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‎Jean Cocteau - Collectif.‎

Reference : 26186

(1957)

‎Images de Jean Cocteau avec jaquette illustrée inédite, tirée en lithographie et bonus.‎

‎ Nice, Galerie Matarasso / Collection " Sortilèges " de 1957. In-8 broché de non paginé au format 13,5 x 19 cm. Couverture avec portrait photo de Jean Cocteau par André Villers. Dos carré avec nom de Jean Cocteau imprimé. Infimes frottis aux coins. Intérieur parfait. Complet de la rare et magnifique jaquette inédite, illustrée par Jean Cocteau, et tirée en lithographie.On joint 2 petits dessins reprduits en couleurs de Jean Cocteau, deux feuilles avec 4 caricatures en noir de Jean Cocteau, ainsi que le bulletin de 4 pages du Ciné-Club du Quartier Latin, comprenant une critique sur Jean Cocteau. Longue préface de Georges Noël suivie de quatre-vingt illustrations, dont : photographies de Man Ray, Cécil Beaton, André Villers, etc, fac-similés, reproductions d'oeuvres de Modigliani, Pablo Picasso, Bernard Buffet, Jean Cocteau, etc. Bibliographie en fin de volume. Superbe état général. Edition originale achevée d'imprimer en héliogravure le 31 août 1957. ‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR80.00 (€80.00 )

‎Jean COCTEAU‎

Reference : 83726

(1952)

‎Appogiatures - Manuscrit autographe d'une version primitive en partie inédite‎

‎Saint-Jean-Cap-Ferrat août 1952 | 20.80 x 34 cm | 52 pages‎


‎Manuscrit autographe de Jean Cocteau, version primitive du recueil de poèmes Appogiatures - publié en 1953 aux Éditions du Rocher à Monaco - constitué de 47 feuillets de papier fort prélevés d'un grand bloc à dessins et de 5 feuillets plus petits de papier fin, rédigés à l'encre bleue et au stylo à bille bleu. Nombreuses ratures et corrections. Les feuillets sont numérotés jusqu'à 25 (dont un numéro 8 bis) et présentent pour la plupart une petite croix ou la mythique étoile coctienne. Le dernier feuillet, contenant le poème intitulé « Lettre », est daté de la main du poète du 15 août 1952. Rédigé également de la main de Cocteau, le premier feuillet porte le titre final, au-dessus duquel est barré le titre initialement envisagé - Soucoupes volantes - la date de 1952 et le lieu - St Jean Cap Ferrat ; y apparaît également une dédicace raturée : « À la mémoire de Baudelaire et de Max Jacob qui nous apprirent ces exercices de style. » Si la lecture du recueil permet de percevoir l'influence des Petits Poèmes en prose de Baudelaire et du Cornet à dés de Max Jacob, cet hommage ne sera pas conservé à l'impression et remplacé par une dédicace à l'éditeur Henri Parisot. Exceptionnel ensemble contenant 33 des 51 poèmes publiés, 11 textes écartés sur les conseils de l'éditeur Henri Parisot et publiés dans « En marge d'Appogiatures » (uvres poétiques complètes de la Pléiade, pp. 818-831) et 6 inédits. David Gullentops, dans l'édition des uvres poétiques complètes de Jean Cocteau à la Pléiade, signale l'existence d'un second ensemble de manuscrits et tapuscrits, conservés à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris (BHVP). Il indique en outre qu'il n'a eu accès à aucun manuscrit du poème « Lanterne sourde ». Ce dernier fait pourtant bien partie de notre ensemble qui serait donc la première version du recueil envisagée par Cocteau. Jean Cocteau commença la rédaction de ce recueil de poèmes en vers et proses, sollicité par son ami l'éditeur Henri Parisot, fin juillet 1952 alors qu'il se trouvait à Saint-Jean-Cap-Ferrat dans la villa Santo-Sospir de Francine Weisweiller. La première version du recueil est achevée à la mi-août, comme en attestent les deux dates sur notre manuscrit (« août 1952 » et « 15 août 1952 ») et cette occurrence dans le journal de Cocteau : « J'ai terminé la mise au point des courts poèmes en prose pour Parisot. Il y en aura vingt-six, à moins que le mécanisme continue, ce que je ne souhaite pas car, à la longue, ces exercices d'écriture, illustrés par Baudelaire et Max Jacob, fatiguent. » (Le Passé défini, Tome 1, 1951-1952, 14 août 1952) Notre ensemble serait donc le mélange des premiers poèmes adressés à Henri Parisot, rédigés à la plume, et de quelques textes ajoutés, écrits quant à eux au stylo à bille. Cette hypothèse est confortée par la rédaction du titre final Appogiatures sur la page de titre de notre manuscrit ; Cocteau relate ce changement, toujours dans son journal, en date du 29 août 1952 : « Ai [...] classé les poèmes pour Parisot sous le titre : Appogiatures. » Notre version manuscrite précoce comporte d'importantes variantes concernant les titres des poèmes ; ainsi le poème « Livre de bord » s'intitulait initialement « Le Spectacle », de même pour « Au poil » pour lequel Cocteau avait préalablement choisi « La langue française » ou encore « Le tableau noir » originellement titré « Le lièvre et la tortue ». L'ordre des poèmes a également été considérablement modifié pour l'impression : notre ensemble atteste que Cocteau souhaitait commencer le recueil par « Le voyageur », qui sera finalement remplacé par « Seul » et passera en deuxième position. On soulignera également dans notre dossier la présence de huit poèmes intégralement en vers : ils seront retirés, Appogiatures devenant un recueil exclusivement en proses. L'ensemble, abondamment raturé et corrigé, présente en outre de longs passages supprimés dans la version publiée, par exemple ce très bel extrait du poème « Scène de mé‎

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‎Georges AURIC - Jean COCTEAU - Valentine HUGO‎

Reference : 74316

(1923)

‎Photographie originale où posent notamment Georges Auric, Jean Cocteau, Valentine et Jean Hugo, Bolette Natanson et Raymond Radiguet en tenue de bain sur la plage du Piquey.‎

‎Paris s. d. [1923] | 14.50 x 9.50 cm | une photographie‎


‎Photographie originale représentant, en tenue de bain et sur une plage, le groupe d'amis que formaient Bolette Natanson, Valentine Hugo, Jean Cocteau et Georges Auric (le seul en costume de ville). Tirage d'époque. Très belle photographie montrant, en pleine détente, Jean Cocteau, Georges Auric, Valentine Hugo et Bolette Natanson loin de l'effervescence artistique parisienne à laquelle ils participèrent activement. Les deux autres hommes ont été identifiés grâce aux recherches de Philippe Mianes que nous remercions. Par recoupements de dessins issus de catalogues de ventes ou d'expositions liées à Jean Cocteau et Jean Hugo campant ce même contexte et personnages, il a pu compléter l'histoire... En effet, Jean Hugo in Le Regard de la Mémoireindique que la scène se situe sur le Bassin d'Arcachon, plage du Piquey où Cocteau avait ses habitudes. " Nous étions sept " : ainsi, de gauche à droite, on identifie Valentine Hugo, Jean Hugo, Jean Cocteau, Georges Auric, Bolette Natanson et .... Raymond Radiguet. Si ce dernier, dont le visage est voilé par son chapeau est difficile à reconnaitre, il figure bien dans cet extrait de souvenirs de Jean Hugo. Chloé Radiguet, biographe de Raymond Radiguet confirme que son oncle avait en effet coutume d'arborer le même chapeau clair à larges bords. Emouvant souvenir du dernier été de Radiguet, sous le soleil du Cap Ferret où il achevaLe Diable au corps. Provenance : Fonds Bolette Natanson. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 45274

(1912)

‎La danse de Sophocle‎

‎Mercure de France | Paris 1912 | 15 x 19 cm | relié‎


‎Édition originale, un des 7 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers, le nôtre portant le n°1 et spécialement imprimé pour la mère de Jean Cocteau. Reliure à la bradel en plein vélin, dos lisse, date dorée en queue, pièce de titre de chagrin brun, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête rouge, reliure de l'époque signée de Dupré. Légères piqûres affectant principalement les marges de certains feuillets. Émouvant et exceptionnel envoi autographe daté et signé de Jean Cocteau à sa mère, en latin, qui reprend l'un des vers des Bucoliques de Virgile?: «?Incipe, parve puer?: cui non risere parentes, nec deus hunc mensa, dea nec dignita cubili est. / Virgile. / Jean?» dont voici la traduction française?: «?Enfant, reconnais-la?: le fils à qui ses parents n'ont point souri n'est digne ni d'approcher de la table d'un dieu, ni d'être admis au lit d'une déesse.?» Exemplaire unique. Lorsqu'il publie ce troisième recueil de poésie, Cocteau, jeune prodige de vingt-trois ans, est adulé par les cercles artistiques et littéraires. Intime de Proust, ami de Jacques-émile Blanche, fidèle de Nijinski et Diaghilev et disciple d'Anna de Noailles, son ambition est de réunir dans sa personne tous les talents qui l'entourent. La Danse de Sophocle, référence à la danse que «?le jeune et divin Sophocle?» exécuta nu dans Athènes, après la victoire navale de Salamine, reflète l'ambition et l'exaltation du jeune Cocteau?: romancier, peintre, danseur, poète, il se sent véritablement «?digne d'approcher la table [des] dieu[x]?». «?à égalité avec les meilleurs artistes, il était un truchement entre Dieu et la Terre.?» Dans sa biographie, Claude Arnaud consacre un chapitre («?Le dieu vivant?») à la psychologie du poète à cette époque?: «?Il était un fragment détaché du créateur. L'un des organes terrestres par lesquels cet Être en évolution délibérait, et finalement tranchait, afin d'améliorer sa création.?» Ainsi, c'est un Cocteau affranchi de ses illustres modèles et assumant pleinement sa divinité artistique qui se dévoile dans ce recueil extatique à l'instar du poème éponyme?: Grâce à vous, cher orgueil, je portais l'auréole Offerte par le Dieu charmant de la parole, [...] Grâce à vous, j'ai connu les frénétiques luttes Où la plume et la feuille et le morne encrier Sont les liens des vers que l'on voudrait crier, Que l'on voudrait hurler, chanter, soupirer, rire, [...] Et qu'il faut, lorsqu'ils sont en nous et qu'on le sent, Les laisser ruisseler comme un superbe sang. La dédicace à sa mère, sur le premier exemplaire des sept rares grands papiers, témoigne du seul véritable ascendant de Cocteau?: Eugénie Cocteau. Mère sacralisée par son fils, elle influa profondément sur la vie du poète comme sur son uvre, marquée par l'omniprésence de la figure oedipienne. Claude Arnaud décrit longuement cet «?élan filial doublé d'une attention quasi amoureuse [...]?: il n'y a que mon amour pour toi qui m'accroche à quelque chose de vrai, le reste me semble un mauvais rêve.?» On ne peut d'ailleurs manquer de voir dans le choix de la citation de Virgile cette ambiguïté incestueuse qui lie Cocteau à sa mère. Une des provenances les plus désirables pour cet exemplaire de toute rareté. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎"APOLLINAIRE, GUILLAUME - PICASSO (ILLUSTR.) - JEAN COCTEAU - LÉON BAKST - SERGE DIAGHILEV.‎

Reference : 60103

(1917)

‎BALLETS RUSSES. PROGRAMME. PARIS 1917. Les Ballets Russes a Paris. Représentations Exceptionelles avec le gracieux Concours des Artistes de M. Serge de Diaghilew. - Programme des Ballets Russes. Les Ballets Russes à Paris. Saison - Mai 1917. [Guillau... - [HAND-PAINTED BY PICASSO - COINING ""SURREALISM""]‎

‎Paris, Mai 1917. Folio. Original illustrated extra wrappers (with a picture by Picasso on the front and the décor for ""Baba Iaga"" on the back)"" original illustrated wrappers for ""Théatre du Chatelet"" (drawing by André Marty on front, and advertisements on back) in grey and red"" original illustrated coloured wrappers for ""Programme des Ballets Russes"" (front wrapper illustrated by Picasso with the Chinaman-costume from ""Parade""). A bit of soiling to the extra-wrappers and small professional restorations to upper front cover and top of spine (this barely noticeable) as well as to blank margin of back wrapper. Apart from that, an excellent and very well perserved copy with only slight browning to some leaves. Apart from the described wrappers and extra-wrappers, there are, in all, 24 leaves with -mostly photographic- illustrations (four of them with original hand-colouring on top) and 6 leaves of text.With the original errata-leaf laid in loose, stating also that the illustrations ""Femmes de bonne humeaur"" and ""Parade"" have been hand-painted by Carlos Socrate, after the designs of Bakst and Picasso, and that the front wrapper for ""Parade"" (the Chinaman) has been handpainted by Picasso himself.‎


‎Scarce original printing of this seminal avantgarde-publication, the May 1917 ""Théatre du Chatelet""- publication that presents Diaghilev's ""Ballets Russes"" in Paris - here containing the entire separate publication mainly devoted to Jean Cocteau's groundbreaking ballet ""Parade"" - being one of the most important publications in the history of modern art. It is here, in his presentation-article to ""Parade"" that Apollinaire coins the term ""surrealism"" and thus lays the foundation for the seminal cultural movement that Bréton came to lead. Furthermore, the ballet ""Parade"" represents a historical collaboration between several of the leading artistic minds of the early twentieth century: Erik Satie, Jean Cocteau, Pablo Picasso, Léonide Massine, and Serge Diaghilev, and is famous, not only for its contents and its music, but also for its magnificent costumes designed by Picasso, the drawings of which are presented in the present publication for the first time - most famously the front cover for the ""Parade""-programme, which depicts the ""Costume de Chinois du ballet ""PARADE""/ Aquarelle de Picasso"", an etching with original, stunning pochoir-colouring (hand-painted by Picasso himself!).It is the 1917 ballet ""Parade"" - the first of the modern ballets - originally presented for the first time in the present publication, that marks Picasso's entry into the public and bourgeois institutions of ballet and theatre and presents Cubism on the stage for the first time. The present publication constitutes an outright revolution in the history of art, theatre, and ballet.Several variants of this spectacular publication exist, but the one we have here is as original and complete as it comes, containing the entire contents of the different variants. We not only have the extremely scarce and fragile dust-wrapper and the equally scarce illustrated coloured double-wrappers (front: ""Peinture de Picasso"""" back: Décor de Larionow pour le ballet ""BABA IAGA""""), but also the entire 1917 ""Théatre du Chatelet""-programme (in original illustrated wrappers) with the entire separate ""parade""-issue -also entitled ""Programme des Ballets Russes""- (also in original illustrated wrappers), with more than 20 leaves of photographic illustrations containing pictures of the actors and actresses, also in their spectacular avant-garde-costumes, Bakst's portrait of Leonide Massine, Picasso's portrait of Stavinski, Bakst's portrait of Picasso, Picasso and Massine in the ruins of Pompei, Picasso's drawings of a scene from ""Parade"" and of Massine, as well as several (mostly humorous) advertisements. But more importantly, we have, apart from the above-mentioned famous Chinaman by Picasso, in original pochoir-colouring, the other famous etching by Picasso ""Costume d'acrobate du ballet ""Parade""/ Aquarelle de Picasso"", also in original pochoir-colouring (bright blue), the seminal presentation-article by Apollinaire, which coins the term ""surrealism"" (see bottom of description for full translation of this groundbreaking preface), the two ""Les Femmes de Bonne Humeur""-figures by Bakst, Constanza and Battista, printed and heightened in gold (pochoir), the printed costume by Larionow, ""Les contes russes"", which is with original bright red and blue pochoir-colouring, and the ""Le Mendiant""-costume by Bakst for ""Parade"", and, of course, the texts by Bakst (on choreography and décor), Georges-Michel (Ballets Russes after the War), as well as the texts for the various ballets (listing the actors and their rôles as well as a resume of the plot). "" ""Tact in audacity consists in knowing how far we may go too far."" Jean Cocteau, poet, writer, and arts advocate, made this statement in his 1918 manifesto, The Cock and Harlequin. Cocteau, in collaboration with Erik Satie and Pablo Picasso, discovered ""how far"" to ""go too far"" in the circus-like ballet Parade-one of the most revolutionary works of the twentieth century. Parade incorporates elements of popular entertainment and uses extra-musical sounds, such as the typewriter, lottery wheel, and pistol, combining them with the art of ballet. Cocteau wrote the scenario for the one-act ballet and contracted the other artists. Satie wrote the score to the ballet, first in a piano four-hands version and then in full orchestration, while Picasso designed the curtain, set, and costumes. Later, Léonide Massine, a dancer with the Ballet Russes, was brought in as the choreographer. Serge Diaghilev's Ballet Russes premiered the ballet Parade on May 18, 1917. The program notes for the ballet were written by the poet Apollinaire. They became a manifesto of l'esprit nouveau or ""the new spirit"" which was taking hold in Paris during the early twentieth-century. Apollinaire described the ballet Parade as ""surrealistic,"" and in doing so created a term which would develop into an important artistic school."" (Tracy A. Doyle, Erik Satie's ballet PARADE, p. 1).When the French poet and army officer Guillaume Apollinaire wrote the program notes For ""Parade"", he created the manifesto of the ""l'esprit nouveau"" - ""the new spirit"". Cocteau had called the ballet ""realistic"", but Apollinaire took it an important step further and described it as ""surrealistic"", thus coining a term that would soon develop into an important artistic movement. With Picasso, Apollinaire had established the aesthetic principals of Cubism and was considered a leader in the European avant-garde. ENGLISH TRANSLATION OF APOLLINAIRE'S PROGRAMME NOTES TO ""PARADE"": ""Definitions of Parade are blossoming everywhere, like the lilac bushes of this tardy spring...It is a scenic poem transposed by the innovative musician Erik Satie into astonishingly expressive music, so clear and simple that it seems to reflect the marvelously lucid spirit of France. The cubist painter Picasso and the most daring of today's choreographers, Léonide Massine, have here consummately achieved, for the first time, that alliance between painting and dance, between the plastic and mimetic arts, that is a herald of the more comprehensive art to come. There is nothing paradoxical about this. The Ancients, in whose lives music played such an important role, were totally unaware of harmony, which constitutes the very basis of modern music. This new alliance - I say new, because until now scenery and costumes were linked only by factitious bonds - has given rise, in Parade, to a kind of surrealism, which I consider to be the point of departure for a whole series of Manifestations of the New Spirit that is making itself felt today and that will certainly appeal to our best minds. We may expect it to bring about profound changes in our arts and manners through universal joyfulness, for it is only natural, after all, that they keep pace with scientific and industrial progress. Having broken with the choreographic tradition cherished by those who used to be known, in Russia, under the strange name 'balletomanes', Massine has been careful not to yield to the temptation of pantomime. He has produced something totally new-a marvelously appealing kind of dance, so true, so lyrical, so human, and so joyful that it would even be capable (if it were worth the trouble) of illuminating the terrible black sun of Dürer's Melancholy. Jean Cocteau has called this a realistic ballet. Picasso's cubist costumes and scenery bear witness to the realism of his art. This realism - or this cubism, if you will - is the influence that has most stirred the arts over the past ten years. The costumes and scenery in Parade show clearly that its chief aim has been to draw the greatest possible amount of aesthetic emotion from objects. Attempts have often been made to return painting to its barest elements. In most of the Dutch painters, in Chardin, in the impressionists, one finds hardly anything but painting. Picasso goes further than any of them. This is clearly evident in Parade, a work in which one's initial astonishment is soon replaced by admiration. Here the aim is, above all, to express reality. However, the motif is not reproduced but represented-more precisely, it is not represented but rather suggested by means of an analytic synthesis that embraces all the visible elements of an object and, if possible, something else as well: an integral schematization that aims to reconcile contradictions by deliberately renouncing any attempt to render the immediate appearance of an object. Massine has Adapted himself astonishingly well to the discipline of Picasso's art. He has identified himself with it, and his art has become enriched with delightful inventions, such as the realistic steps of the horse in Parade, Formed by two dancers, one of whom does the steps of the forelegs and the other those of the hind legs. The fantastic constructions representing the gigantic and surprising features of The Managers, far from presenting an obstacle to Massine's imagination, have, one might say, served to give it a liberating impetus. All in all, Parade will change the ideas of a great many spectators. They will be surprised, that is certain" but in a most agreeable way, and charmed as well Parade will reveal to them all the gracefulness of the Modern movements, a gracefulness they never suspected. A magnificent vaudeville Chinaman will make their imaginations soar" the American Girl cranking up her imaginary car will express the magic of their daily lives, whose wordless rites are celebrated with exquisite and astonishing agility by the acrobatin blue and white tights.""‎

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‎( Argot - Jean Cocteau ) - Jean Dauven - Pablo Picasso.‎

Reference : 90

(1956)

‎Jean Cocteau chez les Sirènes, une expérience de linguistique sur le discours de réception à l'Académie Française de M. Jean Cocteau. ( Avec belle dédicace de Jean Dauven à Paul Gilson )‎

‎ Editions du Rocher 1956. In-12 broché de 116 pages au format 14 x 19 cm. Couverture décorée. Dos carré, légèrement insolé, comme les mors. Plats et intérieur frais. Exemplaire du service de presse, non coupé, complet du prière d'insérer. Préface et notes de Jean Cocteau. Illustrations de Pablo Picasso. Délirante transcription du discours de réception de Jean Cocteau à l'académie Française en argot à la manière d' Albert Simonin et Peter CHeyney par Jean Dauven. Rare édition originale ornée d'une belle dédicace autographe, signée, de Jean Dauven à Paul Gilson.‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

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‎Jean Marais - Jean Cocteau.‎

Reference : 26084

(1975)

‎Jean Marais, histoires de ma vie suivie d'une suite poétique composée de cent quinze poèmes inédits de Jean Cocteau. ( Avec cordiale dédicace autographe, signée, de Jean Marais ).‎

‎ Editions Albin Michel 1985. Fort in-8 broché de 315 pages au format 24 x 15,5 cm. Couverture illustrée d'un portrait photo en noir et blanc de Jean Marais. Dos carré. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes frottis aux coins. Portrait de Jean Marais dessiné par Jean cocteau, en frontispice. Souvenirs du comédien avec illustrations et photos en noir et blanc, suivis d'une suite poétique composée de cent quinze poèmes inédits de Jean Cocteau. Réédition en très bel état général, enrichie d'une cordiale dédicace autographe, signée, de Jean Marais .‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

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EUR50.00 (€50.00 )

‎Jean Marais - Jean Cocteau.‎

Reference : 30659

(1975)

‎Jean Marais, histoires de ma vie suivie d'une suite poétique composée de cent quinze poèmes inédits de Jean Cocteau. ( Avec cordiale dédicace autographe, signée, de Jean Marais ).‎

‎ Editions Albin Michel 1985. Fort in-8 broché de 315 pages au format 24 x 15,5 cm. Couverture illustrée d'un portrait photo en noir et blanc de Jean Marais. Dos carré. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes frottis aux coins. Portrait de Jean Marais dessiné par Jean cocteau, en frontispice. Souvenirs du comédien avec illustrations et photos en noir et blanc, suivis d'une suite poétique composée de cent quinze poèmes inédits de Jean Cocteau. Réédition en très bel état général, enrichie d'une cordiale dédicace autographe, signée, de Jean Marais .‎


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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 75564

(1955)

‎Lettre autographe signée adressée à Igor Markevitch‎

‎s. l. 26 octobre 1955 | 20.90 x 26.90 cm | une page sur un feuillet‎


‎Lettre autographe signée de Jean Cocteau adressée à Igor Markevitch. Une page rédigée au stylo à bille bleue et signée "Ton Jean". Quelques pliures inhérentes à la mise sous enveloppe et une agrafe en marge haute gauche. Belle et longue lettre dans laquelle Jean Cocteau prend la défense de son ami le chef d'orchestre et compositeur ukrainien Igor Markevitch victime des foudres du critique Antoine Goléa. «Je suis stupéfait par ce qu'on me rapporte de Goléa. » Il ne nous a pas été possible de trouver la moindre trace d'un article de Goléa au sujet de Markevitch, mais l'Université de Caen conserve un dossier intitulé «Affaire entre Igor Markevitch et Antoine Goléa» daté de l'année de notre lettre. Il semble en effet, d'après ces archives qu'un procès ait bien eu lieu et que l'appel soit demandé par Goléa en octobre 1955; Cocteau commente à ce propos: «J'ai toujours été la victime de ces étranges procès qu'on gagne en appel - mais bien à la longue - et parfois après sa mort.» Jean Cocteau, dont l'écriture paraît ici torturée, semble en tout cas avoir été très atteint par cette histoireet loue le talent de son ami: «Ta prodigieuse maîtrise et le sacrifice que tu as fait de ton uvre au service de celles des autres.[...] il est incompréhensible qu'un esprit de sa culture ne reconnaisse pas, entre autres, que personne au monde ne conduit ce Sacre comme toi. » Plus qu'une lettre de soutien, ce document est un véritable plaidoyer en faveur de la liberté de création des artistes et une condamnation du mercantilisme culturel: «Mais a-t-il pensé que nos uvres dès qu'elles passent par un éditeur, une salle de concert, une salle d'exposition, deviennent des produits? [...] Hélas, nos professions ne comportent pas de «diplômes» et nous courons le risque de professions libres. Notre seule chance est que le public se trouve rarement d'accord avec ses juges.» A cette époque les professions culturelles sont en effet assez mal encadrées et il faudra attendre 1959 et la création du Ministère pour l'Art et la Culture par De Gaulle et Malraux pour que les choses évoluent. Cocteau déplore enfin que la critique oriente le choix des «consommateurs»: «Déconseiller ces «produits» revient à leur causer le plus grand dommage.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎Jean COCTEAU‎

Reference : 78126

(1917)

‎Photographie originale inédite de Pablo Picasso à la Maison de Marcus Lucretius Fronto, Pompéi printemps 1917‎

‎Paris 1917 | 6.30 x 8.60 cm | une photographie‎


‎Photographie originale, représentant Pablo Picasso au printemps 1917 à la Maison de Marcus Lucretius Fronto à Pompéi, une brindille à la main, devant un mur sur lequel apparaît une fresque pompéïenne. Tirage argentique d'époque, peut-être unique, provenant des archives personnelles de Jean Cocteau puis du fonds Maurice Sachs. Exceptionnelle photographie inédite prise par Jean Cocteau lors de son séjour pompéien avec Picasso. Le 16 avril 1917, Picasso visite Pompéi en compagnie de Jean Cocteau et Léonide Massine afin de préparer le ballet Parade, première uvre qualifiée de sur-réaliste par Guillaume Apollinaire, pour la nouvelle saison des Ballets russes de Serge de Diaghilev. Ce voyage initiatique lui inspire, dès son retour, une peinture monumentale: le rideau de scène de Parade, véritable signature visuelle du ballet, marquant les débuts de la période néo-classique de Picasso, et aujourd'hui conservé au Musée national d'Art Moderne Georges Pompidou. Pierre Daix, dans sa biographie consacrée au peintre, relate le choc esthétique engendré par la découverte des fresques pompéiennes: «Giovanni Carandente, à qui l'on doit les meilleures études sur ce voyage, souligne que Picasso "fut fortement frappé par l'animation et la sensualité que le cataclysme de l'an 79 après J.-C. avait brutalement anéanties". S'il est exact, comme il l'écrivit à Gertrude Stein, qu'il dessina sur-le-champ "beaucoup de fantaisies pompéiennes qui sont un peu lestes", attiré comme il le fut par l'exaltation érotique qui se dégage de ces peintures licencieuses [...] ces souvenirs se sédimentèrent en lui pour affleurer avec force par la suite. [...] Tout ce qui avait constitué l'univers pompéien était conservé sur le site ainsi qu'au Museo Archeologico de Naples [...]. Dans sa singularité, cet univers contribua à enrichir le patrimoine culturel de Picasso de quelque chose de plus vivant, de plus frémissant que ce que ses visites de musées lui avaient donné jusqu'alors. Il aimait tout particulièrement la concision des peintures: deux ou trois ans plus tard, les impressions ressenties à Pompéi devaient se traduire par une véritable explosion créatrice, une série de tableaux qui tous portaient des traces de ces souvenirs jamais enfouis. Cette source devait rester vivante jusqu'à La Danse de 1925.» (Pierre Daix, Picasso) Unique et précoce photographie originale de Picasso, prise et tirée par son ami Jean Cocteau, dans un lieu mythique qui influencera durablement son esthétique. Provenance: archives personnelles de Jean Cocteau puis le fonds Maurice Sachs puis Max-Philippe Delatte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 83066

(1954)

‎"cette étrange foire d'empoigne à laquelle j'essayai de donner quelque grâce" Lettre autographe signée adressée à son ami Carlo Rim à propos du festival de Cannes 1954 dont Jean Cocteau présida le jury‎

‎S. n. | s. l. 27 avril 1954 | 21 x 27 cm | une feuille‎


‎Lettre autographesignée de Jean Cocteau, président du jury du festival de Cannes 1954 qui s'était tenu du 25 mars au 9 avril, adressée à son ami Carlo Rim, 17 lignes à l'encre bleue:"cette étrange foire d'empoigne à laquelle j'essayai de donner quelque grâce" Jean Cocteau loue encore l'impartialité et la clairvoyance de Carlo Rim : "Je dois te dire ma reconnaissance pour ton oeil qui savait voir au dessus du lieu..." et dénonce les luttes d'influence troublant et entourant l'attribution des prix dont il fit les frais: "Le plus drôle c'est que ma dernière tentative de justice dérangeait encore de combinés - l'entourage de Clément [Il s'agit de René Clément qui concourait cette année-là avec Monsieur Ripois] (il n'y est pour rien) espérant un scandale publicitaire, annulé par le prix spécial... Les petits copains que tu connais dirent qu'on m'avait téléphoné de ordres (sic)." Satisfait d'être débarrassé de cette encombrante charge, Jean Cocteau n'en conseille pas moins son ami Carlo Rim, membre du jury, d'être vigilant pour l'édition prochaine du festival : "Le jeu n'étant pas la chandelle. L'année prochaine ouvre "l'oeil" sur le travail de mon successeur. il aura bonne mine (comme on dit)." Dans sa lettre, Jean Cocteau mentionneRené Clément qui concourait cette année-là avec "Monsieur Ripois"qui obtint donc, à la grande joie et à l'instigation de l'entourage de René Clément, le grand prix du jury, "La porte de l'enfer" deTeinosuke Kinugasa remportant le grand prix. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Provenance : du fonds Carlo Rim. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur notamment de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste : "Justin de Marseille", "L'armoire volante", "La maison Bonnadieu", et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 84633

(1940)

‎"Ce n'est pas pour rien que notre étoile nous a rapprochés l'un de l'autre" Lettre autographe adressée à son grand amour Jean Marais‎

‎Perpignan juillet 1940 | 21 x 27 cm | deux pages sur un feuillet‎


‎Lettre autographe de Jean Cocteau, signée de sa célèbre étoile, adressée à son grand amour, l'acteur Jean Marais. Datée par l'auteur de Juillet 1940. Une page et demie à l'encre noire sur un feuillet. Deux petites déchirures marginales n'affectant pas le texte. Traces de plis transversaux inhérentes à l'envoi. Magnifique lettre d'amour de Cocteau à Marais, qui forment l'un des couples d'artistes les plus mythiques du XXe siècle. Sur fond de débâcle et d'Occupation allemande, leur lien indéfectible s'incarne en cette lettre de l'écrivain aux accents désespérés. Publiée dans lesLettres à Jean Marais, 1987, p. 157. Cette missive d'un Cocteau transi d'amour a été rédigée peu après l'Armistice du 22 juin 1940 marquant la fin de la débâcle française. Marais, mobilisé, avait rejoint le front en mai 1940 tandis que Cocteau s'était réfugiéà Perpignan. La communication en ces temps troublés s'avère difficile : "Mon Jeannot, j'attends toujours ta réponse, mais avec une confiance absolue. Ce n'est pas pour rien que notre étoile nous a rapprochés l'un de l'autre, et sans doute, fallait-il que mes lettres ne t'arrivent pas et que je souffre de mon silence" "Tu es né chef, je suis né chef. Et sous notre étoile rien de ce que nous [...] ne peut s'annexer ni se perdre. Le principal est de se taire et d'attendre. [entre guillemets :] les choses ont une manière à elles d'arriver." C'est à nous de le savoir et de les laisser faire[...]" Le tandem Cocteau - Marais rentrera bientôt à Paris, et subira les affres de l'occupationallemande qui interdira la reprise de leur sulfureuse pièce Les Parents terribles, qui avait rencontré un grand succès en 1939. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 86662

(1949)

‎"New York n'aime ni s'asseoir si s'étendre. C'est une ville qui dort debout." Feuillet manuscrit autographe signé du paraphe‎

‎17 janvier 1949 | 14.90 x 19.50 cm | un feuillet‎


‎Manuscrit autographe signé du paraphede Jean Cocteau, intitulé "L'Aurore" et daté par l'auteur du 17 janvier 1949. Un feuillet au stylo bleu. Publié dans l'Aurore du 19 janvier 1949 (n°1353, VIIIe année). Jean Cocteau rédige pour le journal L'Aurore ce superbe tableau textuel de la ville qui ne dort jamais, après un séjour de vingt jours à New York.L'écrivain prolongerace récit parsaLettre aux Américains(Grasset, 1949),qui reprend quelques termes et expressions écrits sur le vifdans ce charmant manuscrit. Selon la légende, l'écrivain commença à rédiger sa Lettre aux Américains dès le vol du retour. On peut s'imaginer Cocteau affairé dans son avion, les yeux encore brillants des lumières de la ville, notantses premières impressions dans ce feuillet: « Il est bien difficile de parler en quelques lignes d'une cité comme New York. Mon voyage a-t-il duré vingt jours ou vingt ans ? Je me le demande [...] Rien n'est plus léger que l'air de New York. Trop léger. Tout y tourbillonne. Ce qui se pose et se repose est très rare. Les gratte-ciel eux-mêmes se balancent légèrement au faîte et la lumière les traverse comme du tulle. La nuit, Broadway est en proie à d'effroyables tics électriques. Et des arbres de Noël lumineux d'une hauteur de six étages ornent Park Avenue. » Cocteau s'était envolé vers New York dans les derniers jours de décembre 1948 pour la première deL'Aigle à deux Têtes, dont il réalise l'adaptation cinématographique avec Edwige Feuillère dans le rôle de la reine, et son grand amour Jean Marais en jeune poète anarchiste. Il espérait convaincre l'immense actrice Greta Garbo d'interpréter un rôle dans un deses prochains films : « C'était la première fois que je passais le nouvel an hors de ma ville et j'ai eu la chance, lorsque sonnait minuit, d'embrasser Greta Garbo dont le visage est de plus en plus admirable. » L'écrivain achève le manuscrit par une magistrale ode à la vie trépidante de la capitale du Nouveau Monde : « Il y a des villes assises. Il y a des villes couchées. New York n'aime ni s'asseoir si s'étendre. C'est une ville qui dort debout. » A New York, Cocteau trouvera une vie à l'image de son exubérance créatrice et c'est Philippe Halsman, le plus new yorkais des photographes qui, durant ce court séjour, capturera le plus parfaitement «what goes on inside [the] poet's mind». Réalisés pour LIFE magazine, ses portraits emblématiques - un double profil en aigle à deux têtes, ou enmonstre-magicien aux trois paires de mains, fumant, dessinant et lisant - ont saisi avec une incomparable justesse cet artiste surprenant de variété. Précieuses impressions new-yorkaises d'un Cocteau dandy et protéiforme, irrésistiblement attiré par l'énergie débordante de New York. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 87075

(1920)

‎Poésies 1917-1920‎

‎Editions de la Sirène | Paris 1920 | 14.50 x 23 cm | relié ‎


‎Edition originale sur papier courant. Reliure à la bradel en plein papier à effets géométriques dorés et moirés, dos lisse, pièce de titre de maroquin noir, tête dorée, fragiles couvertures et dos (renforcé) conservés, reliure signée P. Goy & C. Vilaine. Envoi autographe signé de Jean Cocteau : "A mon cher ami Marcel Herrand. Jean Cocteau. 1920." Dans le premier article de Carte blanche (1919), Jean Cocteau fait l'éloge du jeune comédien Marcel Herrand, alors âgé de vingt-deux ans: «L'esprit nouveau agite toutes les branches de l'art. De jeunes acteurs se mettent au service de la poésie moderne. Marcel Herrand (qui créaLes Mamelles de Tirésiaset différents rôles masqués duDit des jeux du monde) fut le premier à nous surprendre par son rythme, sa voix droite et son mépris de l'effet. Gestes, intentions, bêlements, cris, sourires, nuances sous chaque syllabe, jeux du timbre, disparaissent ici pour faire place à une lecture typographique. Un noir d'encre. Les mots nets se détachent de la page l'un après l'autre. L'acteur ne substitue pas son émotion à celle du poète. Il le sert au lieu de s'en servir.» Durant les années 1920, Cocteau confiera plusieurs rôles au talentueux Marcel Herrand: d'abord phonographe dans Les Mariés de la tour Eiffel (1921), il obtiendra le premier rôle masculin dans Roméo et Juliette (1924) et incarnera même l'ange Heurtebise dans la première distribution d'Orphée en 1926. Emouvant et précoce hommage de Jean Cocteau à l'un de ses acteurs fétiches. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 87982

(1909)

‎Poème autographe de Jean Cocteau intitulé "Rondel de la sultane embarassée [sic]" avec deux corrections manuscrites et contenu dans son recueil de poèmes Le Prince Frivole ‎

‎s. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 24.50 x 25 cm | une page‎


‎Quatrain et quintil autographes de jeunesse signé de treize strophes de Jean Cocteau, 15 lignes écrites à l'encre noire sur une feuille cartonnée et intitulé "Rondel de la sultane embarassée". Ce poème manuscrit, rédigé sur une feuille cartonnée souple, fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Deux corrections manuscrites de Jean Cocteau : le titre du poème raturé puis modifié en dessous à l'encre noire ; les trois premiers mots du quintil barrés puis modifiés au crayon de papier. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. "Shéhérazade ne sait point Comment finir son dernier conte ! Le lourd arôme rampe et monte... Dont son corps nonchalent est loin ... Mille et une fois l'aube a point Car le vieux despose les compte Mais voici que le sort la dompte Et pose à son histoire un point Shéhérazade ne sait point..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 87984

(1909)

‎Poème autographe de Jean Cocteau intitulé "Pour Abel Bonnard" contenu dans son recueil de poèmes Le Prince Frivole comportant deux corrections manuscrites et une ébauche du poème au verso‎

‎s. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 20 x 31 cm | une page sur un feuillet double‎


‎Quatrain et tercet autographes de jeunesse signé de quatorze strophes de Jean Cocteau, 15 lignes écrites à l'encre noire et intitulé "Pour Abel Bonnard". Ce poème manuscrit, comportant deux corrections manuscrites de Jean Cocteau, fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Sur la quatrième page du double feuillet, un amorce du poème a été rédigée : le titre, le premier vers et le tout début du deuxième avec une légère modification par rapport à l'état définitif. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. "Pour Abel Bonnard" figure dans la suite des huit sonnets de l'hôtel Biron (Pour mes amis, Pour Marcel Cruppi, Pour Reynaldo Hahn, Pour Pierre Mortier, Pour Francis de Croisset, Pour Abel Bonnard, Pour le comte Robert de Montesquiou Fezensac, Pour Auguste Rodin et Pour Elle) qui ne portent pas de titres-dédicaces dans l'édition : "Un ogre a fait s'enfuir dryade, fée ou muse... C'est déjà loin nos promenades au couvent ! Vous cherchiez à chaque herbe un beau nom très savant Insoucieux et gai comme un gamin qui muse ... Armés d'outils de fer contre un grand parc qui dort Marchait la horde interminable des vandales Et vous le défendiez avec vos armes d'or ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 88024

(1953)

‎"J'accepte d'être en secret mis à ma place et, publiquement, remis à ma place." Lettre autographe signée, exceptionnelle préfiguration de son épitaphe‎

‎Saint-Jean-Cap-Ferrat 29 Août 1953 | 21 x 27 cm | une page‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jean Cocteau, 26 lignes à l'encre bleue, à Olivier Quéant, rédacteur de la revue Plaisir de France, adressée depuis la villa Santo-Sospir. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Quéant, journaliste et notamment rédacteur de la revue Plaisir de France, entretint une belle correspondance amicale et littéraire avec l'écrivain. Il livra notamment une élogieuse critique d'Antigone à sa création en 1944: "depuisRacine, l'on avait rien écrit d'aussi beau, d'aussi grand et d'aussi profondément humain" (L'Illustration). Jean Cocteau, au crépuscule de sa vie, s'insurge et se plaint de son rôle effacé et seulement symbolique dans le théâtre français des années 1950. La seconde phrase de cette lettre sera reprise quasimentmot pour motdans les célèbres vers de son plus long poèmeRequiem(1962): "Il est juste qu'on m'envisage / Après m'avoir dévisagé" qui lui servira également d'épitaphe. Malgré les reconnaissances officielles, Cocteau se sentira jusqu'à sa mort "méconnu, inconnu, invisible" (Jean Cocteau sur le fil du siècle, 2003) - un mal-être magistralement exprimé à travers ces lignes. "Voilà plusieurs années que j'accepte d'être en secret mis à ma place et, publiquement remis à ma place. Bref de n'être pas envisagé mais dévisagé. Il est beau de recevoir des lettres "retournées" où Anouilh me dit "Sans vos pièces je n'aurais pas écrit une ligne des miennes" et Giraudoux "Rilke avait raison. Nos figures blanches à côté du hâle de tes séjours dans l'antiquité." Il est beau d'être comme le Pisanelle - enterré sous les roses [...]" Intéressante et touchante missive de Cocteau, à la graphie désordonnée et furieuse, se tordant et s'étirant à la manière d'un calligramme. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎[Cocteau Jean ] - ‎ ‎COCTEAU Jean Cocteau Jean ‎

Reference : 054519

‎JEAN COCTEAU. LA CHAPELLE SAINT PIERRE. Villefranche sur mer ‎

‎Monaco Editions du Rocher 1963 petit in 4 (26x21) 1 volume broché, jaquette lithographiée en couleurs, non paginé, avec 29 photographies en noir et blanc. Photographies de J. Gasiglia. Achevé d'imprimer à la date du 15 octobre 1957. Jean Cocteau, Maisons-Laffitte 1889 - Milly-la-Forêt 1963, artiste et poète français. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎


‎Très bon Broché ‎

Librairie Rouchaléou - Saint André de Sangonis

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EUR50.00 (€50.00 )

‎[Cocteau Jean ] - ‎ ‎COCTEAU Jean Cocteau Jean ‎

Reference : 48749

‎JEAN COCTEAU. LA CHAPELLE SAINT PIERRE. Villefranche sur mer ‎

‎Monaco Editions du Rocher 1963 petit in 4 (26x21) 1 volume broché, jaquette illustrée en couleurs, non paginé, avec des photographies en noir et blanc. Jean Cocteau, Maisons-Laffitte 1889 - Milly-la-Forêt 1963, artiste et poète français. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎


‎Très bon Broché ‎

Librairie Rouchaléou - Saint André de Sangonis

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‎[Cocteau Jean ] - ‎ ‎COCTEAU Jean Cocteau Jean ‎

Reference : 20689

‎PORTRAIT DE MOUNET-SULLY. Prose inédite par Jean Cocteau. Ornée de seize dessins inédits de l'auteur et coloriés à la main ‎

‎Paris La Typographie François Bernouard 1945 petit in 4 (26x20,5) 1 volume broché, couverture rempliée, non paginé [24 pages]. Prose inédite par Jean Cocteau ornée de 16 dessins inédits de l'auteur, coloriés à la main. Edition originale, celui-ci un des 1650 exemplaires numérotés sur Crevecoeur du Marais. Très bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎


‎Très bon Broché Ed. originale ‎

Librairie Rouchaléou - Saint André de Sangonis

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EUR450.00 (€450.00 )

‎Jean COCTEAU - Jacques MARITAIN.‎

Reference : 000161

(1926)

‎Lettre à Jacques Maritain. ET Réponse à Jean Cocteau.‎

‎Jean COCTEAU - Jacques MARITAIN. Lettre à Jacques Maritain. Réponse à Jean Cocteau. 1926, Librairie Stock, Paris, 1926. 2 vol. in-12 (19x13cm) brochés de 70 et 70 pages. ÉDITION ORIGINALE pour les deux exemplaires, l'un des 450 exemplaires numérotés sur papier pur fil Lafuma. (Tous deux numérotés 265). Chaque exemplaire est enrichi d'un ENVOI AUTOGRAPHE DE L'AUTEUR à l'auteur René GILLOUIN. Bel ensemble, état convenable, infimes auréoles claires en marges de la dernière de couverture du J. Maritain, sans gravité. René Gillouin, né à Aouste-sur-Sye le 11 mars 1881 et mort le 2 avril 1971, est un intellectuel de droite, traditionaliste et Pétainiste, de religion protestante, écrivain, critique littéraire, journaliste et homme politique Français. Très bon‎


Voyage au bout du quai - Saint quentin

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EUR350.00 (€350.00 )

‎PONS (Max) - COCTEAU (Jean) - Zdenka Datheil, Pierre Albert-Birot, Jean Cocteau, Jean Follain, Guillevic, Max Jacob, Bernard Noël, Norge, Jean Rousselot -‎

Reference : 42300

‎LA BARBACANE. N° 27/30: Numéro spécial: vingtième anniversaire: 1963-1983 -‎

‎ Saint Front sur-Lémance, directeur: Max Pons, 1983. Un volume (15,2x22,3cm) broché sous couverture illustrée d’après un dessin inédit de Jean Cocteau. Textes de Pierre Albert-Birot, Jean Cocteau, Jean Follain, Guillevic, Max Jacob, Bernard Noël, Norge, Jean Rousselot, etc. 4 dessins de Zdenka Datheil et 3 dessins de Pierre Albert Birot reproduits en pleine page - Un des 500 exemplaires numérotés sur vélin d’Arches. Petites rousseurs en quatrième de couverture sinon bon état - ‎


Le Livre à Venir - Chantelle

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‎Jean Cocteau - Collectif.‎

Reference : 26185

(1957)

‎Images de Jean Cocteau.‎

‎ Nice, Galerie Matarasso / Collection " Sortilèges " de 1957. In-8 broché de non paginé au format 13,5 x 19 cm. Couverture avec portrait photo de Jean Cocteau par André Villers. Dos carré avec nom de Jean Cocteau imprimé. Infimes frottis aux coins. Intérieur parfait. Longue préface de Georges Noël suivie de quatre-vingt illustrations, dont : photographies de Man Ray, Cécil Beaton, André Villers, etc, fac-similés, reproductions d'oeuvres de Modigliani, Pablo Picasso, Bernard Buffet, Jean Cocteau, etc. Bibliographie en fin de volume. Superbe état général. Edition originale achevée d'imprimer en héliogravure le 31 août 1957. ‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 52186

(1947)

‎La difficulté d'être ‎

‎Paul Morihien | Paris 1947 | 11.50 x 17 cm | broché sous chemise-étui‎


‎Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe signé de Jean Cocteau à Jean-Paul Sartre : « son ami de tout cur ». Sans être de la même génération et en dépit de tout ce qui pouvait les opposer, Jean Cocteau et Jean-Paul Sartre se fréquentèrent à la fin des années 1940 et au début des années 1950 ; à la mort du philosophe, Jean Marais évoquera des coups de fil réguliers mais aussi des dîners aux interminables et merveilleuses discussions. C'est ainsi que les deux hommes uvrèrent de concert à la reconnaissance de Jean Genet et qu'ils publièrent en juillet 1948 dans Combat une lettre ouverte au Président de la République, Vincent Auriol, en faveur de la libération de prison du poète-voyou. Quelques années plus tard, Cocteau aidera Sartre à créer un comité de soutien à Henri Martin, opposant communiste à la guerre d'Indochine condamné à cinq ans d'emprisonnement pour distribution de tracts. Cocteau participera également à la mise en scène des Mains sales, pièce de Sartre créée en 1948 au Théâtre Antoine. En offrant au pape de l'existentialisme un exemplaire dédicacé de La Difficulté d'être, l'infatigable dandy lui soumet l'une de ses uvres les plus intimes. Dans l'ouvrage, c'est en poète qu'il évoque d'ailleurs l'engagement politique de Sartre : « mais pourquoi se borne-t-il à l'engagement visible ? L'invisible engage plus loin. [...] Les poètes s'engagent sans aucune autre cause que de se perdre. » Rare témoignage des liens entre deux figures majeures de la scène intellectuelle et littéraire du XXème siècle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jean COCTEAU‎

Reference : 75328

(1943)

‎[PHOTOGRAPHIE] Portrait photographique de Jean Cocteau dédicacé par le poète à Willy Michel‎

‎S. n. | 1943 | 29 x 22.80 cm | une photographie‎


‎Rarissime et large portrait photographique de Jean Cocteau, en tirage argentique d'époque, réalisé durant le tournage dufilm de Serge de Pologny Le Baron fantôme dont il a écrit les dialogues et interpreté le personnage du baron "fantome" Julius Carol. Bel envoi autographe signé, en marge haute du cliché, auquel Cocteau a adjoint sa célèbre petite étoile : "A mon cher Willy Michel. Souvenir très amical de nos complicités cinématographiques. Le Baron fantôme, Jean Cocteau. 1943" Quelques très infimes manques en marge gauche de la photographie. Magnifique grand portrait photographique offert au photographeWilly Michel, qui installa dans son atelier le premier photomaton de France et devint célèbre pour ses "selfies" avec tous les artistes, comédiens et écrivains de son temps. Avec cette superbe photographie en costume d'unegrande expressivité, Cocteau offre à ce bibliophile, mécène des artistes et habitué des plateaux de cinéma une pièce de choix pour sa célèbre collection de portraits et de signatures d'artistes. Nous n'avons pu trouver aucun autre exemplaire dans les collections publiques internationales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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