Berlin, Druckerei der Königl. Akademie der Wissenschaften, 1849 in-4 carré, [2]-46-17-25 pp., avec 9 planches (dont 4 en couleurs), demi-veau blond, dos lisse cloisonné en long, pièce de titre noire en long, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs. Bon exemplaire.
Contient les deux études complémentaires (en pagination séparée, mais faisant partie de la notice) : Die Vasenmaler Euthymides und Euphronios - Die Vasenbildner Panphaios. Le Silésien Theodor Sigismund Panofka (1800-1858) est connu comme le premier érudit à avoir entrepris une étude systématique de la poterie grecque antique, en dépit de jugements parfois hâtifs : ayant effectué le voyage de Rome dès 1823, à la suite de ses études à l'Université de Berlin, il y fonda dès 1824 le groupe dit des "Hyperboréens" (Hyperboreisch-römische Gesellschaft), avec le peintre Otto Magnus von Stackerlberg, l'historien Eduard Gerhard et le collectionneur August Kestner. Tous devaient s'illustrer dans la connaissance de l'Antiquité classique.Envoi autographe de l'auteur au duc de Luynes sur les premières gardes.Un seul exemplaire au CCF (BnF).
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Paris, Debure frères, Rey et Gravier, Leipzig, Weigel, 1829 in-folio, 64 pp., avec 9 planches gravées au trait, cartonnage de papier crème, dos lisse muet, titre imprimé sur le plat supérieur (reliure de l'éditeur). Coiffes frottées, rousseurs.
Très intéressante étude à la fois lexicologique et archéologique, faisant le rapport entre les attestations textuelles et les objets réellement exhumés des fouilles, dans un genre mixte qui n'a pas été suffisamment développé ultérieurement.Le Silésien Theodor Sigismund Panofka (1800-1858) est connu comme le premier érudit à avoir entrepris une étude systématique de la poterie grecque antique, en dépit de jugements parfois hâtifs : ayant effectué le voyage de Rome dès 1823, à la suite de ses études à l'Université de Berlin, il y fonda dès 1824 le groupe dit des "Hyperboréens" (Hyperboreisch-römische Gesellschaft), avec le peintre Otto Magnus von Stackerlberg, l'historien Eduard Gerhard et le collectionneur August Kestner. Tous devaient s'illustrer dans la connaissance de l'Antiquité classique.
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Berlin, G. Reimer, 1842 in-4, VIII-[6]-163 pp., avec 64 planches lithographiées, sous serpentes (dont 8 totalement ou partiellement en couleurs), index, demi-veau havane, dos à nerfs orné de doubles caissons dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs assez abondantes.
L'ouvrage est le fruit du travail de l'auteur au Musée royal de Berlin, où sa connaissance des vases classiques l'avait fait recruter en 1836 comme assistant, puis nommer administrateur de la section des vases (en 1856). En effet, le Silésien Theodor Sigismund Panofka (1800-1858) est connu comme le premier érudit à avoir entrepris une étude systématique de la poterie grecque antique, en dépit de jugements parfois hâtifs : ayant effectué le voyage de Rome dès 1823, à la suite de ses études à l'Université de Berlin, il y fonda dès 1824 le groupe dit des "Hyperboréens" (Hyperboreisch-römische Gesellschaft), avec le peintre Otto Magnus von Stackerlberg, l'historien Eduard Gerhard et le collectionneur August Kestner. Tous devaient s'illustrer dans la connaissance de l'Antiquité classique.Seulement deux notices au CCF.
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