LES MISÈRES DE LA VIE HUMAINE ou LES GÉMISSEMENTS ET LES SOUPIRS exhalés au milieu des fêtes, des spectacles, des bals et des concerts, des amusements de la campagne, des plaisirs de la table, de la chasse, de la pêche et du jeu, des délices du bain, des récréation de la lecture, des agréments des voyages, des jouissances domestiques, de la société du grand monde, et du séjour enchanteur de la capitale James Beresford Edition originale de la traduction Française, traduit par Bertin vol.in-8, 200x130, relié demi veau, pièce de titre, superbes reliures en parfait état, intérieur bien frais, 383 & 386pp ( complet en deux tomes) illustré de 2 belles lithographies en frontispice, et vignettes dans le texte Paris Chaumerot, 1809 Très beaux exemplaires ! rare ! 25/4
Paris Hachette, coll. "Les meilleurs romans étrangers" 1933 1 vol. broché in-12 (188 x 120 mm), broché, 223 pp. Roman adapté de l'anglais par Paul Dottin. Dos recollé, avec deux fines crevasses en tête, couverture un peu passée et salie, papier jauni et cassant aux marges. Sinon bon état général.
PARIS. JH. CHAUMEROT, LIBRAIRE. 1809. 2 VOLUMES IN-8 (13 X 20 X 5,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) + VI + (2) + 383 ET (4) + 373 PAGES, RELIURE D'EPOQUE 1/2 VEAU BRUN, DOS LISSE ORNE DE GRECQUES DOREES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ORANGE. ILLUSTRE DE 2 FRONTISPICES REPLIES ET DE VIGNETTES DANS LE TEXTE. EDITION ORIGINALE DE LA TRADUCTION FRANCAISE. QUELQUES DEFAUTS EXTERIEURS, DONT PETITS MANQUES DE CUIR.
Paris, Delaunay, 1814. 2 tomes en 1 volume in-12 de VIII-[2]-256 et [4]-213-[3]p., demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre rouge (reliure vers 1890). Quelques rousseurs, manques coins sup. de 3 feuillets sans manque de texte. Ex-libris moderne d'un coll. genevois, et de Jean Peyret, du Château des Capitansm à Juliénas.
Illustré de deux grandes planches dépliantes en frontispice figurant les misères personnifiées, et quelques figures gravées sur bois in-texte. Seconde édition en français (la première parut en 1809), d'un ouvrage initialement publié en anglais en 1806. Amusant dialogue entre deux malheureux qui énumèrent tout ce qui peut arriver de désagréable, d'énervant, les petits tracas de la vie quotidienne. Cela me fait penser à la loi de Murphy énoncée 150 ans plus tard...