broché - 15,5x24 - 238 pp - 1973 - Hotel du VIDAME , Chalons-sur-Marne - mémoires de la société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la MARNE - tome LXXXVIII - Avec illustrations hors texte.
Châlons-en-Champagne, 2002, gr. in-8°, 351 pp, illustrations, cartes et photos en noir et en couleurs, broché, couv. illustrée, bon état
Marginalité et justice en 1500 : Jean Paulmier, petit voleur d'objets sacrés - Analyse et récit (J.-Y. Sarazin) ; Les conférences ecclésiastiques au diocèse de Châlons-en Champagne (A. Kwanten) ; Les armoiries des communautés ecclésiastiques de la généralité de Châlons-en-Champagne définies par l'Armorial de France de 1696 (M.-J. Gut, avec 16 blasons sur 2 pl. en couleurs) ; Les derniers “feux” du Carpion et sa disparition (Saint-Memmie, Marne) (M.-C. Damagnez) ; Les architectes municipaux de Châlons-en Champagne, 1800-1940 (S. Mikus) ; Vienne-le-Château : un bourg argonnais dans la tourmente des guerres napoléoniennes, 1808-1815 (J. Chémery, avec 3 pl. d'uniformes en couleurs et 2 cartes) ; L'eau et Sainte-Ménehould (Marne)(M. Poncelet) ; Histoire de la tuilerie "de la République" à Broyes (Marne)(J. Fusier) ; Le colonel Auguste Philippe (1795-1869), maire de Châlons sous le Second Empire de 1861 à 1867 (M. Burseaux) ; La presse marnaise face aux attentats anarchistes et aux lois de répression (décembre 1893-juin 1894)(F. Regnauld) ; 1945-1948 : le problèmes des monnaies et ses solutions en France et plus spécialement dans le département de la Marne (D. Bautheney, avec 4 pl. de monnaies en couleurs).
Louis-Sébastien Morel (1758-1828), député de la Marne. L.A.S., Paris, 19 thermidor an VII [6 août 1799], 2p in-4. A M. Allaire, « propriétaire à Pocancy » (Marne). La lettre concerne un problème dans la nomination du fils d'Allaire comme chef des bataillons des conscrits de la Marne. Cette nomination a été obtenu du ministre de la guerre sur demande de Morel, alors redevenu député de la Marne depuis peu. Le ministre l'a accordée par erreur car ce n'est pas à lui de décider mais aux directoires des départements. Il est ensuite question des problèmes qui en découlent. On trouve la trace de M. Allaire dans divers ouvrages traitant d'agriculture ou de médecine vétérinaire. Il semble avoir été à la pointe de ce qu'il se faisait à l'époque. Ce cultivateur possédait des « troupeaux à laine » et est un des premiers à avoir planté des pins en Marne. Peu commun. [371]
broché - 15,5x24 - page 81 à 136 - 2ème trimestre 1955 - n° 41 - Imprimerie de L'EST, Chaumont. Illustrations dans le texte.
1624 broché - 16 x24 - page 161 à 216 - 4e trimestre 1970 - N° 103
1860 Sd (1860) Album grand in4, cartonage, bel ensemble de 25 lithographies en 2 teintes ou en couleurs montées sur onglets . (dos abimé, bel état intérieur)
La cathédrale , Notre dame, St Loup, vue du pont croix des teinturiers ,St Alpin, couvent de Vinetz, Moulins, de la porte des mariniers, collège, portes Ste Croix, St Jeanpont de Marne. )
1840 Paris DELLOYE ; Lizy chez l ' auteur .1840 ;3e édition XX + 299 pp Portrait en frontispice .Exemplaire relié demi veau epoque,dos lisse a faux nerfs,coiffes frottées; relié avec Paris DELLOYE ; Lizy chez l ' auteur .1842, 243p.(édition originale)
Bel exemplaire de 2 titres reliés ensemble. Rare. 17x11cm.3e édition, parue seulement un an après l’originale, illustrée d’un portrait de l’auteur lithographié par Marie-Alexandre Alophe(1812-1883).Magu (1788-1860) était un modeste tisserand et un poète à ses heures perdues, qui avait pour modèle Jean de La Fontaine, “long- temps, mon seul ami” comme il l’a écrit dans le poème Au lecteur qui ouvre le recueil. Ses poésies eurent dès leur parution en 1840 les suffrages les plus flatteurs et il obtint une place de premier rang parmi les poètes populaires de l’époque, soutenu notamment par Béranger et George Sand.Cette dernière consacra une préface sur l’auteur, placée en tête de l’édition de 1845 : “Le plus naïf et le plus aimable de ces poètes nouvellement éclos au sein du peuple, dont nous avons déjà plus d’une fois signalé l’avènement, c’est le bonhomme Magu. Artisan rustique né au village, sachant à peine lire, il précéda de beaucoup d’années Beuzeville et Lebreton, Poney, Savinien Lapointe, et même, je crois, Durand, qui est de plusieurs années plus jeune que lui... Les lecteurs les plus récalcitrants à la poésie du peuple ont été presque tous désarmés par les vers de Magu, et peu de poètes ont inspiré autant de bienveillance et de sympathie. C’est que ses vers respirent l’un et l’autre sentiment. Ils sont si coulants, si bonnement malins, si affectueux et si convaincants, qu’on est forcé de les aimer, et qu’on ne s’aperçoit pas de quelques défauts d’élégance ou de correction. Il y en a de si vraiment adorables qu’on est attendri, et qu’on n’a le courage de rien critiquer”.
1624 broché - 16 x24 - page 49 à 96 - 2e trimestre 1964 - N° 77
1624 broché - 16 x24 - page 145 à 192 - 4e trimestre 1964 - N°79
1624 broché - 16 x24 - page 53 à 104 - 2e trimestre 1965 - N° 81
1624 broché - 16 x24 - page 165 à 220 - 3e trimestre 1971 - N° 106
1624 broché - 16 x24 - page 141 à 192 - 4e trimestre 1978 - N° 135
broché - 16 x24 - page 49 à 96 - 2e trimestre 1980 - N° 141
1968 9 vol. in-8, illustrés, br. Chalons-sur-Marne 1968-76,
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
broché - 15.5x24 - pages 59 à 106 - XXIIe tome - 3e trimestre 1996 - n° 324