Bonaparte, Représentant et Président.
Londres, F. Taféry, 1866. In-12 de XII-382 pp., demi-chagrin rouge.
Édition originale publiée dans l'exil à Londres.Après le coup d'État, Vésinier fut condamné à la transportation, il s’enfuit en Belgique, puis en Suisse, en Hollande et en Prusse (..) Il résida aussi un certain temps à Lausanne et s’y lia avec Flocon qui l’engagea pour le seconder dans la publication des Mystères du Peuple d’Eugène Sue. Il publia à cette époque des brochures graveleuses destinées au colportage clandestin comme Les Nuits de Saint-Cloud, des Tuileries et de Compiègne, ce qui lui valut des poursuites (...) Il collabora à la Tribune du Peuple publiée à Bruxelles et à la Rive Gauche (20 octobre 1864-5 août 1866), organe des réfugiés français en Belgique, publié à Bruxelles, puis à Londres à partir de décembre 1865. Il continua ses publications à scandale avec Le Mariage d’une Espagnole et La Femme de César et fut condamné, le 5 août 1866, par la cour d’assises siégeant à Bruxelles, à dix-huit mois de prison et 1000 F d’amende pour offenses envers l’empereur (Maitron).
