, , 1850-1853. 1. Feu de Saint Priest. Sa vie s'est passée dans l'occupation des gens de lettres. 2-3. Cher Filippi / Mia caro Filippi (21 x 13 cm). 4. Duporc emprisonné dans un castel fortifié se sauve à l'aide d'une échelle de cordes que lui fournit Coélina et le monstre du Lot. 5. Saint Priest étant mort d'une indigestion de pains à cacheter, Duporc pleure sur son cadavre (21 x 13 cm). 6. Pagès Duporc jurant pour la 30e fois sur le Coran qu'il ne reverra plus Coelina ! (21 x 13 cm).7. Émile Pagès dit Bergeron, il s'amusait après 1830 à arquebuser le tyran. 8. La marquis de la Pailleterie (Alexandre Dumas). 9. Dupin le dramaturge après un succès douteux. 10. O chétifs écrivains vous êtes tous des cuistres moi seul François Laurent protège les ministres. 11. Le marquis de Flèche en l'air. 12. Xavier aima beaucoup, c'est ce qui l'a tué (Xavier de Montépin). 13. De Lamartinière baron de Fénouillet. 14. Le baron de Truffe-Molle. 15. Ah tu ne vas pa t'envoler petit oiseau. 16. Nicolle après son voyage en Grèce. 17. Louis Lurine. 18. École des Flamboyants (Ballue peintre). 19. Reviens dans la Prairie Messager du Printemps. 20. Orphelin Boyer. Sans soeur. 20 aquarelles originales sous serpente (30 x 20 cm sauf mention contraire) contrecollées sur carton fort montés sur onglet, en 1 vol. in-folio, demi-basane blonde à coins, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Un album inédit de caricatures.Cet album réunit vingt portraits-charge dessinés et peints par Léon Paillet, une figure singulière de la fin de la Monarchie de Juillet et de la IIe République. Connu principalement comme auteur dramatique et publiciste – ou plus précisément comme « canardier », selon l’expression de l’époque –, Paillet s’est également distingué par ses talents de caricaturiste. Félix Rybeyre, dans Les Grands journaux de France (1862), souligne cet aspect de son œuvre en le comparant aux maîtres de la caricature tels que Nadar, Cham et Carjat : « M. Léon Paillet […] s’amusait à croquer la charge des représentants dans une galerie grotesque digne du crayon de ces spirituels caricaturistes de notre époque. »Les gouaches inédites de cet album confirment l’acuité de son trait et son mordant, rappelant les grands noms évoqués par Rybeyre. Bien que reconnu de son vivant pour ses caricatures, aucune autre trace de ses œuvres picturales n’a été retrouvée, ce qui confère à cet album une valeur patrimoniale exceptionnelle.Un témoin de son temps.Léon Paillet croqua nombre de ses contemporains, parmi lesquels Alexandre Dumas – qui le mentionne brièvement dans ses Mémoires –, le comte de Saint-Priest, Louis Lurine et le député Pagès de l’Ariège. Il côtoyait ces figures publiques à l’Assemblée nationale, où il avait ses habitudes en tant que chroniqueur.Dans ses Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852), Philibert Audebrand décrit la célèbre « Mare aux Canards », un coin de la Salle des Pas-Perdus fréquenté par les journalistes :« Cette Mare aux Canards avait aussi ses dignitaires […]. Parmi eux, ce pauvre et joyeux Léon Paillet […]. » Baptisé « Canardin » par Edmond Texier, Paillet était une figure centrale de ce groupe de chroniqueurs, dont l’humour et l’inventivité marquèrent l’époque.Un dramaturge prolifique.Parallèlement à ses activités journalistiques et artistiques, Paillet fut l’auteur de nombreux vaudevilles et pièces de théâtre, dont : Le Cabaret de la Veuve (en collaboration avec Jules de Prémaray) ; Deux âmes de feu ! ! ! ; Edmond Kean ou La Vocation d’un artiste ; L’Île de Crète ou les Lois de Minos ; Le Joaillier de Münich.Il rédigea également des oeuvres plus légères et satiriques, comme Banquet donné au Rocher de Cancale et l’argotique Voleurs et volés, publié à titre posthume en 1855.Un destin tragique et un héritage discret.Léon Paillet succomba au choléra en 1854, laissant derrière lui une oeuvre éclectique. Son nom figure au Panthéon Nadar sous le numéro 167, témoignage posthume de son influence. Cet album de caricatures, rare vestige de son talent graphique, offre un aperçu unique de son esprit incisif et de son regard critique sur la société et les personnalités de son époque.
S.l.n.d., , (1939). Manuscrit in-folio en feuilles à 35 lignes sur belle page d'1 feuillet de titre et 122 ff.
Manuscrit autographe en feuilles signé Léon Daudet.À mon tour je veux montrer que conformément au mot de Clemenceau, la Révolution est un bloc… un bloc de bêtise, de fumier et de sang. Sa forme virulente fut la Terreur. Sa forme atténuée est la démocratie actuelle avec le parlementarisme et le suffrage universel, et le choix, comme fête nationale, de l'immonde quatorze juillet, où commença avec le mensonge de la Bastille, la promenade des têtes au bout des piques. Le quatorze juillet, véritable début de la période terroriste et complété par la grande peur. Date fatale au pays. « Le vendredi 14 juillet 1939, la France célébrait le cent cinquantième anniversaire de la prise de la Bastille. À la tête du Comité national de la célébration du cent cinquantième anniversaire de la Révolution française, le «Président Herriot» maire de Lyon, président de la Chambre des députés et de surcroît, historien de métier, récusait ouvertement la présentation faite jadis par Clémenceau d’une Révolution qui aurait été «un bloc». Séparant le bon grain de la Terreur, il exaltait le courage des insurgés lyonnais de 1793 protestant contre la tyrannie de la Montagne. Au point que l’extrême-droite criait à l’escamotage. Pour Léon Daudet, pour les lecteurs de l’Action française,la Terreur avait pris son point de départ le 14 juillet 1789 ». [Jean-Pierre Azéma, 1940, l'année noire. De la débandade au trauma]. En 1939, quand Léon Daudet, soixante-douze ans, publia Deux idoles sanguinaires, il poursuivait sa collaboration à l’Action Française, où après avoir espéré la chute de la République lors de la manifestation du 6 février 1934, il dénonçait la corruption du régime, soutenait le fascisme de Mussolini et apportait son soutien à Franco. Manuscrit annoté, biffé et retouché par l'auteur, conforme à l’édition originale en neuf chapitres titrés et une conclusion publiée en 1939 dont on joint un exemplaire broché [Léon Daudet. Deux idoles sanguinaires. La Révolution et son fils Bonaparte. Paris, Albin Michel, 1939. In-12, 255 pp.] L’auteur a disposé dans son texte en guise de citations de nombreux extraits imprimés, joints ou contrecollés, empruntés entre autres aux publications de Léon Pingaud, Le comte d'Antraigues (1893) Edmond Soreau, Chute de l’Ancien Régime - la Révolution du 14 juillet (1937), Napoléon (Mercure de France, 1938) etc. reproduits dans l’édition originale ; quelques notes dont la pagination au crayon bleu sont d’une autre main, probablement celle de l’éditeur.Provenance Pierre Gaxotte (1895-1982) historien et journaliste, élu à l'Académie française en 1953, auteur de La Révolution française (Paris, Fayard,1928) : le manuscrit a été conservé sous une enveloppe qui porte son adresse «Monsieur P. Gaxotte de l’Académie Française / 23 rue Froidevaux / 75 - Paris XIVe Gaxotte».
Venise, Franciscus Senensus, 1564. Petit in-8 (10 x 15 cm) de (60)-422 ff. 2 ff.bl. (sig. a-f8 g12 A-Z8 AA-ZZ8 AAA-GGG8), vélin rigide, dos à cinq nerfs, titre manuscrit sur le dos et la tranche inférieure (reliure de l'époque).
Première édition latine établie par Giovanni Carlo Saraceni qui signe la dédicace, du célèbre ouvrage de Léon Abravanel dit Léon l'Hébreu réfugié en Italie après l'exil de 1492, une des oeuvres maîtresses du néo-platonisme humaniste de la Renaissance.« Publiés en 1535 à Rome, après la mort de Léon l’Hébreu, les Dialoghi d’amore connurent un grand succès non seulement en Italie, mais dans toute l’Europe. Le livre fut très vite traduit en hébreu, en espagnol, en français et en anglais. L’auteur relate les entretiens de «l’amoureux et passionné Philon » avec sa « sage Sophie », entretiens qui portent successivement sur l’essence de l’amour et du désir dans le Dialogue I, sur son universalité dans le second, et sur son origine et sa naissance dans le troisième. Né à Lisbonne en 1460, Léon l’Hébreu alias Juda Abravanel suivit son père Isaac Abravanel, financier érudit et figure légendaire du judaïsme ibérique, à Naples et devint médecin à la cour du vice-roi. Connu pour ses travaux de philosophie et de poésie, il enseigna à Rome et dans d’autres villes d’Italie. Les Dialogues d’amour constituent son oeuvre majeure et sont marqués par la double influence de l’École néo-platonicienne de Florence, notamment de Ficin et de Pic de la Mirandole et de la philosophie juive médiévale placée sous l’égide Maïmonide et d’Ibn Gabirol » (Chantal Jacquet, L’Essence de l’amour dans les Dialogues d’Amour de Léon l’Hébreu et dans le Court Traité in Spinoza et la Renaissance de Saverio Ansaldi, 2007)). Belle impression en caractères italiques sortie des presses vénitiennes de Franciscus Senensus avec sa marque typographique au titre.Ex-libris manuscrit à l'encre du temps "Heeris (…)" et cachet sur le titre de la Congrégation de l'Oratoire Saint Philippe Néri à Bologne, société de vie apostolique catholique fondée à Rome au XVIe siècle.Caillet, I, 2-08 : « Excellente édition des célèbres dialogues » ; Brunet, III, 984 (édition 1535) ; Publications of the Cambridge Antiquarian Society, 1846, n°8 p. 117 : « A Latin one appeared for the first time at Venice 1564 ».
Lyon, Benoist Rigaud, 1595. In-16 (115 x 70 mm) de 816-(47) pp., 1 p.bl., notes en manchettes, veau fauve, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure du XVIIe siècle).
Nouvelle édition de la traduction française de Denis Sauvage publiée une première fois en 1551 des Dialoghi d’amore de Léon l'Hébreu dont l’originale italienne avait paru en 1535 à Rome. Portrait gravé de l’auteur sur le titre (vignette).« Publiés en 1535, après la mort de Léon l’Hébreu, les Dialoghi d’amore connurent un grand succès non seulement en Italie, mais dans toute l’Europe. Le livre fut très vite traduit en hébreu, en espagnol, en français et en anglais. L’auteur relate les entretiens de «l’amoureux et passionné Philon » avec sa « sage Sophie », entretiens qui portent successivement sur l’essence de l’amour et du désir dans le Dialogue I, sur son universalité dans le second, et sur son origine et sa naissance dans le troisième. Né à Lisbonne en 1460, Léon l’Hébreu alias Juda Abravanel suivit son père Isaac Abravanel, financier érudit et figure légendaire du judaïsme ibérique, à Naples et devint médecin à la cour du vice-roi. Connu pour ses travaux de philosophie et de poésie, il enseigna à Rome et dans d’autres villes d’Italie. Les Dialogues d’amour constituent son oeuvre majeure et sont marqués par la double influence de l’École néo-platonicienne de Florence, notamment de Ficin et de Pic de la Mirandole et de la philosophie juive médiévale placée sous l’égide Maïmonide et d’Ibn Gabirol » (Chantal Jacquet). Provenance : bibliothèque de Hyacinthe Théodore Baron (1707-1787) avec son ex-libris armorié et la devise « Mihi Res non Me Rebus », doyen de la faculté de médecine de l'Hôtel-Dieu de Paris de 1750 à 1753, premier médecin des armées du roi en Allemagne et en Italie., il fut nommé en 1752 membre de l'Académie des sciences et laissa plusieurs ouvrages de médecine. Exemplaire rogné court en tête, traces de frottements sur la reliure, quelques rousseurs.Brunet, III, 984 ; Baudrier, III, 441 ; Gay, I, 891 ; Caillet, I, 2-11. Guaita, 1550 ; Chantal Jacquet, L’Essence de l’amour dans les Dialogues d’Amour de Léon l’Hébreu et dans le Court Traité in Spinoza et la Renaissance de Saverio Ansaldi (2007) ; Catalogue de la bibliothèque de feu M. Baron (1788) n°507.
Orléans, Éloy Gibier, 1580. Petit in-8 de (8)-311-(1) pp. (*4, A-Qq4), portrait hors texte, vélin dur, titre manuscrit en long (reliure de l'époque).
Édition originale du dictionnaire étymologique de Léon Trippault conseiller du roi au présidial d'Orléans, helléniste averti et historien de l'Orléanais.Le privilège daté du 4 mai 1580 est accordé pour six ans à Éloy Gibier, principal imprimeur d'Orléans au XVIe siècle avec sa marque typographique au verso du dernier feuillet qui porte la devise : « In sudore vultus tui vesceris pane tuo». Feuillets liminaires : titre, au verso duquel se trouve l'«Extraict du Privilège» ; l'achevé d'imprimer est du 15 juillet 1580 ; épître « A mon-seigneur, M. Germain Vaillant de Guellis, abbé de Pimpont, etc. » ; vers latins et français signés de J. Christophe, Raimond de Massac, docteur en médecine, et Jacques Binet; portrait de l'auteur, à l'âge de 43 ans. Léon Trippault (1538?-15..) après avoir publié en 1577 un Dictionnaire François-Grec (Orléans, Éloy Gibier), poursuivit et développa considérablement ses travaux étymologiques avec le Celt-Hellénisme paru trois ans plus tard afin de démontrer les origines grecques de la langue française. « Que ce soit la recherche des origines celtes de la France, la démonstration que le grec (ou l’hébreu) — et non le latin — a engendré le français, ou la découverte de la provenance troyenne des premiers rois de France, on voit bien que cette mythographie érudite a constitué une véritable manie au XVIe siècle. Le grand helléniste et imprimeur Henri Estienne est le penseur le plus connu à proclamer la filiation des langues grecques et françaises (…) Bien que l’hypothèse hellénique d’Estienne puisse paraître étrange, il serait cependant erroné de l’expliquer comme étant le fruit de son ignorance linguistique : non seulement parlait-on latin fréquemment dans la maison et l’atelier d’imprimerie cosmopolites de son père pendant l’enfance d’Henri, mais Robert a tenu à enseigner le grec à son jeune fils avant même le latin (Henri Estienne, Traicte De La Conformité du language François avec le Grec, 1565). Nous ne pouvons pas non plus écarter Estienne comme un excentrique isolé. Bien au contraire, de nombreuses publications au XVIe siècle ont affirmé des thèses semblables. Le juriste Léon Trippault, par exemple, étudie l’étymologie des mots français, dans son Celt-Hellenisme, Ou, Etymologie Des Mots François Tirez Du Graec. Plus. Preuves en general de la descente de nostre langue (1580) afin de démontrer que nous avons tiré partie de nostre langage, de celuy des Grecs. » (Paul Cohen, L'imaginaire d’une langue nationale : l'État, les langues et l'invention du mythe de l'ordonnance de Villers-Cotterêts à l'époque moderne en France. In: Histoire Épistémologie Langage, tome 25, fascicule 1, 2003. Politiques linguistiques (2/2) pp. 19-69).Très bon exemplaire conservé dans sa première reliure. Petit trou marginal sur les trois premiers feuillets (titre inclus), feuillets légèrement roussis, quelques pâles mouillures.Brunet, V, 950 ; Rothschild I, 319 (édition 1581) ; Deschamps, 134.
Collectif. T.1 Préface de Jean-Pierre Petit. Textes de Michel Bougard, Lucien Clerebaut, Jean Debel, Léon Brenig, Auguste Meessen, Patrick Ferryn, Marck Valckenears, Jean-Luc Vertongen. Postface de Wilfried de Brouwer. T.2 Préface de Isabelle Stengers. Textes Lucien Clerebaut, Marc Valckenaers, Patrick Ferryn, Michel Bougard, Léon Brenig. Conclusions par la SOBEPS.
Reference : 85295
(1994)
Bruxelles SOBEPS (Société belge d’étude des phénomènes spatiaux) 1994, in-8, broché, 502 & 480 pages. Photographies couleurs et NB. Documents NB dans le texte. Bon état.
NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris, Chez Léon Techener, 1886. In-8 (145 x 225 mm) de XVII-(1)-580 pp., cartonnage usé de l'époque.
Exemplaire personnel de Léon Techener, entièrement annoté de sa main. Contient des numéros de références, noms d’acquéreurs, mentions renvoyant à un nouveau référencement dans des catalogues ultérieurs, etc. Célèbre catalogue aux notices érudites qui fait aujourd’hui encore référence en ce qui concerne les livres sur la Champagne.Plusieurs fiches ont été découpées laissant des manques importants à certains feuillets, les pages 59-60 sont manquantes (feuillet découpé).
, , 1757-1762. Manuscrit in-12 (11 x 17 cm) à l'encre brune de (2)-306-(3) pp. à 18 lignes par page, table, basane brune racinée, dos à nerfs, étiquette manuscrite sur le dos, tranches rouges (reliure de l'époque).
Relation manuscrite inédite sur la Guerre de Sept ans qui porte en faux-titre : Détail des Six Campagnes d'Hannôvre, la récapitulation générale, et la table instructive se trouve (sic) à la fin du vôlume.« Charles-Léon, marquis de Bouthillier-Chavigny, né à Paris en 1743, d’une famille qui a fourni des ministres sous Louis XIII et Louis XIV, entra, jeune encore, dans les chevau-légers de la garde du roi, qui offrait une espèce d’école militaire pour la jeune noblesse. Il passa, en 1762, comme lieutenant au régiment du Roi (infanterie). En cette qualité, il prit part à la guerre de sept ans, où il se conduisit avec distinction, fut blessé et fait prisonnier » (Michaud Biographie universelle, V, 348). Journal militaire et historique tenu par le jeune Bouthillier-Chavigny qui consigne itinéraires, calendriers, événements, récapitulations (lieux, camp, bivouac) des batailles des armées françaises en Allemagne, de 1757 à 1762. La France, alliée avec l’Autriche, la Russie, la Suède et la Saxe, traversa le Rhin en avril 1757 avec deux armées totalisant 100 000 soldats, pour attirer l’attention de la Prusse, alliée de la Grande-Bretagne et du Hanovre. Relations de la bataille d'Hastenbeck (23 juillet 1757), la bataille de Crevelle (juin 1758) la bataille de Lutterberg (10 octobre 1758), la bataille de Bergen (avec une armée dirigée par le Duc de Broglie le 13 avril 1759), la capitulation de Munster proposée par M. de Zastrou au Marquis d'Armantières le 25 juillet 1759, la bataille de Minden (1er août 1759), la bataille de Corbach (10 juillet 1760), la bataille de Villinghausen (15-16 juillet 1761), la Journée de Cassel (25 juin 1762).Député de la noblesse du Berry aux États-généraux, Charles-Léon de Bouthillier-Chavigny (1743-1818) fut promu maréchal de camp dans l'armée de Condé le 20 mai 1790, l'année où il publia un projet de constitution militaire sous le titre Plan, général et abregé, d'une constitution militaire, dans tous ses différens détails. Par M. le marquis de Bouthillier, colonel du régiment de Picardie, membre du Comité militaire à l'Assemblée nationale. Pièce historique précieuse d'une parfaite lisibilité reliée à l'époque.
, , 1875 ca. Ensemble 36 planches non classées (10 x 14 cm et 22 x 13,5 cm), montées sur onglet et reliées en 1 vol. in-4 oblong (32 x 24 cm) demi-chagrin brun à coins, dos orné à nerfs (Gaëtan Ronner).
Suite complète très rare de 16 eaux fortes à sujets maritimes, signées dans la planche du monogramme LP pour Léon Pâris, titrées et légendées : (1) La Terre par le bossoir, (2) Changer les hamacs, (3) Piquez Midi! (4) Les Sacs, (5) La Meche, (6) I. Le Branlebas, (7) II. Le Déjeuner, (8) III. Le Lavage, (9) IV. L'Inspection, (10) V. L'Exercice, (11) VI. Le Dîner, (12) VII. La Permission, (13) VIII. L'Arrivée, (14) IX. Dans les haubans, (15) La Prière, (16) [sans légende].Collation conforme à Polak (7347) dont les planches 6-14 sont chiffrées romains I-IX.Reliée avec : [Souvenir de la Bellone, 1870-71-72] suite de 18 eaux fortes numérotée 1-22 (les planches 11, 13, 16, 17 manquent) inconnue de Polak, signées dans la planche L. Pâris, titrées et légendées : 1. Promenade au Rio Bingo St Paul de Loanda 1870, 2. Tisserand à Dakar, 3. Chasse au Cap Lopez, 4. Roi Kringer (Gaboon), 5. Torre de Belem (Lisboa), 6. Baobab - Dakar, 7. Sénégalais, 8. Jeunes Filles de Dakar 9. Femmes de Dakar 10. Village noir à Dakar, 12. Déjeuner à Maldonado (Uruguay), 14. Halte à un rancho près Maldonado (Uruguay), 15. Roi Denis (Gabon), 18. Village Gabonnais, 19. Marché à Gorée 20. Carré de la Bellone, 21. Souvenir de la Bellone 1870-71-72, 22. Un Officier de quart. 2 autres planches signées du même artiste sont jointes qui n'appartiennent pas aux suites précédentes, libellées ainsi : Gouvernement de Gorée L. Pâris ; 187. Types de Gabonnais (Sénégal) L. Pâris. L. Pâris del. et sculp. A Cadart Edit. Imp. Rue des Mathurins, 58 Paris.Rare et précieux recueil maritime illustré par le dessinateur et aquafortiste Léon Paris qui réunit une suite complète sur la vie à bord d'un vaisseau et le voyage sur l'Atlantique du Bellone depuis le Sénégal et Gorée jusqu'à l'Uruguay. Polak, 7347.
Paris, Angé, 1838. In-8 de (4)-VII-(2)-21-290-(1) pp., demi-basane bordeaux, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. Léon Faucher (1803-1854) fut ministre de l'Intérieur en 1848-1849, et en 1851.Provenance : Charles Dunoyer avec ex-libris. Rousseurs.
Paris, Hetzel, 1863. In-8 de VII-496 pp., demi-chagrin fauve, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin vert (reliure de l'époque).
Édition originale. Léon Verdier est le pseudonyme d'Hermine Reynald (1828-1883).
Paris, Piazza, H. Editeur d'art, 1929, 19x25cm, broché sous couverture rempliée, Texte encadré et lettrines à la façon des enluminures médiévales, par Ch. Navetto. 12 planches hors-texte en couleurs de Léon Carré. Belle réalisation. Un des 500 sur chiffon de Rives.
NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris, EDI. Publication de l'Institut Léon Trotsky, 1979, Broché, 367 pages. Bon état.
NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris Alphonse Lemerre, Editeur, 1888, in-12, demi-reliure de l'époque, 227p. Couverture conservée. Bon état.
NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris, Chêne, 1925, in-12, broché, 74p. Bon état. Reproduction de 26 bois gravés, pour 29 oeuvres présentées.
NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris, Mercure de France, 1932, in-8, broché, 365 pages. Dos légèrement défraîchi. Bon état. Non coupé.
NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris, Honoré Champion, 1908. In-8 de II-576 pp., index, demi-maroquin prune, dos à nerfs, tête dorée, couverture et dos conservés (Honnelaître).
Description de 3592 cartes et plans par le bibliographe et bibliothécaire Léon Vallée qui succéda en 1909 à Gabriel Marcel comme conservateur adjoint à la Bibliothèque nationale chef de la section des Cartes et plans, mandat qu’il conserva jusqu'à sa mort, en 1919.Envoi autographe signé de l'auteur à Charles Foley (1820-1901), polytechnicien, officier de marine, puis médecin fut fortement influencés par Auguste Comte, dont il fut l'un des "treize exécuteurs testamentaires".Dos légèrement passé sinon très bel exemplaire dans une reliure signée Honnelaître.
Paris, Hotel Drouot, 1907, in-4, pleine toile imprimée éditeur, 51 numéros. Nbr. Illustrations. Bon état
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Paris, Bernard Grasset, Collection La Vie de Bohème. , 1930, in-8, broché, 280p. Envoi autographe signé au poète Noël Nouet. Exemplaire du service de presse. Orné d'un portrait d'après photographie. Bon état.
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Paris, Imprimerie nationale, 1871. Affiche 72 x 55 cm entoilée.
Citoyen le canon tonne. Le moment suprême est arrivé. Depuis le jour de la Révolution, Paris est debout et en haleine. Tous, sans distinction de classes ni de partis, vous avez saisi vos/ armes pour sauver à la fois la Ville, la France et la République. Vous avez donné, dans ces derniers jours, la preuve la plus manifeste de vos mâles résolutions ; vous ne vous êtes laissé troubler ni par les lâches ni par les tièdes ; vous ne vous êtes laissé aller ni aux excitations ni à l'abattement ; vous avez envisagé avec sang-froid la multitude des assaillants... Paris, le 19 Septembre 1870. Le Membre du Gouvernement, Ministre de l'Intérieur, Léon Gambetta.
Paris, Louis-Michaud, 1909. In-8 de 320 pp., nombreuses illustrations, demi-chagrin aubergine, dos lisse orné, couverture conservée (reliure de l'époque).
Collection Les Moeurs légères au XVIIIe siècle. Mémoires apocryphes de la danseuse Catherine Rosalie Gérard ou Mademoiselle Duthé (1748-1830) composés par le fécond Étienne-Léon de Lamothe-Langon (1786-1864). rès bon exemplaire. Fierro, 809 pour la première édition de 1833.
Paris, Imprimerie impériale, 1856. In-8 de (4)-104 pp., table, demi-basane verte, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale sur papier vergé. Traité du goût établi sous le Second Empire par le comte Léon de Laborde (1807-1869) dont l'édification publique passe par la direction des arts, l'éloignement de tout ce qui offense le bon goût, les musées, les bibliothèques et les cours publics, les belles publications à bon marché, les spectacles, les exercices gymnastiques, l'initiation des citadins à la belle nature, l'excellence de l'architecture, les embellissements de la voie publique, la représentation et les fêtes, les élégances de la cour. Provenance : bibliothèque du préfet de la Seine et conseiller d'État Philibert-Marie-Edouard Lombard de Buffières comte de Rambuteau avec son ex-libris armorié (biffé à l'encre bleue) Long barbu fier (Lombard Buffières).
Paris, Léon Vanier, Libraire-Editeur, 1888, 125x185mm, broché, 300p. Edition originale. Couverture défraîchie. Solide exemplaire.
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Paris, Albin Michel, 1958, in-8, Broché, 472 pages. Légère marque de mouillure sur la couverture, dos insolé. Intérieur en tb état. Ex. Non découronné.
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Cahiers publiés par les soins de Paul Valéry, Léon-Paul Fargue, et Valéry Larbaud.
Reference : 1663
Paris, 1929 Paris in-4 Broché 223 p., Contient: Le livre de Christophe Colomb par Paul Claudel. Som de l'Escalina par T. -S. Eliott. Le patron des traducteurs par Valéry Larbaud. Chapitre V de Hydriotaphia . Mimes par Léon-Paul Fargue.
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