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17 books for « marie de russie »Edit

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‎S.A.I. Marie de Russie‎

Reference : ny1096

(1933)

‎Une princesse en exil‎

‎Librairie Stock Broché 1933 In-12 (12,3 x 18,7 cm), broché, 320 pages ; pliures au dos, petit manque au dos en queue, rousseurs aux plats, petite déchirure sans manque sur le bord latéral du premier plat, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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EUR64.00 (€64.00 )

‎S.A.I. Marie de Russie‎

Reference : vh1811

(1937)

‎Memorie della Granduchessa Maria di Russia‎

‎Mondadori Cartonné 1937 In-12 (13 x 19 cm), cartonné toilé, 502 pages, texte en italien ; épidermures et traces sur la toile, tranches brunies, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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‎Marie de Russie,S.A.I.‎

Reference : 23349

(1943)

‎Education d'une princesse, Mémoires. édition soigneusement révisée. Préface d’André Maurois‎

‎ 1943 Buenos Aires, Ediciones Centurion, impr. Talleres de la Imprenta Lopez, Buenos Aires, coll. « Collection “Le Fil d’Ariane” », imp. Talleres de la Imprenta Lopez, Buenos Aires 1943 In-8. Broché, couverture rempliée et imprimée, 350 pp. bon état.‎


‎Une jeunesse mouvementée à la cour du Tsar, loin d'un père exilé en France, marié sans amour avec un prince de Suède dont elle se séparera pour revenir en Russie, cette jeune princesse, intelligente et un peu fantasque, vivra dans la douleur la guerre puis la révolution d'Octobre et, pour échapper à la mort, l'exil dans la pauvreté à Paris, aux Etats-Unis, en Amérique du Sud puis en Suède.Exilée en Argentine, Marie de Russie (1890-1958) s'installe à Buenos Aires, où elle peint des poupées et écrit des articles pour des journaux argentins,bon état. ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR35.00 (€35.00 )

‎MARIE DE RUSSIE (S.A.I. la grande duchesse).‎

Reference : 74568

‎Education d'une Princesse. Mémoires.‎

‎Librairie Stock, 1931. Hardcover in-12, XVI-406 pp., reliure plein cuir.‎


‎Quelques pages de la préface rognées au ras du texte sinon bel exemplaire. [NV-40] ‎

Phone number : 07 80 01 72 79

EUR65.00 (€65.00 )

‎MARIE DE RUSSIE.‎

Reference : 95764

‎Education d'une princesse. Mémoires traduits de l’anglais par F. W. Laparra. Préface d’André Maurois.‎

‎ Paris, Librairie Stock 1931, 200x140mm, frontispice, XXIII - 406pages, reliure toile. Pièce de titre et d’auteur dorés au dos. Edition originale sur papier vélin d’Alfa satiné, numérotée n.° 938 / 1160. Bel exemplaire.‎


‎ illustré, ‎

Phone number : 41 26 323 23 43

CHF75.00 (€76.76 )

‎S.A.I. Marie de Russie‎

Reference : RO80252843

(1941)

‎Une princese en exil‎

‎Librairie Stock. 1941. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos plié, Papier jauni. 318 pages. Trois photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Traduit de l'anglais par H. Archbeaud-Fauconnier. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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EUR119.00 (€119.00 )

‎S.A.I. LA GRANDE DUCHESSE MARIE DE RUSSIE‎

Reference : R240093198

(1931)

‎EDUCATION D'UNE PRINCESSE.‎

‎STOCK. 1931. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en tête abîmée, Intérieur acceptable. XVI + 406 pages - un arbre généalogique en noir et blanc dépliant en début d'ouvrage - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Mémoires traduits de l'anglais par F.W.Laparra - Préface d'André Maurois . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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EUR149.00 (€149.00 )

‎ANNA FEODODOVNA (Julienne de Saxe-Cobourg-Saalfeld) Grande duchesse de Russie (1781-1860 à Elfenau), par son mariage avec le grand-duc Constantin Pavlovitch de Russie, fils de Paul 1er de Russie et de Marie Féodorovna. ‎

Reference : 42hC27

‎Correspondance de 9 lettres autographes signées « A ou AF ou Anne Feodorovna » à Monsieur de Wildermeth, à Berne (Une est adressée à Mlle de Wildermeth). Berne, Elfenau, du 15 octobre 1838 au 11 juin 1839. 28 pp. in-4 et in-8. Une enveloppe conservée. ‎

‎Octobre 1838, elle est dans sa résidence d'Elfenau, près de Berne en Suisse, qu'elle avait acquise en 1814 pour s'y installer définitivement. Ce furent les conséquences d'une union malheureuse avec le grand duc Constantin Pavlovitch de Russie, qui l'amena à quitter définitivement la Russie impériale pour ne jamais y revenir. Le mariage fut officiellement dissout en 1820, par l'empereur d'Alexandre 1er de Russie. Ces lettres sont adressées au neveu de Marguerithe de Wilderneth, qui fut la gouvernante d'Alexandra Féodorovna, mais aussi la gouvernante et surtout la confidente de Marie Féodorovna. Elle est confuse et chagrinée que ses paroles n'ont pas été comprises lors du dernier échange de lettres, mais surtout, lors de la dernière promenade en sa compagnie ; Mr de Wildermeth supposant que sa sœur, pouvait se tenir à son service. Elle s'en explique : « Lorsque j'énonçais ma répugnance à voir occuper la place devenue vacante dans ma maison ; envisageant cette nécessité avec une sorte de méfiance quant à la réussite satisfaisante, je disais toute ma pensée : cet éloignement subsiste toujours également en moi, jusqu'à ce que l'expérience m'en aura guérie. Force fut cependant de former enfin un choix. Depuis quelque mois déjà ce choix est fait, que des considérations aux affaires de famille de la personne m'oblige à tenir secret encore, jusqu'au moment où elle pourra me rejoindre dans ce pays pour se rendre à son poste. Je n'ai pas besoin d'ajouter, qu'il me serait impossible actuellement de rompre ce qui a été voulu à cet égard, sans me rendre coupable d'une grande inconséquence ». Toutefois, si un évènement imprévu permettait de recourir à un nouveau choix, elle ne manquerait pas de revenir vers lui, où elle pourra témoigner avec beaucoup d'empressement, sa considération sincère, pour « l'aimable frère de ma digne et si chère amie !...». Janvier 1839, alitée par une santé diminuée, causée par la goutte, elle ne peut lui répondre, « préférant ne rien dire que dire deux mots insignifiants ». Le 1er avril 1839, sur sa demande, elle lui conseille d'inscrire sur la tombe de sa tante, récemment décédée, un passage de la Bible. « Il est si beau si simple et vrai ! et va si bien à cette admirable amie, sacrée à nos cœurs ». Elle lui rappelle que sa tante avait servi l'impératrice, et qu'il serait mieux, peut-être, de ne point se servir du langage poétique à son égard et que dans le cas où il conviendrait, « de faire cependant mention de la haute vocation que Mademoiselle votre tante eut auprès delle. ». Le lendemain, elle lui assure que la voie la plus sure, par rapport à une lettre pour le roi de Prusse, serait de l'adresser directement au roi, « auquel j'écrierai en même temps, et le prierai d'accorder sa protection et sa recommandation ». Elle adressera en complément de son côté une lettre à l'impératrice. Quelques jours plus tard, le 4 avril, elle lui adresse la lettre pour le roi (Frédéric Guillaume III de Prusse, 1770-1840), qu'elle a rédigée à son attention, en espérant qu'elle lui facilitera « toutes les aspérités de la route », ajoutant, qu'elle a mis le roi au fait « de l'envoi précipité ; et je lui ai communiqué le désir de notre précieuse Russie concernant la continuation de la pension, en même temps que je l'ai prié de vous prendre vivement sous sa protection et de vous recommander en Russie ». La grande enveloppe à l'adresse du Roi, qu'elle lui a fait porter, servira pour renfermer sa lettre, ainsi que les deux autres, qu'elle écrira pour le roi et l'impératrice ; « Vous aurez la complaisance Monsieur, de couler ensuite un peu de cire sous mon cachet volant et de faire mettre ce paquet à l'adresse du roi, à la poste ». C'est seulement le 11 avril qu'elle lui adresse les lettres. « J'aurai désiré pouvoir vous faire parvenir plus tôt, si le triste état de mes yeux ne m'en avais empêché. Cette infirmité me servira d'excuse auprès de l'Imp (ératrice) : j'espère, pour mon insigne gribouillage dans le volume que je viens de lui adresser, que mes misères m'excusera également auprès de vous. ». Enfin, elle lui demande de lui adresser la liste de prix des objets qui seront mis en vente à l'occasion de la succession de sa tante, « j'aimerais pouvoir en acquérir ». ‎


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EUR5,800.00 (€5,800.00 )

‎MARIE FEODOROVNA (Sophie-Dorothée de Wurtemberg) princesse allemande qui devint en 1776 par son mariage, avec le futur tsar Paul 1er, impératrice de Russie sous le nom de Marie Féodorovna (née en 1759 et morte le 5 novembre 1828 à Pavlovsk). ‎

Reference : 42gC27

‎Réunion de 13 lettres dont 8 autographes signées, un billet autographe (crayon) et 4 lettres signées avec compléments de 4 à 10 lignes autographes. (16 p. de format in-8 et in-4) Elles sont toutes adressées à Marguerithe de Wildermeth (1777-1839), son ancienne gouvernante, dame des ordres impériaux et royaux de Sainte-Catherine. Elle fut également la gouvernante de sa belle-fille, la fille aînée de Frédéric Guillaume III de Prusse et de la reine Louise de Mecklembourg, Frédérique-Louise-Charlotte-Wilhelmine de Hohen-zollern qui épousa en 1817, Nicolas 1er empereur de Russie dès 1825 et devint impératrice sous le nom d'Alexandra Féodorovna. On joint une transcription tardive, rédigée au crayon d’une lettre de l’Impératrice. ‎

‎Ces lettres datées du 3 août 1827 au 3 octobre 1828, comprenant la période de la guerre Russo-turque (1828-1829), sont les derniers témoignages avant sa disparition. Elles sont écrites en français, trois de ces lettres sont sans date, le billet est rédigé au crayon d’une écriture difficile. Belle et rare correspondance dévoilant un aspect de l’intimité des Romanov où l’on découvre la sensibilité d’une impératrice douairière, très proche de ses enfants et petits enfants. Elle est très attentive à la santé de l’impératrice Alexandra. « Nos deux lettres, chère Mademoiselle Wildermeth, se sont croisées de près et je vous remercie de tout mon cœur. Je suis persuadée que la saignée fera grand bien à notre chère Impératrice, elle se sentira défoulée, le mal passera et cela influera aussi sur la lourdeur des jambes … ». Elle la questionne de nouveau sur sa santé, en janvier 1827. « Je m’adresse à vous pour vous prier de me dire si notre chère Impératrice a passé une bonne nuit et si elle ne se désole pas de son mal de tête ; elle en soufrait hier, je le voyais quoiqu’elle eut voulu prendre sur elle. La promenade ne l’a-t-il pas augmenté… ». Pavlovsk, 9 Mai 1828, elle tient à informer la gouvernante du dernier voyage de l’impératrice, nouvelles qu’elle a reçues hier : « l’Imp. me parait satisfaite et de bonne humeur, elle me donne des détails de leur voyage… Elle me parle aussi d’une synagogue qu’elle a vue et de l’impression désagréable qu’elle lui a faite, tout comme à moi lorsque j’étais dans le cas d’un soir. Marie s’amuse beaucoup de ce voyage et écrit à sa sœur et à son frère… ». Elle lui demande également de communiquer ces nouvelles à « Guillaume », (Guillaume 1er, empereur allemand) ne pouvant lui écrire aujourd’hui, et lui raconte sa visite chez lui. Le souverain l’a trouvé « bien docile », entourée des petits enfants « qui faisait le train autour de moi ». Elle lui apprend que son fils Nicolas, arrive à Dresde le 11 mai (1828) et que l’impératrice espère le voir. Elle a supporté « admirablement bien le voyage », ainsi que la petite Alexandra. Le 16 juin 1828, de Pavlovsk, elle se sert « d’une main étrangère » pour lui annoncer sa grande peine, causée par la mort du Gand duc de Weimar, « en songeant que ce malheur accélère le départ de mes enfants, en m’ôtant en même temps l’espoir de les revoir ! Jugez de l’état de mon âme ». Toujours de Pavlovsk, le 27 juin 1828, elle lui apprend la reddition « de Brahilev » (pour Braïla), la forteresse de Matte Chine (pour Matchin), de Hirsova et finalement d’Anapa ». C’est l’impératrice qui lui a donné ces nouvelles, qu’elle avait appris par une lettre provenant « du même bâtiment à vapeur », qui avait permis l’acheminement du courrier et le débarquement de l’empereur Nicolas 1er. Sa joie est totale avec la soumission d’Anapa et lui annonce que c’est « une grande et importante nouvelle qui peut nous donner de grands résultats » 11 Juillet 1828, elle répond à son ancienne gouvernante qui l’avait félicité des succès de Nicolas 1er en Turquie. « Je vois que vous avez pris, ainsi que je l’ai prévu, beaucoup de part aux triomphes de l’Empereur… ». L’éloignement de l’Empereur concerné par cette guerre est bien pénible à Alexandra, très inquiète, le sachant « s’approcher toujours d’avantage des forces de l’ennemi ! La confiance seule dans la protection Divine, qui repose si visiblement l’Empereur peut seule donner des forces pour supporter une situation de l’âme aussi pénible… Que Dieu le protège… ». Saint-Pétersbourg, 15 septembre 1828. Au moment « même » de répondre à sa « chère Wildermeth », elle reçoit une lettre de l’impératrice qui lui précise la date de son départ. « Sa santé et celle de petite Marie (future Marie Nikolaïevna, grande duchesse de Russie qui épousa en 1839 Maximilien de Leuchtenberg) sont bonnes. Elle sera le 4 octobre à Gatchina où j’irai la recevoir avec le petit Alexandre… ». Elle attend des nouvelles de la chute de Varna « d’un moment à l’autre, c’est un temps d’angoisse et d’inquiétude, que les paroles ne peuvent dépeindre sur ce que l’âme l’éprouve trop vivement… ». Gatchina, 3 octobre 1828, l’impératrice est arrivée à Gatchina et elle a éprouvé un grand bonheur en retrouvant ses enfants. « Aujourd’hui nous allons en ville, où j’attends une nouvelle jouissance, celle de revoir chez nous son beau Constantin, avec son air de prospérité. Vous avez fait un des premiers sujets de notre entretien. J’ai parlé à l’Impératrice du plaisir que j’espérais avoir de vous revoir chez nous et elle le partageait vivement ». Elle lui recommande d’être prudente concernant sa santé, lors de sa venue, « mais je me dis quelque fois que le plaisir de revoir notre chère Alexandrine redonnera, je le crois certain et sera aussi d’un bien à votre santé et je me flatte que de vous embrasser ». Un mois après l’impératrice s’éteignait.‎


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‎MECKLEMBOURG-STRELITZ (Georges de) prince de la Maison de Mecklembourg, qui régna sur le grand-duché de Mecklembourg-Strelitz de 1816 à sa mort. (1779-1860) Lettre autographe signée à Marguerithe de Wildermeth (1777-1839), dame des ordres impériaux et royaux de Sainte-Catherine, gouvernante de l’impératrice de Russie Marie Feodorovna (1777-1839), et de sa belle-fille Charlotte de Prusse, la fille ainée de Frédéric Guillaume III, future épouse de Nicolas 1er empereur de Russie, sous le nom d’Alexandra Feodorovna. ‎

Reference : 28C22

‎Strelitz, ce 7 décembre 1819. 6 pp. in-4. Bordures de deuil. Très belle et longue lettre relative à la réception des objets en « Malaquits » (pour malachite), objets reçus pour fêter la naissance de son fils Frédéric-Guillaume, (né le 17 octobre 1819), lettre chargée également de compliments et d’anecdotes. Marguerithe de Wildermeth ayant vécu de nombreuses années en Russie près de l’Impératrice Marie Feodorovna ainsi que près de sa belle-fille Charlotte de Prusse, connaissait les propriétés bienfaitrices de la pierre de malachite. Sur les conseils de Charlotte, Marguerithe se chargea du choix et de l’expédition de ces fameuses pierres. ‎

‎Il faut savoir que la pierre malachite était utilisée communément en Russie par les tsars en tant que pierre de décoration, mais était surtout connue pour ses vertus protectrices, également pour lutter contre les énergies néfastes, notamment préconisée pour protéger les enfants contre les maladies mortelles. «…Aujourd’hui, où je me trouve enfin en possession de ces charmants petits objets, rien ne devra plus m’empêcher de laisser un libre cours à la joie que j’éprouve mais jamais je ne pourrais décider si c’est votre complaisante amitié, ou l’excellence de votre goût, que je dois admirer le plus. Croyez ma chère Wildermeth que je sais apprécier l’une et l’autre comme je le dois, et que par conséquent ma reconnaissance est extrême. Malgré tout cela vous ne serez pas surprise d’apprendre que les Malaquits n’ont fait que la partie inférieure de votre envoi et que ce qui l’emporte mille fois sur eux en prix et en agrément ». A propos de Charlotte, la future impératrice de Russie (en 1825), « C’est vraiment une bonne œuvre que vous avez faite ma chère Wildermeth que d’être entrée dans tous ces intéressants détails car quoique je savais Charlotte heureuse autant que je pouvais le savoir par des voies que vous connaissez, vous sentez bien que de telles données ne pouvaient me suffire. Soyez donc (vous qui savez combien j’aime Charlotte) de l’espèce de jubilation auxquelles je me suis livré en me disant que c’était vous qui m’apprîtes tout ce que je pouvais désirer à son sujet. Dieu vous le rende, ma chère Wildermeth et qu’il daigne continuer à bénir cette si digne Fille de la céleste Mère. J’imagine que votre solitude doit vous paraître bien douce, quand vous vous dites que c’est vous qui avez développé ce charmant naturel, qui l’avez préservé du souffle empoisonné du monde, qui avez dirigé enfin son esprit et son cœur de manière à en pouvoir trouver que le bonheur dans ce monde moins dans l’autre. Je vous en remercie pour ma part et au nom de celle que nous regretterons éternellement. Je vous dis cela bien du fond de mon cœur. Quand vous écrirez à Charlotte dite-lui mille choses tendres et affectueuses de ma part et parlez-lui de la satisfaction qu’à reproduit l’envoi des Malaquits. Elle m’a écrit une longue et délicieuse lettre peu de temps après votre départ, pour me féliciter de la bien heureuse naissance de mon fils […] Oui ma chère Wildermeth, il est le seul tyran qui me suffit, car depuis que Dieu m’a donné ce garçon je suis vraiment aussi heureux que l’on peut l’être ici -bas, et je sens vivement que jamais je ne pourrais mériter ce bonheur autant que je voudrais. Je n’ai plus qu’un seul vœu, c’est que Dieu me conserve ce qu’il m’a donné et tout autre vœu aussi serait le comble de la témérité et de l’indiscrétion… ». Il en arrive à parler de lui-même ainsi que sur la dame Marchetti, « et son ci-devant compagnon d’infortune. Comme cette bonne femme n’a jamais ambitionné un amant en forme et qu’elle avait grandement besoin d’en trouver un pour sa voix j’ai été vraiment enchanté d’apprendre que son bon génie le lui a fait rencontrer à Moscou, sans pourtant être tout à fait exempt de jalousie, vu que je suis également un de ses amants de ce genre et que par conséquent mon amour propre est très blessé, qu’elle n’a pas seulement voulu m’apprendre d’avoir trouvé ma pareille. J’espère de déterrer son adresse pour lui faire de tendres reproches… ». ‎


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‎MARIE (Princesse de Russie) - (Photo de la 2e collection Félix Potin) ‎

Reference : 53500

(1900)

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Princesse Marie-Nicolaïevna - Grande Duchesse de Russie.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Née à Péterhof en 1899. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎


Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Princesse Marie-Nicolaïevna - Grande Duchesse de Russie.. MARIE (Princesse de ...
Librairie et Cætera - Belin-Beliet

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EUR9.00 (€9.00 )

‎MARIE NICOLAIEVNA (Grande Duchesse de Russie) - (Photo de la 2e collection Félix Potin) ‎

Reference : 53633

(1900)

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Princesse Marie-Nicolaïevna - Grande Duchesse de Russie.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Née à Péterhof en 1899. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎


Librairie et Cætera - Belin-Beliet

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‎[RUSSIE] - VADROT (Claude-Marie) - ‎

Reference : 200613917

‎Ou va la russie ? ‎

‎Paris, First - document, 1996; in-8, 373 pp., broché, couverture illustr.‎


‎.‎

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‎[RUSSIE] - CHAUVIER (Jean-Marie) - ‎

Reference : 201403129

‎URSS : ue société en mouvement. ‎

‎Paris, Editions de l'aube - regrds croisés, 1990; in-8, 450 pp., br. Broché en bon état.‎


‎Broché en bon état.‎

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‎DE RUSSIE ( Marie )‎

Reference : 67864

(1936)

‎Une Princesse en exil‎

‎Paris, Stock, 1936, In douze, v-320 pp, broché, couverture illustrée, état usagé car dos scotché,et fendu mais texte bien complet, à relier ,‎


‎traduit par H.Archambeaud-Fauconnier. ‎

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