Syndicat d'Initiative Régional, Office du Tourisme d'Annecy et de la Haute-Savoie, 1948. 13 x 21, 63 pp., broché, bon état (couverture légèrement abîmée).
Union Fédérale des Sociétés de Libre-Pensée du Rhône (Rhône, Meurthe-et-Moselle, Haute-Marne, Vosges, Haute-Saône, Doubs, Côte-d'Or, Saône-et-Loire, Jura, Ain, Loire, Ardèche, Drôme, Isère, Savoie, Haute-Savoie, Hautes-Alpes, Basses-Alpes, Territoire de Belfort)
Reference : 73582
1906 - Lyon. Association Typographique Lyonnaise, rue de la Barre, 12 - "Ni dieu ni maîtres" - in-8 broché - 57 pages
bon état - couv. très légèrement piquée
Seconde Guerre Mondiale 1939–1945. Dictionnaire: Haute-Savoie- Résistance et Déportation. Nombreuses illustrations. Conseil Général de la Haute-Savoie. Direction des Affaires Culturelle, 2005.In-4(30x21cm)broché, couverture bleue illustrée.197pp.
Bon état
, La salévienne, 1990; grand in-8, 440 pp., cartonnage de l'éditeur. Neuf sous blister0 Cartonnage d"éditeur vert, titre doré -Ouvrage très complet : origines de la commune, la vie au village (habitants, musique, sport, fêtes et coutumes), les administrations (maires, conseils municipaux, employés communaux), la douane au Châble, les équipements de la commune, l"agriculture et les commerces, la vie religieuse, etc… - illustrations nb -.
Neuf sous blister0 Cartonnage d"éditeur vert, titre doré -Ouvrage très complet : origines de la commune, la vie au village (habitants, musique, sport, fêtes et coutumes), les administrations (maires, conseils municipaux, employés communaux), la douane au Châble, les équipements de la commune, l"agriculture et les commerces, la vie religieuse, etc… - illustrations nb -.
sd Edité par la Société d'Horticulture de Haute-Savoie - Sans date - Petit in-8, broché, couverture illustrée - Sans pagination - Nombreuses illustrations in et hors texte en couleurs et en N&B
Bon état - Très légers frottements sur la couverture
Lyon, Textel 1988 In-4 29 x 22 cm. Cartonnage éditeur noir, report titre doré sur le dos et le premier plat, 172 pp., illustrations en noir & blanc, sources et bibliographie. Exemplaire en très bon état.
Très bon état d’occasion
Syndicat d' Initiative Reliure Rigide Illustrée 1964 +/- 40 pages en format 17 - 24 cm - plans et photos en couleurs - pages dépliables
Bon État
"Charles-Henri Martin cultivateur à Collonges-sous- Salève (Haute-Savoie)"
Reference : 15167
(1935)
"1935. Paris Bureau d'Editions 1935 - Agrafé 12 cm x 18 cm 41 pages - Texte de Charles-Henri Martin cultivateur à Collonges-sous- Salève (Haute-Savoie) - Bon état"
CONSERVATOIRE D'ART ET D'HISTOIRE DE LA HAUTE-SAVOIE. 1987. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 130 pages - Nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc hors texte - Jaquette satisfaisante.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art
Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art
Paris, Hachette, 1865. In-12 de VIII et 504 pages. Demi-percaline verte, nombreux tampons de l'O.R.T.F., Radio-France.
Villes et hameaux - jardins et déserts - vie pastorale aux alpes du Chablais - les glaciers du Mont-Blanc et les lacs - légendes et anecdotes...
Chambéry, 1680. Placard de 25 x 38 cm sur vergé.
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Dans l'Illustration du samedi 23 juillet 1892. Fascicule in-f°(300 x 405mm) broché, couverture imprimée. Contient 9 gravures dont une à pleine page illustrant la catastrophe. Trace légère de pliure verticale mais bel exemplaire.
MALO, Léon ; Ingénieur à la Compagnie des chemins de fer du Midi, puis ingénieur des mines d'asphalte de Seyssel (Haute-Savoie) et directeur des mines de la Compagnie générale des asphaltes. - Ancien élève de l'École centrale
Reference : 26109
(1902)
paris Charles Delagrave 1902 -in-8 demi-basane un volume, reliure demi-basane (half binding sheepskin) rouge in-douze (17,8 x 12,2 cm), RELIURE D'ÉPOQUE, dos long (spine without raised band), décoré "or" (gilt decoration), Auteur et Titre frappés "or" (gilt title) avec 2 filets "or" de part et d'autre, double filets "or" en place des nerfs et en tête et en pied, papier marbré rose clair et rose foncé aux plats (cover with marbled paper), toutes tranches lisses (all smooth edges), cachet bleu de "Colportage" du département de la SEINE en bas de la page de faux-titre, sans illustrations (no illustration), 207 pages + 1 p. de Tables, 1865 Paris DENTU Libraire-Editeur,
Type : monographie imprimée ...... TABLE : CHAPITRE I. Notre-Dame-de Brou .......... Page(s) .......... 1, CHAPITRE II. Philibert et Marguerite .......... Page(s) .......... 17, CHAPITRE III. Coup d'oeil sur l'architecture en 1511 .......... Page(s) .......... 49, CHAPITRE IV. Description de l'église .......... Page(s) .......... 93, CHAPITRE V. Chronique de l'église .......... Page(s) .......... 127, CHAPITRE IV. Conclusion .......... Page(s) .......... 147..... RARE ....... en bon trés état (very good condition ). en trés bon état
1 feuille de papier, 51,5x36 cm. (Restauration 2023).
Il s'agit d'un acte authentique de l'officialité de Genève dont la structure du texte est la suivante :- Nomination de Dominique Ducrest, prêtre, à la chapelle Notre-Dame fondée au grand autel de l'église paroissiale de Saint Jorioz (sancti Jorii) suite au décès du chapelain Maxime Granier, par François de Sales, évêque de Genève (franc[iscus] ep[iscopus] gebennensis), 22 [mai] 1618. Signature autographe de François de Sales, évêque de Genève et cachet sec.- Profession de foi de Dominique Ducrest. Le texte commence par la formule "Ego Dominicus Ducrest firma fide credo et profiteor omnia et singula quae continentur in symbolo fidei quo sancta romana ecclesia utitur videlicet..." ; s'ensuit le Credo.- Prise de possession de la chapelle par Dominique Ducrest, 24 mai 1618.Le texte est authentifié par la signature autographe de François de Sales (franc[iscus] ep[iscopus] gebennensis) et par le sceau sec de l'officialité de Genève. L'officialité est un tribunal dont le juge suprême est l'évèque et qui a pour rôle de trancher les différends d'ordre religieux entre les paroissiens et d'instruire les affaires du clergé séculier. Le sceau de l'officialité de Genève a été apposé en regard de la signature. Il est assez peu lisible, mais on distingue deux colonnes surmontées d'un fronton triangulaire entourant saint Pierre portant le livre et la clé. Aux pieds de l'apôtre on devrait voir un écusson portant deux clés en sautoir qui sont les armes de l'évêché de Genève.Notice sur Notre-Dame de Saint-Jorioz (1) :Il semble que la chapelle de Notre-Dame la vieille, établie dans le hameau appelé Chez Tavan, ait été le premier temple chrétien de la contrée. Vint ensuite l'époque, aux environs de 1040, où le prieuré de Saint-Jore fut fondé sur la rive marécageuse du lac, à un kilomètre en aval. Son église devient à la fois priorale et paroissiale, partagée en deux parts par une grille. Le prieuré connut une grande fortune aux XIIe et XIIIe siècles, notamment grâce aux dons des seigneurs de Duin et des nobles du Cengle qui possédaient le château de Villard-Chabod. Puis son union avec le monastère de Talloires inaugura l'ère de la décadence et de la ruine. Dès 1397, le cardinal de Brogny possédait simultanément plus de quarante évêchés et abbayes. Il décida d'unir canoniquement les deux prieurés riverains dont il était abbé commendataire. Le 30 mai 1412, le prieuré de Saint-Jorioz perdit par cette fusion, sa vie propre et son autonomie cinq à six fois séculaire. Les religieux acceptèrent difficilement cette soumission. Des tiraillements incessants, une lutte continuelle, une animosité indélébile engendrèrent procès et décadence jusqu'à ce qu'une convention, signée le 25 novembre 1766 entre le curé de Saint-Jorioz et l'abbé commendataire de Talloires, mette fin à cette situation lamentable. Il fut décidé que les religieux se retireraient définitivement à Talloires, tandis que le curé succéderait à leurs droits et à leurs charges. Le château de Villard-Chabod appartint à la famille du Cengle jusqu'en 1339, date à laquelle il fut vendu pour 1 400 livres de deniers genevois à Daniel et Aymonet Asinari, d'Asti, en Piémont. Au commencement du XIVe siècle, en effet, les nombreux membres de cette famille de riches banquiers acquirent des châteaux, des terres dans les campagnes et des emplacements dans les villes, comme celui de l'actuel Hôtel de ville d'Annecy. Ils étaient alors surnommés "les Lombards", davantage en référence à leur profession qu'à leur nationalité. En 1454, le domaine entra dans la puissante famille des nobles de Beaufort et ce fut Claude qui fut désigné pour en devenir le seigneur. Alors que le château de Noiret revêtait encore sa physionomie de maison forte, la seigneurie appartenait à François-Nicolas de Mompiton, dont le caractère vindicatif et fanfaron terrorisait la rive gauche du lac. Le 30 juillet 1708, Joseph Durand, chapelain de Notre-Dame dans l'église de Saint-Jorioz, qui avait connu de légers démêlés avec lui, fut tué d'un coup de fusil par un de ses affidés, au sortir de la messe paroissiale. L'église paroissiale a été détruite en 1885 et reconstruite.(1) Extrait de la réédition du livre intitulé "Monographie de la paroisse de Saint-Jorioz sur les bords du lac d'Annecy", extraite du n°16 de "Mémoires et documents" publiés par l'Académie paru en 1893. Ref. 1870-3399.
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Annecy, Imprimerie Typo-Offset Gardet, sans date ( ca 1960 ), plaquette agrafée format 235x155mm, 17 pages, nombreuses illustrations sur l'ensemble du catalogue, exemplaire en bon état.
Instruments de Mesurage, Géodésie, Topographie, Traçage, Calibrage, Vérification, Controle...
Guide édité par le Syndicat d'Initiative. Evian les Bains. Imprimerie Munier. s.d. In-8 br. Couverture illustrée en bleu, (papier lgt jauni), 52pp. Nombreuses illustrations et publicités. Charmant.
RENDU (Louis) évêque d’Annecy (Haute-Savoie) né à Meyrin (Ain) en 1789, mort à Annecy en 1859.
Reference : 229C18
Curieux témoignage de ce fougueux polémiste, dont on ne peut citer qu’un mince extrait tant ce contenu est à chaque ligne, une véritable représentation du prêtre catholique qui veut être l’instrument le plus actif et en même temps le plus indispensable de la civilisation. « Je vous remercie Messieurs d’avoir bien présumé de mon zèle pour la civilisation du genre humain et pour celle de l’Afrique » répond-t-il aux membres du Conseil Supérieur de l’Institut d’Afrique, qui l’avait proposé comme vice-président de cette association. « Vous ne vous êtes point trompé et c’est comme prêtre surtout que je crois mériter d’appartenir à l’Institut d’Afrique […] cependant avant de m’associer à vos travaux , j’ai besoin de vous faire quelques observations sur les moyens que vous prétendez mettre en œuvre pour rendre aux habitants de l’Afrique toutes les lumières morales qui font maître le besoin des arts, qui préparent les succès de l’industrie et qui font germer dans le cœur cet amour de la liberté qui n’est incompatible ni avec l’ordre ni avec l’autorité… ». Toutefois à la lecture du prospectus reçu pour cette occasion, il tient à exprimer aux membres du Conseil, ses craintes et en particulier sur l’un des articles. « … en considérant le principe religieux comme éminemment civilisateur vous voulez introduire en Afrique, des missionnaires de toutes les religions et favoriser les influences de toutes les sectes. Si telle est votre pensée, vous comprendrez facilement que la coopération à une œuvre de telle nature ne peut convenir à un prêtre catholique. Organe de la vérité venue d’en haut le prêtre catholique ne pourrait pactiser avec l’erreur alors même que l’erreur pourrait conduire au but louable qu’il se propose. La seule idée d’un prêtre catholique appartenant à une société formée pour envoyer chez les peuples barbares des missionnaires schismatiques, méthodistes, Juifs, Luthériens contient quelque chose qui répugne à la droite raison. […] En effet en appelant chacun à travailler selon sa foi à la régénération de l’Afrique, vous admettrez donc des missionnaires de l’Islamisme ?... Mais n’est-ce pas pour détruire, dans ces belles contrées, les mœurs barbares que les disciples de Mahomet y ont fait naître…. Vous admettrez donc les Israélites à porter, à propager leurs croyance dans des contrées où déjà elles ne font que trop de mal ; mais le Judaïsme qui était une religion d’attente et pour ainsi dire une doctrine de transition, le Judaïsme ne peut être favorable à la civilisation, ni par son actualité, ni par son actualité, ni par ses sympathies pour le progrès… ».