S.l., s.d. (1793) in-4, 40 pp., avec un tableau dépliant "in fine" (Tableau de la répartition générale des trois cent mille citoyens appelés à la défense de la patrie), en feuilles cousu. Tache noire dans la marge supérieure.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Impr. Nationale, s.d. (1790) in-8, 23 pp., dérelié.
Pour assurer l'ordre intérieur, Rabaut pense que la Garde nationale est insuffisante et trop dispersée. Il faudrait organiser "un corps soldé" calculé en fonction des désordres possibles. En ce qui concerne la Garde nationale, tous les citoyens actifs et leurs fils âgés de 18 ans seront inscrits sur le registre de leur municipalité. Aucun citoyen ne pourra en être exempté.Martin & Walter, IV, 28541. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Anselin [C. Farcy], 1825 in-8, xxiij pp., 59 pp., broché sous couverture factice de papier bleu moderne. Rousseurs.
Unique édition, rare, et demeurée anonyme. L'opuscule brosse un plan de réorganisation militaire après la période "inflationniste" de l'Empire, et dans le cadre de la réduction des effectifs et des missions.Un seul exemplaire au CCF (BnF). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Sans lieu O. C. M. ( Organisation Civile et Militaire ) 1942 in 12 (16,5x12,5) 1 volume broché, 192 pagies (feuillets doubles libres). Au-delà de la Résistance - Naissance de la Résistance - Doctrines - Annexe. Feuille périodique à caractère politique publiée par l'Organisation Civile et Militaire, née dans la clandestinité, '' voix de la résistance '' à l'occupation nazie, elle deviendra '' Le Parisien Libéré ''. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Très bon Broché Édition limitée
Jacques-François Boullay (XVIIIe-XIXe), avocat, membre de la « Commission de l'Organisation et du Mouvement des Armées de Terre », bureau de la Police Militaire.
Reference : 012301
Jacques-François Boullay (XVIIIe-XIXe), avocat, membre de la « Commission de l'Organisation et du Mouvement des Armées de Terre », bureau de la Police Militaire. L.S., Paris, 24 prairial an 2 [12 juin 1794], 1p in-4. Très intéressante lettre au citoyen Danet, caporal des grenadier, alors détenu à la maison d'arrêt de Versailles. Boullay ne peut intervenir pour sa libération : « tu es prévenu de propos inciviques, c'est au tribunal révolutionnaire qu'il appartient de prononcer ». Cette lettre est sympathique car Danet est le fameux citoyen dont l'histoire fut compté dans tous les journaux en janvier 1792 : il avait reçu une lettre de « traites » partis en Espagne qui l'invitaient à trahir lui-aussi. Il avait répondu assez sèchement, terminant sa lettre par « Tu peux, traître, montrer cette lettre à toute ta bande de vagabonds. Je suis avec indignation ton plus grand ennemi ». Notre document, deux ans plus tard, montre donc encore une fois que la phrase « Mon Dieu, garde-moi de mes amis, mes ennemis je m'en charge » est plus que vraie. Nous n'avons malheureusement pas trouvé les raisons précises de son arrestations, mais vu la date, il s'agit probablement d'une conséquence de la Grande Terreur instaurée par la loi du 22 prairial, deux jours avant. L'adresse, au dos, porte la mention « inconnu ». Est-il déjà mort ? A-t-il été tué ? Nous ne trouvons aucune trace de lui. [106-2]