Paris, divers imprimeurs, Paris, divers imprimeurs1768-1783 ; in-4, en feuilles, traces de brochage. 1768 : LETTRES PATENTES du Roi qui fixent l’établissement & construction du nouvel Hôtel des Monnoies de la ville de Paris, Quai & anciens Hôtels de Conti. Paris, P. G. Le Mercier, 4 pp.1769 : ARREST du Parlement rendu entre M. le Procureur général (...) contre les officiers du Bailliage Royal de Meudon (...) qui adjuge à Sa Majesté, la succession du sieur Abbé Perrin (...) - ARREST du Conseil d’état du Roi et Lettres patentes d’icelui, concernant la construction de la nouvelle Église de Saint-Philippe-du-Roule, & l’acquisition des terreins nécessaires à cet effet. Paris, Simon, 1770. 4 pp.1771 : De par les prévôts des Marchands et Échevins de la ville de Paris. Ordonnance de Police concernant la conduite par eau des Bourgeois et Habitans. Paris, Simon, 4 pp. Sur le bachotage et le transport de passagers sur la Seine. - LETTRES PATENTES du Roi, portant la nomination par provision d’administrateurs du Collège de Louis-le-Grand. Paris, Simon, 3 pp. papier jauni. - ARREST du Conseil d’État du Rois et lettres patentes d’icelui concernant la reconstruction de la nef de l’église royale & paroissiale de Saint Barthélémi, en la cité de Paris, & l’acquisition des terreins nécessaires à cet effet. Paris, Impr. Royale, 1771 ; 6 pp. - ARREST du Conseil d’État du Roi qui règle la perception (...) sur les droits dus aux entrées de la ville, faubourgs & banlieue de Paris. Paris, Simon, 1771 : 3 pp.1773 : ORDONNANCE du Bureau des Finances de la Généralité de Paris portant suppression d’une partie de la rue de Surêne à Paris. Paris, Simon, 1772 : 3 pp. [concernant la construction de la future église de la Madeleine dont le prolongement de la rue de Suresne coupait alors la nef.] Mouillure. - ARREST du Conseil d’État du Roi qui ordonne que les Officiers sur les ports, quais, halles, chantiers, foires & marchés de la ville de Paris seront responsables de la perception (...) les Huit sous pour livre... Paris, Simon, 4 pp. Mouillure - ARREST du Conseil d’Etat du roi concernant les Communautés d’officiers établis sur les ports. Paris, Desprez ; 4 pp. mouillure - ARREST du Conseil d’Etat du roi concernant le Marc d’or à payer pour les Offices sur les ports, quais, chantiers, halles, places, foires & marchés de la ville, faubourgs & banlieue de Paris. P., Desprez, 4 pp. mouillure.1774 : ARREST du Conseil d’Etat du roi portant cassation d’un arrêt du Parlement de Paris (...) rendues en direction de voirie par les officiers du Bureau des Finances. P., Desprez, 3 pp. - LETTRES PATENTES du roi pour le Couvent et Collège des Frères Prêcheurs de la rue Saint-Jacques à Paris. Paris, Simon, 8 pp. (les 5 dernières en latin) - ARREST du Conseil d’Etat du roi (...) en matière de voirie, casse deux arrêts de défenses du Parlement de Paris, & confirme les ordonnances du Bureau des Finances... P., Desprez, 4 pp. - ARREST du Conseil d’Etat du roi (...) sur les titres des Offices sur les Ports, quais, halles & marchés de la ville de Paris. P., Desprez, 4 pp. 1775 : EXTRAIT des registres du Parlement du 13 mars 1775. P., Simon, 3 pp. Au sujet des opposants aux criées. - ARREST du Conseil d’Etat du Roi. P., Impr. Royale, 4 pp. Sur les droits sur les denrées dans la ville de Paris. - SENTENCE rendue par le Lieutenant civil au Châtelet de Paris, qui enjoint aux curés & autres ecclésiastiques de Paris de faire signer les actes de sépulture aux parents... P., Ant. Boudet, 7 pp. - ARREST de la Cour des Aides du 31 mars 1775. P., Simon, 4 pp. Au sujet des opposants aux criées. - ARREST du Conseil d’Etat du roi, qui commet le Sieur Albert, Lieutenant gal de Police au lieu du sieur Lenoir [6 arrêts portant ce titre] : Pour les abreuvoirs, puits & autres édifices publics 3 pp., pour la démolition & réédification de la Halle aux Draps 3 pp. pour l’établissement des boucheries dans la banlieue. 3 pp. Pour juger sommairement toutes les contestations relatives aux pensions des prisonniers renfermés dans les maisons de S. Lazare, des Frères de la Charité & autres Congrégations. 2 pp. ... qui nomme le sieur Albert Commissaire au Bureau du Commerce. 2 pp. pour recevoir les comptes de la Régie de la Halle aux Draps. 2 pp. Paris, Impr. Royale. 1776 : ORDONNANCE du roi concernant le Régiment Provincial de la ville de Paris. Impr. Royale, 3 pp. - ÉDIT du roi portant suppression des Offices sur les ports, quais, halles, marchés & chantiers de la ville de Paris. P., Impr. Roy. 7 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris concernant les échoppes. P., Impr. Roy., 7 pp. - ARREST du Conseil d’Etat du roi qui ordonne que l’adjudicataire général des Fermes sera mis en possession de la perception des droits (...) sur les ports, quais, halles, marchés & chantiers de la ville de Paris. P., Impr. Roy., 7 pp. - ARREST du Conseil d’Etat du roi qui ordonne que le Bureau de déclaration des bois carrés (...) sera réuni au bureau général des Aides. P., Impr. Roy., 2 pp. - ARREST du Conseil d’Etat du roi qui ordonne que les biens, droits & revenus dépendant du monastère des célestins de Paris seront régis (...) par Bollioud de Saint-Julien. Impr. Roy., 6 pp. - ARREST du Conseil d’Etat qui ordonne la visite & l’estimation des maisons appartenant aux Corps & Communautés supprimés. Impr. Roy., 3 pp.1777 : ARREST du Conseil d’Etat du roi (...) qui ordonne le remboursement des Offices établis sur les ports (...) de la ville de Paris. Impr. Roy., 7 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la gal. de Paris concernant l’élargissement de la ruelle de l’Egout. Impr. Roy., 4 pp. - ÉDIT du Roi portant suppression des Communautés d’Arts & Métiers (...) de Paris. Paris, Simon, 16 pp. - DÉCLARATION du roi qui ordonne la vente de deux hôtels servant de logement aux compagnies des Mousquetaires de la Garde du Roi dans la ville de Paris. P., Simon, 7 pp. - ARRÊT du Conseil d’Etat du roi portant nouvelle distribution aux Receveurs des impositions de la ville de Paris. P., Impr. Roy., 7 pp. - ARREST de la Cour du Parlement portant règlement entre les six Corps des Marchands de la ville de Paris. P., Simon, 4 pp. - ÉDIT du Roi qui autorise les Prévôts des Marchands & Echevins de la ville de Paris à faire un emprunt. P., Simon, 7 pp. - ARRÊT du Conseil d’Etat du roi concernant les Communautés d’officiers sur les ports, quais, halles, marchés & marchés de la ville de Paris. Impr. Roy., 8 pp. - ORDONNANCE du roi concernant la police du Marché aux Chevaux. Impr. Roy., 6 pp. 1778 : LETTRES PATENTES du roi portant établissement d’un marché sur le terrein de la Couture Sainte-Catherine. P., Simon, 4 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la gal. de Paris concernant l’alignement des maisons & édifices de la rue des Marais & l’écoulement des eaux de la rue Lancry. Impr. Roy., 4 pp. - LETTRES PATENTES du roi qui ordonnent la vente des bâtimens des anciennes écoles de Droit. P., Simon. 3 pp. mouillure. - ORDONNANCE du roi concernant les recrues qui se font à Paris. Impr. Roy., 7 pp. 1779 : LETTRES PATENTES du roi pour l’ouverture de la rue du Colisée. P., Simon, 4 pp. - ORDONNANCE du roi concernant les logements dans l’Hotel royal des Invalides. P., Impr. Roy., 6 pp. - ARRÊT du Conseil d’Etat du roi portant distribution et répartition des emplacements de la nouvelle Garde des prisonniers du Palais... P., Impr. Roy., 6 pp. 1780 :LETTRES PATENTES du roi portant réunion des bâtiments du Palais de quelques parties de terreins appartenant au chapitre de la Sainte Chapelle. Simon, 4 pp. - 1781 : ORDONNANCE de la Chambre du domaine qui ordonne la réunion de la Chapelle dite Saint Michel située dans l’enclos du Palais de Paris. Impr. Roy. 6 pp. - DÉCLARATION du roi qui autorise la Prévôté des marchands & Echevins de Paris à faire un emprunt. Simon, 7 pp. -1783 : ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris concernant la suppression des Saillies & Avances en charpente & maçonnerie pratiquée aux maisons & bâtimens de la ville & faubourgs de Paris. Impr. Roy., 4 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris concernant la suppression des Saillies en pierre & en bois pratiquées le long des maisons de la rue de Tournon. Impr. Roy., 3 pp. - ARRÊT du Conseil d’Etat du roi et lettres patentes d’icelui qui fixent à cinq le nombre des Inspecteurs généraux des Ponts & Chaussées... Impr. Roy., 6 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris pour l’adjudication d’un terrein sur la nouvelle route de Paris au pont de Neuilly. Impr. Roy., 3 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris concernant le placement des bornes dans les rues de la nouvelle salle de théâtre italien. Impr. Roy., 3 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris concernant le payement des droits de péage sous le Pont de Sèves (sic). Impr. Roy., 6 pp. - ARREST de la Cour de Parlement concernant les visites des syndics-adjoints des communautés d’Arts & Métiers de la ville de Paris. P., Simon, 7 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la généralité de Paris concernant le nettoyement de l’égout de Picpus. Impr. Roy., 3 pp. - LETTRES PATENTES du roi qui autorisent le sieur Marchant du Colombier adjudicataire des terreins de la Couture Sainte-Catherine à distribuer suivant un nouveau plan le marché qui doit y être établir. P., Simon & Nyon, 3 pp. - ARREST de la Cour de Parlement qui ordonne que la sentance rendu en la justuce de Bagnolet concernant la police, l’ordre & la tranquillité publique sera exécutée... P., Simon & Nyon, 18 pp. - DE PAR LE PREVOST des Marchands, et Echevins de la ville de Paris ordonnance de police concernant les bains dans la rivière. Simon, 4 pp. - DE PAR LE PREVOST des Marchands, et Echevins de la ville de Paris ordonnance de police concernant la sureté des marchandises sur la rivière & dans les ports. P., Simon, 4 pp. - ARRÊT du Conseeil d’Etat du roi qui ordonne que les enfans qui auront appris un métier dans l’hôpital de la Trinité, seront reçus dans les communautés d’Art & Métiers... Impr Roy. 2 pp. - ÉDIT DU ROI qui supprime l’Office de Maître Général des Bâtimens & celui de Maître des œuvres de Charpenterie de la ville de Paris. Simon, 4 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la Généralité de Paris portant défenses de peler & écorcer les ormes & autres arbres plantés le long des routes & grands chemins.. Simon, 4 pp. - ORDONNANCE du Bureau des Finances de la Généralité de Paris pour le recensement des constructions nouvelles faites dans les villes & faubourgs de Paris.
Paris, 1883 [1885]. 1,03 x 0,60 m.
Très grand plan du 16ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 16ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 52 à 67), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Le plan montre également une partie du bois de Boulogne. En 1852, la propriété du bois de Boulogne fut cédée par Napoléon III à la Ville de Paris, qui fut alors chargée d'aménager l'espace vert en quatre ans. Les travaux débutèrent l'année suivante, dirigés par Haussmann, qui créa pour son adjoint Jean-Charles Alphand, le Service des Promenades et Plantations de Paris. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, Imprimerie de l'École municipale Estienne, 1896 in-4, 35 pp., [4] ff. n. ch., avec 2 planches hors texte, dont une en couleurs, demi-chagrin bouteille, dos à nerfs orné de filets à froid (reliure de l'époque). Petites épidermures sur les plats.
L'École Estienne fut une création municipale dès le départ, initiée par Abel Hovelacque : fondée en 1889, elle occupa au départ des locaux provisoires, situés rue Vauquelin. Les bâtiments définitifs conçus par l'architecte Menjot de Dammartin furent construits en 1896, et les locaux actuels du boulevard Auguste-Blanqui inaugurés le 1er juillet 18965 en présence du président de la République Félix Faure. RELIÉES À LA SUITE 10 relations d'événements officiels auxquels la Municipalité a pris part : I. Compte rendu officiel de la cérémonie d'inauguration de la rue Réaumur, le 7 février 1897. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1898, 31 pp., [4] ff. n. ch., avec une planche en couleurs hors texte. En réalité, il ne s'agit que de la section de la rue située entre la rue Saint-Denis et la rue Notre-Dame-des-Victoires, projetée dès 1864, mais percée seulement trente ans plus tard sous la Troisième République. La première section avait en effet été percée de 1854 à 1858, entre la rue du Temple et la rue Saint-Denis. - II. Relation officielle de la réception de M. le docteur Friedtjof Nansen par le Conseil municipal de Paris le samedi 27 mars 1897. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1898, 31 pp., [4] ff. n. ch., avec deux planches hors texte, dont un portrait-frontispice en héliogravure et une planche en couleurs. L'année 1897 est celle qui vit la parution de la traduction française ("Vers le pôle") de la relation de l'Expédition Fram (1893-1896). - III. Réception à l'Hôtel de ville le 3 juin 1897 par la municipalité de Paris des sauveteurs des victimes du Bazar de la Charité. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1897, 26 pp., [4] ff. n. ch., avec une planche en couleurs hors texte. - IV. Relation officielle de l'inauguration du Musée historique de la Ville de Paris (Hôtel Carnavalet) et de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris (Hôtel Lepelletier de Saint-Fargeau) le jeudi 23 juin 1898. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1899, 28 pp., [3] ff. n. ch., avec 4 planches hors texte, dont une en couleurs. - V. Relation officielle de l'inauguration du Musée Henri Cernuschi par le Conseil municipal de Paris, le mercredi 26 octobre 1898. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1899, 24 pp., [3] ff. n. ch., avec une planche en couleurs hors texte. - VI. Fête de l'adolescence offerte par la municipalité de Paris aux oeuvres post-scolaires laïques le dimanche 30 juillet 1899 au Bois de Boulogne. Paris, Librairie française d'éditions d'art, 1899, 48 pp., avec 3 planches hors texte, dont 2 plans. - VII. Inauguration des nouveaux bâtiments de l'école municipale J.-B. Say, le vendredi 30 mars 1900. Paris, Société française d'éditions d'art, 1900, 48 pp., avec des figures et plans dans le texte. - VIII. Réception à l'Hôtel de Ville des membres de l'Association internationale des académies, le 20 avril 1901. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1902, 40 pp., avec 2 planches hors texte, dont une en couleurs. - IX. Relation officielle de la réception de la délégation du Conseil municipal de Paris aux fêtes fédérales de Prague, les 29 et 30 juin 1901. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1903, [8] ff. n. ch., III pp., 54 pp., un f. n. ch., avec 11 planches hors texte sous serpentes. - X. Réception de la conférence sanitaire internationale de Paris à l'Hôtel de Ville. Paris, Imprimerie de l'École Estienne, 1904, [7] ff. n. ch., 17 pp., avec un frontispice sous serpente.Très intéressant recueil où l'on trouve notamment les relations de l'ouverture de deux grands musées : Carnavalet et Cernuschi.Exemplaire de la Bibliothèque des avocats, avec nom poussé en tête du dos. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris 1786 1- une lettre ORIGINALE de 4 pages (seule la 1ère page est manuscrite) manuscrites à l'encre brune , sur papier vergé crème ligné filigrané : " Cornet sur écu couronné, en pendentif : 4 à double chevron - VAN DER LEY", format : 18,8 centimètres de large x 23 centimètres de haut, adressée à A MESSIEURS VEUVE ADMYRAULT ET FILS AINÉ, NÉGOCIANTS ARMATEURS NÉGRIERS A LA ROCHELLE , lettre autographe signée : ADMYRAULD L'AINE , PARIS, LE 1ER FÉVRIER 1786, + 2 - une lettre ORIGINALE de 4 pages (seules les 3 premières pages sont manuscrites ) manuscrites à l'encre brune , sur papier vergé crème ligné filigrané : " Cornet sur écu couronné, en pendentif : 4 à double chevron - VAN DER LEY", format : 18,8 centimètres de large x 23 centimètres de haut, adressée à A MESSIEURS VEUVE ADMYRAULT ET FILS AINÉ, NÉGOCIANTS ARMATEURS NÉGRIERS A LA ROCHELLE, Paris, le 6 JUIN 1786, 3 - une lettre ORIGINALE de 4 pages (seule les 2 premières pages sont manuscrites) manuscrites à l'encre brune , sur papier vergé crème ligné filigrané : " L", format : 16,7 centimètres de large x 22 centimètres de haut, adressée à A MESSIEURS VEUVE ADMYRAULT ET FILS AINÉ, NÉGOCIANTS ARMATEURS NÉGRIERS A LA ROCHELLE , lettre autographe signée : ADMYRAULD L'AINE , PARIS, LE 13 JUIN 1786, ....... 4- une lettre ORIGINALE de 4 pages (seule les 2 premières pages sont manuscrites) manuscrites à l'encre brune , sur papier vergé crème ligné filigrané : " VAN DER LEY", format : 19 centimètres de large x 22,7 centimètres de haut, adressée à A MESSIEURS VEUVE ADMYRAULT ET FILS AINÉ, NÉGOCIANTS ARMATEURS NÉGRIERS A LA ROCHELLE , lettre autographe signée : ADMYRAULD L'AINE , PARIS, LE 3 JUIN 1786, ...........5- une lettre ORIGINALE de 4 pages manuscrites à l'encre brune , sur papier vergé crème ligné filigrané (importante mouillure ancienne mais tout est trés lisible) : " VAN DER LEY", format : 19 centimètres de large x 23,3 centimètres de haut, adressée à A MESSIEURS VEUVE ADMYRAULT ET FILS AINÉ, NÉGOCIANTS ARMATEURS NÉGRIERS A LA ROCHELLE , lettre autographe signée : ADMYRAULD L'AINE , PARIS, LE 4 FEVRIER 1786,
5 lettres ORIGINALES ...... RARES ............ en bon état (good condition). en bon état
Paris, 1883 [1885]. 595 x 836 mm.
Beau plan d'ensemble du réseau d'alimentation en eau et des égouts de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Le plan, dressé d'après la carte du département de la Seine, indique les réservoirs, signalés par un rectangle hachuré en bleu, les machines élévatoires, par un symbole en mauve, les conduites d'eaux de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, les conduites de refoulement, tracées en mauve, les aqueducs d'eau de l'Ourcq, tracées par un trait épais en bleu, et les aqueducs d'eau de source par un trait épais en vert. Tout autour de la ville, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Bas de la pliure centrale bruni. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 605 x 800 mm.
Très grand plan du 7ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 592 x 752 mm.
Très grand plan des 1er et 2ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 600 x 711 mm.
Très grand plan du 8ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 595 x 795 mm.
Très grand plan des 5ème et 6ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1885. 600 x 837 mm.
Très grand et beau plan général de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Le plan indique les conduites de refoulement, tracées en mauve, les usines élévatoires de prise d'eau (usines de pompage, hydrauliques ou à vapeur) signalées par un carré mauve, les usines de relais par un triangle rouge, et les réservoirs de distribution par des carrés et des demi-cercles hachurés. En lettres rouges sont indiqués les réservoirs (Château, Montmartre, Saint-Éleuthère, Buttes-Chaumont, Belleville, Ménilmontant, Charonne, Villejuif, Gentilly et Passy) et les usines d'alimentation en eau (Saint-Ouen, Montmartre, La Villette, Ménilmontant, Austerlitz, Maisons-Alfort, Ivry, Port à l'Anglais, Saint-Maur, Auteuil et Chaillot). Tout autour de la ville, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Vallée, Catalogue des plans de Paris, 1908, p. 26, 145 ; Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 615 x 833 mm.
Très grand plan des 9ème et 10ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 620 x 768 mm.
Très grand plan du 15ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 15ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 68 à 77), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 610 x 787 mm.
Très grand plan du 14ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 14ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 75 à 84), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 635 x 822 mm.
Très grand plan du 13ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 13ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 83 à 94), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 630 x 803 mm.
Très grand plan du 12ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 605 x 761 mm.
Très grand plan du 11ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 605 x 746 mm.
Très grand plan des 3ème et 4ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 795 x 585 mm.
Très grand plan du 20ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 20ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 10 à 20), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 657 x 776 mm.
Très grand plan du 19ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 19ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 18 à 33), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Le plan montre également les communes de Pantin et du Pré-Saint-Gervais. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Rousseurs à la pliure centrale. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 585 x 768 mm.
Très grand plan du 18ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 18ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 31 à 40), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 626 x 759 mm.
Très grand plan du 17ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 17ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 40 à 52), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Le plan montre également la commune de Levallois-Perret, jusqu'à la rue Gide, renommée dans les années 30 rue Paul Vaillant-Couturier. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Fessard, Claude (l'Aîné) (Paris, en 1740 - Paris, vers 1803), graveur, Moreau, Louis (avant 1764 - en 1791), dessinateur, Née, François Denis (Paris, en 1732 - Paris, 1818), editeur
Reference : 27519
Paris Née François Denis [entre 1781 et 1796] Une Gravure originale , technique : Eau-forte, en noir sur papier vergé crème, format de la gravure : 35 cm de haut par 52,5 cm de large, PARIS. «VUE D'UN DES ASPECTS INTERIEURS DU JARDIN DE BAGATELLE, représentant le Pont de la Cascade de l'Hermitage, planté d'après les dessins d'Alexandre Belanger premier Architecte de Mgr Comte d'Artois»: [estampe] par L. MOREAU Pinxit. Dirigé par Née François Denis. Série Ile de France N°85, [Paris], [entre 1781 et 1796] Née François Denis Editeur,
Vue des jardins de Bagatelle, dessinés pour le comte d'Artois, futur Charles X. Quelques promeneurs flânent sur les pelouses et dans les allées bordées d'arbres. LE PAVILLON DE BAGATELLE, est né dun simple défi lancé par la reine Marie-Antoinette à son beau-frère, le comte dArtois. Une histoire digne dun conte ! ...... Nous sommes en 1777. Le comte dArtois, frère cadet du roi Louis XVI, vient dacheter un domaine en piteux état, situé dans le bois de Boulogne. Curieuse de voir ce quil compte en faire, Marie-Antoinette, espiègle et moqueuse, lui lance un défi audacieux : Faire bâtir un château en moins de trois mois, lair de dire : "Impossible ! Tu ne pourras jamais relever un tel défi, mon cher beau-frère !". Mais le comte dArtois, piqué dans son orgueil et connu pour son goût du faste, relève immédiatement le gant. Défi relevé ! .... Tic, tac Les jours défilent, et les ouvriers saffairent jour et nuit sous la direction de larchitecte François-Joseph Bélanger. On creuse, on sculpte, on élève les murs à une vitesse folle. En seulement 64 jours, un petit chef-duvre voit le jour : la "Folie" de Bagatelle ..... ESTAMPE SUPERBE ........... TRÉS RARE ....... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[Riom, Puy-de-Dôme, Paris] Placard funéraire de Jean-François Fouet, Docteur en Théologie de la Faculté de Paris, Chapelain de l'Eglise de Paris, Ancien Curé de la Ville de Riom en Auvergne.
Reference : 015608
[Riom, Puy-de-Dôme, Paris] Placard funéraire de Jean-François Fouet, Docteur en Théologie de la Faculté de Paris, Chapelain de l'Eglise de Paris, Ancien Curé de la Ville de Riom en Auvergne. [Paris, novembre 1733]. 1p in-plano (environ 39*50cm). Le « Convoy, Service & Enterrement » aura lieu le 5 novembre 1733. On trouve peu de choses sur ce prêtre. Il finançait toutefois trois places au séminaire de Paris au profit de clercs de Riom et Aigueperse. Une belle lettrine macabre. Anciennement plié, petits trous aux plis, petites déchirures, petits manques marginaux. Rare document. [89]
K221- ROLLAND d’ERCEVILLE ( Barthélémy Gabriel), MEURGEY de TUPIGNY (Jacques) : Le « Typus religionis ». Description d’un tableau conservé au Musée de l’Histoire de France. Avant-propos de Charles BRAIBANT. Paris, Imprimerie Nationale, 1956.
Reference : K221
(1956)
TEXTES : l’ouvrage débute par un « Avant-Propos » par Charles BRAIBANT (Villemomble [93], 1889 - Paris [XVI°], 1976), archiviste-paléographe (1914), directeur des Archives de France depuis 1948. L’essentiel de l’ouvrage porte sur le « Rapport » présenté au Parlement de Paris, le 15 juillet 1763, par le Président ROLLAND, suivi de la « Description du tableau ». Les pages liminaires (« Typus Religionis », Histoire du tableau, [notice sur] le président Rolland) et les dernières (Appendice [ traductions en français], Conclusion et Bibliographie), sont de J. MURGEY de TUPIGNY. PRÉCISIONS SUR L’AUTEUR : né Jacques-Pierre MEURGEY (Paris, 1891-1973), diplômé de l’École des Chartes en 1924, spécialiste reconnu en sigillographie et en généalogie, à l’époque directeur-adjoint des Archives Nationales ; il sera Commandeur de la Légion d’Honneur en 1961 ; par ailleurs, Chevalier de l’Ordre souverain de Malte [NOTE4]. Accessoirement adoubé dans l’Ordre Francisquin, dans les années 40 : dans la liste alphabétique, il est inscrit entre le docteur Ménétrel et François Mitterrand. Son patronyme devient MEURGEY de TUPIGNY [NOTE 5] par décret du 22/12/1954 ; parfois qualifié de « baron » (NOTE6], comme cela figure, par anticipation, sur deux modèles de son ex-libris, l’un daté de 1947, dessinés par Robert LOUIS, artiste auquel on doit les séries de timbres-poste relatifs aux provinces et villes de France. Par ailleurs, les Archives parisiennes nous apprennent que ses bisaïeux étaient « négociants » ; une de ses tantes avait épousé le fils de Félix Potin , épicier, fondateur de la célèbre enseigne éponyme. Dans son arbre généalogique, il y a donc plus d’épiceries de quartier que de quartiers de noblesse. Et pourtant, dans son volumineux « Armorial de la Généralité de Paris » (Mâcon, 4 vol.,1965-1967), J. M.de T. écrit dans sa préface : « Comme on le croit souvent à tort, et non plus que la particule devant le nom, les armoiries ne sont preuves de noblesse » (Georges Cerbelaud-Salagnac, dans son commentaire sur l’Armorial , in www.erudit.org).
BILLOM COMMUNAUTÉ... TYPUS REVISIONIS...On peut voir à Billom (Puy- de- Dôme), dans la Mairie, une copie du tableau. Une petite plaquette informative, éditée par « Billom Communauté » (de communes), quelques pages illustrées en quadrichromie, dans la série « Focus », est mise à la disposition des visiteurs. Disponible sur Internet (https://billomcommunaute.fr), sous-titrée (Google) « Un guide explicatif dédié au « Typuse ( sic !) Religionis ». Cela commence bien. J’ai pu relever une vingtaine de fautes, imprécisions, omissions, etc. dont voici un aperçu : - sur la date : « dernières années du XVI° siècle », contredit quelques lignes plus loin par cette phrase d’une lourdeur exceptionnelle : « Cependant, on ne peut pas non plus affirmer que ce ne soit pas Ravaillac » [1610] (en bon français, deux négations qui se suivent, relatives à un même objet égalent … une affirmation). Il en résulte que ce sont bien les régicides Clément et Ravaillac qui sont accueillis sur le vaisseau… Éventuellement, le cas échéant, si, sur cette échelle - et à côté-, ce ne sont point des régicides et leurs maîtres à penser, qui donc sont ces personnages ? Décidément, ce tableau est incontestablement « mystérieux », - ce fragment étonnant, le plus important de ce texte : « La lecture du tableau faite en 1763 par le président Rolland est erronée car elle est anecdotique, le sens général du tableau n’a pas été compris ». Anecdotique, la scène la plus importante du tableau ? En son centre, le navire ; sur le pont, au mitan de celui-ci, Loyola exhibe ostensiblement le sceau des Jésuites « IHS » ; toujours au centre de l’image, l’échelle recevant ces personnages … En revanche, le Pape est relégué, en contrebas, dans une barque, attelée à l’arrière du navire. Le Pape montera donc après assassins et complices. Ce tableau n’est pas, paraît-il, un tableau d’église, mais un objet « didactique », aujourd’hui on dirait « pédagogique », dont le but était d’inculquer à ces chers petits les bases de la Religion catholique romaine : cette vision de la Papauté est certainement…anecdotique. - L‘auteur – anonyme - de la plaquette a eu, malgré tout, une intuition géniale, quoique … anecdotique, au sujet de Jacques Clément et de François Ravaillac escaladant une échelle, accueillis à bras ouverts par le jésuite Varade ; « Peut-être le peintre s’est-il amusé (…) ». Allégoriquement, peut-être voulait-il simplement nous « mener en bateau » ? [NOTE7] - ce tableau , empli de figures, d’images, accompagnées, de bulles (censuré par le Vatican), de nombreux cartouches, dans sa version gravée à l’eau-forte, le « Typus Religionis » est, au même titre que la Tapisserie de Bayeux, un ancêtre de la B.D. En fin de compte, ce « travail » anonyme [NOTE 8] me paraît être de la bouillie (pardon, de la mauvaise potée auvergnate) pour touristes. À ce TYPUS REVISIONIS, il ne manque que l’Imprimatur. Avec un pape jésuite, tous les espoirs sont permis. IN FINE, je citerai un auteur , sortant certes de l’ordinaire, qui porte un jugement impartial sur le rôle des Jésuites dans les affaires de régicides : « Si les Jésuites ont été innocents des crimes de Jacques Clément, de Barrière, de Châtel et de Ravaillac ; s’ils ne furent pour rien dans les nombreuses conjurations ourdies contre la vie d’Élisabeth et de Jacques d’Angleterre, des princes de Nassau et de tant d’autres, il faut avouer qu’ il est bien étrange de rencontrer toujours dans ces faits quelque Jésuite confident du coupable. On se demande naturellement comment ces confesseurs, si habiles à s’emparer de l’esprit de leurs pénitents, n’ont jamais pu réussir à empêcher ces attentats dont ils avaient connaissance », tome I, 4. de l’ Histoire des Jésuites composée sur documents authentiques en partie inédits. Paris, Huet, 1858-1859, 3 vol. et Paris, A. Sagnier, 1870 (2° édition). [BNF, 305534**]. Il s’agit de René-François GUETTÉE [Blois, 1816- Ehnen ( Luxembourg], 1892], prêtre catholique de tendance gallicane voire janséniste, qui n’aimait pas les ultramontains : il se convertit à l’orthodoxie (1861), version russe, ultra Vistula , et se fera désormais appeler Wladimir ; marié civilement, ce prêtre hétérodoxe, embrassa l’orthodoxie et , sur un plan différent, sera « hétéro ».// [NOTE 1] Dans la « Bibliographie » [p. (45)], d’une part, sont citées deux gravures différentes du tableau, annoncées avec les « légendes en français » (sic)… Dans la première, jointe à la plaquette (1783), toutes les légendes sont en latin. D’autre part, est mentionnée « La Galère jésuitique » datée de 1826, avec « une estampe différente (…), avec les légendes en français », Paris, L’Huillier, 1826 (BNF, 36345639); il existe, une deuxième édition, parue la même année (BNF, 36345640). Par ailleurs un « Précis de l’histoire des jésuites (…),par Gabriel-Jean CHARVILHAC, accompagné d’une estampe du tableau trouvé (etc.…), paru à Paris, dès 1820, chez le même L’Huillier, montre une gravure qui semble identique à celle de 1826 [BNF 36345591, avec planche et (30226122), sans mention de planche ; photos visibles sur Bibliorare. com et LRB] [NOTE 2] Barthélémy-Gabriel ROLLAND, président du Parlement de Paris, premier comte de CHAMBAUDOIN par érection de la seigneurie en comté (par lettres patentes de Louis XV de janvier 1770, était seigneur d’Allainville, Annemont, Ardouville, Aubreuil, ERCEVILLE, Fontferrière, Gloriette, Judinville, La Muette, Trémeville, et Samois. Cette liste de fiefs, longue comme le bras, malgré l’acte de salubrité publique effectué trente ans auparavant, ne contribua certes pas à lui sauver la vie : il fut guillotiné le 20 avril 1794. [NOTE 3] « imposante peinture sur bois » (sic !), commentaire sur un concert (07/17/2009) dans l’hôtel de Soubise (« concertonet.com », longtemps « dissimulée derrière[sic!] une cimaise » . [NOTE 4] « l’ordre dit de Malte sous-entend noblesse, on y entre pour paraître noble sans l’être le moins du monde et ceci, en France tout particulièrement », l’admission dans cet ordre est devenue « principalement le refuge de la fausse noblesse » ou encore « en 1957, qui est noble va à l’ANF [Association d’entraide de la Noblesse Française], qui voudrait l’être va à Malte » (in Philippe du Puy de Clinchamps, Paris, P.U.F., « Que sais-je ? », La Noblesse, 1959 et La Chevalerie, 1966). [NOTE 5] de Tupigny, famille picarde éteinte depuis très belle lurette (fin du XVII° siècle); absente à l’ANF. [NOTE 6] rien sur son apparition (sur la toile, que des répétitions serviles, ce qui est bien dommage pour un « noble »). [NOTE 7] « mener en bateau », synonyme de «amuser» (CNRTL ). [NOTE 8] anonyme, néanmoins avec la caution morale de l’historien Bernard DOMPNIER (cité en exergue) , qui, entre autres, est « membre du Comité pontifical des sciences historiques (Vatican), membre de l’Accademia Ambrosiana, consultore storico auprès de la Congrégation romaine des Causes des saints » (« chec.uca.fr »). Espérons que la rédaction de ce torchon a été faite à son insu. Sinon… Cette fiche est un extrait d'un texte plus important, avec références bibliographiques, justificatifs et autres commentaires. DISPONIBLE en PDF sur simple demande.
À Paris, chez P. G. Simon, 1771 in-4, cartonnage papier marbré, étiquette manuscrite sur le premier plat.
- De par les prévosts des marchands et échevins de la ville de Paris. Ordonnance de police, concernant la conduite par eau des bourgeois & habitans de la ville de Paris (...). A Paris, chez P.G. Simon, 1771, 4 pp.- Déclaration du Roi, portant attribution de différens Droits pendant trois années en faveur de l'Hôpital Général & des Enfans-Trouvés. A Paris, chez P.G. Simon, 1771, 6 pp.- Lettres patentes du Roi portant nomination par provision d'Administrateurs du Collège de Louis-le-Grand. A Paris, chez P.G. Simon, 1771, 3 pp.- Lettres patentes du Roi, concernant la reconstruction de la nef de l'église royale & paroissiale de Saint Barthélémy en la Cité à Paris & l'acquisition des terrains nécessaires à cet effet. A Paris, chez P.G. Simon, 1771, 4 pp.- Edit du Roi portant suppression de la Compagnie du Guet de la ville de Paris & création d'icelle. A Paris, chez P.G. Simon, 1771, 4 pp.- Arrest du Conseil d'Etat du Roi, qui maintient les prévôt des marchands & échevins de la ville de Paris, dans le droit de nommer aux Offices qui composent le corps & juridiction dudit Hôtel de Ville (...) A Paris, chez P.G. Simon, 1771, 4 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT