1892 Paris Calmann-Lévy, 1892 Grand in8,pleine percaline de l'éditeur bleue turquoise,,plats et dos ornés, ,dos lisse illustré d'un fantassin en pied,, premier plat historié d'un décor militaire, deuxième plat illustré d'un cavalier sonnant la charge au clairon, toutes tranches dorées, reliure de Paul Souze & Engel r -485 pp, 2 grandes cartes dépliantes ainsi que de 250 gravures d'après Dauzats, Horace Vernet, Ary Scheffer, Eugène Lami, Descamps, Paul Delaroche, Raffet, etc. . Quelques rousseurs
Paris, Librairie Plon, 1909. In-folio, 288-39 pp. 17 pl. 8 cartes, demi-maroquin à coins bleu, dos à nerfs orné de fleurs de lys dorées, tête dorée, couverture conservée (petites épidermures).
Édition originale de ce récit de voyage avorté dans les mers arctiques du duc d'Orléans, prétendant au trône de France. Elle est illustrée de 17 planches et 8 cartes relatives à l'expédition. Cet exemplaire est enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur au marquis d'Harcourt. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Plon-Nourrit et Cie, 2° éd, 1911, in-16, front, (4), XXIV, 271pp, 24pl, broché, couverture illustrée, 25 planches d'après des photographies, dont 1 frontispice, représentant des paysages et des animaux polaires (rennes, morse, phoque et ours blanc). SECONDE EDITION de ce récit des trois voyages du duc d'Orléans dans les régions arctiques (entre 1905 et 1909) à bord de la "Belgica". Rousseurs éparses, couverture usagée avec petit manque. Couverture rigide
Bon front., (4), XXIV, 271pp.,
1907 Editions Plon-Nourrit et Cie, Paris, 1907. In-4, demi-chagrin maroquiné à coins. 349 pages, 1 frontispice en héliogravure, très nombreuses illustrations photo en noir et blanc,10 planches couleurs. 2 cartes dépiantes en couleurs
Superbe exemplaire, totalement immaculé. Edition originale
Paris Poulet-Malassis et de Broise, Libraires-Editeurs 1861 in 16 (16x12,5) 1 volume reliure demi chagrin bleu (XXe), dos à nerfs, couverture conservée, dos lisse, 92 pages [2]. Tirage limité à 355 exemplaires. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Ed. limitée
Plon-Nourrit et Cie, Imprimeurs-éditeurs 1909 In-4. Broché, premier plat de couverture illustré d’une vignette, dos muet, 288 pp., reproductions photographiques dans le texte, 18 planches hors-texte, 39 pp. de tableaux, 8 cartes repliées. Macules d’encre noire, 1 carte avec manque angulaire. En l’état.
Relation de l’échec de l’expédition du prince explorateur pour rejoindre le détroit de Bering à partir de la mer de Kara en longeant la côte nord de la Sibérie. Bon état d’occasion
Paris Perrin 2011. Fort in-8 broché couverture illustrée 675pp Avec une carte et des illustrations hors texte en noir et en couleurs.
Plis de lecture au centre du dos mais bel exemplaire. (3406
Bel exemplaire imprimé sur papier de Hollande relié en maroquin rouge aux armes et chiffre couronné du jeune roi Louis XV (1715-1774). Paris, Imprimerie Royale, 1724. In-4 de (2) ff. et 175 pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, armoiries au centre, dos à nerfs fleurdelysé orné du chiffre royal couronné répété cinq fois, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées, découpe réparée sur le titre. Reliure aux armes du roi Louis XV. 252 x 190 mm.
Les règlements de Philippe d’Orléans, Régent du Royaume, sur les haras nationaux édictés entre 1717 et 1719. « Nous avons par nostre Reglement de cejourd’huy, ordonné ce que Nous voulons estre observé à l’avenir pour le service des Haras dans l’estendue de nostre Royaume : Et comme par nos Arrest des 28 octobre 1683 & 21 May 1695 & notre Declaration du 22 Septembre 1709. Nous vous avons particulierement attribué la connoissance & Jurisdiction de tout ce qui concerne les dits Haras & les Privileges des Gardes-Estalons, avec pouvoir de rendre vos Ordonnances, sauf l’appel en nostre Conseil ; Nous désirons que vous donniez la mesme attention à l’execution dudit Reglement. A ces causes, de l’avis de nostre tres cher & tres amé le Duc d’Orleans Regent, de nostre tres cher & tres amé Cousin le Duc de Bourbon, de nostre tres cher & tres amé Oncle le duc du Maine, et de nostre tres cher & tres amé Oncle le Comte de Toulouse, & autres Pairs de France, grands & notables personnages de nostre Royaume, Nous vous mandons & ordonnons de faire garder & observer selon sa forme & teneur ledit Reglement , Ensemble les formules cy-attachées sous le Contre-Scel de nostre Chancellerie ; Et que vous ayez à le faire lire & publier par tout où besoin sera, chacun dans l’estendue de vostre département, sans permettre qu’il y soit contrevenu en quelque sorte & Manière que ce puisse estre, nonobstant tous autres Arrest, Ordonnances & Reglements à ce contraires. Voulons qu’aux copies dudit Reglement, des dites formules & des presentes deuëment collationnées par l’un de nos amez & seaux Conseillers-Secretaires, soy soit ajoutée comme à l’Original ; Car tel est nostre plaisir. Donné à Paris le vingt-deuxième jour de Fevrier mil sept cens dix-sept, Et de nostre Regne le fecond. Signé Louis. Et plus bas, Par le Roy, le Duc d’Orléans Régent présent. Phelypeaux ». « Le 28 octobre 1683 fut publié l’arrêt du Conseil concernant le rétablissement des Haras du royaume. Nous avons vu qu’un arrêt avait été rendu à ce sujet dix-huit ans auparavant, pendant l’administration de Colbert : celui de 1683 eut donc pour objet de donner une nouvelle vigueur à son aîné. A partir de ce moment, l’administration des Haras du royaume est constituée, et les règlements, les instructions se succèdent. En 1717, l’Imprimerie royale en publiait un recueil de 154 pages in-4, suivi, à sept ans de distance, par un ‘Règlement du roy’ sur le même sujet, en 175 pages. » (F. Michel, Du passé et de l’avenir des haras). « Ce fut en 1717 que le gouvernement, effrayé de la dégénérescence toujours croissante de l’espèce chevaline en France, de la pénurie de chevaux qui existait dans ce royaume, et de l’énorme somme sortie pour les remontes faites à l’étranger en 1688 et 1700, crut devoir aviser aux moyens d’augmenter et d’améliorer les chevaux français. Un règlement concernant l’administration des haras du royaume dut arrêté, un système régulier mis en vigueur et suivi avec quelques modifications jusqu’à la révolution de 1789. » Bel exemplaire imprimé sur papier de Hollande relié en maroquin rouge aux armes et chiffre couronné du jeune roi Louis XV (1715-1774).
Palais-Royal [Paris], 21 février 1757 in-4, [2] pp. n. ch., en feuille.
Missive envoyée par le duc d'Orléans, Louis-Philippe "le Gros" (1725-1785) à Daniel-Charles Trudaine (1703-1769), administrateur des Ponts et Chaussées, lui demandant la construction d'un chemin entre Bagnolet et Bondy en passant par Noisy-le-Sec :"(...) un chemin dont la construction me seroit très utile pour aller de Bagnolet à Bondy. Cette traverse est impraticable pendant presque toute l'année, et indépendamment de l'avantage que je tirerois de la construction de ce chemin, il seroit de la plus grande utilité pour les habitans des villages voisins, qui offrent des voitures sur les lieux".Le château de Bagnolet, bien patrimonial des Orléans, était en effet passé de Françoise-marie de Bourbon, duchesse d'Orléans (1677-1749) à son fils Louis, puis à son petit-fils Louis-Philippe en 1752. Ce dernier ne le gardera pas longtemps, puisqu'il le revendit en 1769 pour acquérir le château du Raincy, mais la présente lettre semble attester qu'il s'y rendait assez souvent entre 1752 et la revente.En tant qu'administrateur des ponts et chaussées, Trudaine, économiste éclairé, faisait alors réaliser plusieurs milliers de kilomètres de routes royales (actuelles routes nationales) reliant Paris aux frontières et aux principaux ports de mer. Ce réseau routier était alors considéré comme l'un des meilleurs d'Europe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
L’un des rarissimes exemplaires de luxe contenant les 29 figures gouachées tirées sur vélin des Amours de Daphnis et Chloé, l’un des plus célèbres livres illustrés du XVIIIe siècle. Paris, de l’Imprimerie de Monsieur, 1787. Petit in-folio de (1) f. bl., viii pp., (1) f., 175 pp., 29 planches hors-texte en couleurs numérotés, protégées par des serpentes. Maroquin rouge, filet et guirlande dorés encadrant les plats, dos lisse finement orné, pièce de titre de maroquin vert, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Etui. Reliure de l’époque. 319 x 240 mm.
Très belle édition du plus célèbre livre illustré français du XVIIIe siècle, imprimée sur la presse privée de Monsieur, comte de Provence, frère de LouisXVI, futur LouisXVIII, ornée de 29 copies au trait des figures originales du Régent, gravées par Martini. Un des rarissimes exemplaires de luxe contenant les 29 figures gouachées tirées sur vélin. Les peintures sont d'une extrême fraîcheur. «L’éditeur Lamy fit gouacher des suites de ces gravures au trait tirées sur vélin et les inséra dans des exemplaires de luxe.» (Cohen, 655). L'imprimerie de Monsieur était dirigée par Pierre-François Didot (dit Didot jeune) depuis 1779. Dans ce roman grec de Longus (fin du IIe siècle après Jésus-Christ), l’auteur raconte l’histoire de l’amour simple et naïf de Daphnis et Chloé, deux pauvres enfants abandonnés. La particularité de l’ouvrage de Longus, par comparaison avec les autres ouvrages du même genre c’est d’avoir laissé les péripéties au second plan, et d’avoir donné tout le relief aux aventures sentimentales des protagonistes. Daphnis et Chloé ont découvert, en une lente progression, leur sexualité, et le roman s’achève précisément sur l’accomplissement de l’acte charnel. Le roman célèbre Éros, bien sûr, mais aussi Pan et les Nymphes. Ce livre, traduit dans toutes les langues, fut remis au goût du jour en France par le Régent, Philippe d’Orléans et connut plusieurs belles éditions illustrées tout au long du XVIIIe siècle. La présente édition offre une traduction nouvelle par de Bure Saint-Fauxbin. Superbe exemplaire dont l’ensemble des gravures ont été gouachées à l’époque et rehaussées d’un double cadre peint en saumon et noir, conservé dans sa première reliure en maroquin de l’époque. Ce précieux exemplaire a appartenu à Napoléon III, comme en atteste son ex libris apposé au contreplat de la reliure. Charles-Louis-Napoléon Bonaparte, troisième et dernier fils de Louis, roi de Hollande, et Hortense-Eugénie de Beauharnais, et neveu de Napoléon Ier, naquit à Paris au château des Tuileries, le 20 avril 1808 et devint le 22 juillet 1832, à la mort du duc de Reichstadt, le représentant direct de la dynastie napoléonienne; d’abord fixé en Suisse où il fut nommé capitaine d’artillerie, à Berne en 1824, il essaya en 1836 à Strasbourg, de renverser Louis-Philippe dans un mouvement militaire; arrêté et envoyé aux Etats-Unis, il fit en août 1840 à Boulogne une seconde tentative qui échoua et qui lui valut l’emprisonnement perpétuel, mais il réussit à s’enfuir du fort de Ham le 26 mai 1846 et à gagner la Belgique; de retour en France lors de la révolution de 1848, il fut élu député en juin 1848, puis président de la république le 10 décembre de la même année. Le coup d’Etat du 2 décembre 1851 qu’il fit contre l’Assemblée législative lui donna la présidence pour dix ans; enfin, proclamé empereur à la suite d’un plébiscite des 21-22 novembre 1852, le 1er décembre 1852, Napoléon III épousa le 29 janvier 1853, Marie-Eugénie de Gusman, comtesse de Téba, seconde fille du comte de Montijo. Sous son règne la France jouit d’une grande prospérité industrielle et commerciale due en partie à nombre de mesures d’utilité publique prises par le gouvernement, tandis qu’à l’extérieur, une suite de guerres, dont la fin de la conquête de l’Algérie, nous donnait la Savoie, le comté de Nice et la Cochinchine. A la suite de la défaite de Sedan où l’empereur avait été fait prisonnier, la république fut proclamée à Paris le 4 septembre. Napoléon III mourut en exil à Chislehurst, en Angleterre, le 9 janvier 1873. (Olivier Pl. 2659, 15).
Superbe exemplaire à grandes marges (hauteur : 167 mm) revêtu d’une élégante reliure en maroquin rouge du XVIIIe siècle de Derome le Jeune avec son étiquette. S.l. [Paris, Quillau], 1718. Petit in-8 de (7) ff. dont (1) f. frontispice, 164 pp., 29 planches hors-texte non-numérotés dont 13 sur double-page. Maroquin rouge, diverses roulettes dorées encadrant les plats avec fleuron d'angle, dos lisse finement orné, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées, doublures et gardes de tabis bleu. Reliure du XVIIIe siècle de Derome le jeune avec son étiquette. 167 x 98 mm.
Premier tirage du plus célèbre livre illustré français imprimé sous la régence de Philippe d’Orléans orné d’un frontispice, 28 figures du régent, 1 vignette de Scotin, 6 lettres ornées. « Jolie édition très recherchée, tirée seulement à 250 exemplaires, dite du régent parce que c’est le régent Philippe Duc d’Orléans qui l’a fait exécuter et a fait graver les estampes par Benoit Audran, d’après les peintures que le roman de Longus lui avait inspirées. » (Cohen, Guide de l’amateur de livres à gravures du XVIIIe siècle, 648-649). « Les exemplaires revêtus d’une belle reliure ancienne sont de très grand prix ». Le Baron Roger Portalis (Les dessinateurs d'illustrations au XVIIIe siècle) consacre une étude approfondie à ce livre. Dans ce roman grec de Longus (fin du IIe siècle après Jésus-Christ), l’auteur raconte l’histoire de l’amour simple et naïf de Daphnis et Chloé. La particularité de l’ouvrage de Longus, par comparaison avec les autres ouvrages du même genre c’est d’avoir laissé les péripéties au second plan, et d’avoir donné tout le relief aux aventures sentimentales des protagonistes. Daphnis et Chloé ont découvert, en une lente progression, leur sexualité, et le roman s’achève précisément sur l’accomplissement de l’acte charnel. Le roman célèbre Éros, bien sûr, mais aussi Pan et les Nymphes. Superbe exemplaire revêtu d’une pure reliure de l’époque de Derome le Jeune. « C’est à lui que la famille doit son illustration. Établi à son compte vers 1712, son mérite fut grand car dans toute l’histoire de la reliure on ne trouve aucun autre exemple d’atelier qui produisit un tel nombre de volumes dont le corps élégant, souple et solide s’alliât à une décoration aussi variée, originale et d’une exécution parfaite. » R. Esmérian. Exemplaire à grandes marges (hauteur 167 mm, il dépasse le célèbre exemplaire Blumenthal, Meus, Simonson qui ne mesurait que 153 mm).
1842-1843. 1 vol. in-folio, demi-maroquin noir, dos à nerfs muet orné de listels à froid. Reliure de l'époque, coins fortement émoussés et accidents aux plats. 55 pièces manuscrites et 42 pièces imprimées contrecollées soigneusement sur 79 feuillets.
Cet album rassemble les témoignages de sympathie, surtout sous forme de poèmes de circonstance à l'égard de la reine Marie-Aélie à la suite du décès du prince Ferdinand Philippe le 13 Juillet 1842 à l'âge de Parmi les pièces manuscrites on remarque un joli poème autographe de Mélanie Walder (1796-1871), femme de lettres et ancienne maîtresse d'Alexandre Dumas. Les pièces imprimées sont les suivantes : Mandement de l'évêque d'Evreux (Evreux, Amelle, 1842) - Séance royale du 26 Juillet 1842, Discours du roi (Imprimerie royale, 1842) - Lettre de Monseigneur l'archevêque de Reims qui prescrit un service funèbre (18 Juillet 1842) - LIONNET (G.), La Mort du duc d'Orléans (Saint-Amand, 1842) - MORLOT (A.), Ode sur la mort du duc d'Orléans (Belfort, J. Clerc, 1842) - LAKE (J. W.), A monody to the memory of H.R.H. Ferdinand Philippe duke of Orleans (Paris, 1842) - Antoine DUPUCH (...) évêque d'Alger (adresse à son diocèse) - MERCIER (Th.), Le 13 Juillet (Paris, 14 Juillet 1842) - Mandement de Monseigneur l'archevêque de Paris qui prescrit des prières pour le repos de l'âme de S.A.R. Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Le Clere, 1842) - HUARD (F.), Le 30 Juillet 1842, élégie (S.l.n.d.) - GUTTINGER (U.), Le 13 Juillet 1842 (St Germain en Laye, Nov. 1842) - NANCEY (F.), Ode sur la mort... (Melun, Desrues, 1842) - JUBINAL (A.), Lettre au directeur du Courrier du Midi sur Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, 1842) - SAINT-SAËNS (A.), Les Regrets, élégie (Paris, Rouzé, 1842) - FORSTER (Ch.), Le duc d'Orléans (Paris, 1842) - CHAS (Pauline), Le calvaire royal (1842) - PILARD (Héloïse), Elégie sur la mort de Mgr le duc d'Orléans (Paris, J.B. Gros, 1842) - DU MESNIL (Marie), Aux manes de son altesse royale (...) chant funèbre (Maubeuge, Levecque, 1842) - Théodore, Calamité (Versailles, Kiefer, 1842) - Is it not sweet to think hereafter (S.l.n.d.) - ROUSSY (V.), La France en deuil (Paris, Baudouin, 1842) - [STAMPINATU (Rosalie)], Mon dernier hommage au prince royal (Paris, Amyot, 1842) - Ode à la mémoire de (...) Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Hugot, 1842) - G (Eug.), Les Douleurs de Marie (Paris, 1842) - DUPERRET (P.), Mgr le duc d'Orléans (Paris, Brière, s.d.) - BERNARD (P.), Eloge sur la mort de (...) duc d'Orléans (Marseille, Achard, août 1842) - LOIZEROLLES, Daphnis (Paris, Dondey-Dupré, 1842) - LE FLAGUAIS (A.), La Mort du duc d'Orléans (Caen, Hardel, 1842) - MAILLARD (H.), Apothéose du prince royal de France (Paris, 1842) - Michel, Le Cri du Coeur (Paris, Simonet-Delaguette, juillet 1842) - REY (A. de), Ode (Paris, Appert, 1842) - PAILLET, Elégie (Paris, L. Bocquet, 1842) - LAISNE (P.), Le chant de deuil de la France (Paris, Adde, 18412) - BREANT (A.), Evénement du 13 Juillet 1842 - Le Duc d'Orléans (Paris, Rousset, 1842) - CUREZ (L.), A la mémoire de S.A.R. (...) le duc d'Orléans (Paris, Daguin, 15 Juillet 1842) - MARTIN-PASCHOUD (J.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Baudouin, s.d.) - ROLLAND (A.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Tresse, 1842) - SANSON (J.), Le prince royal est mort !!! (Paris, Ledoyer, Juillet 1842) - GRISIER, A la mémoire du duc d'Orléans ! (Paris, 1842) - MULLER (A.), Adieux à son royal élève (Paris, s.d.) - MAUBERT G.), Apologue (Paris, s.d.).
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Orléans 1829 39,6 x 25,3 1 permission de chasse signée par Louis-Philippe d'Orléans, donnant autorisation depuis le 15 septembre 1829 jusqu'au 1er mars 1830, dans la forêt d'Orléans (inspection d'Orléans, département du Loiret). Feuillet double de format: 395mm x 255mm, papier vergé fort). Feuillet à en-tête imprimée aux armes du Duc d'Orléans, avec sa signature manuscrite dans le bas du document. Permis nominatif de Mr Boscheron des Portes, premier avocat général à la Cour Royale d'Orléans, l'autorisant à chasser une fois par semaine, depuis le 15 septembre 1829 jusqu'au 1er mars 1830, accompagné d'une personne, avec chiens courants, dans la forêt d'Orléans, La Garde Neuville, et à tirer le sanglier, le lapin et les oiseaux de passage. Louis-Philippe d'Orléans, Paris 1773 - Claremont 1850, dernier roi à avoir régné en France, entre 1830 à 1848, avec le titre de « roi des Français », il est le fils de Louis-Philippe-Joseph, duc d'Orléans ( '' Philippe Egalité '', 1747-1793 ), duc de Valois, Duc de Chartres en 1785,
Signé par l'auteur
Paris, Le Hodey, s.d. (1790) in-8, 4 pp., dérelié.
Philippe-Egalité, au cours de la séance du 11 juillet 1790, prononce le serment de fidélité "à la Nation, à la Loi et au Roi".Martin & Walter, 26085. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon-Nourrit, 1909 in-4, [8]-288-39-[5] pp., avec de nombreuses illustrations dans le texte, 17 planches hors-texte en phototypie et 8 cartes en deux tons, la plupart dépliantes, demi-basane bleue à coins, dos à nerfs, couv. cons. (reliure moderne).
Unique édition de cette relation d'une expédition aux abords de la Nouvelle-Zemble, sponsorisée par le duc et à buts surtout océanographiques. Louis-Philippe d'Orléans (1869-1926) était le fils aîné du comte de Paris, ancien prince royal jusqu'en 1848 (1838-1894), et donc prétendant orléaniste parfois désigné sous le nom de Philippe VII par ses partisans. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Marchant, 1800 in-8, 2 ff. n. ch.-XXVII-282 pp.-3 ff. n. ch., demi-basane brune à coins, dos lisse orné. Dos et plats très frottés, mors fendu.
Édition originale ornée d'un portrait en frontispice.Roussel éditeur de cette correspondance nous affirme qu'elle est "prise, ou sur les minutes de d'Orléans, ou sur les copies certifiées par sa signature, ou enfin, sur les minutes des lettres écrites de la main de Laclos".La correspondance publiée concerne pour l'essentiel l'exil du duc d'Orléans à Londres en 1789-1790. Ce dernier vit certainement d'un œil compatissant les journées des 5 et 6 octobre. C'est La fayette qui exigea du roi l'éloignement du duc d'Orléans, sous la forme déguisée d'une mission diplomatique. Les destinataires de ces lettres sont le Roi, la Reine, Bailly, Montmorin, etc. Le contenu des lettres est tout diplomatique. Cependant, dans sa lettre du 3 juillet 1790 à M. de La Touche, il fait part de son intention de rentrer en France et explique que les mouvements révolutionnaires n'ont pas cessés durant son absence, et ce malgré les bonnes intentions de M. de La Fayette. Il confirme son intention eu Roi le 5 juilletSuivent diverses lettres et des Extraits tirés du journal du fils aîné de d'Orléans. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Calmann Lévy, 1894 in-12, [2] ff. n. ch., VIII pp., 49 pp., demi-chagrin Bradel marine, dos orné de filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
Edition originale du dernier opuscule de Louis-Philippe-Albert d'Orléans (1838-1894), premier prétendant orléaniste ("Philippe VII") ; le texte en fut significativement réédité en 1901, année de la loi sur les associations. Le prince s'intéressait beaucoup aux questions sociales, et s'inspire de l'exemple des Trade unions, qu'il avait eu le loisir d'observer pendant son exil et sur lesquelles il avait d'ailleurs composé deux essais (Les Associations ouvrières en Angleterre, 1869 ; De la Situation des ouvriers en Angleterre, 1873). Le prince mourut cette même année le 8 septembre 1894 à Stowe House. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Imprimerie royale 1837 In-4° (258 x 206 mm), XV pp. - [1] p. bl. - 201 pp. - [3] pp. bl. et [1] f. de pl., veau brun à coins, dos lisse orné, plats de papier marbré muticolore avec encadrement d'un filet, gardes et tranches du même (reliure de l'époque)
Exemplaire réimposé in-4 sur grand papier vélin Un des rares exemplaires réimposé in-4° tiré sur papier vélin fort de cette édition privée illustrée d'un très beau portrait tiré sur papier de Chine dessiné par le duc lui-même et gravé par Dupont. Il s'agit d'une nouvelle édition des mémoires du duc de Montpensier (1775-1807) publiées pour la première fois en 1816 sur les presses de l'imprimerie particulière du duc d'Orléans à Twickenham. Les Orléans publièrent au XIXe siècle plusieurs textes à compte d'auteurs qui ne furent pas mis dans le commerce, cette publication qui s'inscrit dedans fut probablement ordonnée par Louis-Philippe en mémoire de son frère. Ces mémoires sur la période révolutionnaire, du fils cadet du régicide Philippe-Egalité, sont importants. Ils couvrent la période qui va de 1793, date de l'arrestation du duc pendant la terreur, à son arrivée en 1797 à Philadelphie, soit la seule où les deux frères, qui entretenaient une profonde affection, furent séparés. Le récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux évènements du temps. Antoine-Philippe d'Orléans (Paris,1775 - Salt Hill,1807), duc de Montpensier, prince du sang français membre de la maison d'Orléans, est adjudant général à l'armée du Var lorsqu'il est arrêté, en même temps que tous les Bourbons, en avril 1793 et incarcéré au fort Saint-Jean à Marseille. Il sera rejoint durant sa longue captivité par le prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Il y contracte la tuberculose qui finira par l'emporter en 1807. Le 13 fructidor an IV (30 août 1796), le Directoire décide enfin son élargissement et ordonne qu'il soit transféré à Philadelphie où le chargé d'affaire de la République française aux États-Unis doit lui verser une pension annuelle de 15 000 francs. Il s'embarque le 5 novembre 1796. C'est alors qu'est conçu son fils naturel, Jean-Antoine-Philippe Dentend (1797-1858), qui deviendra le notaire de la maison d'Orléans (à ce titre, il sera chargé de rédiger l'acte de donation des biens personnels de Louis-Philippe à ses enfants juste avant son accession au trône en 1830). En février 1797, accompagné de son frère puîné le comte de Beaujolais, il rejoint son frère aîné à Philadelphie. La pagination est différente de celle de l'in-8° qui présente 231 pp. Fierro - 1070 ; quelques frottements notamment au dos à l'emplacement du titre ainsi qu'aux coins, petit manque sur le plat supérieur, rares rousseurs plus présentes à quelques feuillets notamment au titre.
In-8 (200 x 125 mm), plein maroquin rouge de l'époque, dos à 5 nerfs rehaussés d'une roulette dorée et orné de caissons cloisonnés et fleuronnés au chiffre de Louis-Philippe d'Orléans, plats encadrés d'une roulette dorée aux fleurs de lys et frappés au centre des armes du même, coupes et coiffes filetées, tranches dorées, roulette intérieure dorée, xxxvj, 631 p., beau titre-frontispice gravé en taille-douce. Paris, d'Houry, 1745.
Très bel exemplaire de dédicace, reliure de maroquin rouge aux armes du duc d'Orléans dédicataire de l'ouvrage.Louis-Philippe d'Orléans (1725-1785), duc de Chartres puis, après 1752, duc d'Orléans, de Valois, de Nemours et de Montpensier, premier prince du sang, était le petit-fils du Régent, le père de Philippe-Égalité et le grand-père du roi Louis-Philippe.Guigard attribue le fer à Philippe-Égalité.(OHR, pl. 2572:1. Guigard, I, 40).Très bel exemplaire.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Lévy, 1849 2 vol. in-12, 276 pp. et 250 pp., demi-maroquin bleu à la Bradel, dos orné d'une fleurs de lys et d'un monogramme couronné surmonté d'un aigle en pied, tête dorée
Édition originale.Tulard, 918 : "Publié en 1849, ce journal donne jour par jour du 5 au 24 mars les réactions de Louis-Philippe alors duc d'Orléans, devant le retour de Napoléon de l'île d'Elbe. Témoignage passionnant mais il convient de ne l'utiliser qu'avec les plus grandes précautions."Bel exemplaire. Monogramme J.R.M. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Lévy, 1849 2 tomes en 1 vol. in-12, 276 pp. et 250 pp., demi-basane aubergine maroquinée à coins, dos lisse, filets dorés (rel. de l'époque). Petite usure aux coiffes.
Édition originale.Tulard, 918 : "Publié en 1849, ce journal donne jour par jour du 5 au 24 mars les réactions de Louis-Philippe alors duc d'Orléans, devant le retour de Napoléon de l'île d'Elbe. Témoignage passionnant mais il convient de ne l'utiliser qu'avec les plus grandes précautions." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Baudouin, 1824 in-8, XV-207 pp., portrait-frontispice, broché, couv. papier marbré Mouillure marginale, coins supérieur très légèrement grignoté.
"Fils cadet du duc d'Orléans, frère de Louis-Philippe, le duc de Montpensier raconte sa longue captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des mœurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps" (Fierro).Fierro, 1070. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., De l'Imprimerie de la Vve d'Houry, (1790) in-8, 79 pp., broché. Petit trou à la couverture.
M. & W., 26082. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, P. Faivre, s.d. (1886) placard in-folio (40 x 29 cm), en feuille. Déchirure en haut du placard, avec petite perte de lettre.
Impression sur papier bleu. Du 24 juin 1886.Il s'agit de la protestation de l'ancien prince royal de la Maison d'Orléans (1838-1894), et prétendant sous le nom de Philippe VII, contre la loi du 22 juin 1886 relative aux membres des familles ayant régné en France, souvent appelée loi d'exil, et qui interdisait le séjour du territoire national aux chefs des familles ayant régné en France et à leurs héritiers directs dans l'ordre de primogéniture."Passionnément attaché à la patrie, que ses malheurs m'ont rendue plus chère encore, j'y ai, jusqu'à présent, vécu sans enfreindre les lois. Pour m'en arracher, l'on choisit le moment où je viens d'y rentrer, heureux d'avoir formé un lien nouveau entre la France et une nation amie". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Baudouin, 1824 in-8, XV-207 pp., portrait, demi-basane rouge, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). Rousseurs.
"Fils cadet du duc d'Orléans, frère de Louis-Philippe, le duc de Montpensier raconte sa longue captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des mœurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps" (Fierro).Fierro, 1070.Relié à la suite :- TURREAU (Général). Mémoires pour servir à l'histoire de la guerre de la Vendée. Paris, Baudouin, 1824, VI-192 pp.Fierro, 1425. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT