Paris, Baudouin, 1790 in-8, 34 pp. et 34 (pièces justificatives)-[2] pp., bradel papier marbré (rel. moderne).
- - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Londres, et se trouve à Paris Madame veuve Laurent Prault 1787 in-8 dérelié
iv pp., 224 pp.Kress B 1209 A. Manque à Goldsmith, Einaudi, Pitot, Toussaint et Adolphe, Pardo de Tavera, Robertson, Cordier Japonica, Nipponalia. Édition originale de cette "radiographie" du commerce colonial en Asie et dans l'Océan Indien à la fin du XVIIIe siècle.Concerne la côte orientale de l'Afrique, Madagascar, Bourbon, l'ïle de France, les Îles Rodrigues, Jean de Lisboa, Séchelles et Praslin, la côte de Malabar, l'Hindoustan, la côte de Coromandel, le Bengale et l'occupation anglaise, le commerce du Bengale, Bornéo, les Moluques, Java, Sumatra, les Philippines, les compagnies hollandaises et espagnoles, Japon, Chine, Siam, Cochinchine, Tonkin, Macao, Nouvelle Hollande, etc., etc…L'auteur se livre ensuite à des réflexions sur le statut des compagnies commerciales en Inde: projets pour l'exploitation du commerce, doit-il se faire par une compagnie ou doit-on le laisser libre ? durée de l'exploitation accordées aux compagnies, expéditions en cours, etc…L'auteur est actionnaire de la nouvelle Compagnie des Indes. C'est en effet une période cruciale dans l'histoire de la Compagnie des Indes, liquidée et cédée au roi de France en 1770, quatre ans après l'exécution de Lally. "Les événements politiques qui suivirent tant de revers firent de nouveau rétablir la Compagnie. Le ministre Calonne espéra quelque temps en faire une ressource pour combler les vides dus à sa prodigalité et à ses déprédations. Il parut à cet époque de nombreuses brochures qui s'élevaient avec force contre cette nouvelle mesure administrative et contre le monopole qu'elle établissait. En vain l'abbé Morellet voulut la défendre ; des événements d'une haute importance, précurseurs de la Révolution de 1789, firent ajourner la question de la Compagnie des Indes, qui fut enfin supprimée par un décret de l'Assemblée constituante (14 août 1790). Les bureaux de Paris et de Lorient furent réunis au trésor public, et l'on maintint seulement ceux de Pondichéry et de l'Ile de France jusqu'à la fin de la liquidation.L'abbé Morellet venait de faire paraître, en cette même année 1787, une "Réponse précise au Précis pour les actionnaires de la Compagnie des Indes" (Amst. et Paris, in-8, 39 pp.).
Paris, P.G. Simon, 1764-1764, in-4, 2 fascicules brochés, Non reliés, non assemblés, Actes visant à redresser la situation commerciale de la Compagnie orientales des Indes, après la perte par la France de son premier empire colonial et de la plupart de ses comptoirs. Ils sont un prélude à la suspension du monopole de la compagnie : - Lettres-patentes du roi, concertant la liquidation des dettes de la compagnie des Indes, données à Versailles le 18 novembre 1764. 7 pp. - Édit du roi, qui autorise les syndics & directeurs de la Compagnie des Indes à vendre & aliéner quatre cens soixante-dix-sept mille livres de rente viagères, & porte établissement d'une loterie. Donné à Compiègne au mois d'août 1765. 8 pp. Modèle de billet de loterie in fine. Bel état. Tels que parus. Wroth & Annan, Acts of French Royal Administration, n° 1661 et 1690. Couverture rigide
Bon 2 fascicules brochés
GODEHEU - DAVID - MICHEL - GILLY - MAGON - J. COTTIN - ROFFAY - Directeurs de La Compagnie des Indes ( editors ) - :
Reference : 37640
"19. S.l. no printer's name, 1763, in-4°, 25 x 19,5 cm, 230 pp ( part I ) ; 161 pp ( Pièces Justificatives ) + (1)(errata) ; bound in contemporary full calf, raised gilt spine with red morocco gilt title label, all edges painted red, marbled endpapers. Nice copy with only minimal wear at binding. See Goldsmiths'-Kress no. 09859A. Higgs , H. Bibl. of economics 2944, 2946. Joseph François Dupleix ( 1697 - 1763) was the French colonial administator who defied the British East India Company and who tried to acquire territorial and political control in India. He failed in this policy and upon his forced return to France he claimed 13 millions from the Compagnie des Indes, money which he had advanced from his own pocket to finance the French campaigns against the English in India. He died in 1763, the same year as this defence by the Compagnie des Indes was published. This defence is an answer by the company to a '' Memoire pour le Sieur Dupleix...'' Goldsmiths 9478A, published by Dupleix in 1759. In the second part of the memoire by the Company , called '' Pieces justificatives...''. pp. 71-161 are exclusively devoted to the accounts of the Company in India. The Company's defence seems to be much rarer than Dupleix memoire, possibly because his death in 1763 resolved the matter. ( Compagnie des Indes , Colonial Companies , France , India , Pondicherry ).."
MÉZIN Louis ( rédacteur en chef ) - Musée de la Compagnie des Indes - Port-Louis ( éditeur ) :
Reference : 54276
Port-Louis, Musée de la Compagnie des Indes, 2003, in-4°, 27 cm, 95 pp. couverture souple d'origine. (comme publié). Réunion des articles sur le V.O.C. ( Compagnie Hollandaise des Indes).
Paris, Michel Sonnius, en la rue sainct Jacques, 1571. Avec privilège. In-8 de 131 pp., (1) p. d’avis au lecteur, ancien travail de vers dans la marge blanche inférieure des pp. 20 à 60 sans atteinte au texte. Vélin souple de l’époque, traces de liens, dos lisse avec titre manuscrit, étiquette en pied. Petit manque au plat supérieur. Reliure de l’époque. 163 x 100 mm.
Édition originale française de la plus grande rareté. Elle manque notamment à Chadenat et n’est répertoriée que par Cordier (Bibliotheca Japonica, p. 61), et Carayon (Bibliographie historique de la Compagnie de Jésus, pp. 71 et 72). Elle est très importante car elle relate les voyages des missionnaires en Extrême-Orient au XVIe siècle. Cette relation s’ouvre par une dédicace : « A très hault et tres puissant prince Monseigneur Loys de Bourbon, Duc de Montpensier, Pair de France, Souverain de Dombes, Prince de la Roche-surion, Dauphin d’Auvergne, Gouverneur & Lieutenant general pour le Roy en Bretaigne. » et contient : Une lettre du P. Organtin de Bresce, escritte à Goa le 28 de Decembre 1568, aux frères du College de Rome, p. 8. Une lettre du P. Christophe d’Acohta, escritte à Malacca le 11 Janvier 1569, au père Général de la Compagnie., p. 32. Une lettre de maistre Loys de Gouea, du college du Sauveur à Colan le 1. Janvier 1569, p. 37. Une lettre du P. Emanuel Tesseira, au Père General, escritte à Goa le 2 de Janvier 1569, p. 42. Une lettre du P. Nicole Nuguez de Tarnate du 10 de février 1569, p. 46. Une lettre du P. Pierre Mascaregnas escrite à Ternate, le 6 mars 1569, p. 52. Une lettre de Goa des choses de l’an 1569, escritte du P. Sebastien Fernandes au P. François Borgia General de la Compagnie de Jesus, p. 62. Le Sommaire d’une lettre escritte du P. Martin de Sylua, au P. Gonsaluo Aluaretz, demeurant aussi aux Indes, le 26 de Novembre, 1569. De la forteresse d’Onor, & depuis envoyée en Europe, p. 103. Une lettre de Cocin escrite le 15 de Janvier 1570 par le P. Hierome Ruiz au Pere Général, p. 106. Une lettre escritte de l’isle de la Madera, au 17 d’Aoust, 1570 du P. Pierre Diaz, au P. Provincial de la Compagnie de J. en Portugal, sur les 40 occis pour la Religion Catholique, p. 124. Cette relation de voyage est si précieuse qu’il y eut une traduction anglaise (à la Bibliothèque de Bourgogne, n°513), une traduction en tchèque en 1573 et Juan Iniguez de Lequerica traduisit l’ouvrage en espagnol (Alcala, 1575, in-4) (Sommervogel). Précieux exemplaire conservé dans son vélin souple de l’époque. Aucun exemplaire de cette édition originale française n’a été répertorié sur le marché public au cours des trente-cinq dernières années.
[Paris P.G. Simon 1785] in-4 de 12 pp. avec simple titre de départ dérel
Voir Wroth et Annan 2004 pour l'édition de l'Imprimerie Royale en 16 pp.La Compagnie des Indes avait été dissoute en 1770. En 1785, année de déficit et de grave crise financière, on tenta de rétablir la défunte Compagnie. "Le ministre Calonne espéra quelque temps en faire une ressource pour combler les vides dûs à ses prodigalités et à ses déprédations. Il parut à cette époque de nombreuses brochures qui s'élevaient avec force contre cette nouvelle mesure administrative et contre le monopole qu'elle établissait. En vain l'abbé Morellet voulut la défendre ; des événements d'une haute importance, précurseurs de la révolution de 1789, firent ajourner la question de la Compagnie des Indes, qui fut enfin supprimée par un décret de l'Assemblée constituante (14 août 1790). Les bureaux de Paris et de Lorient furent réunis au trésor public, et l'on maintint seulement ceux de Pondichéry et de l'Ile de France jusqu'à la fin de la liquidation" [Larousse]
Paris P.-G. Simon 1767 in-4 en feuilles
7 pp.En 9 articles. Pour faciliter la liquidation des dettes de la Compagnie des Indes dans les deux colonies susdites, les billets de caisses et ordonnances de la Compagnie pourront être utilisés pour l'achat de marchandises vendues pour la même Compagnie, ou pourront être convertis "en lettres de change sur le caissier de la Compagnie à Paris"
Paris veuve Saugrain & Pierre Prault s.d. [1719] in-4 en feuille
4 pp.Supprime les rentes sur la ferme des greffes, transférée à la Compagnie des Indes, dans le cadre de la mise en place du Système
Paris Imprimerie royale 1727 in-4 en feuille
4 pp."Le Roy ayant esté informé des fraudes qui se commettoient à la faveur du transit accordé aux marchandises provenant des ventes de la Compagnie des Indes à Nantes (...) a ordonné que les marchandises provenant des ventes de la Compagnie des Indes, déclarées pour les provinces de Limosin, Auvergne, Guyenne, Languedoc & autres sortant par la province de Poitou, ne pourroient joüir du bénéfice du transit, qu'à la charge d'estre conduites directement dans l'une desdites villes de Clermont & Limoges, pour y estre visitées au bureau du controlle"
Paris Pierre-Guillaume Simon 1749 in-4 en feuilles
7 pp.Interprète et renouvelle les dispositions de l'édit de décembre 1717 : "Voulons (..), que l'établissement fait en l'Hôtel de la Compagnie des Indes à Paris, d'un dépôt libre & volontaire des actions, continue d'avoir lieu pour ceux des actionnaires qui y ont déposé ou voudront par la suite y déposer leurs actions"
MÉZIN Louis ( rédacteur en chef ) - Musée de la Compagnie des Indes - Port-Louis ( éditeur ) :
Reference : 54277
Port-Louis, Musée de la Compagnie des Indes, 2001, in-4°, 27 cm, 119 pp. couverture souple d'origine. (comme publié). Publication bi-lingue (Français - Anglais ).
1907 Paris Librairie Hachette et Cie 1907 Un volume grand in°8 reliure pleine toile éditeur 257 pages. Illustré de 58 gravures hors-texte d'après les photographies de l'auteur
Très bon état Envoi en Mondial Relay pour la France Métropolitaine, l'Allemagne, l'Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et PortugalPour l'étranger, envoi en tarif "livres et brochures" pour les commandes inférieures à 50 , au dessus en colissimo international.
Paris Imprimerie Royale 1720 in-4 en ff., traces de pliure
4 pp.Wroth 832. Loménie de Brienne 201.Important document publié l'année même de la banqueroute et de la fuite de Law. Il instaure une inflation monétaire se proposant "d'augmenter la Circulation & de procurer la diminution des Denrées". Ainsi "les Billets de Banque de 1000. livres & de 10000. livres ne puissent estre donnez en Payement... qu'avec moitié Especes". Il s'agit de la dernière phase de l'aventure de John Law [1671-1729], fondateur en 1716 de la première banque privée ayant le droit d'émettre des billets, puis de la Compagnie d'Occident (1718), et créateur enfin d'un système monétaire unissant la banque, la Compagnie et l'État, qui eut le contrôle du commerce extérieur et des grandes entreprises du royaume. Après une brève période d'animation, l'imprudence des émissions, la fièvre spéculative et la concurrence (celle des frères Pâris notamment) finirent par provoquer la banqueroute.Annotation manuscrite ancienne sur la première page
Paris P. G. Simon, imprimeur du Parlement 1767 in-4 de 7 pp. dérelié, avec simple titre de départ, sous couv. pastiche moderne
Pour faciliter la liquidation des dettes de la Compagnie des Indes dans les colonies, les billets de caisses et ordonnances de la Compagnie pourront être utilisés pour l'achat de marchandises vendues pour la même Compagnie, ou pourront être convertis "en lettres de change sur le caissier de la Compagnie à Paris"
Paris P. G. Simon, imprimeur du Parlement 1767 in-4 de 8 pp. dérelié, avec simple titre de départ
Description des conditions de cette loterie, nouvel emprunt public de la Compagnie des Indes imaginé pour liquider ses dettes et relancer son commerce (annéanti après la guerre qui opposa la France et l'Angleterre)
Paris Imprimerie royale 1786 in-4 de 6 pp. et 1 f.n.ch. dérelié, avec simple titre de départ
Description des conditions d'acquisition des nouvelles portions d'intérêt, qui serviront à l'augmentation du capital de la Compagnie des Indes… Malgré tout, la liquidation en sera prononcé le 14 août 1790
Paris Baudouin 1790 in-8, titre et 34 pp. en ff., non rogné
Goldsmiths 14179. Édition originale.Intéressant document publié à la veille de la liquidation définitive de la Compagnie des Indes
Paris P.G. Simon et N.H. Nyon 1786 in-4 broché, couverture factice
3 pp.Wroth 2036 (à l'adresse de l'Imprimerie Royale).Rare.
Genève, et se trouve à Paris chez les marchands de nouveautés 1788 in-8 dérelié
84 pp.Sur la création de la nouvelle (troisième) Compagnie des Indes orientales et de la Chine, qui avait vu le jour le 3 juin 1785 à l'initiative de Guillaume Sabatier et de Pierre Desprez. Soutenue par Calonne, elle était dotée d'un capital de 20 millions de livres, et jouissait du monopole du commerce à l'est du cap de Bonne-Espérance (à l'exception des Mascareignes, qui restaient ouvertes au commerce libre). Elle installa ses bureaux parisiens à l'hôtel Massiac,prend possession des bâtiments, magasins et ateliers de l'ancienne compagnie à Lorient et Marseille, arma 17 bateaux et prospéra très rapidement. Les bénéfices permirent en effet de distribuer un dividende de 18% en 1788 et de 16% en 1789. Mais son existence fut brève, puisqu'elle fut remise en question par la politique de l'Assemblée constituante dès 1790
Paris P.-G. Simon s.d. [1770] in-4 dérelié
4 pp.
Paris P.-G. Simon 1776 in-4 en feuille
4 pp.Affecte un seul agent de recouvrement dans les deux îles, en lieu et place des commissaires chargés des opérations de liquidation de la Compagnie des Indes
INDES SAVANTES; Illustrated édition (10 septembre 2015)
Livre à l'état de neuf, très frais sans annotations ni défauts dissmulés.
INDES SAVANTES; Illustrated édition (6 septembre 2018)
Livre à l'état de neuf, très frais sans annotations ni défauts dissmulés.