MARTIN Robert / MARTIN Eveline ...//... Robert Martin / Eveline Martin.
Reference : 679
(1973)
Paris, Klincksieck 1973, 1 volume, in-8, cartonnage souple éditeur, 186 p. De la bibliothèque française et romane. Chaque ouvrage cité est analysé, des indices de difficulté sont indiqués à chaque rubrique, plusieurs index. Provient du destockage de l'éditeur, tampon "défraichi" sur la dernière garde, couverture très légèrement jaunie.
Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Firmin-Didot, 1879 in-4, 62 pp., broché, non coupé..
L'historien démocrate Henri Martin (1810-1883) finit par être élu à l'Académie française au XXXVIIIe fauteuil le 13 juin 1878, en remplacement d’Adolphe Thiers ; sa réception fit un certain bruit en raison de ses opinions avancées.Le célèbre bibliophile Jacob persifla ainsi sa persévérante candidature : "Henri Martin a mis une rare persévérance à poursuivre son fauteuil. Pendant tout près d’un quart de siècle, il s’est tenu à l’affût, guettant toujours, se présentant de temps à autre, et lorsqu’il ne retirait pas sa candidature au dernier moment, recueillant la voix de son ami M. Legouvé, renforcée quelquefois d’une ou deux autres. Aujourd’hui, le voici au terme de ses vœux : tout vient à point à qui sait attendre".Avec la réponse de Xavier Marmier.L'historien démocrate Henri Martin (1810-1883) finit par être élu à l'Académie française au XXXVIIIe fauteuil le 13 juin 1878, en remplacement d’Adolphe Thiers ; sa réception fit un certain bruit en raison de ses opinions avancées.Le célèbre bibliophile Jacob persifla ainsi sa persévérante candidature : "Henri Martin a mis une rare persévérance à poursuivre son fauteuil. Pendant tout près d’un quart de siècle, il s’est tenu à l’affût, guettant toujours, se présentant de temps à autre, et lorsqu’il ne retirait pas sa candidature au dernier moment, recueillant la voix de son ami M. Legouvé, renforcée quelquefois d’une ou deux autres. Aujourd’hui, le voici au terme de ses vœux : tout vient à point à qui sait attendre".Avec la réponse de Xavier Marmier. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Caen, L. Jouan, 1901-1905 4 livraisons en un vol. grand in-8, [4]-794 pp., en numérotation continue, avec un portrait sous serpente (Pavyot du Boullon), et 4 fac-similés h.-t. (les différents tirages des fameuses Recherches et antiquitez de la province de Neustrie de Bourgueville), demi-toile Bradel verte, dos lisse, pièce de titre noire, couvertures conservées (reliure moderne). Réparations à la couv. du premier fascicule, mais bon exemplaire.
Rare et recherché. C'est tout ce qui a paru en version imprimée de la grande bibliographie rédigée en latin par François Martin (1639-1726, gardien des Cordeliers de Caen), prête pour l'impression dès 1718, revêtue déjà de l'approbation du censeur, mais qui resta inédite en raison de la mort de l'auteur. Cette mort ne survint pas en 1721 au demeurant, comme on le lit dans la plupart des notices, mais n'eut pas lieu avant mars 1726. Il existe une malédiction qui pèse sur certains textes : la publication entreprise par Bourrienne et Genty (1857-1926) ne connut que les quatre présentes livraisons et s'interrompt abruptement en bas de la page 794 en plein milieu d'une notice. Ne furent donc couvertes que les entrées de Abbon à Constantin, alors que le travail de l'auteur couvrait tout l'alphabet.Frère, II, 285 (pour le manuscrit). Cf. Fierville (Charles de) : La Vie et les écrits du Père François Martin, Cordelier de Caen (Caen, A. Hardel, 1862), qui donne une excellente analyse du manuscrit conservé à la Bibliothèque de Caen depuis 1807.Rare et recherché. C'est tout ce qui a paru en version imprimée de la grande bibliographie rédigée en latin par François Martin (1639-1726, gardien des Cordeliers de Caen), prête pour l'impression dès 1718, revêtue déjà de l'approbation du censeur, mais qui resta inédite en raison de la mort de l'auteur. Cette mort ne survint pas en 1721 au demeurant, comme on le lit dans la plupart des notices, mais n'eut pas lieu avant mars 1726. Il existe une malédiction qui pèse sur certains textes : la publication entreprise par Bourrienne et Genty (1857-1926) ne connut que les quatre présentes livraisons et s'interrompt abruptement en bas de la page 794 en plein milieu d'une notice. Ne furent donc couvertes que les entrées de Abbon à Constantin, alors que le travail de l'auteur couvrait tout l'alphabet.Frère, II, 285 (pour le manuscrit). Cf. Fierville (Charles de) : La Vie et les écrits du Père François Martin, Cordelier de Caen (Caen, A. Hardel, 1862), qui donne une excellente analyse du manuscrit conservé à la Bibliothèque de Caen depuis 1807. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Soissons, Arnould, Paris, Silvestre, Techner, 1837-[1838]; 2 vol. in-8, [2] ff. n. ch., III-516 pp. ; [2] ff. n. ch., 665 pp., un f. n. ch., 76-40 pp., avec une planche de monnaies hors texte, demi-veau marine, dos lisses ornés de filets, chaînettes et guirlandes dorés, ainsi que de fleurons à froid, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Edition originale de cette monographie composée à quatre mains : Henri Martin (1810-1883) pour l'intégralité du volume I, et l'Appendice de 76 pp. (Soissons depuis 1789) ; Paul Lacroix pour l'intégralité du volume II, qui court jusqu'en 1788.Quant à la dernière partie, sous le titre de Dernier chapitre de l'Histoire de Soissons, elle revient sur le procès qui suivit la parution de l'ouvrage, et fournit de très intéressants détails sur son origine : il répondait en effet à une claise testamentaire d'une certaine Madame Maréchal, laquelle prévoyait de léguer la très jolie somme de 12 000 francs aux auteurs de la meilleure histoire de la ville de Soissons à paraître. La composition de Martin et Lacroix était entrée en concurrence avec celle d'un obscur Jean Leroux, encore sous forme manuscrite au moment du procès et qui ne parut d'ailleurs qu'en 1839.Bel exemplaire.Edition originale de cette monographie composée à quatre mains : Henri Martin (1810-1883) pour l'intégralité du volume I, et l'Appendice de 76 pp. (Soissons depuis 1789) ; Paul Lacroix pour l'intégralité du volume II, qui court jusqu'en 1788.Quant à la dernière partie, sous le titre de Dernier chapitre de l'Histoire de Soissons, elle revient sur le procès qui suivit la parution de l'ouvrage, et fournit de très intéressants détails sur son origine : il répondait en effet à une claise testamentaire d'une certaine Madame Maréchal, laquelle prévoyait de léguer la très jolie somme de 12 000 francs aux auteurs de la meilleure histoire de la ville de Soissons à paraître. La composition de Martin et Lacroix était entrée en concurrence avec celle d'un obscur Jean Leroux, encore sous forme manuscrite au moment du procès et qui ne parut d'ailleurs qu'en 1839.Bel exemplaire. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Didier, 1868 in-12, [4]-III-VIII-428-26-[4] pp., catalogue d'éditeur "in fine", broché..
Il serait calamiteux de confondre l'helléniste Thomas-Henri Martin (1813-1884), professeur de lettres anciennes, et doyen de la Faculté de Rennes, à la foi profonde et raisonnée, avec le Henri Martin (1810-1883), anticlérical et libre-penseur, qui, sous le nom usurpé d'Histoire de France, a laissé à la postérité un roman national en 19 volumes.Il serait calamiteux de confondre l'helléniste Thomas-Henri Martin (1813-1884), professeur de lettres anciennes, et doyen de la Faculté de Rennes, à la foi profonde et raisonnée, avec le Henri Martin (1810-1883), anticlérical et libre-penseur, qui, sous le nom usurpé d'Histoire de France, a laissé à la postérité un roman national en 19 volumes. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Le Caire, Université égyptienne, Paris, Arthur Rousseau, 1910 grand in-8, VI-584 pp., demi-chagrin aubergine, dos à nerfs, première couverture conservée (reliure de l'époque). Dos insolé, mais bon exemplaire.
Louis Germain-Martin (1872-1948), qui signait généralement ses ouvrages Germain Martin, est un cas rare d'archiviste entré en poltique : archiviste paléographe (1897) et docteur en droit, il commença sa carrière comme professeur à la Faculté de droit de Dijon, avant d'entrer en politique en 1928 ; il fut ministre des Postes (1928-1930), puis des Finances (trois fois, de 1930 à 1935).Louis Germain-Martin (1872-1948), qui signait généralement ses ouvrages Germain Martin, est un cas rare d'archiviste entré en poltique : archiviste paléographe (1897) et docteur en droit, il commença sa carrière comme professeur à la Faculté de droit de Dijon, avant d'entrer en politique en 1928 ; il fut ministre des Postes (1928-1930), puis des Finances (trois fois, de 1930 à 1935). - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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MAQUETTE MANUSCRITE DE L'OUVRAGE : MARTIN /BELOUZE / PROVENCE ET COMTAT/ sans la page de titre,sans signatures, sans date - en feuilles -EUGÈNE MARTIN POÈTE PROVENÇAL INTRODUCTION DE FRÉDÉRIC MISTRAL (abscente) ILLUSTRATIONS ht DE JOSEPH BELOUZE (imprimées) PROVENCE ET COMTAT 2 très gros registres en feuilles en partie imprimée jusqu'a la page 48 et manuscrites au delà ( 2 écritures differentes ) : Eugène Martin, poète provençal et Félibre Mainteneur historien et archéologue ont composé le texte de cet ouvrage,sans l'introduction de Frédéric Mistral Neveu (laissé vide). Nombreuses illustrations collées dans le texte et a pleine page BON ÉTAT.Les textes composés en caractères Peignot d'origine, couvrent les premieres pages, la suite est manuscrite et s'interrompt à la page 220 .Pagination continue au crayon papier comme les titres et sommaires.Sous 2 chemises numérotées 1 (jusqu'a p.142) et 2 (de la page 143 à 184 écrites,puis juste cadre et images jusqu'à 198, suivi d'écriture (2) jusqu'à p.220 suivi d'un cadre vide avec images jusqu'à p. 276 .Pagination differente que l'édition T1: 142p.-T.2 :132p.
Une belle évocation des principaux sites de la Provence et du Comtat Venaissin, joliment illustré par Joseph Belouze.nombreuses illustrations : dont 29 planches à pleine page tirées en sanguine (15+14), et 89 dessins dans le texte,soit 15 planches à pleine page tirées en sanguine au tome I, 14 au tome II et 40 dessins dans le texte (dont 14 vignettes de titre et culs-de-lampe en couleur) au tome I, 49 (dont 17 en couleur) au tome II.
Lyon, J.B. Kindelem, 1823 in-8, 35 pp., demi-percaline blonde, dos muet (reliure de l'époque). Une tache sur le premier plat, mais bon exemplaire.
Rare. La plaquette reproduit les délibérations de l'Académie royale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de la ville de Lyon, qui fut chargée de fonder une école en exécution de l'une des clauses du célèbre testament de Claude Martin (1732-1780), les articles 24 et 33, portant donation de sommes de 200 000 et 100 000 livres aux cités de Calcutta, Lucknow et Lyon, en vue de fonder des écoles. Rare. La plaquette reproduit les délibérations de l'Académie royale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de la ville de Lyon, qui fut chargée de fonder une école en exécution de l'une des clauses du célèbre testament de Claude Martin (1732-1780), les articles 24 et 33, portant donation de sommes de 200 000 et 100 000 livres aux cités de Calcutta, Lucknow et Lyon, en vue de fonder des écoles. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Daumier, Honore ,Saint-Amand (1797-1885) la france dramatique la porte saint martin ,Antier, Benjamin, Lemaître, Frédérick , la france dramatique au XIXe siécle
Reference : 20400
(1835)
1835 Paris : J.-N. Barba, 1835, grand IN8,t-reliure demi chagrin rouge,dos a caisson dorés.paginé. 275-302p. la france dramatique la porte saint martin.exemplaire truffé d’une lithographie originale de Daumier, Honore. lithographie sur velin blanc ROBERT Macaire Caricaturana 1,coloriée,plis et trous de reliure,coupée au texte,bon etat
bon etat tres rare
Paris, H. Nicolle, et Le Normant, 1811, 3 volumes, in-12 (13 cm), reliés, VII-[1 bl.]-268 p. / VII-[1 bl.]-[1]-[1 bl.]-282 p. / VII-[1 bl.]-197-[1 bl.]-[1] p.. Troisième édition, corrigée et augmentée. 1 frontispice différent pour chaque volume, notes et sources en bas de pages, notes en fin de chaque lettre, table des matières n fin de chaque volume. Reliure d'époque, plein veau blond glacé, dos lisses avec caissons, filets gras et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison vertes, filet et guirlande dorés d'encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches dorées, coiffe supérieure du tome 2 arasée, usure à un coin du tome 3, les intérieurs sont propres mais sans plus.
Cet ouvrage a bénéficié de nombreuses rééditions jusqu'au milieu du 19e siècle. Belle reliure. Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
1861 - Paris, Pagnerre, 1861. In-12, XII-298 pages ; des rousseurs, reliure demi chagrin tabac,dos à nerfs, envoi autographe AUTEUR ,bon état.
(Représentant du peuple aux Assemblées constituante et législative) Armand Barbès, condamné à mort en 1839 pour tentative d’insurrection et amnistié par Louis-Philippe, est envoyé au Mont-Saint-Michel le 17 juillet 1839 avec trois autres condamnés dont Martin-Bernard, qui laissera un récit détaillé de son séjour. Blanqui et cinq autres insurgés les rejoignent le 6 février 1840.Les détenus luttent dès leur arrivée contre les rigueurs de l’isolement cellulaire, se parlant par les croisées, les conduits de cheminée et à travers les parois et contactant aussi les habitants du Mont. Barbès, Martin-Bernard et Delsade réussissent à ouvrir les portes de leurs chambres pour se réunir. Découverts en avril 1841, ils sont sanctionnés par un premier emprisonnement dans les loges du Mont. L’administration fait alors équiper leurs cellules du Petit et du Grand Exil de doubles grilles, pour empêcher les prisonniers de s’approcher des croisées. Dans la nuit du 10 au 11 février 1842, Barbès, Blanqui et quelques autres tentent de s’évader, par temps de brouillard, à l’aide d’une corde de draps noués. Barbès descend le premier mais se blesse en tombant et fait échouer la tentative. Tous sont à nouveau enfermés dans les loges où Barbès contracte cette fois la phtisie. Toute la presse d’opposition condamne le régime cellulaire et les doubles grilles.edition of this 'prison-literature' classic: during the trial following his imprisonment together with Blanqui et Barbès for taking part in the Seasons-Uprising ('l'insurrection dite des Saisons') Bernard refused to defend himself in the Chamber of Peers (Chambre des Pairs) calling his opponents ''my enemies, not my judges'' which resulted in his deportation to Mont-Saint-Michel. .
RANDANNE Martin / ROQUEJOFFRE Marc-Alexis ..//.. Martin Randanne / Marc-Alexis Roquejoffre.
Reference : 5855
(2002)
Clermont-Ferrand, chez les auteurs, 2002, 1 volume, in-8 carré, cartonnage souple éditeur, 192 p.. Nombreuses photographies noir et blanc, liste des prêtres, religieuses et pasteurs Justes des nations et bibliographie en fin de volume. Le film de plastification commence à se décoller au second plat de couverture.
Concerne la région Auvergne. Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Editions de la Seule France Paris, 1948; une plaquette brochée. 39 pages. Edition originale. Un des exemplaires sur Lafuma,tirage limité à 625 ex., Peu fréquent. Octave Martin est un pseudonyme de Charles Maurras.
bon état,
Colmar,HUFFEL,Paris : A. Picard et fils, 1896,Les Correspondants de Grandidier. VIII,In-8,broché, 52 p.
manques au dos et coin 2e plat,cachet bibliotheque,texte frais,
Paris : A. Colin,1926,336 p. ; 22 cm Fac-sim. de l'éd. de Paris 1826.numeroté,non coupé,etat neuf,seul ce volume concerne l'Empire, Très techniques, ces mémoires visent à justifier la gestion de Gaudin qui avait été l'objet d'attaques sous la Restauration. Ils n'en sont pas moins d'une grande importance pour l'histoire des finances impériales (Tulard, 600).Tirage limité à 1100 exemplaires numérotés.
Reprint of the original and rare work, published in 1826 (volumes 1 & 2), and 1834 (volume 3, the supplement to the memoirs, and nearly always lacking). These memoirs deal almost exclusively with finance. Martin Michel Charles Gaudin, duc de Gaëte (1756-1841), was placed at the age of seventeen in the office of the ministry of finance. In 1791 he was appointed one of the commissioners of the national treasury. He resigned office at the breaking out of the Terror and refused the portfolio of finance under the Directory contenting himself with being the general commissioner of the post office, but accepted it after the 18th brumaire from the hands of the First Consul. He continued to hold his office up to the fall of the empire, and during the Hundred Days. He assisted in the reorganisation of the administration of the system of finance. In the present work, published to defend his financial administration against attacks from the more ardent among the Legitimists, the Duc de Gaëte states that, when he first entered the ministry, the treasury only possessed in cash the miserable sum of 177,000 francs. He adds that on principle and from the first day he assumed office he pursued two main objects: first, to improve and consolidate (the national) credit by looking carefully after the interests of the creditors of the state; and second, to bring the ordinary revenue to the necessary level by taxes on consumption. He also successfully organised the system of collecting the taxes and the execution of the general land survey (Cadastre) by the law of the 15th of September 1807. Gaudin ranks as the author of the modern system of French financial administration, acting on the opinion he had expressed in his Notice Historique, that at the time of the outbreak of the revolution, the national assembly 'might easily have ameliorated the older system instead of destroying it'. (Palgrave II, pp. 176/7). Gaudin is always described as honest, methodical and intelligent and proved to be one of the most capable financial ministers in French history, being responsible for all those Napoleonic measures which so splendidly restored the nation's shattered finances.
Paris. Charpentier. 1841. 1 vol. in-12, 483p.;demi-veau rouge, dos a nerfs orne.Quelques rousseurs.,manque au coin page de garde et faux titre,
Martin aborde dans ce traite des themes tels que : l'influence des femmes, la necessite de leur education, la psychologie et la philosophie de la mere de famille, la religion de la mere de famille.Cet ouvrage dû à un fervent disciple et ami de Bernardin de Saint-Pierre et professeur à l'Athénée, fut constamment réédité au cours du XIXe siècle. "Ce livre a le mérite d'avoir été hautement revendiqué, au lendemain de la loi de 1833 qui n'avait pas statué sur la question des écoles des filles, la part prépondérante de la femme dans le relèvement des classes populaires et de toutes les classes sociales par l'éducation". Buisson, p 1241.
Hachette, 1872.IN12 demi basane noire,dos a caissons dorés,2e édition,246 p.: fig. ;
bon etat
Feuillet d'Art 1919/20,numéro IV,planche du tirage sur Japon,numérotée au crayon et signée dans la planche, bon état,
A fine impression in fine condition with full margins
1833 Ledentu, 1833; volume in-8, 418 pp., veau rose de l'époque, dos lisse ornés de décors estampés à froid et à chaud (légères traces d'usage,plats ornés de filets et d’encadrements dorés,gardes papier dominoté,reliure epoque usée Exemplaire complet des 3 illustrations hors-texte en couleurs gravées sur acier. Nouvelle édition avec des notes par M. Patrin, augmentée de la Théorie du calorique rayonnant. Bon exemplaire
Paris-Genève, Cherbulliez, 1867 in-12, VIII-334 pp., carte dépliante, demi-basane verte, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). Coins usés. Rousseurs. Souligné et annoté par endroits au crayon.
Tulard, 968. "D'origine genevoise, Martin y raconte son séjour à l'Ecole militaire et sa participation aux combats de 1813 et de 1814 comme lieutenant. Le dernier chapitre de la cinquième partie est consacré à Waterloo".Tulard, 968. "D'origine genevoise, Martin y raconte son séjour à l'Ecole militaire et sa participation aux combats de 1813 et de 1814 comme lieutenant. Le dernier chapitre de la cinquième partie est consacré à Waterloo". - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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1853 Furne et Cie, Libraires-Editeurs, Paris, 1853. iv,(112 pp) et 56 eaux fortes,reproductions de tableaux gravés, textes et planches avec rousseurs, plats passés, dos à caissons dorés défraichi, traces de frottements, toutes tranches dorées,charnieres fendues en partie,dans l'etat
les gravures sont éxécutés par Audriband, Pourvoyeur, Lefebvre, Geoffroy, Joubert, Colin, Revel, Sisco, Muller, Pollet, Pardinel, Pigeot, etc... d'après les oeuvres de Steuben, H. Vernet, Wintherhalter, Feron, Thomas, Ary Scheffer, Ch. Lebrun, Larivière, Isabey, Gudin, Court, etc...
1929 Paris, Edition de la nouvelle revue française, 1929. In-12, broché, couverture imprimée, 301 pp. Edition originale. Un des numerotes sur Velin,N°787 Bon exemplaire très frais.
etat neuf ,non coupe,
1928 Paris, Edition de la nouvelle revue française, 1928. In-12, broché, couverture imprimée, 243 pp. Edition originale. Un des numerotes sur Velin,N°91
bon etat,
Paris, V. Giard et E. Brière, 1894 in-16, 36 pp., broché..
Tout au plus une introduction générale. Originaire du Puget, Louis Martin (1859-1944), avocat au barreau de Paris, fut ensuite député, puis sénateur du var. Tout au plus une introduction générale. Originaire du Puget, Louis Martin (1859-1944), avocat au barreau de Paris, fut ensuite député, puis sénateur du var. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Edouard Champion, 1920 in-8, 360 pp., un f. n. ch. d'errata, avec un frontispice héraldique, broché..
Tirage limité à 275 exemplaires. Celui-ci non justifié.Edition originale posthume. Jean Martin (1839-1919) était archiviste de la ville de Tournus, et le fondateur du Musée Greuze de la même ville. Il s'agit aussi de l'un des premiers travaux publiés de Jacques Meurgey ("de Tupigny"), alors jeune chartiste de la promotion de 1920.Saffroy II, 19 065.Tirage limité à 275 exemplaires. Celui-ci non justifié.Edition originale posthume. Jean Martin (1839-1919) était archiviste de la ville de Tournus, et le fondateur du Musée Greuze de la même ville. Il s'agit aussi de l'un des premiers travaux publiés de Jacques Meurgey ("de Tupigny"), alors jeune chartiste de la promotion de 1920.Saffroy II, 19 065. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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