Aristide quillet 1928 in12. 1928. Relié.
coiffe de tête frottée bords frottés intérieur présence de rousseurs sur tranche et à l'intérieur (globalement peu marquées)
Librairie aristide quillet 1930 in12. 1930. reliure demi-basane editeur. 309 pages. Etat Correct d'usage
Madame Leprince De Beaumont Madame D'Aulnoy
Reference : 133676
(2001)
ISBN : 2013218729
Livre de Poche Jeunesse 2001 in12. 2001. Broché. 184 pages. Bon Etat
Pauvert 1961 in12. 1961. broché. 156 pages. Très bon état
[Henri Fantin-Latour] - Fantin-Latour [Victoria Dubourg], Madame
Reference : 094448
(1911)
Fantin-Latour [Victoria Dubourg], Madame: Catalogue de l'Oeuvre Complet de Fantin-Latour. Paris: H. Floury, 1911. 310 pages. Number 60 of 100 numbered copies on 'papier de Hollande' from an edition of 120 copies only. Bound in half morocco, with five raised bands and gilt panels on the spine, top edge gilt. Quarter morocco. 26x18cms. Text in French.
Text in French
Pierre bruyset ponthus 1766 324 pages in12. 1766. Relié. 324 pages. Reliure plein cuir plats frottés et mors usés en coiffe . Le texte est plutôt bien conservé quelques rares rousseurs en marge j'ai noté 3 rousseurs dans le texte un peu gênante page 6 141 135 .. Une petite partie de la page de titre est découpée le blanc entre le titre et l'éditeur avec un petit trou d'une coulure on dirait sous le nom d'auteur
Etat Correct
E. pellion 1866 in16. 1866. Cartonné.
couverture un peu défraîchie notes dans l'intérieur des plats gribouillage sur une page de la table rousseurs à l'intérieur
Rombaldi 1969 in12. 1969. Cartonné.
intérieur propre
P.didot l'ainé 1814 in16. 1814. Relié.
Bon état de conservation bords frottés tranches fânées présence de rousseurs bonne tenue
Club du meilleur livre 1961 in8. 1961. Cartonné.
couverture un peu ternie intérieur propre bonne tenue
Club francais du livre 1959 in8. 1959. Reliure pleine toile. 272 pages. Bon Etat exemplaire numeoté
Libraires associés 1802 400 pages in12. 1802. Relié. 400 pages.
Bon état de conservation couverture frottée et défraîchie intérieur globalement propre texte frais bonne tenue
Editions de Paris 1947 in12. 1947. Broché.
dos creusé recollé couverture défraîchie ternie intérieur propre
Bibliothèque-Charpentier in12. Sans date. Relié. 2 volume(s).
circa 1890 - reliures en bon état intérieur propre uniformément jauni propre
Chez Mme Ve Jules Renouard 1868 396 pages in8. 1868. relié. 396 pages.
Bon Etat-bords de la couv un peu frottés-texte jauni
Pierre waleffe 1968 in8. 1968. Reliure editeur. 215 pages. Bon Etat
Paris Musées 1995 160 pages in4. 1995. Relié. 160 pages.
Bon Etat
Albin michel 1926 255 pages in12. 1926. Broché. 255 pages.
Etat Passable pages non-coupées dos recollé le prix tient compte de l'état
Par la compagnie des libraires 1786 367+432+ pages in16. 1786. Relié. 367+432+ pages.
très Bon Etat intérieur impeccable assez frais
Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1818. 12 volumes. - Mémoires de M. de Coulanges, suivis de Lettres inédites de Madame de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges, d’Arnauld-d’Andilly, d’Arnauld de Pomponne, de Jean de La Fontaine… Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1820. 1 volume. Soit 13 volumes in-12, maroquin bleu nuit à grain long, roulette à fond perlé sertie de filets droits autour des plats, dos lisses ornés d’un décor doré à fond criblé, damiers dorés en pied, chaînette intérieure dorée, doublures et gardes de tabis parme, tranches dorées. Riche reliure de l’époque signée Lefebvre. 162 x 98 mm.
Précieuse édition collective originale de format in-12 des « Lettres de Madame de Sévigné ». Première édition critique des Lettres de Madame de Sévigné, établie par Louis-Jean-Nicolas Monmerqué (1780-1860). Parues en 1818, en 10 volumes in-8, chez J.J. Blaise, celui-ci en donna la même année cette édition en 12 volumes in-12. Les Mémoires de M. de Coulanges parurent simultanément en 1820 dans les deux formats. Tchemerzine loue grandement la première édition critique de Monmerqué imprimée en 1818. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe siècle. La première édition critique est celle de Monmerqué [Paris, Impr. De P. Didot l’aîné : J.J. Blaise, 1818-1819, 10 vol. in-8] ; elle contient près de cent lettres inédites et plus de trois cents fragments également inédits. » (Tchemerzine, V, 829). « L’édition Monmerqué de 1818 est la meilleure que l’on eût jusqu’alors de cette immortelle correspondance (elle est ornée ici de 4 portraits, 6 fac-similé et une planche de monnaie). Il est convenable de réunir à cette édition le volume intitulé : Mémoires de M. De Coulanges ; suivis de Lettres inédites de Mme de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges… Paris, Blaise, 1820, in-8 ». Brunet. Ces deux volumes sont ici réunis. « M. de Monmerqué a fait jouir le public du véritable texte de madame de Sévigné, par une édition augmentée de quatre-vingt-quatorze Lettres inédites, de deux cent quarante-six Lettres auxquelles il a restitué des passages également inédits, et de deux cent cinquante-six Lettres, ou qui n’avaient pas été réunies à la collection, ou dans lesquelles il a été rétabli des passages imprimés en 1726, en 1734, mais retranchés ensuite par des considérations qui n’existent plus. En conférant les diverses éditions originales, en méditant les mémoires du temps, il a rétabli une foule de passages omis ou altérés, et il a résolu des difficultés sans nombre. Les avantages d'un travail aussi précieux sont développés par l’éditeur dans une Notice bibliographique ; et M. de Saint-Surin y a joint une Notice fort étendue sur madame de Sévigné, sur sa famille et ses amis. Cette édition est le résultat de tant de recherches, qu’on peut la considérer comme la source où puisent avec plus ou moins de liberté tous ceux qui réimpriment les Lettres de notre inimitable épistoliaire ». Le dernier volume est terminé par une table analytique et alphabétique. Quelques exemplaires de luxe furent imprimés sur papier vélin. Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Neveu par alliance de Jean-Claude Bozérian, Lefebvre travailla un temps avec son oncle, avant de reprendre son atelier lorsque celui-ci se retira vers 1810. Il exerça jusque vers 1831. Le vocabulaire ornemental utilisé ici est d’un grand raffinement, en particulier le damier doré repris en pied de chaque volume. Exposition : Culot (P.), Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, Bibliotheca Wittockiana, 16 sept. 2000 - 10 févr. 2001, Bruxelles, n°85, avec reproduction.
Exemplaire de présent royal. Paris, Panckoucke, Hôtel de Thou, 1779-1780. 4 tomes reliés en 5 volumes in-8. Plein maroquin citron, somptueuse dentelle dorée aux oiseaux et à la lyre autour des plats, dos lisses ornés du fer aux oiseaux, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Superbes reliures parisiennes de l’époque attribuables à Derôme le Jeune réalisées selon les instructions de l’auteure. 200 x 128 mm.
Exemplaire de présent royal. Édition originale de la première œuvre d’éducation moderne tournée vers le vrai, le réel et le beau de l’une des femmes de lettres les plus célèbres du XVIIIe siècle, à laquelle la « Biographie universelle » de Michaud ne consacre pas moins de 23 pages in-folio. Barbier, IV, 686 ; Solleinne, Bibliothèque dramatique, II, 2254. « Le ‘Théâtre à l’usage des Jeunes personnes’ fut célébré dans l’Europe entière ; l’œuvre fut traduite immédiatement en Russie et en Allemagne. Madame de Genlis reçut les félicitations de plusieurs souverains européens et de l’ensemble de gens de lettres, avec une mention particulière pour les éloges appuyés de D’Alembert, Marmontel et Fréron. La marquise de Saint-Aubin, mère de madame de Genlis (1746-1830), eut l’habileté de s’introduire dans les salons des grands financiers du temps, où sa fille se fit remarquer par son talent de harpiste. Ce furent ses concerts qui remirent à la mode cet instrument, qu’on avait cru oublié depuis la Renaissance. Quatre fois par semaine, la mère et la fille se rendaient à des dîners à l’issue desquels Félicité de Genlis donnait son récital. Par l’entremise de sa tante, la marquise de Montesson, Félicité de Genlis rencontra Charles-Alexis Brûlart, comte de Genlis, filleul et héritier d’un ancien ministre d’État, Louis Philogène Brûlart de Sillery, marquis de Puisieulx, colonel des Grenadiers, qui devint par la suite marquis de Sillery. Félicité qui cherchait un mari aisé et bien portant sauta sur l’occasion. Les jeunes gens se marièrent en 1763 mais monsieur de Genlis n’interférera jamais dans les ambitions sociales de sa femme. Grâce à sa position dans la société, la comtesse de Genlis fut présentée à la Cour deux ans après son mariage. En 1772, elle accepte d’être dame d’honneur de la duchesse de Chartres. Grâce à sa culture, à son charme, à ses talents musicaux, le ton va changer au Palais-Royal. Elle règne dans ce milieu, habile à diriger et à organiser. En 1776, elle voyage en Italie avec la duchesse de Chartres. Sur le chemin du retour, Ferney, pour une visite à Voltaire. En août 1777, elle s’installe dans un pavillon que contient l’enclos du couvent des dames de Bellechasse. Elle va se consacrer à l’éducation des enfants du duc de Chartres, une éducation fondée sur des idées libérales. On s’est étonné qu’elle se retire ainsi du monde. En réalité, elle trouvait dans cette retraite une plus grande tranquillité et surtout elle se soustrayait aux ragots de la Cour. Elle recevait d’ailleurs beaucoup : Buffon, Marmontel, Rulhière, Bernardin de Saint-Pierre, La Harpe, parfois d’Alembert. Et naturellement le duc d’Orléans, le duc de Chartres, Lauzun. Le duc de Chartres la nomma « gouverneur » de ses enfants, au nombre desquels le futur Louis-Philippe, roi des Français, qui lui voua toute sa vie une adoration. L’ensemble de ces princes et princesses la préférèrent d’ailleurs toujours à leur propre mère. Félicité de Genlis se fit connaître par ses principes sur l’éducation des jeunes gens et notamment par son célèbre « Théâtre à l’usage des jeunes gens » imprimé en 1779-1780. Elle rencontra Rousseau et Voltaire et fut l’amie de Charles-Pierre Claret de Fleurieu, de Bernardin de Saint-Pierre, de Talleyrand, de Juliette Récamier, et composa une œuvre riche de quelque cent quarante volumes. Son premier essai ‘Théâtre à l’usage des jeunes personnes’ reçut les éloges de Marmontel, d’Alembert et Fréron. De 1789 à 1791, elle tient un salon, que fréquente le duc d’Orléans, où se retrouvent Talleyrand, David et de jeunes députés de la Constituante comme Lameth, Barère et Barnave. Tour à tour adulée, honnie, admirée, calomniée, Madame de Genlis demeure une des figures les plus intéressantes de cette période troublée. On lui a prêté beaucoup de liaisons, beaucoup d’ambition ; on lui a reproché de mettre « les vices en actes et les vertus en préceptes ». Elle avait une forte personnalité qui tranchait dans ce milieu versatile où les hommes n’avaient pas toujours des caractères bien trempés. Excellente pédagogue, inventeur de l’éducation moderne tournée vers le vrai et vers le réel autant que vers le beau, soucieuse d’éveiller les jeunes esprits, elle a mérité ce jugement de Stendhal qui la considérait comme « une femme d’infiniment d’esprit ». Dans ses Mémoires sur Joséphine, publiés sous le voile de l’anonyme en 1829, du vivant de madame de Genlis, sa tante, mademoiselle Ducrest dit beaucoup de bien de celle-ci. Dans un parallèle entre madame de Staël et madame de Genlis, tout l’avantage est à sa tante. « Le mot aimable, dit-elle, semble avoir été fait pour la conversation de madame de Genlis. » Rien de plus vrai ; car, jusqu’à la fin, l’auteur du « Théâtre à l’usage des Jeunes personnes » exerçait sur ceux qui la voyaient dans le monde cette puissance de fascination qui lui a fait tant d’admirateurs. « (D.R.R). Exceptionnel et merveilleux exemplaire de présent, comptant parmi les rares imprimés sur grand papier vélin, somptueusement relié en maroquin citron de l’époque à large dentelle ornée, selon les instructions de Madame de Genlis, de lyres – l’instrument qui lui avait permis d’entrer à la Cour – et de couples d’oiseaux destiné vraisemblablement à son royal élève, le futur Louis-Philippe alors âgé de sept ans. Cet ouvrage fut l’un des fleurons du catalogue Martin Breslauer n°110 avec reproduction en couleurs sur double page porté au prix de 32 000 $ en décembre 1992 il y a près de trente ans (n°151).
MAYNE REID- LABADYE Albert de – Madame VATTIER – France Jeanne et MAGNIER Achille- Madame COLETTE –HAMEAU louise- GRANDMAISON madame- BOURON des CLAYES
Reference : 12818
d’éditeur 1 ) MAYNE REID les naufragés de la Calypso traduit de l’anglais par Madame Gustave DEMOULIN 20 gravures dans le texte et hors-texte par PRANSHNIKOFF In 8 cartonnage rouge à décor passe partout. Faux titre, titre, 188 page, 1 page de table. Paris librairie Hachette & Cie 1888. Tranches dorées, très bon état. 2) LABADYE Albert de. Les deux caractères ou avarices et générosité. In8 cartonnage rouge à décor passe partout, doré. Faux titre, frontispice, titre 165 pages 1 page de table. Illustrations hors texte. Tours Mame & fils éditeurs 1894 3) Madame VATTIER. Rose FREMONT ou un cœur reconnaissant. Amitié de frères et sœurs. In8 cartonnage rouge à décor passe partout, doré. Faux titre, A. Mame & Fils éditeurs 1893. Illustrations hors-texte, très bon état. 4) Sur mer. Cartonnage à décor passe partout.5) France Jeanne et Achille MAGNIER La leçon d’une sœur suivie d’une mission d’honneur- les deux noëls. In 12 cartonné rouge à décor passe partout doré. Faux-titre, frontispice, titre 70 pages illustrations en noir hors texte. Librairie nationale d’éducation et de récréation. 6) Madame COLETTE deux cousines. In 12 reliure éditeur pleine toile rouge à décor passe partout doré, faux-titre, frontispice, titre 239 pages, tranches dorée illustrations dans le texte. Tours Alfred MAME et Fils 1896. 7) HAMEAU Louise Une enfant sans mère troisième édition revue et corrigée. In 8 pleine toile rouge de l’éditeur, titre et caissons dorés ; Faux-titre, titre, 234 pages, tranches dorées. Illustrations dans le texte et hors texte. Paris Librairie Charles DELAGRAV 1888 ? Rousseurs claires, plus concentrées en début et fin de volume. 8) GRANDMAISON Madame Vaillante Mère In 8 cartonnage rouge à décor passe partout de l’éditeur. Faux-titre, frontispice, titre, 156 pages, 1 page de table des chapitres. Paris société française d’édition d’art L. Henry MAY- G. MANTOUX (1899 ?) 9) BOURON-DES-CLAYES Gamine. In 8 cartonnage de l’éditeur a décor passe partout. De Paul SOUZE. Faux-titre, titre, 235 pages, 25 illustrations hors-texte de L VAUZANGES. CHARAVAY, MANTOUX, MARTIN Librairie d’éducation de la jeunesse Paris sans date (1900)
Lettres de Madame de Sévigné de sa famille, et de ses amis, avec les notes de tous les commentateurs, 12 tomes COMPLET chez Sautelet, Libraire-Éditeur en 1826. Le livre est illustré de 2 frontispices. Le livre mesure 14x21 cm et pèse 6,700 kg (c) pour 255 463 460 464 462 462 462 463 464 455 471 395 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, rousseurs claires peu présentes.
AVERTISSEMENT. Après un grand nombre d'éditions, ce n'est que très récemment que les Lettres de ma dame de Sévigné ont été imprimées dans toute leur intégrité, et que les endroits susceptibles de mettre en défaut la pénétration du lecteur ont été éclaircis par des notes intéressantes, fruit de longues et judicieuses recherches. Le talent épistolaire de madame de Sévigné fut d'abord révélé au public par un petit nombre de lettres à son cousin Bussy, insérées dans les mémoires et dans la correspondance de ce dernier, qui parurent en 1696 et 1697. Elles furent remarquées des gens de goût; Bayle particulièrement en porta le jugement le plus favorable. Trente ans après, un des fils de Bussy fit paraître à La Haye, en deux volumes in-12, d'après un recueil manuscrit que lui avait remis madame de Simiane, une suite de lettres écrites par madame de Sévigné à ma dame de Grignan, sa fille. On en publia dans la même année (1626) deux autres éditions, l'une à Rouen, l'autre à La Haye. Madame de Simiane n’avait probablement pas eu l'intention de livrer au public la correspondance domestique de son aïeule. Dans sa famille, on voulait, disait-elle, avoir de l'esprit impunément. Ces deux volumes furent lus avec avidité; mais un grand nombre de réclamations s'étant élevées sur plusieurs passages de ces lettres, qui présentaient soit des faits soit des opinions peu favorables à quelques personnes très connues, madame de Simiane s'empressa de désavouer cette publication. Le succès croissant d'une autre édition, donnée en 1733, en trois volumes in-12, détermina la famille de madame de Sévigné à en faire paraître une nouvelle, où d'importantes augmentations compensaient en quelque sorte la suppression des passages qui avoient excité des plaintes. On y retranchait aussi quelques phrases qui donnaient lieu de penser que l'harmonie n’avoir pas constamment régné entre la mère et la fille. Cette édition, préparée par le chevalier de Perrin, vit le jour en 1734, en quatre volumes in-12. Elle fut augmentée de trois volumes en 1737. En 1754, après la mort de madame de Simiane, le chevalier de Perrin en donna encore une en huit volumes in-12, qui offrait à-la-fois des additions et des suppressions nou...
"1883. Bruxelles Henry Kistemaeckers Ed. 1883 - Demi-bradel 23 cm x 14 cm 277 pages -1/2 reliure à coins légèrement frottée dos à 5 nerfs avec titre fleurons et filets dorés - Couverture conservée - Tirage limité à 222 exemplaires provenant de la bibliothèque de A. t'Serstevens avec un double ex-libris - Causerie-Etude d'Octave Uzanne ; Correspondance de Madame Gourdan ; Lettre sur Madame Gourdan sur une femme de condition arrêtée chez elle ; procès singulier à cette occasion ; anecdotes etc. ; Lettre sur la maison de Madame Gourdan et les diverses curiosités qui s'y trouvent ; Oraison funèbre de très-haute et très-puissante Dame Madame Justine Pâris grande-prêtresse de Cythère Paphos Amathonde etc. prononcée le 14 novembre 1773 par Madame Gourdan sa coadjutrice en présence de toutes les nymphes de Vénus - Bon état"
Paris, de l'Imprimerie de Fain Jeune, An XII, 1804. "12 x 20, 5 volumes, xxiii-424 + 414 + 426 + 374 + 370 pages, portraits de Madame de la Fayette et de Madame Tencin (en frontispice des tomes 1 et 4), reliure dos/coins cuir, tranches mouchetées, dos orné de fleurons et de guirlandes, bon état (reliures état d'usage; dos bien conservés; peu de rousseurs dans l'ensemble; cachets du collège jésuite Saint Stanislas à Mons)."
"Edition complète en 5 volumes; nouvelle édition, revue, corrigée, précédée de notices historiques et littéraires, et augmentée de la Comtesse de Tende, par Madame de La Fayette, de la Correspondance de Madame de Tencin avec M. de Richelieu, de la Comtesse de Savoie et d'Aménophis, par Madame de Fontaines, etc."