Léopold Sédar Senghor (1906-2001), poète, écrivain, homme d'état.
Reference : 014709
Léopold Sédar Senghor (1906-2001), poète, écrivain, homme d'état. Photographie originale dédicacée, 6 mars 1987, 237*323mm (photo : 197*282mm). Belle photo, vraisemblablement unique, représentant Léopold Sédar Senghor et André Jouniaux, qui était un homme de théâtre (il existait une compagnie André Jouniaux). Elle est dédicacée des deux côtés : sous la photo : « A Monsieur André Jouniaux En hommage cordial » + signature. Même dédicace au dos, écrit plus grand, avec la date en plus. Peu commun. [356]
Jules Dufaure (1798-1881), avocat, homme d'état, ministre. L.S., Paris, 17 décembre 1848, 1p in-4. Au député Jules Hovyn de Tranchère (1816-1898), homme politique, député de la Gironde qui lui demandait de placer M. Reger, négociant à Bordeaux, à un poste de commissaire de police. Il le fera si Reger remplit les conditions. [304-2]
Jules Simon (1814-1896), philosophe, homme d'état. L.A.S., 11 mai 1886, 1p in-12. A Arthur Mangin. A propos d'une erreur dans un article du matin. Il a été écrit Danteri au lieu de Danten qui est « un homme de talent et un esprit indépendant ». [303]
Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (1753-1824), homme d'état, deuxième consul, archichancelier de l'Empire, membre de l'Académie française.
Reference : 017391
Jean-Jacques-Régis de Cambacérès (1753-1824), homme d'état, deuxième consul, archichancelier de l'Empire, membre de l'Académie française. Manuscrit autographe, Paris, 11 thermidor an XI [30 juillet 1803], 1pœ in-4. Très important brouillon d'une lettre du deuxième consul au troisième consul, Charles-François Lebrun (1739-1824) - le premier consul étant Napoléon. Les parties entre crochets sont barrées par Cambacérès. La lettre mentionne Napoléon et son épouse, Joséphine de Beauharnais. « Le Consul Cambacérès, au Consul Le Brun, La Lettre, mon cher Collègue, que vous avez eu la bonté de m'écrire, le 8 de ce mois, m'est arrivée en même temps que celle du 1er Consul en date du 9. Je vois dans cette dernière que vous avez déjà parcouru les environs de Bruxelles, ce qui ne vous a point empêché de conférer avec le Premier Consul, et de rendre vos devoirs à Mad. Bonaparte, à qui je vous prie, s'il est temps encore, d'offrir l'assurance de mes sentiments respectueux, et mes remerciements de son souvenir. [Nous sommes ici brûlés par la chaleur ; je vous souhaite de la pluie, pour la continuation de votre route.] Vous avez la complaisance [de me la tracer, mais ne me dites point] de m'indiquer la route que vous allez suivre, mais il n'est question ni du jour de votre départ de Bruxelles, ni du temps que vous mettrez à parcourir les villes qu'il est dans votre intention de visiter. L'époque de votre retour à Paris n'est donc point encore connue : [je n'ai pas le soin] il m'est inutile de vous dire combien je souhaite qu'elle soit très prochaine. Je souhaite aussi, pour vous & pour nous que la chaleur diminue : elle est aujourd'hui à un degré excessif. À cet inconvénient excessif près, tout va bien ici. Je présume que ma lettre du 9 vous aura trouvé encore à Bruxelles. Recevez, mon cher Collègue, les assurances de mon inviolable attachement ». Napoléon Bonaparte est alors en voyage d'inspection dans le Nord de la France et en Belgique, accompagné de Lebrun. Aussi étonnant que cela puisse paraître, les papiers de Cambacérès ne sont pas revendicables. Comme le rappelle Thierry Bodin, en préambule du catalogue de la vente des lettres de Napoléon à Cambacérès (Paris, Aguttes, 19 octobre 2022), les papiers saisis par l'état à la mort de Cambacérès sont rendus en partie à la famille après un procès de 4 ans. Les documents de ses archives qui circulent font donc partie de cette restitution. Beau document [93]
[Napoléon Bonaparte, Cent Jours] Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet (1766-1823), homme d'état, intendant général de la couronne.
Reference : 013177
[Napoléon Bonaparte, Cent Jours] Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet (1766-1823), homme d'état, intendant général de la couronne. L.S., Paris, 5 juin 1815, 1p in-folio. À Pierre de Montesquiou-Fezensac (1764-1834). A propos de l'état nomination des personnes attachées au service de Montesquiou (alors Grand Chambellan) et le budget de la gouvernante. [308]
Léon Say (1826-1896), économiste, homme d'état. L.A.S., 21 août [1888], 1p 1/2 in-8. Au médecin Charles-Victor Daremberg (1817-1872). « Le conseil général de Seine et Oise voudrait demander à Aimé Girard (1830-1898) d'aller au congrès d'hygiène de Francfort avec Marion, pour flanquer Marion d'un nom qui ait de l'autorité. Est-ce qu'Aimé Girard a de l'autorité ? Y a-t-il quelque membre du conseil d'hygiène auquel le conseil général de S. et O. pourrait s'adresser utilement au lieu d'Aimé G. . ». Marion, ingénieur des ponts et chaussées, fut bien le représentant de la France en octobre à Francfort. Toutefois nous n'avons pas trouvé qui l'a accompagné. [394]
Robert Peel (1788-1850), premier ministre du Royaume-Uni, homme d'Etat.
Reference : 016257
Robert Peel (1788-1850), premier ministre du Royaume-Uni, homme d'Etat. L.A.S., Londres, 22 mars, 1p in-4. En anglais, à un maire d'Avranches. « Mons. Le Maire, I am much obliged by your letter and by your kind attention in sending me the interesting volume which accompanied its. If it should ever be in my power to visit the town of Avranches, I take such an opportunity of personally returning to you any acknowledgments. [.]. Robert Peel ». On joint une lettre d'un nommé Baurat (?) à Pierre-Philibert Pompée (1809-1874) et un manuscrit du même traduisant la lettre de Peel et donnant le contexte : l'utilisation d'un legs pour des lits d'hôpitaux en faveur des matelots anglais et des résidents anglais malades. [162b]
Jean-François Paul de Gondi (1613-1679), cardinal de Retz, homme d'état.
Reference : 014611
Jean-François Paul de Gondi (1613-1679), cardinal de Retz, homme d'état. P.S., sd [1644-1654], 2 lignes. « Pour les orgues d'Enghin 60 florins. L'archevêque de Corinthe ». Il fut nommé archevêque (in partibus) de Corinthe en 1643 et sacré en 1644. Sympathique document du grand cardinal. [353]
Léon Say (1826-1896), économiste, homme d'état. L.A.S., sd, 1p in-8. A Arthur Mangin. Billet pour réclamer un manuscrit. [303]
Léon Say (1826-1896), économiste, homme d'état. L.A.S., 28 juillet 1883, 1p in-12. A Arthur Mangin. ll lui envoie un rapport sur les assurances qu'il a tout le temps de publier avant Vergé. [303]
Léon Say (1826-1896), économiste, homme d'état. L.A.S., 29 juillet 1883, 1p in-8. A Arthur Mangin. Son manuscrit sur le concours des assurances ira finalement à M. Vergé qui en tirera des épreuves. Say en fera parvenir une à Mangin qui pourra d'abord l'insérer dans L'Economiste avant que Vergé ne le publie. [303]
Léon Say (1826-1896), économiste, homme d'état. Manuscrit autographe signé, sd [1882], 1p in-4. Note autographe lue en séance à l'Académie des Sciences morales et politiques concernant un la nouvelle édition de la traduction des Voyages de Young en France traduits par H-J Lesage. Il vante cette nouvelle édition. Cette note provient des papiers d'Arthur Mangin qui s'en est probablement servi pour la rédaction d'un compte-rendu de séance. [303]
Léon Say (1826-1896), économiste, homme d'état. Manuscrit autographe (à la troisième personne), sd [1889], 1p in-4. Note autographe lue en séance à l'Académie des Sciences morales et politiques. Il offre alors, au nom de ses collaborateurs et au sien, le premier volume di Dictionnaire des finances, détaillant ainsi le dictionnaire et nommant certains collaborateurs. Cette note provient des papiers d'Arthur Mangin qui s'en est probablement servi pour la rédaction d'un compte-rendu de séance. [303]
Jules Simon (1814-1896), philosophe, homme d'état. L.A.S., 10 octobre 1884, 2p in-12. A Arthur Mangin. Il demande des renseignements sur Maurice[-Louis] Jametel (1856-1889) car on lui a écrit de Genève où Jametel demande la chaire de Damette (?). Il ne connait pas Jametel et demande donc, « sous le plus grand secret » des renseignements à Mangin car Jametel est « rédacteur de l'Economiste français, membre de la société des économistes et lauréat de l'Institut ». Il remercie aussi pour un article. Jametel était diplomate et sinologue. Il n'eut pas cette chaire à Genève mais eut la chaire de chinois à l'Ecole des langues orientales en 1886. Il meurt trois ans plus tard, à presque 33 ans. [303]
Jules Simon (1814-1896), philosophe, homme d'état. Manuscrit autographe, sd, 2p in-8. Note autographe lue en séance à l'Académie des Sciences morales et politiques, d'une petite écriture serrée. Cette note concerne les revenus du clergé au XVIIIe siècle, mentionnant par exemple que les revenus déclarés étaient e 57,827,689 francs alors que l'estimation de la personne dont il présente le travail est entre 110 et 120 millions, estimation très inférieure aux autres estimations. Cette note provient des papiers d'Arthur Mangin qui s'en est probablement servi pour la rédaction d'un compte-rendu de séance. [303]