Manuels-Roret 1886 VIII-404+36 pages Paris. in-12. 1886. broché. VIII-404+36 pages. Nouveau manuel complet de la sculpture sur bois contenant la description des outils les plus usités et ds bois les plus convenables pour ce travail ainsi que les moyens pratiques de sculpture et l'exposition détaillée des styles d'ornementation suivi du découpage des bois de l'ivoire de l'os de l'écaille et des métaux à la main et par procédés mécaniques par M.S. Lacombe - Nouvelle édition - Avec de nombreuses figures en noir
Etat correct. Une coupure à un mors de la couverture et le dernier cahier quasiment défolié. Intérieur avec rousseurs
Musique et promotion éditeur 1982 602 pages in-8. 1982. broché. 602 pages. Grand In-8 (270x209 mm) 602 pages. Livre broché couverture illustrée. Préface de Jean-Loup Tournier - Documentation de Nicole Lacombe. Couverture en bon état malgré une plissure verticale au 1er plat. Intérieur propre. Poids : 1580 gr
Librairie de Firmin-Didot et Cie Relié 1880 Vingt volumes in-8 (14,5 x 21,8 cm), reliure demi-peau, dos à 5 nerfs orné de fers dorés, 3e édition revue par M. Lacombe, 661, 623, 488, 541, 715, 544, 560, 496, 560, 707, 640, 708, 670, 495, 645, 828, 780, 565, 438 et 437 pages ; dos un peu insolés, quelques épidermures sur le cuir notamment aux coiffes et nerfs, quelques frottements aux coupes, par ailleurs bon état général pour celle belle série complète. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Nicolas Augustin Delalain, 1767. 1767 1 vol. In-8° ( 205 x 135 mm.) de: LXXII (faux titre, titre, hommage, avis au lecteur); 560 pp. (mention manuscrite à lencre burne au dos du premier feuillet blanc: «Cyril Jackson 1769, à Lyon. Lady Charlotte»). Plein veau d'époque, dos à nerfs orné, titres de maroquin rouge, tranches rouges.
Édition originale de ce dictionnaire très complet du vieux français dû à François Lacombe (1726-1795), écrivain français. Au cours de sa vie, il fut peu productif sur le plan littéraire. Il traduisit notamment et fit publier les lettres de personnes de renom dont celle de Christine, reine de suède, qui savère être en réalité une pure fantaisie. Si son uvre littéraire nest pas très marquante, ce dictionnaire du vieux français savère être son travail le plus abouti et témoigne de la valeur de son auteur. Cette dernière fut dailleurs reconnue par la Convention de 1792 à 1795. Dans cet ouvrage, Lacombe dresse un dictionnaire très complet du «vieux français» aujourdhui appelé ancien français et dont lutilisation est attestée de 750 à 1400 environ. Pour ce faire, il sappuie sur des manuscrits en vers et en prose, des actes publics ou encore des ordonnances de rois, en ne manquant pas den fournir quelques uns afin denrichir son dictionnaire. Celui-ci sadresse tout particulièrement aux légistes, notaires, archivistes, généalogistes ou tout autre lettré ayant affaire avec des textes anciens. De plus, lauteur rappelle la grande utilité dun tel dictionnaire pour la compréhension des textes de lois dAngleterre, publiés en ancien français dans sa variété normande par Guillaume le conquérant (1027-1087) et jusquà Édouard III (1312-1377). Ce dictionnaire de Lacombe traite donc alphabétiquement un très grand nombre de mots en fournissant le terme en ancien français, en français de son époque, en latin et en fournissant quelques éléments détymologies, le tout accompagné parfois dune petite définition pour les termes les plus obscurs. Lauteur ajoute aussi régulièrement quelques vers de poésie ancienne afin de contextualiser certaines entrées de son dictionnaire. Louvrage est dédié sur la page de titre à Monseigneur le duc d'Aiguillon. Par ancien français, il est question ici de l'ensemble des langues romanes de la famille des langues d'oïl parlées approximativement dans la moitié nord du territoire français actuel ainsi que dans le sud de la Belgique actuelle et dans le canton du Jura en Suisse romande. Bien que ces langues présentaient chacune des particularités notables, leur grande proximité de par leur origine commune en faisait finalement des dialectes dune même langue, la langue doïl. Ainsi, cette proximité les rendaient relativement intelligible entre dialectes proches géographiquement. En effet, le domaine doïl était une bonne illustration de cette notion de continuum dialectal. Toutefois, si la compréhension était donc difficile à loral entre dialectes éloignés géographiquement, à lécrit, ils se rejoignaient grandement. Effectivement, si les graphies pouvaient varier régionalement, elles étaient tout de même très semblables de sorte que létude des textes anciens permettent de parler dancien français comme dune seule et même langue dialectalisée. Il faut rappeler quune autre partie du royaume de France parlait quant à elle la langue doc. Il sagit de la langue romane parlée dans le tiers sud de la France actuelle, mais aussi dans les Vallées occitanes (Piémont et Ligurie) et Guardia Piemontese (Calabre) en Italie, le Val d'Aran (Catalogne) en Espagne et à Monaco. Lacombe, originaire dAvignon, était lui-même très attaché au provençal, variété dialectale de la langue doc. En effet, de la même manière que pour la langue doïl, la langue doc était également dialectalisée et globalement commune à lécrit. Ce premier dictionnaire de Lacombe traite de la langue doïl, dont le français de son époque et daujourdhui hérite très majoritairement, entre autres du fait de son usage par les rois de France et leur cour. Il ne manque pas de sinscrire dans la tradition de lépoque visant à considérer le français comme la langue la plus parfaite et à en faire la démonstration en retraçant son évolution dans son ouvrage: «Je métais proposé de placer en tête de ce dictionnaire une dissertations sur lorigine et les progrès de la langue françoise. Outre lhistoire que je devais donner des révolutions par lesquelles cet idiome a passé pour arriver au point de perfection où nous le voyons parvenu, je métais attaché à suivre, dans les époques que javais à parcourir, les progrès de notre poésie.». En effet, à la suite de la création de lAcadémie Française en 1634, les travaux sur la langue française nont cessé de glorifier cette dernière en lélevant au titre de langue la plus parfaite. Elle devance désormais le latin qui avait demeuré la langue de léglise, des sciences, de ladministratif et du juridique jusqualors, bien que son usage persistera encore longtemps après. Cest là le cur de lobjectif originel de lAcadémie Française et des travaux sur le français: une langue parfaite et élitiste. Enfin, dans son avis au lecteur, Lacombe annonce quun second ouvrage traitera du provençal cher à son cur et dont il rappelle la valeur: «[] trésor précieux où brille également lérudition la plus vaste, le goût le plus vrai, le discernement le plus exquis.». Bel exemplaire de ce dictionnaire très complet bien conservé dans sa belle reliure dépoque. 1 volume. 8-vo ( 205 x 135 mm.) of : LXXII (half title, title, tribute, notice to the reader); 560 pp. (handwritten mention in burne ink on the back of the first blank page: " Cyril Jackson 1769, à Lyon. Lady Charlotte") Full contemporary calf, spine decorated with red morocco titles, red edges. First edition of this very complete dictionary of old French and Provençal due to François Lacombe (1726-1795), French writer. This work follows directly on from his previous work beginning with the same title "Dictionnaire du vieux langage françois..." of which we also have a copy but only dedicated to old French published the year before (1766). Indeed, the author announced in the preface of this last one that this first dictionary would be followed by a second one the following year which would dwell more on the Provençal and its history, subject developed in great part in the very long and complete preface of the present work. This preface includes numerous verses by troubadours and poets giving a glimpse of the origin and evolution of Provençal as well as of the langue d'oïl from Charlemagne to François I. In fact, this work acts as a supplement to his previous one. During his life, Lacombe was not very productive on the literary level. He translated and published the letters of famous people, including that of Christine, queen of Sweden, which turns out to be a pure fantasy. If his literary work is not very outstanding, this dictionary of Old French proves to be his most accomplished work and testifies to the value of its author. The latter was recognized by the Convention from 1792 to 1795. In this work, after a very long preface dedicated in large part to Provençal and its history, Lacombe draws up a very complete dictionary of "Old French" today called Old French and whose use is attested from 750 to 1400 approximately. To do this, he relies on manuscripts in verse and prose, public acts or even orders of kings, not failing to provide some of them to enrich his dictionary. This dictionary is particularly intended for lawyers, notaries, archivists, genealogists or any other scholar dealing with ancient texts. Moreover, the author recalls the great utility of such a dictionary for the comprehension of the texts of laws of England, published in old French in its Norman variety by William the Conqueror (1027-1087) and until Edward III (1312-1377). This dictionary of Lacombe thus treats alphabetically, like his precedent, a very great number of words by providing the term in Old French, in French of its time, in Latin and by providing some elements of etymologies, the whole sometimes accompanied by a small definition for the most obscure terms. The author also regularly adds a few verses of ancient poetry in order to contextualize certain entries in his dictionary. The work is dedicated on the title page to the city of Avignon. By Old French, we mean all the Romance languages of the Oïl family spoken approximately in the northern half of present-day France as well as in the south of present-day Belgium and in the canton of Jura in French-speaking Switzerland. Although each of these languages had its own particularities, their close proximity due to their common origin made them dialects of the same language, the langue d'oïl. Thus, this proximity made them relatively intelligible between geographically close dialects. Indeed, the domain of Oïl was a good illustration of this notion of dialectal continuum. However, if the comprehension was thus difficult with the speech between geographically distant dialects, with the writing, they joined largely. Indeed, if the spellings could vary regionally, they were all the same very similar so that the study of the old texts make it possible to speak of Old French as a single dialectalized language. It should be remembered that another part of the kingdom of France spoke the langue d'oc. This is the Romance language spoken in the southern third of present-day France, but also in the Occitan Valleys (Piedmont and Liguria) and Guardia Piemontese (Calabria) in Italy, the Val d'Aran (Catalonia) in Spain and in Monaco. Lacombe, originally from Avignon, was himself very attached to Provençal, a dialectal variety of the langue d'oc. Indeed, in the same way as for the langue d'oïl, the langue d'oc was also dialectalized and globally common in writing. This second dictionary of Lacombe deals with the langue d'oïl, from which the French of his time and of today inherits very largely, among other things because of its use by the kings of France and their court. He did not fail to follow the tradition of the time to consider French as the most perfect language and to demonstrate this by tracing its evolution in his work: "I had proposed to place at the head of this dictionary a dissertation on the origin and progress of the French language. In addition to the history that I had to give of the revolutions by which this idiom passed to arrive at the point of perfection where we see it reached, I was attached to follow, in the times that I had to traverse, the progress of our poetry". Indeed, following the creation of the French Academy in 1634, the works on the French language did not cease to glorify the latter by raising it to the title of the most perfect language. From then on, it overtook Latin, which had remained the language of the church, of science, of administration and of law until then, although its use would persist long afterwards. This is the heart of the original objective of the Académie Française and of the work on French: a perfect and elitist language. A fine copy of this second dictionary by the author, very complete and well preserved in its beautiful period binding.
Paris, Panckoucke, 1766. 1766 1 vol. In-8° ( 205 x 135 mm.) de: VIII (faux titre, titre, hommage, avis au lecteur) ; 498 pp.; [1] f. (approbation, privilège). Plein veau d'époque, dos à nerfs orné, titres de maroquin rouge, tranches rouges. (mors usé, coins frottés).
Édition originale de ce dictionnaire très complet du vieux français dû à François Lacombe (1726-1795), écrivain français. Au cours de sa vie, il fut peu productif sur le plan littéraire. Il traduisit notamment et fit publier les lettres de personnes de renom dont celle de Christine, reine de suède, qui savère être en réalité une pure fantaisie. Si son uvre littéraire nest pas très marquante, ce dictionnaire du vieux français savère être son travail le plus abouti et témoigne de la valeur de son auteur. Cette dernière fut dailleurs reconnue par la Convention de 1792 à 1795. Dans cet ouvrage, Lacombe dresse un dictionnaire très complet du «vieux français» aujourdhui appelé ancien français et dont lutilisation est attestée de 750 à 1400 environ. Pour ce faire, il sappuie sur des manuscrits en vers et en prose, des actes publics ou encore des ordonnances de rois, en ne manquant pas den fournir quelques uns afin denrichir son dictionnaire. Celui-ci sadresse tout particulièrement aux légistes, notaires, archivistes, généalogistes ou tout autre lettré ayant affaire avec des textes anciens. De plus, lauteur rappelle la grande utilité dun tel dictionnaire pour la compréhension des textes de lois dAngleterre, publiés en ancien français dans sa variété normande par Guillaume le conquérant (1027-1087) et jusquà Édouard III (1312-1377). Ce dictionnaire de Lacombe traite donc alphabétiquement un très grand nombre de mots en fournissant le terme en ancien français, en français de son époque, en latin et en fournissant quelques éléments détymologies, le tout accompagné parfois dune petite définition pour les termes les plus obscurs. Lauteur ajoute aussi régulièrement quelques vers de poésie ancienne afin de contextualiser certaines entrées de son dictionnaire. Louvrage est dédié sur la page de titre à Monseigneur le duc d'Aiguillon. Par ancien français, il est question ici de l'ensemble des langues romanes de la famille des langues d'oïl parlées approximativement dans la moitié nord du territoire français actuel ainsi que dans le sud de la Belgique actuelle et dans le canton du Jura en Suisse romande. Bien que ces langues présentaient chacune des particularités notables, leur grande proximité de par leur origine commune en faisait finalement des dialectes dune même langue, la langue doïl. Ainsi, cette proximité les rendaient relativement intelligible entre dialectes proches géographiquement. En effet, le domaine doïl était une bonne illustration de cette notion de continuum dialectal. Toutefois, si la compréhension était donc difficile à loral entre dialectes éloignés géographiquement, à lécrit, ils se rejoignaient grandement. Effectivement, si les graphies pouvaient varier régionalement, elles étaient tout de même très semblables de sorte que létude des textes anciens permettent de parler dancien français comme dune seule et même langue dialectalisée. Il faut rappeler quune autre partie du royaume de France parlait quant à elle la langue doc. Il sagit de la langue romane parlée dans le tiers sud de la France actuelle, mais aussi dans les Vallées occitanes (Piémont et Ligurie) et Guardia Piemontese (Calabre) en Italie, le Val d'Aran (Catalogne) en Espagne et à Monaco. Lacombe, originaire dAvignon, était lui-même très attaché au provençal, variété dialectale de la langue doc. En effet, de la même manière que pour la langue doïl, la langue doc était également dialectalisée et globalement commune à lécrit. Ce premier dictionnaire de Lacombe traite de la langue doïl, dont le français de son époque et daujourdhui hérite très majoritairement, entre autres du fait de son usage par les rois de France et leur cour. Il ne manque pas de sinscrire dans la tradition de lépoque visant à considérer le français comme la langue la plus parfaite et à en faire la démonstration en retraçant son évolution dans son ouvrage: «Je métais proposé de placer en tête de ce dictionnaire une dissertations sur lorigine et les progrès de la langue françoise. Outre lhistoire que je devais donner des révolutions par lesquelles cet idiome a passé pour arriver au point de perfection où nous le voyons parvenu, je métais attaché à suivre, dans les époques que javais à parcourir, les progrès de notre poésie.». En effet, à la suite de la création de lAcadémie Française en 1634, les travaux sur la langue française nont cessé de glorifier cette dernière en lélevant au titre de langue la plus parfaite. Elle devance désormais le latin qui avait demeuré la langue de léglise, des sciences, de ladministratif et du juridique jusqualors, bien que son usage persistera encore longtemps après. Cest là le cur de lobjectif originel de lAcadémie Française et des travaux sur le français: une langue parfaite et élitiste. Enfin, dans son avis au lecteur, Lacombe annonce quun second ouvrage traitera du provençal cher à son cur et dont il rappelle la valeur: «[] trésor précieux où brille également lérudition la plus vaste, le goût le plus vrai, le discernement le plus exquis.». Bel exemplaire de ce dictionnaire très complet bien conservé dans sa belle reliure dépoque. 1 volume. 8-vo ( 205 x 135 mm.) of : VIII (half title, title, homage, notice to the reader) ; 498 pp. ; [1] f. (approval, privilege). Contemporary full calf, spine ribbed and decorated, titles in red morocco, red edges. (worn hinge, corners rubbed). First edition of this very complete dictionary of Old French by François Lacombe (1726-1795), a French writer. During his life, he was not very productive on the literary level. He translated and published the letters of famous people, including the one from Christine, Queen of Sweden, which turns out to be a pure fantasy. If his literary work is not very outstanding, this dictionary of Old French proves to be his most accomplished work and testifies to the value of its author. The latter was recognized by the Convention from 1792 to 1795. In this work, Lacombe drew up a very complete dictionary of "Old French", now called Old French, whose use is attested from 750 to 1400 approximately. To do this, he relies on manuscripts in verse and prose, public acts or even orders of kings, not failing to provide some of them to enrich his dictionary. This dictionary is particularly intended for lawyers, notaries, archivists, genealogists or any other scholar dealing with ancient texts. Moreover, the author recalls the great utility of such a dictionary for the comprehension of the texts of laws of England, published in old French in its Norman variety by William the Conqueror (1027-1087) and until Edward III (1312-1377). This dictionary of Lacombe thus treats alphabetically a very great number of words by providing the term in Old French, in French of its time, in Latin and by providing some elements of etymologies, the whole sometimes accompanied by a small definition for the most obscure terms. The author also regularly adds a few verses of ancient poetry in order to contextualize certain entries in his dictionary. The work is dedicated on the title page to Monseigneur le Duc d'Aiguillon. By Old French, we mean all the Romance languages of the Oïl family spoken approximately in the northern half of present-day France as well as in the south of present-day Belgium and in the canton of Jura in French-speaking Switzerland. Although each of these languages had its own particularities, their close proximity due to their common origin made them dialects of the same language, the langue d'oïl. Thus, this proximity made them relatively intelligible between geographically close dialects. Indeed, the domain of Oïl was a good illustration of this notion of dialectal continuum. However, if the comprehension was thus difficult with the speech between geographically distant dialects, with the writing, they joined largely. Indeed, if the spellings could vary regionally, they were all the same very similar so that the study of the old texts make it possible to speak of Old French as a single dialectalized language. It should be remembered that another part of the kingdom of France spoke the langue d'oc. This is the Romance language spoken in the southern third of present-day France, but also in the Occitan Valleys (Piedmont and Liguria) and Guardia Piemontese (Calabria) in Italy, the Val d'Aran (Catalonia) in Spain and in Monaco. Lacombe, originally from Avignon, was himself very attached to Provençal, a dialectal variety of the langue d'oc. Indeed, in the same way as for the langue d'oïl, the langue d'oc was also dialectalized and globally common in writing. This first dictionary by Lacombe deals with the langue d'oïl, from which the French of his time and of today is mostly inherited, among others because of its use by the kings of France and their court. He did not fail to follow the tradition of the time to consider French as the most perfect language and to demonstrate this by tracing its evolution in his work: "I had proposed to place at the head of this dictionary a dissertation on the origin and progress of the French language. In addition to the history that I had to give of the revolutions by which this idiom passed to arrive at the point of perfection where we see it reached, I was attached to follow, in the times that I had to traverse, the progress of our poetry". Indeed, following the creation of the French Academy in 1634, the works on the French language did not cease to glorify the latter by raising it to the title of the most perfect language. From then on, it overtook Latin, which had remained the language of the church, of science, of administration and of law until then, although its use would persist long afterwards. This is the heart of the original objective of the Académie Française and of the work on French: a perfect and elitist language. Finally, in his notice to the reader, Lacombe announces that a second work will deal with the Provençal language, which is dear to his heart and whose value he recalls: "[...] a precious treasure in which the most extensive erudition, the truest taste, and the most exquisite discernment also shine. A beautiful copy of this very complete dictionary well preserved in its beautiful contemporary binding.
in-4, 1 p.Huit alexandrins d’inspiration bucolique:De ses baisers fleuris mai féconde la plaine...Ce poème figura en lieu et place du livre de Francis Lacombe manquant à l’exposition Malassis de 1957.Au verso poème autographe signé de Louis Delâtre, 26 mai 1857. Seize vers hexamètres:Comme la fleur briséeImplore la roséeComme l’âme épuiséeImplore le sommeilLouis Delâtre naquit à Paris en 1815. Outre la romance il s’est consacré à l’étude des langues indo-européennes et a publié notamment De la langue dans ses rapports avec le sanscrit (1852-1854), ouvrage considérable qui valut à son auteur de figurer en belle place, avec une importante notice dans le Larousse du XIX°: “Nous avons eu bien des fois recours à ce travail savant et curieux pour établir les étymologies que le lecteur trouve presque à chacune des pages du Grand Dictionnaire.”On ne saurait conclure ici sans saluer le travail accompli par l’Amicale Delâtre, société philologique qu’anime avec toute sa pugnacité légendaire le révérend Espagnon et qui poursuit, aujourd’hui encore, la vaste entreprise du savant linguiste au service de la lexicographie française.LACOMBE (Francis)Un auteur qui valut des ennuis à l’éditeur Poulet-Malassis. Francis Lacombe est né à Toulouse en 1817 et mort à Arcachon en 1867 fit surtout carrière dans la presse politique. Il débuta vers 1830 dans la Gazette du Languedoc avant de se signaler dans la presse parisienne, à partir de 1837, comme collaborateur de l’Echo de France, l’Echo français, les Débats industriels (dont il fut le fondateur) et en 1848 de l’Assemblée Nationale. Cette feuille créée pour combattre les institutions républicaines attaquait avec violence les doctrines du jour. Lacombe s’y livra à une guerre acharnée contre Louis Blanc au point qu’il fut provoqué en duel par Charles Blanc, le frère de l’homme politique. Lacombe reçut en pleine poitrine une balle qui par bonheur pour sa vie vint s’amortir contre une pièce de 5 francs. Cela lui valut le sarcasme de Méry : « Vous avez de l’argent bien placé ! ». Lacombe continua sa carrière dans divers organes de parti légitimiste : le Spectateur, l’Union, la Mode Nouvelle. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : De l’organisation générale du travail (1848) ; Etudes sur les socialistes modernes (1851) ; Histoire de la Bourgeoisie de Paris (1851-52) ; Histoire de la Monarchie en Europe (1853-55) ; Histoire de la papauté (1867). Un seul de ses livres parut chez Malassis, un livre qui fut détruit.
in-8°, 1 p.Il imforme les sociétaires des nouvelles dispositions prises pour les obsèques d’Alexandre Soumet. La famille espère pouvoir compter sur la présence de certains d’entre eux.Alexandre Soumet, né à Castelnaudary en 1786 fut un des fondateurs du Cénacle de La Muse française (1823-27). On lui doit une Divine Epopée, de douze mille vers dantesques, bizarres, émaillés de hardiesse et de mièvreries. Il a successivement chanté Napoléon et le roi de Rome, Louis XVIII (dont il fut le poète préféré) avant de déposer son encens aux pieds de Charles X, de Louis-Philippe et du Comte de Paris.Un talent aussi flexible méritait bien un fauteuil. Il l’obtint en 1824. Le Théâtre Français et l’Odéon lui vaudront quelques beaux succès dramatiques : Clytemnestre (1822), Saül (1822), Cléopâtre (1824), Jeanne d’Arc (1825), Jeanne Grey (1844).LACOMBE (Francis)Un auteur qui valut des ennuis à l’éditeur Poulet-Malassis. Francis Lacombe est né à Toulouse en 1817 et mort à Arcachon en 1867 fit surtout carrière dans la presse politique. Il débuta vers 1830 dans la Gazette du Languedoc avant de se signaler dans la presse parisienne, à partir de 1837, comme collaborateur de l’Echo de France, l’Echo français, les Débats industriels (dont il fut le fondateur) et en 1848 de l’Assemblée Nationale. Cette feuille créée pour combattre les institutions républicaines attaquait avec violence les doctrines du jour. Lacombe s’y livra à une guerre acharnée contre Louis Blanc au point qu’il fut provoqué en duel par Charles Blanc, le frère de l’homme politique. Lacombe reçut en pleine poitrine une balle qui par bonheur pour sa vie vint s’amortir contre une pièce de 5 francs. Cela lui valut le sarcasme de Méry : « Vous avez de l’argent bien placé ! ». Lacombe continua sa carrière dans divers organes de parti légitimiste : le Spectateur, l’Union, la Mode Nouvelle. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : De l’organisation générale du travail (1848) ; Etudes sur les socialistes modernes (1851) ; Histoire de la Bourgeoisie de Paris (1851-52) ; Histoire de la Monarchie en Europe (1853-55) ; Histoire de la papauté (1867). Un seul de ses livres parut chez Malassis, un livre qui fut détruit.
Adrien-Maisonneuve 1938 in8. 1938. broché.
Bon état (BE) légeres usures de la couverture intérieur bon. abrévation employées dans le texte rédigé en indien à partir de la page 255
Moulin de puymoyen 1945 58 pages in8. 1945. Broché. 58 pages. Exemplaire N° 94 sur vélin d'angoumou a la forme du moulin a papier du vergé de puymoyen - Non coupé - datation de fin de lecture approximative
Bon Etat
Nieuwkoop, B. De Graaf, 1963. In-8, rel. d'édit. bleue, LXXXIV-438 pp, 595 notices, table des collections, alphabétique.
Reprint de l'édition de Paris, 1907. Dos passé, bonne cond. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Laget Léonce Manuels-Roret Cartonné 1977 In-12 (13 x 17,2 cm), cartonné, 144 pages, réimpression de l'édition de 1877 ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Lamarre 1988 191 pages in4. 1988. Broché. 191 pages.
assez bon état couverture défraîchie tranches fânées intérieur assez propre quelques annotations au crayon de bois quelques surlignages au marqueur
Éditions poinat 1964 in4. 1964. Cartonné.
légèrement gondolé tranches fânées intérieur assez propre bonne tenue
VLB 2005 15 4x4x22 6cm. 2005. Relié.
rousseurs sur tranches intérieur propre
Librairie Encyclopédique de Roret Manuels-Roret Broché 1887 In-12 (9,8 x 15,5 cm), broché, 204 pages, catalogue de 72 pages in fine ; réparation à la colle au dos, manque dans le coin supérieur du premier plats ,rousseurs sur les plats et à l'intérieur, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Fédération de l'Education Nationale, Centre Henri Aigueperse Les Cahiers du Centre Fédéral Broché 1999 In-8 (14,5 x 24 cm.), broché, 485 pages ; dos insolé et incurvé, bords, mors et coins légèrement frottés, intérieur frais, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
P., Desaint, 1771. In-folio, reliure de l'époque plein veau, dos orné, tranches rouge, 310-82-312-302 pp. . Mention manuscrites. M. F. Cailly.
Dernière édition de cet ouvrage, revue par C. Mey et J.-J. Piales, et augmentées de trois nouvelles lois promulguées depuis l'édition de 1755. Ce recueil indiscutablement bien fait, très complet et d'une grande utilité pour les juristes du XVIIIe Siècle. La première partie contient la jurisprudence classée par ordre alphabétique. Elle est suivie des textes de loi officiels (bulles, édits, arrêts etc.). Bas de la charnière inférieure un peu fendu. Bon état intérieur - Frais de port : -France 12,8 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Librairie Encyclopédique de Roret Manuels-Roret Broché 1868 In-12 (9,8 x 15,5 cm), broché, 144 pages, catalogue de 36 pages in fine ; quelques manques sur le dos réparé à la colle, quelques marques d'usage sur les bords des plats, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Arthaud 1994 304 pages 13x18x2cm. 1994. Broché. 304 pages.
Bon Etat de conservation
Paris, Librairie Académique Didier et cie., libraires-éditeurs, s.d. [1860] In-8, demi-chagrin noir, dos à nerfs, tranches marbrées, XXVI-518 pp.Edition originale, table des matières.
Des rousseurs. Ex. très bien relié, bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Librairie Académique Didier et cie., libraires-éditeurs, s.d. [1860] In-8, demi-chagrin vert, dos à nerfs, caisson de titre, les nerfs sont bordés d'un double filet gras et maigre à froid, fleurons dorés, plats granités, gardes marbrées, XXVI-516pp, édition originale, table des matières. Petit envoi de l'auteur à sa tante, signé de son monogramme.
Piqûres discrètes sur les tranches, rousseurs sporadiques sur les quarante première pages, intérieur propre par ailleurs, ex. bien relié à l'époque, bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Hachette 1882 235 pages in12. 1882. Broché. 235 pages.
Etat Correct tranche salie
Le Cherche Midi 2008 185 pages in8. 2008. Broché. 185 pages.
Très Bon Etat