Trévoux, La Compagnie 1748. 5 volumes in-12° plein veau de l’époque, dos à nefs ornés de caissons et fleurons dorés, tranches rouges, xxiij et 345 + 307 + 277+356 et xij+384 pages (une coiffe arasée).
Nouvelle édition augmentée et bien complète du 5ème volume : Voyage de Bachaumont et La Chapelle.Bel exemplaire malgré le petit défaut annoncé.
Trévoux, La Compagnie 1748. 5 volumes in-12° plein veau de l’époque, dos à nefs ornés de caissons et fleurons dorés, tranches rouges, xxiij et 345 + 307 + 277+356 et xij+384 pages (une coiffe arasée).
Nouvelle édition augmentée et bien complète du 5ème volume : Voyage de Bachaumont et La Chapelle.Bel exemplaire malgré le petit défaut annoncé.
Trevoux, de l'Imprimerie de S. A. S., 1725. "9 x 16, 4 volumes, 20-348 + 311 + 275 + 360 pages, reliure d'époque plein cuir à 5 nerfs, dos : 2 pièces de titre (rouge et brun), 4 caissons ornés de palmettes, chants décorés, tranches rougies, pages de garde papier marbré, bon état (papier blanc quasi sans rousseurs; 2 tout petits trous de vers dans le haut du tome 3)."
Série complète en 4 volumes.
Recueil de pièces galantes, en prose et en vers, de Madame la Comtesse de la Suze et de Monsieur Pelisson Nouvelle édition, considérablement augmentée de plusieurs volumes. Ces 5 volumes rassemblent les poésies en vers et en prose de la Comtesse de Suze et de Pelisson, mais également de nombreuses pièces qui leur ont été faussement attribuées, comme celles de Régnier des Marais, des pièces de Mademoiselle de Scudery, le voyage de Bachaumont et La Chappelle, les poésies du Chevalier d'Aceilly, Les Visionnaires, pièces de Jean Desmarets, mais également La princesse de Montpensier de la princesse de Clèves, déclarée anonyme, des lettres, plusieurs courtes nouvelles. Riche anthologie de la littérature galante du XVIIe. Henriette de Coligny de La Suze fut au centre d'une société dédiée à la poésie et à la galanterie. Ninon de Lenclos, Christine de Suède, Madeleine de Scudéry sont ses amies. Elle écrit, au milieu d'une vie de dissipation et de mœurs légères, au cours de laquelle elle eut à la fois une réputation de beauté, d'esprit et de talent. On pense qu'elle eut plusieurs collaborateurs, comme Segrais, Ménage ou Subligny. Elle fut surtout remarquable dans l'écriture de ses élégies qui lui donnent une place de choix dans la poésie du XVIIe. Paul Pellisson évoluait dans le cerlce de la Comtesse de Suze et fréquentait les mêmes personnes, secrétaire de Nicolas Fouquet et histoiographe du roi, il est lié avec tout le monde des lettres de cette époque (Bussy-Rabutin, Madame de Sévigné, Mademoiselle de Scudéry...) complet en 5 volumes reliés in12, 180x100, relié pleine basane époque,accrocs et manque, bon état intérieur, 344, 307, 277, 356 & 384pp A Trévoux, par la Compagnie, MDCCXLVIII ref/27/2
Lyon, Antoine Boudet, 1695. 4 volumes in 12, veau fauve, dos à nerfs ornés, coupes ciselées, tranches rouges, défauts aux coiffes supérieures des premiers et troisième volumes, ex-libris (Reliure de l’époque). [1 f.], 286 pp. ; [1 f.], 240 pp. ; [1 f.], 264 pp. ; [1 f.], 326 pp., [1 f.].
Henriette de La Suze (1618-1673), petite-fille de l'amiral de Coligny est une des très rares femmes de la haute noblesse à ne pas s'être cachée d'être une femme de lettres. Elle est certainement une des poètes majeures de son siècle. Elle s’est tout particulièrement, illustrée dans l’élégie qu’elle remet en vogue (ce genre poétique date de l’Antiquité) en l’adaptant au goût de son temps. Le nombre des éditions de ce recueil, constamment enrichi jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, montre à la fois la considération dans laquelle on tenait la comtesse et le succès prolongé de la poésie galante en faveur au XVIIe siècle. On y trouve, outre les propres œuvres de Mme de La Suze et de Pellisson, des vers de Mlle de Scudéry, La Princesse de Montpensier de Mme de La Fayette, les Maximes d’Amour de Bussy Rabutin, le Dialogue de l’Amour et de l’Amitié de Charles Perrault. A noter enfin l’Ode à Christine de Suède de Mme de La Suze, où la souveraine « sans seconde » est qualifiée d’« azile des beaux esprits ». Le permis de réimprimer est daté successivement de novembre 1689 puis du 31 décembre 1693 à Claude Chize libraire à Lyon qui céda ses permissions aux libraires Claude Rey et Antoine Boudet. Ex-libris de Nicolas Jean Baudelot de Rouvray seigneur de St Germain sur Indre, gravé par Corlet.