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‎Marie-Louise Level dite Mademoiselle Level (?-?), tragédienne active dans les années 1820-1840. ‎

Reference : 017166

‎Lettre autographe signée (lot de 2) + un contract signé‎

‎Marie-Louis Level dite Mademoiselle Level (?-?), tragédienne active dans les années 1820-1840. 2 L.A.S. & 1 contrat signé, sd (1829?), 29 mai 1831 & 1830, 3p in-8 et 2p in-4. La première lettre concerne son absence de costume pour la semaine suivante. L'autre lettre et le contrat sont nettement plus intéressants. Le contrat est son engagement pour un an au théâtre de l'Ambigu-Comique, signé par Level et le directeur, Lemetheyer, entre septembre 1830 et septembre 1831. Cela s'est mal terminé puisque la lettre du 29 mai 1831 montre qu'elle était en conflit avec Lemetheyer et qu'elle avait porté cela en justice. Mademoiselle Level est peu connue. Lionnet la signale à la Comédie-Française en 1823 puis à l'Odéon, à nouveau à la Comédie-Française, à l'Ambigu, au Panthéon, à l'Odéon et enfin à la Renaissance en 1840. Le contrat est abîmé (fendu au pli central et réparé grossièrement). Peu commun. [402] ‎


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EUR60.00 (€60.00 )
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‎Elina Barthélémy dite Mademoiselle Elian (1819-?), soprano, chanteuse, fille du poète Auguste-Marseille Barthélémy, créatrice du rôle d'Inès dans La Favorite de Donizetti.‎

Reference : 014925

‎Lettre autographe signée ‎

‎Elina Barthélémy dite Mademoiselle Elian (1819-?), soprano, chanteuse, fille du poète Auguste-Marseille Barthélémy, créatrice du rôle d'Inès dans La Favorite de Donizetti. L.A.S., 1er janvier 1836, 1p in-8. A un de ses professeurs. Elle lui envoie ses voeux et un livre de son père pour lui « donner quelques instants de distractions ». Elian eut trois professeurs au Conservatoire : François-Louis Henry, Laurent-Joseph Morin et Adolphe Nourrit. Après des prix en 1837 et 1838, Elian débute à Paris en 1836, créa quelques petites rôles puis, après 1842, se produisit en province (Bordeaux, Rouen). On la retrouve à Bruxelles en 1848 puis on perd sa trace. Félix Deriège nous donne probablement la raison de cette courte carrière parisienne: « Mademoiselle Élian Barthélemy a le malheur de n'être pas jolie, de grimacer quand elle chante, et d'éprouver souvent de ces embarras de larynx que les artistes ont nommés des chats » (Physiologie du lion. Paris, Delahaye, 1842, p.75). Peu commun. [362] ‎


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EUR75.00 (€75.00 )
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‎Aïssé Mademoiselle,Sainte-Beuve‎

Reference : lr1521

(1943)

‎Lettres de mademoiselle Aissé‎

‎Stock A la promenade Broché 1943 In-12 (12x19 cm), broché, 205 pages, un des 2750 exemplaires sur vélin supérieur des papeteries Navarre, n°702, lettres précédées d'une étude sur mademoiselle Aïssé par Sainte-Beuve, notes de Jules Ravenel ; pliures au dos, il manque 3 cm de la coiffe inférieure, coupes frottées, par ailleurs assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


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‎MADEMOISELLE DE MONTPENSIER, DITE « LA GRANDE MADEMOISELLE » / MME DE LA FAYETTE / MME DE SEVIGNE / LA ROCHEFOUCAULD, ETC…‎

Reference : LCS-17847

‎Recüeil des portraits et Eloges en vers et en prose. Dedié à Son Altesse Royalle Mademoiselle. Edition originale imprimée en l’année 1659 augmentée de 82 nouveaux portraits par rapport à la première de la même année qui n’en contient que 59.‎

‎Unique exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle. Paris, Charles de Sercy et Claude Barbin, 1659. 2 volumes in-8 de : I/ (16) ff. dont 1 frontispice, 452 pp. mal chiffrées 454 (la pagination saute de 16 à 25, de 40 à 31, de 258 à 257, de 355 à 362) ; pp. 455-916 mal chiffrée 912 (la pagination saute de 758 à 755), 3 pp. pour la Clef des noms des portraits qui sont abregez dans la galerie de peintures. Veau brun granité, filet à froid encadrant les plats, dos à quatre nerfs ornés à la grotesque, filet doré sur les coupes, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 166 x 102 mm.‎


‎Edition originale mythique du siècle des Précieuses, la seconde très augmentée, et l’un des livres les plus rares de la littérature française du XVIIe siècle, ayant fait l’objet de nombreuses rééditions et études commentées aux XXe et XXIe siècles. (Réédition B.n.F - Hachette le 1er juin 2012, réédition Hermann le 16 mai 2013, etc…). Rahir, Bibliothèque de l’amateur, p. 607 ; Tchemerzine, IV, p 938 ; Lachèvre, Bibliographie des recueils collectifs, II, pp. 106-112 : 103 portraits dont 82 nouveaux. Edition b, à pagination unique décrite par Denise Mayer in Bulletin du Bibliophile, 1970, pp. 140-142. La même année fut publié à Caen un volume proche de format in-4 sous le titre « Divers Portraits ». Il ne contenait que 59 portraits. Ce recueil présente 103 portraits dont 82 nouveaux avec les deux les plus célèbres : - celui de Madame de Sévigné écrit par Madame de La Fayette ici en édition originale. Ce portrait constitue le premier texte imprimé de Madame de La Fayette. - celui de La Rochefoucauld par lui-même, premier texte imprimé de l’auteur des « Maximes ». Le recueil présente par ailleurs 16 portraits écrits par la Grande Mademoiselle (1627‑1693). Ces deux volumes sont ornés d’un superbe frontispice, véritable galerie de portraits, portant les armoiries de la Duchesse de Montpensier. Il fallut attendre l’étude approfondie de Denise Mayer consacrée à ce livre si important au siècle des Précieuses, le premier de la littérature française décrivant exclusivement des portraits et caractères, précédant de quelques années les La Bruyère, La Rochefoucauld et autres, pour déceler dans cette édition en 912 pages une véritable originale différente des Divers Portraits publiés à Caen la même année. Ce Recueil est d’une très grande rareté. Brunet ne cite qu’un exemplaire, celui de La Vente Libri en 1857 (II, 770). Tchemerzine (IV, 938) en mentionne deux dont l’exemplaire Rahir aux armes de La Grande Mademoiselle porté au prix colossal de 18 000 Fr Or sur le catalogue Fontaine de 1879. Un livre de bibliophilie se négociait alors à compter de 10 F Or , 1 800 fois moins. Le présent exemplaire en reliure de l’époque est le seul passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle en cette condition. Jacques Guérin mettait Les Divers Portraits à l’honneur de sa célèbre vente de 1984 et plaçait le titre de ce volume orné des armoiries de la Grande Mademoiselle « en frontispice de son catalogue ». Ce célèbre texte a fait l’objet de très nombreuses études récentes reproduites très partiellement ci-après : « Le Recueil des Portraits marque une date dans l'histoire littéraire entre la Clélie et les Caractères, entre Montaigne et la Princesse de Clèves : il suffit, pour s'en convaincre, de lire des portraits comme ceux, en prose, de Condé par Mademoiselle de Montpensier ou de l'abbesse de Caen par elle-même. Le Recueil des Portraits publié en 1659 par les soins de Mademoiselle de Montpensier est, selon le mot de Rebelliau, un « trésor des portraits », paru à l'heure où la mode du portrait, vieille de deux ou trois ans, est déjà sur son déclin.» (J. D. Lafond – xviiè Congrès de l’Association, Tours, le 29 juillet 1965). En 1659, Charles de Sercy écrivait : « Cet ouvrage qui est un ‘Recueil des Portraits de Leurs Majestez, de Vostre Altesse royale, & de tout ce qu'il y a de plus illustre dans nostre Cour, paroistra sans doute d'autant plus éclatant & plus merveilleux, qu'il n'a pour Artisans & pour Peintres que de grandes Princesses, ou Duchesses, & toutes les plus galantes Dames du Royaume, qui ont pris plaisir ou à se peindre elles-mesmes, ou à représenter leurs Amies d'une manière tout à fait tendre, délicate, & spirituelle’. » En février 2013, le professeur Leah Chang (Georges Washington Library) louait la nouvelle analyse des « Divers Portraits » réalisée par Sara Harvey. « La force du livre de [Sara] Harvey se trouve dans la relation qu'elle décrit entre le contexte historique durant lesquels les Divers portraits ont été produits, l'esthétisme du portrait littéraire et les caractéristiques physiques du livre lui-même. ( ... ) [Sara] Harvey nous prouve avec succès que la richesse apparente des Divers portraits n'était pas seulement un effet de style du portrait littéraire mais plutôt un instrument nécessaire dans les efforts de Mademoiselle de Montpensier pour clamer et promouvoir son statut de personnage central dans un cercle d'élites à l’influence culturelle et politique. » (Leah Chang, H-France Review volume 14-2014.) Le 16 mai 2013 sortait en librairie l’étude et édition critique des « Divers portraits » de Sara Harvey présentée ainsi par l’éditeur : « Cet ouvrage à une double vocation : il présente en première partie une lecture des Divers portraits de Mademoiselle de Montpensier et fournit, dans un second temps, la première édition critique complète de ce recueil de portraits littéraires publié à un tirage limité en 1659. L'étude proposée repose sur l'ambiguïté fondatrice des Divers portraits : œuvre de circonstance témoin d'une mode du portrait littéraire qui dura moins de trois ans (1656-1659) et livre d'apparat à prétention historique et mémorielle dédié à la gloire d'Anne-Marie-Louise de Montpensier. De la genèse des Divers portraits jusqu'à l'histoire de sa réception (xviiè-xxè siècle), les enjeux du recueil sont évalués sous l'angle de ce double statut de production mondaine et d'archive aristocratique. Afin de retracer les lignes de forces qui accusent de la singularité des Divers portraits, l'enquête fait dialoguer l'histoire littéraire et l'histoire du livre. Aussi accorde‑t‑elle une place centrale à l'histoire de la représentation de Mademoiselle de Montpensier dont la place est déterminante dans la constitution du recueil. L'édition critique des Divers portraits complète la lecture de cette galerie de portraits à plus d'un titre. Les nombreuses notes historiques, littéraires et linguistiques ancrent l'ouvrage dans son contexte social et culturel, alors que les notices annexées à chaque portrait, fournissent non seulement un éclairage biographique sur la communauté représentée dans le volume, mais apportent également des précisions sur l'architecture et la cohérence symbolique de l'œuvre collective. » En l’année 2005, Lucie Desjardins (Université de Montréal) écrit : « Dans les cercles précieux qui se réunissent autour de Mademoiselle de Montpensier et à la faveur de l'influence exercée par les romans de Madeleine de Scudéry, le portrait mondain devient un véritable divertissement de société dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Mais alors que le portrait romanesque s'élabore souvent sous la forme d'éloges hyperboliques adressés aux contemporains sous le couvert de personnages à clés, le portrait mondain, du moins si l'on en juge par le recueil de 1659, décrit généralement des êtres réels sans employer de pseudonyme et recourt à une technique assez fixe. Les auteurs proposent la représentation d'un modèle ou d'eux-mêmes en commençant généralement par une énumération des traits physiques à laquelle ils ajoutent une description de traits moraux. On retrouve, dans ce recueil, une majorité de modèles féminins, mais aussi plusieurs femmes portraitistes qui s'appliquent à décrire tantôt leurs propres qualités, tantôt celles des autres. En même temps, le portrait littéraire entretient des liens étroits avec l'art pictural, auquel il emprunte son vocabulaire (portraire, dessiner, peindre) et sa théorie qui, comme l’a montré Édouard Pommier est hantée, depuis la Renaissance, par le problème de la ressemblance. Par la mise en scène du moi, les portraits qui figurent dans les Divers portraits se trouvent à la fois à remplir les conditions de la mode en respectant ses règles, ses formules banales et convenues qui sont le fondement même de ce divertissement de société, mais aussi, paradoxalement, à introduire une distance critique entre le jeu et la réalité sociale. En effet, le portrait mondain se veut plus qu'un simple divertissement ; il invite à interroger non seulement sa représentation ou celle de l'autre, mais aussi l'importance et la valeur qui sous-tendent la représentation individuelle dans une société qui refuse de reconnaître la singularité de l'être. En ce sens, il témoigne peut-être d'abord et avant tout de la volonté et de la conscience qu'avaient les portraitistes de présenter une image de soi digne d'être offerte à la postérité et d'assurer une permanence de soi sur la scène d'un théâtre du monde où le fugitif l'emporte sur le durable. Enfin, ces différentes stratégies ne sont pas sans rappeler la posture d'un Montaigne décrivant le projet de se peindre dans l'avis au lecteur des Essais : C'est ici un livre de bonne foi, lecteur [...]. Je l'ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis […]. Si c'eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voit en ma façon simple, naturelle, ordinaire, sans contention et artifice : car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve autant que la révérence publique me l'a permis. » (Lucie Desjardins, 2005, Université de Montréal) Rappelons enfin que la critique récente la plus exhaustive parait en Février 2013, œuvre de Leah Chang (George Washington University) : « In this first critical edition of Mademoiselle de Montpensier's Divers portraits (1659), Sara Harvey makes available to scholars a lesser-known work by Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier. Known as "La Grande Mademoiselle", Mademoiselle de Montpensier is most famous for her proximity to the throne during the reign of her cousin, Louis xiv, for her role in the Fronde, and for her Mémoires (first published in the eighteenth century). The Divers portraits are particularly distinctive as a collaborative work, for the 1659 volume contained literary portraits and self-portraits authored by both the duchess and those in her circle during the years 1653‑1657. In an extensive introductory study that precedes the critical edition, Harvey immediately lays out the interpretive question that underpins an analysis of both the material volume and the historical circle that generated it. Why, she asks, was the book published as an ornate, limited edition livre d'apparat (akin to a highly decorative vanity publication) when the vogue for this kind of literary portrait would last only about three years in mid-century? And what is the scholarly interest for such a book today? As Harvey outlines, the critical approaches to the Divers Portraits have generally taken two forms. On the one hand, literary historians have been interested in the Divers portraits principally as representative of the genre and form of the literary portrait it elaborates, its production among a circle of mondain participants, and its reception among a narrowly defined and elite audience. On the other hand, historians of the book have approached the Divers portraits as a "patrimonial object" whose historical value is largely found in its memorializing objectives. Harvey situates her presentation of the Divers portraits between these two critical perspectives. How, she asks, does the collection walk the line as witness both to an aristocratic, memorial endeavor and to the fleeting mondain tasse for the literary portrait? At the heart of the Divers portraits, Harvey argues, is Mademoiselle de Montpensier herself. When she was born in 1627, the birth of the future Louis xiv was still nine years away. As the only child of Louis xiii’s younger brother, Gaston d’Orléans, and Marie de Bourbon, Mademoiselle de Montpensier was, as a young child, the scion of the Bourbon dynasty. Her prominent identity as the “first child of France” earned her international visibility, an exceptional education, and an enviable position as both object and patron of countless writers and artists. It was in this culturally dynamic milieu during her early years, Harvey shows, that Mademoiselle first became the object of numerous visual and literary portraits, which worked to celebrate the young duchess as the flower of French nobility within a genealogical narrative of royal dynasty, inheritance, and female heroic power. After the Fronde (1648-1653), the duchess’s interest in the literary portrait took on a different dimension. During her period of exile, beginning in 1653, the composition of portraits served to entertain the duchess, but also to explore and construct the centrality of her own royal identity. By assembling the Divers portraits and printing the volume in limited edition with careful attention to its aesthetic design, Mademoiselle de Montpensier marked the creation and publication of the literary portrait as an exclusive affair in which she was the central and directive figure. In its material production, then, the volume of the Divers portraits became both the medium and the material incarnation of the duchess’s self-promotion. Harvey divides her book into two distinct sections : an extensive, three-part introduction, followed by a critical edition of the 1659 text. The introduction is particularly notable and exhaustive in its detail. The three parts trace the production of the Divers portraits from its first publication to its reception post-facto through the nineteenth century. Part One covers the origins of the literary portrait, the intersections of the development of the genre as it was intertwined with Mademoiselle’s personal history, the moral and political uses of the portrait, and the ways in which the duchess used the portrait to develop a personal mythology. Part Two analyzes aspects of the material production of the book, including paratextual material, frontispieces, the uses of titles and ornaments, the arrangements of the portraits within the collection, and dedications. The third and final part examines the reception of the Divers portraits from the seventeenth century onward. Harvey closely compares the Divers portraits to the Recüeil de portraits et éloges, another portrait collection also published in 1659, with which the Divers portraits is often confused (the publication in the same year of both collections testifies to the popularity, if ephemeral, of the genre). This comparison highlights the précieux backdrop that informed the composition and publication of literary portraits, and shows how the two collections followed two distinct modes: while Mademoiselle’s Divers portraits was indeed inspired by the literary pastimes of the aristocracy, it also sought politically to glorify and memorialize that elite, while the Recueil belonged more properly to the mode of “gallant literature.” After a discussion of seventeenth-century commentaries on the portrait, Harvey concludes the introduction by tracing the nineteenth-century reception of the Divers portraits, emphasizing in particular the ways in which its material form—as livre d’apparat—ensured its continued attention by historians of the book and paved the way for its historical reception as a memorializing endeavor, as distinct from the category of littérature mondaine in which the literary portrait could otherwise be inscribed... » (Leah Chang – George Washington University). Remarquable exemplaire de ce livre célèbre a grandes marges (hauteur 166 mm), le seul conservé dans sa reliure strictement d’époque passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle. Il est complet de la clef imprimée à l’époque, « que nous n’avons vue nulle part » dit Rochebilière (Cat. I, 1882, n°713). Des bibliothèques Louis de Monmerqué (1780-1860), avec note autographe, et Jacques Dennery, avec ex-libris.‎

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‎Marie-Emilie Lloyd dite mademoiselle Lloyd (1842-1897), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017157

‎Carte autographe signée‎

‎Marie-Emilie Lloyd dite mademoiselle Lloyd (1842-1897), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. C.A.S., sd, 5 lignes. « Merci de tout coeur, mon cher ami, de votre aimable lettre. Je suis très touchée de vos gracieuses félicitations. A bientôt j'espère. Lloyd ». [401] ‎


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‎Marie-Emilie Lloyd dite mademoiselle Lloyd (1842-1897), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017158

‎Lettre autographe signée à l'actrice Agar‎

‎Marie-Emilie Lloyd dite mademoiselle Lloyd (1842-1897), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., 10 juillet 1888, 2p in-8. A la célèbre actrice Agar (1832-1891). Belle lettre amicale à l'actrice souffrante. Elle signe « Marie Vibert Lloyd ». [401] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017234

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd [ca.1910?], 1p in-8. Jolie lettre d'une écriture très tremblante : « Cher Monsieur, Agréer, je vous prie, les remerciements et l'expression aussi distingués que très reconnaissants d'un pauvre tison qui fut Judith de la Comédie-Française. Peut-être pourra-t-il renaître de sa cendre ». [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017235

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., jeudi 22 janvier [ca.1910, peut-être 1912], 1p in-8. D'une écriture très tremblante. « Monsieur, l'acte notarié est enfin préparé, je viens donc réclamer le service que vous [m'avez] si obligeamment offert et vous [mots illisibles] prier monsieur Péricaud de vouloir bien aller signer chez le notaire. Recevez l'assurance, Monsieur, de mes sentiments aussi distingués que reconnaissants. Judith Bernard Derosne ». [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017236

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd [25 juin selon une note d'une autre main], 2p 1/2 in-8. A un directeur de théâtre avec lequel elle souhaite travailler, indiquant ses prochains engagements. [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017237

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd, 2p in-8. Elle demande à son correspondant de remettre une pièce au lundi ou mardi suivant, ayant une fièvre. [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017238

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd, 1p in-8. « Acceptez, cher ami, ces fleurs que je vous envoie et qui n'ont rien de concurrent avec celles du paon car leur orgueil ne leur viendra que de leur trop d'humilité. Elle ne demandent, pauvres petites, qu'à être foulées aux pieds pendant que votre plume à vous, cette majesté du jour, lancera des [mot illisible] et charmantes nouvelles à travers l'Europe. Parez-vous donc en souvenir de celle qui aime tant Thérèse. Judith. Je reste couchée une grande partie du jour. Je suis souffrante. Si vous voulez venir me voir un moment avant le diner, vous me ferez bien plaisir ». Jolie lettre. [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017239

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd, 1p in-8. Elle demande à son correspondant une entrevue suite aux « tristes évènements » qu'ils ont subis, elle « plus particulièrement ». [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017240

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd, 1p in-8. L'écriture devient un peu tremblante. Elle envoie à son correspondant ses « états de service » pour une récompense qu'elle sollicite. [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017241

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., sd, 1p in-8. « mon cher Verteuil, une baignoire pour ce soir je vous prie et deux stalles d'orchestre. Vous obligerez beaucoup votre très dévouée Judith. Ne me refusez pas, vous savez que je crois aux tables ». [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017242

‎Lettre autographe signée‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. L.A.S., Paris, 26 avril, 1p 1/2 in-8. « Monsieur, Pour me donne une preuve de sympathie, la presse parisienne a organisée au Trocadéro une grande matinée à mon bénéfice. L'affiche vous dira tous les noms glorieux de la Comédie Française, en tête Sarah Bernhardt, qui assurent l'éclat de cette représentation. J'ai pensé, Monsieur, que vous ne me jugeriez pas trop indiscrète en vous priant de prendre la loge que je vous mets sous ce pli. Croyez, Monsieur, à mes sentiments les plus distingués. Judith, ex-sociétaire de la Comédie Française ». [404] ‎


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‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. ‎

Reference : 017243

‎Important manuscrit autographe - biographie‎

‎Julie Bernat dite Mademoiselle Judith (1827-1912), actrice, sociétaire de la Comédie-Française. Manuscrit autographe, [1887-1888], 3p 1/2 in-folio. Important manuscrit biographique donnant la liste de toutes les pièces dans lesquelles elle a joué mais aussi les ouvrages qu'elle a publiés, que ce soit les « romans originaux » ou ses traductions. On remarquera notamment Un Drame de la rue, d'Edmund Yates, dont la traduction est publiée par son mari mais qui est revendiqué ici par Judith. Elle mentionne aussi La Femme du Cabotin, parue sans mention de traducteur en 1888, mais dont elle annonce la publication avec une préface d'Emile Zola. L'ouvrage est paru sans préface mais le projet était effectivement là puisque Zola en parle dans plusieurs lettres à Jacques Van Santen Kolff en 1886-1887. Important document. [404] ‎


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‎Marie-Emilie Jolly dite mademoiselle Lloyd (1842-1897), comédienne.‎

Reference : 016030

‎Photographie par Reutlinger‎

‎Marie-Emilie Jolly dite mademoiselle Lloyd (1842-1897), comédienne. Photo CDV par Charles Reutlinger, ca.1865. [2] ‎


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‎Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers.‎

Reference : 013739

‎Pièce autographe signée‎

‎Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers. P.A.S., 18 juin 1696, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance, entièrement autographe, pour le paiement de sa rente. [278-2]‎


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‎Chéron Mademoiselle,Molière‎

Reference : pl1991

(1880)

‎La coupe du val de grâce, réponse au poème de Molière La gloire du Val de Grâce, pièce de vers attribuée à Mademoiselle Chéron, suivie de L'épître à Mignard attribuée à Molière‎

‎Librairie des Bibliophiles Broché 1880 In-12 (10x15.5 cm), broché, (XIX)-64 pages, un des 20 exemplaires sur papier de Chine, avec deux notices par le bibliophile Jacob, vignettes et culs-de-lampe ; mors coiffes frottées, dos usé, volume jauni, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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‎Marie-Thérèse Davoux dite Mademoiselle Maillard (1766-1818), cantatrice célèbre de la fin du XVIIIe.‎

Reference : 012563

‎Lettre autographe signée‎

‎Marie-Thérèse Davoux dite Mademoiselle Maillard (1766-1818), cantatrice célèbre de la fin du XVIIIe. L.A.S., 25 octobre 1788, 3p in-4. « Mon Prince, Monsieur [Jean-Amable Foucauld dit] Saint-Prix m'a fait part de l'intérêt que vous avez bien voulu prendre à moi, et combien vous avez été indigné de l'atrocité du procédé de Monsieur [Antoine] Dauvergne. Pour ne pas vous ennuyer de la bassesse des détails de cette affaire, je crois suffisant que vous sachiez que l'académie remettre l'opéra de La Toison d'or à l'époque où je fus obligée de déclarer les motifs qui m'empêchaient de continuer mon service. L'opéra ne pouvant me faire doubler dans ce rôle, je me rendis à ses justes remontrances et ne consultant que mon zèle, je jouai le terrible rôle de Médée, je compromis ma santé, enfin je jouai trois fois ce rôle fatiguant. L'administration satisfaite de ces efforts me fait fit écrire par monsieur [Simon] de La Suze, son commettant, que je pouvais être tranquille, que le prisse le temps nécessaire au rétablissement de ma santé, que mes appointements me seraient payés, et que mes services passés et à venir me mettaient dans le cas de faire trêve à la loi, comptant sur cette promesse n'ayant pas besoin, je négligeai d'envoyer toucher chez le caissier le montant de mes appointements pendant trois mois et c'est alors que je vais reprendre mon service qu'il m'est annoncé par monsieur [Denis Papillon] de La Ferté que deux mois de mes appointements me sont retenus. Je vous avoie, mon Prince, que l'argent m'est absolument indifférent, mais qu'il est dur à un premier sujet d'être traité comme un simple figurant ; notez que mes appointements sont de cinq cent quatre-vingt-trois livres par mois et que quoi qu'on vous dise, la plus forte amende en ma position n'a jamais excédé dix louis. J'ignore le motif de cette singulière vexation mais ce que je me plais à savoir, c'est l'intérêt que vous prenez à moi et dont je suis et serai à jamais reconnaissante. J'ai l'honneur d'être avec respect, Mon Prince, votre très humble servante Maillard ». Nous apprenons beaucoup de détails par la correspondance d'Antoine Dauvergne à Denis Paillon de La Ferté conservée aux Archives Nationales et publiée par Benoît Dratwicki. Saint-Prix, comédien, fut le compagnon de Maillard (lettre du 1er août 1787). Il fut aussi militaire jusqu'en 1792. Toutefois, Dauvergne rapport que Saint-Prix aurait dit à La Suze, devant Maillard : « Ne l'écoutez pas, elle est folle » (23 février 1788) mais dit aussi « qu'il ne sera jamais à même de repousser » Maillard (13 décembre 1788). Ils étaient tous deux royalistes et cela valut notamment à Saint-Prix d'être arrêté avec douze autres acteurs (dont Maillard ?) le 2 septembre 1793. Concernant Maillard, on se rend compte que si Dauvergne est assez bienveillant vis-à-vis d'elle en 1785, parlant déjà de sa maladie qui l'empêchera probablement de chanter Iphigénie tout en doutant du certificat du médecin et en allant la visiter (11 juin 1785). Mais ensuite, le ton commence à changer quand Maillard refuse de reprendre un rôle et prétend avoir mal à la gorge (18 mai 1786), quand elle prétend que la demoiselle Gavaudan est jalouse d'elle (20 août 1786) et qu'elle impose le dessin de son habit de Médée (24 août 1786). Il met encore en doute la maladie de Maillard en novembre 1786 mais aussi à de nombreuses reprises dans les années suivantes. On voit donc déjà tout le contexte assez mauvais. Le 14 octobre 1788, Dauvergne parle de Maillard et de l'acteur Lainez qui réclament des appointements malgré leurs absences et fait part de son opposition car cela créerait un précédent avec les autres acteurs. Si les choses semblent s'apaiser ensuite, il réclame néanmoins une amende pour Maillard le 22 septembre 1789. Quel est ce prince auprès de qui elle demande un appui ? La Revue d'Art dramatique (Volume 15, 1889, p.268) mentionne des « attaches princières » sans précision mais mentionnant le duc de Soubise sans que cela ne corresponde puisqu‎


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‎Mademoiselle [Odile] Picot-Bournisien, future épouse du graveur André Herry (propriétaire), Ex-libris.‎

Reference : 008907

‎ Ex-libris.‎

‎Mademoiselle [Odile] Picot-Bournisien, future épouse du graveur André Herry (propriétaire), Ex-libris. Ex-libris (45*130mm). [288-1] ‎


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‎ZIZI (Mademoiselle).‎

Reference : 113746

(1920)

‎Les Excentricités de la mode par Zizi.‎

‎S.l. Devambez, s.d. [1920 circa] 1 vol. broché in-folio, en feuilles, chemise cartonnée illustrée en noir à lacet, 1 page imprimée et 15 lithographies en couleurs sous serpentes légendées. Édition originale de la préface de Sem et premier tirage, sur papier de différentes couleurs, des lithographies naïves de cet album édité au profit des Oeuvres de guerre. Les dessins sont de Mademoiselle Zizi, fille du caricaturiste Georges Rip (1884-1941). La préface de Sem donne le ton à cette curiosité éditoriale : "Et ! bien Mademoiselle, vous êtes tout à fait digne de votre papa, et je ne puis vous faire meilleur compliment. Je vous complimente aussi d'avoir osé blaguer les excentricités de la mode que la guerre n'a pu rendre raisonnable. Cette mode sans vergogne a chipé les robes courtes des petites filles pour les passer à leurs mamans... et les petites filles se vengent. C'est bien fait et tant pis pour les mamans". Tirage confidentiel à petit nombre. Chemise à peine défraîchie, sinon bel exemplaire de cet album très rare qui manque à la BnF.‎


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‎MADEMOISELLE DU PENHOUAT DEL.‎

Reference : 28286

(1810)

‎DESSIN ORIGINAL : "PORTRAIT DE LOUIS XVI" , PAR MADEMOISELLE DU PENHOUAT DEL. (1810)‎

‎ 1810 un dessin à la mine de plomb, format : 64 x 44 cm, noté en bas au centre de la main de MADEMOISELLE DU PENHOUAT : LOUIS, et elle a dessiné les armes royales au dessus de l'ovale de son dessin, présence de petites déchirures tout autour du dessin et manque de papier à l'angle gauche en bas sur 2 cm2, sans date (1810 environ),‎


‎travail d'une finesse Extraordinaire ................. UNIQUE ............. en bon état malgré les légers défauts signalés (good condition in spite of the defects indicated). ‎

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‎DESBORDES-VALMORE Marceline, Mademoiselle MARS. ‎

Reference : 3877

‎Les Pleurs. Poésies nouvelles. Préface d'Alexandre Dumas. ‎

‎ Paris, Charpentier, 1833. Un volume relié (13,5 x 21 cm) de viii-389 pages. Reliure demi-chagrin havane, dos lisse décoré de fleurons dorés, titres dorés. Titre frontispice orné d'une vignette de Tony Johannot. Reliure en bon état, des rousseurs. Édition originale. Bel envoi autographe signé de l'auteur à Mademoiselle Hyppolyte Mars, qui finit ainsi "je ne lui offre que ce quelle m'a aidée à deviner" (sic).Inséré en début de volume un portrait gravé de Mademoiselle Mars. Anne-Françoise-Hippolyte Boutet, dite Mademoiselle Mars, est une comédienne française, née le 9 février 1779 à Paris où elle est morte le 20 mars 1847. ‎


Librairie L'Abac - Bruxelles
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‎MADEMOISELLE‎

Reference : 13606

(1829)

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