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‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 28877

(1916)

‎Le Poète assassiné.‎

‎ Avec une enveloppe au «S=Lieutenant Guillaume de Kostrowitsky» Paris, Bibliothèque des Curieux, 1916. 1 vol. (115 x 185 mm) de 316 p. et [1] f. Demi-maroquin havane à coins, dos à nerfs, titre doré, date en pied, tête dorée, couvertures et dos conservés (reliure signée de Vermorel). Édition originale. Jointe : enveloppe d'expédition adressée à Apollinaire (145 x 110 mm, cachet de la Poste « Paris, 28 janvier [19]16 », avec son nom souligné 2 fois en rouge et bleu, formant avec l'espace entre les traits le drapeau français : elle est adressée à « Guillaume de Kostrowitsky / S=Lieutenant au 96 regt d'infanterie / Secteur Postal 139 ».‎


‎L'enveloppe est imprimée à l'en-tête de « Hotel de Castille 37 rue Cambon à Paris » : à cette date, deux personnalités proches d'Apollinaire y résident : Natalia Gontcharova et Mikhaïl Larionov, pour qui le poète avait donné, en 1914, la préface pour le catalogue de l'ouverture de la galerie Paul Guillaume, qui présentait les oeuvres des deux artistes. En mars, il écrit à leur sujet à Max Jacob : " MM. GONTCHAROVALARIONOF [sic] sont je crois toujours hôtel de Castille, rue Cambon, je leur ai envoyé un poème qu'ils voulaient publier à Paris [...] mais je crains qu'ils le publient en Russie sans le publier ici [...] si tu avais du temps tu irais le copier et me ferais plaisir " (lettre à Max Jacob, 14 mars 1916, collection R.B.L., 22 mai 2019, n° 9). Sous-lieutenant d'infanterie depuis le 18 novembre 1915, Apollinaire regagne Paris début janvier, après sa rupture avec Louise de Coligny-Châtillon, à qui il écrit pour la dernière fois le 18 janvier 1916. Son régiment entre en repos en janvier et février et Apollinaire a alors quelque loisir pour écrire et terminer les nouvelles d'un futur recuei de nouvelles, le deuxième après L'Hérésiarque et Cie (publié en 1910) : un ensemble de textes écrits entre 1900 et 1913, mais qu'il est en train, comme l'attestent les manuscrits, de considérablement remanier. Il retire cinq contes et en ajoute un dernier, le « Cas du brigadier masqué c'est-à-dire le poète ressuscité ». Début février, il peut écrire à son éditeur P.V. Stock qu'il a « l''intention de faire paraître un volume de nouvelles si je trouve un éditeur. Je l'intitulerai le poète assassiné (...)", et pour lequel il souhaite contacter les frères Briffaut, fondateurs de la maison d'édition Bibliothèque des Curieux. Apollinaire leur confiera l'édition de son recueil, en octobre. Il repart sur le front début mars, après une ultime permission à Oran chez Madelaine Pagès, avant de monter en ligne avec son unité à quelques kilomètres de Berry-au-Bac. mars : blessé le 17 mars par un éclat d'obus qui l'atteint à la tempe droite, il est transféré à l'hôpital italien du Quai d'Orsay, il est trépané le 9 mai et reçoit la Croix de guerre le 17 juin. Le recueil sera livré en librairie en novembre, avec, en frontispice, un portrait du « sous-lieutenant Guillaume Apollinaire » par André Rouveyre, répondant au dessin de couverture de Leonetto Cappiello : une illustration en couleurs montrant un cavalier au front sanguinolant. Le 9 novembre 1918, presque deux ans jours pour jours après la parution de ce livre, le poète mourrait de la grippe espagnole dans Paris presque libéré. Bon exemplaire, sans rousseurs. Reliure modeste ; couverture légèrement rognée en marge. ‎

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EUR400.00 (€400.00 )

‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 19627

(1913)

‎L'Antitradition futuriste.‎

‎ [Paris, 29 juin 1913]. 4 p. en 1 f. (460 x 295 mm), impression en noir. 14e des Manisfestes du mouvement futuriste dû à Guillaume Apollinaire. La direction du mouvement était établie Corso Venezia, 61 à Milan. Un des rares exemplaires sur grand papier blanc. De la collection Guillaume Apollinaire (cachet). ‎


‎Après son livre-manifeste Les Peintres cubistes, paru en mars 1913, Apollinaire reçut de nombreuses critiques. La classification qu'il tente du cubisme ne fut pas comprise bien qu'il voulût, lui, dépasser les querelles d'école et, « déplacer les lignes ». Ce qu'il fera à nouveau en composant pour Marinetti, ce tract. Le poète y fait le point sur ses rapports avec le mouvement de Marinetti et son oeuvre. Quelques mois plus tard, en juillet 1914, il publie encore dans Les Soirées de Paris plusieurs « idéogrammes lyriques » : les futurs Calligrammes. ‎

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‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 30863

(1916)

‎Le Poète assassiné.‎

‎ Avec billet autographe, relatif au volume Paris, Bibliothèque des Curieux, 1916. 1 vol. (120 x 190 mm) de 316 p. et 1 f. Broché, sous chemise et étui signé (A. Devauchelle). Édition originale. Exemplaire enrichi d'un billet autographe (encre sur papier, 145 x 100 mm) comportant des notes de travail inédites. ‎


‎Sous un titre et une couverture prémonitoires, Apollinaire publiait à l'automne 1916 un recueil de contes conçu avant la guerre. Des écrits initiaux, il en retrancha cinq et en ajouta un nouveau qui inspira et le titre, et le dessin de couverture de Leonetto Cappiello, « Le cas du brigadier masqué ou Le Poète assassiné ». Lorsque paraît le recueil, le poète est encore convalescent, après avoir été grièvement blessé à la tempe par un éclat d'obus. Fragilisé par plusieurs trépanations, rendu à la vie civile et décoré de la Croix de guerre, il renoue avec la vie artistique et littéraire : c'est son ami André Rouveyre qui croque le portrait du « sous-lieutenant Guillaume Apollinaire » que l'on retrouve au frontispice. Très bel exemplaire admirablement conservé : il est accompagné d'un intéressant fragment autographe qui contient, au verso, des notes relatives au Poète assassiné. La première concerne « La Chasse à l'aigle » (le 13e conte), dont le sujet - le fils de Napoléon - troublera Apollinaire toute sa vie durant - ; il imagine à ce moment d'autres titres pour ce texte, comme « L'Homme au masque en bec », « Fils de l'Aiglon » ou encore « Convocation de Vienne ». Suivent des notes, sans doute des projets d'autres contes ou nouvelles : « celui qui va tous les soirs chercher une étrangère à la gare du nord » ; « le nouveau Christ rabbin remontre le Rhin - la muraille rentre » ; « La tirade - idée à trouver » ; « prostituée : la mère et ses deux fils dans le même lit et ne s'en aperçoivent pas » ainsi qu'un dessin abstrait et le fragment d'un autre. Au verso, on trouve dix lignes d'un texte qui renvoie plutôt à la période de L'Hérésiarque et dont c'est ici la version princeps, « Le Nom du diamant » demeurée à l'état de projet et intitulée in fine « Un vol à l'Elysée ». Analysée par Jean-Louis Cornille dans son Apollinaire et Cie ce conte met en scène l'aventure du baron d'Ormesan, personnage que l'on retrouve dans L'Hérésiarque. La version embryonnaire consignée ici par Apollinaire en constitue le synopsis, différente de la version finale (cf. Pléiade, OEuvres en prose), mais on y retrouve le fil : un diamant célèbre, un dîner chez l'ambassadrice, un président invité et qui avale par mégarde le dit diamant, un enquêteur qui le retrouve dans les fèces présidentielles, avant d'être félicité et décoré pour sa perspicacité ! L'exemplaire provient de la bibliothèque de Marcel Adema, biographe et bibliographe de Guillaume Apollinaire ; il fut notamment en charge de l'édition des OEuvres complètes dans La Pléiade et de l'album Apollinaire consacré au poète. ‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 24366

(1916)

‎Lettre autographe signée.‎

‎ L'annonce du Poète assassiné « 5 février 1915 [pour 1916] » [sic]. 1 page en 1 f. (105 x 145 mm) de 26 lignes. Belle missive à l'éditeur Pierre-Victor Stock, écrite du front, datée «5 février 1915» - mais à rectifier : il s'agit en réalité de 1916, un mois avant que Guillaume Apollinaire ne soit grièvement blessé à la tête, le 17 mars, par un éclat d'obus. Au verso, adresse « Monsieur Stock, éditeur à la librairie Stock - Place du théâtre français - Paris » et «Envoi du sous-lieutenant G. Kostrowitzky - 96e d'infanterie, 6e Cie, secteur 139 », franchise militaire avec cachet du 7 février 1916. ‎


‎S'adressant à l'éditeur Pierre-Victor Stock, Apollinaire évoque pour la première fois de manière directe son projet de recueil de nouvelles, Le Poète assassiné : « J'ai l'intention de faire paraître un volume de nouvelles si je trouve un éditeur. Je l'intitulerai Le Poète assassiné. Voulez-vous me refuser cet ouvrage de façon à ce que je puisse chercher un éditeur. » Signe de tensions éditoriales, il demande une fin de non-recevoir formelle pour pouvoir démarcher ailleurs - tout en affirmant vouloir se tenir à l'écart de la maison des frères Briffaut, qu'il désigne de façon allusive : « Je vous donne ma parole d'honneur de ne point publier ce livre dans une maison qui de près ou de loin touche à M.B. » Et d'ajouter : « Au demeurant, j'essaierai au Mercure, je ne sais si je réussirai. » L'ironie du sort veut que ce soit justement Georges et Robert Briffaut, fondateurs de la Bibliothèque des Curieux, qui publieront Le Poète assassiné en octobre 1916. Entre ce projet encore flou de février et la publication effective, il y aura donc la blessure, l'opération au Val-de-Grâce, et la lente reconstruction du poète désormais trépané. ‎

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EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 26462

(1909)

‎L'OEuvre du Divin Arétin.‎

‎ Paris, Bibliothèque des curieux, coll. « Les maîtres de l'amour », 1909 1 vol. (135 x 220 mm) de 228 p., [1] et 1 f. Maroquin framboise, dos à nerfs orné, titre doré, couvertures conservées. Édition originale. Introduction et notes de Guillaume Apollinaire. Couverture tachée, dos passé.‎


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‎APOLLINAIRE (Guillaume) [et DALIZE (René)]‎

Reference : 28770

(1913)

‎La Rome des Borgia.‎

‎ Envoi autographe signé. Premier tirage. Paris, Bibliothèque des curieux, 1913. 1 vol. (140 x 225 mm) de 301 p., [2] f. et 1 f. Demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs, titre doré, tête dorée, couverture et dos conservés (Reliure signée de Goy et Vilaine). Édition originale, ornée de 10 hors textes. Exemplaire du premier tirage, avec la date de 1913 et la mention de « dix illustrations hors texte ». Un second état, daté de 1914 et mentionnant « huit illustrations hors texte » est celui que l'on rencontre fréquemment. Les grands papiers (10 japon et 10 vergé d'Arches) semblent tous du premier millésime. Envoi signé : « À Monsieur Georges Bonnamour son admirateur depuis longtemps. Guillaume Apollinaire ». ‎


‎L’édition fut composée avec René Dalize, poète d’origine créole né à Paris en 1879 et fondateur avec Apollinaire de la revue Les Soirées de Paris. Les deux poètes explorent les possibilités du mal par la décomposition morale caractéristique d’un pouvoir total – celui du Prince – qui suffit à suggérer l’effroi. « Le manuscrit de la Rome des Borgia, qui est de l’Histoire romanesque, nous a été remis par la veuve d’un illustre historien […]. Nous y avons joint un certain nombre de documents qui ne peuvent qu’augmenter l’intérêt historique d’un livre qui n’est nullement dirigé contre la religion ni contre ses ministres, mais relate simplement des mœurs très différents des autres », avertit Apollinaire. Et de nous transporter dans la capitale de la Renaissance au temps du règne d’Alexandre VI, à l’époque la plus violente et la plus raffinée de cette période. Ce roman historique, où Sade complète Dumas, évoque sans tout à fait les décrire les turpitudes, crimes et abus d’un univers clos par la puissance, celle des Borgia, de leurs orgies, incestes et de leur usage immodéré du fameux poison qu’ils avaient inventé, la cantarella, associé à l’arsenic. Un catalogue d’abominations qui annonce le théâtre de la cruauté, dont Antonin Artaud situera également un exemple dans l’Italie renaissante. Dalize, à qui sera dédié Calligrammes, meurt en 1917 « dans l’oubli désolé d’un combat de décembre », par un obus au plateau de Californie, partie orientale du Chemin des Dames qui domine le village de Craonne : « je perds outre un compagnon délicieux mon plus ancien mon meilleur ami. Cela ne se remplace pas et celui-là était d’une qualité unique » (lettre du 21 mai 1917 à Georgette Catelain). Sa rencontre avec Apollinaire date de 1892, au collège catholique Saint-Charles de Monaco. Cette période est évoquée dans le poème « Zone » d’Alcools, et Dalize est également cité dans Le Poète assassiné et dans le poème de « La Colombe poignardée par la paix ». Georges Bonnamour (1866-1954) était journaliste et écrivain, actif dans La Plume puis La Revue indépendante. Son joli ex-libris, composé par Georges Auriol, figure sur le feuillet dédicacé. ‎

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EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 25828

(1910)

‎L'Hérésiarque et Cie.‎

‎ Paris, P.-V. Stock, 1910. 1 vol. (115 x 185 mm) de 288 p. et 1 f. Bradel demi-maroquin vert, titre doré, tête dorée, couvertures et dos conservés. Édition originale. ‎


‎« J'ai la faiblesse de me croire un grand talent de conteur», avouait Apollinaire. Jugement partagé par André Billy, qui saluait ces textes comme « le modèle d'une invention merveilleuse et d'un style dont la transparence et la fluidité découragent l'analyse » furent un temps pressentis pour le Goncourt et passèrent même le premier tour en tête avec trois voix ; Colette (La Vagabonde), deux, comme Poinsot et Audoux. Enfin, Pergaud, une voix. Mais finalement, l'élu fut Louis Pergaud avec de Goupil à Margot. A l'issue du scrutin, Elémir Bourges déclara :-- Mais, mon cher, c'est toujours ainsi. Nous votons délibérément, au premier tour, pour ceux qui ont le moins de chances. -- Et alors ? -- Alors, nous leur faisons une petite réclame.... C'est une compensation. (in Deffoux, Chronique de l'Académie Goncourt, Paris, 1929). Sans doute les rondes endiablées des héros alchimistes, des vrais imposteurs et faux messies, des criminels en instance de béatification, d'ivrognes luxurieux ou d'assassins sanctifiés, qui comptent parmi les plus extraodinaires de la littérature fantastique, effrayèrent-ils les convives du Goncourt. Souvent irrévérencieux et parodiques, ces récits imitent à la perfection - et l'érudit Apollinaire s'y connaissait - les épisodes les plus singuliers de l'histoire ecclésiastique, en puisant dans les traditions folkloriques et fantastiques. Malgré un apparent désordre - 23 contes composés entre 1902 et 1910 -, L'Hérésiarque n'en obéit pas moins à une vivante logique, suivant un jeu d'assonances et d'affinités qui prévaudra plus tard dans Alcools. ‎

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‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 28460

(1910)

‎L'Hérésiarque et Cie.‎

‎ Paris, Stock, 1910. 1 vol. (115 x 185 mm) de 288 p. et 1 f. Bradel vélin, double pièce de titre en chagrin havane et bordeaux, couvertures et dos conservés (reliure de l'époque). Édition originale. ‎


‎« J'ai la faiblesse de me croire un grand talent de conteur», avouait Apollinaire. Jugement partagé par André Billy, qui saluait ces textes comme « le modèle d'une invention merveilleuse et d'un style dont la transparence et la fluidité découragent l'analyse » furent un temps pressentis pour le Goncourt et passèrent même le premier tour en tête avec trois voix ; Colette (La Vagabonde), deux, comme Poinsot et Audoux. Enfin, Pergaud, une voix. Mais finalement, l'élu fut Louis Pergaud avec de Goupil à Margot. A l'issue du scrutin, Elémir Bourges déclara :-- Mais, mon cher, c'est toujours ainsi. Nous votons délibérément, au premier tour, pour ceux qui ont le moins de chances. -- Et alors ? -- Alors, nous leur faisons une petite réclame.... C'est une compensation. (in Deffoux, Chronique de l'Académie Goncourt, Paris, 1929). Sans doute les rondes endiablées des héros alchimistes, des vrais imposteurs et faux messies, des criminels en instance de béatification, d'ivrognes luxurieux ou d'assassins sanctifiés, qui comptent parmi les plus extraodinaires de la littérature fantastique, effrayèrent-ils les convives du Goncourt. Souvent irrévérencieux et parodiques, ces récits imitent à la perfection - et l'érudit Apollinaire s'y connaissait - les épisodes les plus singuliers de l'histoire ecclésiastique, en puisant dans les traditions folkloriques et fantastiques. Malgré un apparent désordre - 23 contes composés entre 1902 et 1910 -, L'Hérésiarque n'en obéit pas moins à une vivante logique, suivant un jeu d'assonances et d'affinités qui prévaudra plus tard dans Alcools. ‎

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‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 9683

(1914)

‎Et moi aussi je suis peintre.‎

‎ Paris, Soirées de Paris, s.d. [1914] 1 f. recto (138 x 202 mm), impression noire sur fond crème. Bulletin de souscription pour l'album d'idéogramme lyrique, Les Soirées de Paris. Parfait état.‎


‎En 1914, infuencé par le futurisme et par la « surprise » du collage cubiste, Apollinaire projette de faire paraitre un recueil d'« idéogrammes lyriques », qu'il met en souscription sous le titre « Et moi aussi je suis peintre ». Il indique par là sa volonté d'apporter une réponse poétique à l'introduction du langage dans la peinture cubiste. Ce recueil ne paraitra profondément remanié et enrichi, en raison de la guerre, qu'en 1918 : ce sera Calligrammes. Ce rare bulletin de souscription de l'oeuvre mort-née sera encarté dans la livraison de juillet-aout 1914 des « Soirees de Paris ». ‎

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EUR400.00 (€400.00 )

‎APOLLINAIRE (Guillaume)‎

Reference : 30430

(1929)

‎Contemporains pittoresques.‎

‎ Un des 15 premiers exemplaires sur japon - le n° 1 Paris, Les Éditions de la Belle Page, (18 janvier) 1929. 1 vol. (155 x 200 mm) de 100 p., [4] et 1 f. Broché, à toutes grandes marges, non coupé. Édition originale. Portrait de l'auteur en frontispice par Picasso, ici en 3 états supplémentaires sur chine dont celui du cuivre barré. Un des 15 premiers exemplaires sur japon (n° 1). ‎


‎C'est dans la gazette Les Marges de son ami Eugène Montfort - sous le pseudonyme de Louise Lalanne - qu'Apollinaire s'intéresse à ses contemporaines : Judith Gautier, Anna de Noailles, Renée Vivien ou encore Colette. D'autres chroniques seront ensuite rédigées, cette fois sous son nom, dans Les Marges toujours, au début des années 1910. Elles seront réunies dix ans après la mort du poète, aux Éditions de la belle page, dans la « collection des Contemporains pittoresques », selon le titre initial de ces chroniques dans la revue : Jarry, Moréas, Ernest La Jeunesse, Mendès, Ponchon, « où se reflète sa curiosité des êtres exceptionnels, hors-série, constituant par eux-mêmes une sorte de preuve de ce qu'il y a de richesse et d'infinie diversité dans l'espèce humaine. » Seuls les exemplaires sur japon contiennent le portrait en plusieurs états. Ce portrait caricature de Picasso a connu plusieurs variantes, dont la plus ancienne date de 1906 et que l'artiste nomma « Don Guillermo Apolliner ». ‎

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EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎DURAND DE MENDE Guillaume,‎

Reference : 19918

(2005)

‎Manuel pour comprendre la signification symbolique des cathédrales et des églises.‎

‎Lugrin, éditions la maison de vie, le message initiatique des cathédrales, 2005. In-8°, 142 pp., intérieur frais. Br., couv. ill. Bon état général.‎


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EUR15.00 (€15.00 )

‎POSTEL Guillaume,‎

Reference : 19945

(1972)

‎Apologies et rétractations.‎

‎Nieuwkoop, B. de Graaf, 1972. In-8°, 271 pp., intérieur frais. Reliure d'éditeur pleine percaline verte, dos lisse titré doré. Très bon état général.‎


‎Manuscrits inédits publiés avec une introduction et des notes par François Secret. ‎

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EUR60.00 (€60.00 )

‎BAILLOU Guillaume de,‎

Reference : 19464

(2021)

‎Les deux livres des épidémies et éphémérides.‎

‎Paris, les belles lettres, science et humanisme, 2021. Fort in-8°, cxxx-428 pp., intérieur frais. Br. Proche du neuf.‎


‎Edition critique, traduction et notes. Présentation et notes de Joël Coste. Traduction d'Hélène Kalnin-Maggiori et Joël Coste. ‎

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EUR40.00 (€40.00 )

‎POSTEL Guillaume,‎

Reference : 10518

(1899)

‎Absconditorum Clavis.‎

‎Paris, Bibliothèque Chacornac, coll. "bibliothèque rosicrucienne, 2e série n°3". 1899. E.O. Tirage à très petit nombre. In-8°, 100 pp.- 2 ff. non-chiffrés (table clavigère et Clef cabbalistique de David.). Br. (gardes brunies, ancienne étiq. de classement sur le 1er de couv.). BEL EXEMPLAIRE de cette RARE ÉDITION ORIGINALE.‎


‎Traduit du latin pour la 1re fois. PROVENANCE : Lucien Bodin, librairie en Sciences Occultes, etc. (Ex-libris au verso du 1er de couv.). # Caillet iii-8888 : "Splendide ouvrage de haute kabbale portant en faux-titre : clef des choses cachées dans la constitution du monde par laquelle l'esprit humain, dans les notions tant divines qu'humaines, parviendra à l'intérieur du voile de l'Eternelle Vérité. A la fin se trouve la "Clef de la Clef de l'auteur" donnée par l'éditeur et qui n'est pas moins importante que l'ouvrage lui-même. Pentacle mystérieux, représentant une clef synthétique de la plus haute portée. Recommandé à tous les kabbalistes."‎

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EUR250.00 (€250.00 )

‎GUINDLEY Guillaume‎

Reference : 935

‎Trajectoire‎

‎Paris, P.U.F., 1984 in 8 broché de 96 pages‎


‎Édition originale dont il n'est pas annoncé de grands papiers. Envoi de l'auteur.‎

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EUR18.00 (€18.00 )

‎APOLLINAIRE Guillaume‎

Reference : 10050

‎Les Diables Amoureux‎

‎Paris, N.R.F, Gallimard, 1964 in 8 broché de 286 pages‎


‎Très discrète trace de pli au dos sinon bel exemplaire très frais.‎

Phone number : 33 06 81 87 53 59

EUR15.00 (€15.00 )

‎COQUILLART, Guillaume, disciple de François Villon.‎

Reference : LCS-17818

‎Les Poésies de Guillaume Coquillart, official de l’Église de Reims. L’exemplaire en reliure strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon‎

‎Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque. A Paris, Imprimerie Antoine-Urbain Coustelier, 1723. 1 volume petit in-8 de (3) ff., 184 pp., (2) ff. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs finement orné de même, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 157 x 98 mm.‎


‎Première édition complète. L’exemplaire relié en maroquin strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon dont Jean-Paul Barbier écrit à propos d’une édition rare : « Un des volumes poétiques les plus précieux qui soient ». « Guillaume Coquillart brode avec une verve très débridée et nous a tracé ainsi un tableau de la vie bourgeoise et galante de son temps qui est riche en caricatures alertement dessinées. Coquillart a visiblement imité Villon et lui a pris les caractères les plus extérieurs de son style ». « Auteur comique important dans sa jeunesse, Guillaume Coquillart mourut en 1510, personnage considérable et considéré de Reims. Son œuvre théâtrale même semblerait avoir ajouté à son autorité. La production de Guillaume Coquillart valut à son auteur la renommée auprès du public et des écrivains. Ainsi est-il cité par Clément Marot aux côtés de Villon, Jean Molinet et Jean Le Maire. Autre preuve, peut-être, de cette influence : la composition des Droits nouveaulx establis sur les femmes, imitation des Droitz nouveaulx. » Guillaume Coquillart descend d’une famille versée dans le droit, occupée des affaires municipales (d’autres Coquillart figurent dans les archives de la ville) qui compte, avec son père, un traducteur, poète à l’occasion. Il naquit vers 1452. En 1477, il est reçu bachelier en droit canon à Paris. C’est dans ces années d’études qu’il convient de situer la plus grande partie de son œuvre, une œuvre de théâtre comique surtout. Le Plaidoié et l’Enqueste d’entre la Simple et la Rusee sont les deux parties d’un même procès parodique, dont l’enjeu est un jeune homme, le Mignon, que se disputent deux femmes. Ces deux pièces furent écrites pour le carnaval de 1478 et 1479. De la même veine sont les Droitz nouveaulx (1480). Il ne s’agit plus d’un texte dramatique, mais d’un divertissement. Usant d’un code scabreux, l’auteur y résout des cas parfois proches de ceux des Arrêts d’amour de Martial d’Auvergne. C’est à la même période (vers 1480) qu’appartient le Monologue Coquillard ou de la botte de foin. Cette fois, il n’y a pas de procès et aucun comique d’inspiration juridique. Un jeune amoureux vantard et élégant vient débiter sur scène sa déconvenue : le mari de sa maîtresse rentré à l’improviste, il a dû passer la nuit au grenier, caché sous une botte de foin. Il est considéré comme l’inventeur du monologue théâtral. La critique moderne s’intéresse beaucoup à Coquillart, ainsi qu’en témoignent les essais suivants : . Balsamo, Jean, « Galliot du Pré, éditeur de Guillaume Coquillart », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 95-112. . Bernard, J.-M., « Guillaume Coquillard, la poésie bourgeoise au XVe siècle », Revue critique des idées et des livres, 22, pp.429-442. . Chevalier, Jean-Frédéric, éd., Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, 197 pp. . Dérens, Jean, La vie et les œuvres de Guillaume Coquillart, diplôme d'archiviste paléographe, École nationale des chartes, Paris, 1967. - Résumé dans Positions des thèses de l'École des chartes, 1967, pp. 17-20. Thèse consultable aux Archives nationales à Paris sous la cote AB XXVIII 408. . d'Héricault, C., « Un poète bourgeois au XVe siècle, Guillaume Coquillart », Revue des Deux- Mondes, 7, pp. 970-1000; 8, pp. 508-537. . Freeman, Michael, « Guillaume Coquillart ou l'envers de la sagesse », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 11-26. . Koopmans, Jelle, « Esthétique du monologue : l'art de Coquillart et compagnie », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 27-44, etc… Cette édition est la plus correcte de toutes celles qui aient été faires des œuvres de Coquillart. (Viollet-le-Duc). Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque.‎

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‎Isaac Lemaistre de Sacy; Guillaume-Nicolas Desprez; Pierre-Guillaume Cavelier; Karl Audran; Lubin Baugin;‎

Reference : 19126

‎De l'Imitation de Jesus-Christ. Traduction nouvelle. Par le sieur de Beuil, prieur de Saint Val. Nouvelle edition.‎

‎ A Paris, chez Guillaume Desprez, imprimeur ordin. du Roi & du clergé de France ; Pierre-Guillaume Cavelier libraire : rue S. Jacques à S. Prosper & aux Trois Vertus. M. DCCL. Avec approbations, & privilege du Roi, 1750, LVI-563-[4-1 bl.] p., [5] f. de pl. : ill. ; in-8 veau epoque,.Page de titre manquante,reliure tres frottée,coins un peu émoussés, petit manque en queue, sinon bon exemplaire‎


‎En tête : dédicace à Anne Marie Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier ; avertissement ; table ; "Préparation à la messe" (Ps. 83) ; "Action de graces après la messe" (Ps. XXII et CL) ; ordinaire de la messe en français et en latin. En fin : litanies de Jésus-Christ, du Saint-Sacrement, de la Vierge, en français.Approbation (Paris, 1er février 1662 et 8 mars 1662). Privilège d'ensemble du 16 juillet 1745, incluant "l'Imitation... par [Saci] sous le nom de De Beuil", octroyé à Guillaume-Nicolas Desprez, cédé pour moitié à Pierre-Guillaume Cavelier, le 17 juillet 1745.Version d'Isaac Lemaistre de Sacy.Sig. a-c8, d4, A-Z8, Aa-Mm8, Nn4.Marque à la Foi au titre.Les planches sont des copies de celles des éditions précédentes, gravées par Karl Audran d'après Lubin Baugin pour le frontispice et les planches I, III, IV, et par Abraham Bosse d'après Philippe de Champaigne pour le livre II. Le frontispice signé "Lucas" est repris de l'édition de 1725, dont il a conservé l'adresse gravée ("A Paris chez [Guillaume II] Desprez et [Jean] Desessartz. MDCCXXV").Description : LVI-563-[4-1 bl.] p., [5] f. de pl. : ill. ; in-8 Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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‎POSTEL, Guillaume‎

Reference : LCS-16169

‎De la République des Turcs : & là où l’occasion s’offrera, des meurs & loy de tous Muhamedistes. La société ottomane à la Renaissance par Guillaume Postel‎

‎L’édition originale de La République des Turcs de Guillaume Postel, « l’un des ouvrages les mieux documentés sur la société ottomane à la Renaissance ». Poitiers, Enguibert de Marnef, 1560. 3 parties en 1 volume petit in-4 de : I/ (1) f.bl., (4) ff., 127 pp., (1) p.bl. ; II/ 57 pp., (3) pp.bl. ; III/ (4) ff., 90 pp., (1) f.bl., suite de 56 gravures à pleine page numérotées (sur 57) reliée à la suite, (1) f.bl. Relié en plein veau brun granité de l’époque, triple filet à froid encadrant les plats, dos à nerfs finement orné, coupes décorées, tranches rouges. Reliure du XVIIIe siècle. 205 x 146 mm.‎


‎Rare édition originale de ces trois livres connus sous le titre général de « La République des Turcs », composés par l'orientaliste Guillaume Postel (1510-1581). Brunet, IV, 839 ; Graesse, Trésor de livres rares, 424 ; Fairfax Murray, French, n°454 (pour la seconde édition). Il s’agit de « l’un des ouvrages les mieux documentés sur la société ottomane à la Renaissance » (M. Bertaud, Les Grandes Peurs, II, p. 295). « Guillaume Postel (1505-1581) est l’un des hommes les plus savants de son époque et un visionnaire célèbre. Son ardeur pour l’étude était fort grande ; mais la misère le contraignit à quitter son pays pour aller chercher des moyens d’existence […] Il fut heureux d’accompagner à Constantinople La Forest, envoyé en Turquie pour négocier quelques affaires… Postel publia bientôt après un alphabet en douze langues et quelques autres ouvrages. François Ier l’avait nommé en 1539 professeur de mathématiques et de langues orientales au Collège royal ; mais enveloppé dans la disgrâce du chancelier Poyet, il quitta la France. Postel se trouvait à Rome vers 1554, lorsqu’il y connut Ignace de Loyola et il voulut alors entrer dans la Compagnie de Jésus. Après deux ans de noviciat il fut chassé de l’ordre par Ignace de Loyola. Les écrits dans lesquels Postel exposait ses idées mystiques le firent mettre en prison ; il s’échappa, et alla à Venise, où d’autres dangers l’attendaient. Dénoncé à l’Inquisition, il se constitua lui-même prisonnier et fut mis en liberté par le tribunal. Les nombreux écrivains qui se sont occupés de Postel sont loin d’être d’accord sur les événements de sa vie à partir de cette époque. Le seizième siècle prisa très haut le vaste savoir de Guillaume Postel, considéré par François Ier et la reine de Navarre comme un prodige d’érudition. Son entretien était recherché des plus grands seigneurs, tels que les cardinaux de Tournon, de Lorraine et d’Armagnac. On assure que quand il enseignait à Paris dans le collège des Lombards, il attirait une si grande foule d’auditeurs, que comme la grande salle du collège ne pouvait les contenir, il les faisait descendre dans la cour et leur parlait de la fenêtre. Quelque opinion que l’on se forme des sentiments exprimés par Postel dans ses nombreux ouvrages, il est juste de remarquer que tous les historiens rendent hommage à la pureté de ses mœurs, à la sagesse de sa conduite et à l’aménité de son caractère. » (Biographie générale, XL, 879-885). « Plusieurs attributs conviennent au nom de Guillaume Postel. Ce fut un voyageur ; un savant, que François Ier nomma parmi les lecteurs royaux comme professeur de langues orientales ; un visionnaire aussi, rêvant de ramener tous les hommes à la loi chrétienne, sous l’autorité du roi de France ». En 1536, les dons extraordinaires de Postel pour les langues lui valent de suivre en Turquie Jean de La Forest, ambassadeur de François Ier auprès du sultan Soliman II le Magnifique. Le Levant est une révélation, Postel en goûte l’art de vivre, y apprend l’arabe et conçoit le dessein de convertir les musulmans à la religion chrétienne. Plus qu'une relation il s'agit d'un véritable rapport de mission, dont l'écriture commença a partir de 1538. « Le but de l’ouvrage est clairement exprimé dans l’épître dédicatoire au dauphin figurant au livre I : il est primordial que ce dauphin, ‘futur empereur de son pays’, puisse ‘en voyant l’histoire et l’image du plus grand état et Prince de l’Orient’ se rendre digne de posséder les biens de son ‘plus grand ennemi quant à la religion’. Il sera d’autant plus capable de ‘débiliter’ cet ennemi qu’il sera par le menu informé de ce qui se passe chez cette ‘force turquesque’. Postel prévient ainsi qu’il écrit ce qu’il a vu, comme témoin de la puissance turque et de la grandeur de Soliman. Ce n’est pas la chronique d’un chrétien échappé d’Orient ; ce n’est pas non plus un récit de voyage plus ou moins romancé. C’est un rapport de mission. Et le scandale est là pour une opinion française qui, depuis vingt ans, lit des propos bien différents sur cet empire d’Orient. » (C. Postel, Les écrits de Guillaume Postel, p. 94). Il s'agit des trois seuls livres imprimés par Enguilbert de Marnef en cette année 1560. Ils portent la marque de l'homme au miroir sur les feuillets de titre. Cette œuvre formera l'une des références de l'Essai sur l'origine des langues de Jean-Jacques Rousseau. “Postel's work on Ottoman Empire ... represents the fruition of his experiences in the East and his appreciation of Islam” (Atabey, 977). Se trouve reliée in-fine une suite de 56 superbes gravures à l’eau-forte légèrement postérieures, représentant les costumes du levant, numérotées 1 à 56 (manque la n°17). Elles s’apparentent à celles de Nicolay dans son livre « Livre des Navigations et pérégrinations orientales » publié dans ce format en 1576. Très bel exemplaire de ce livre estimé et rare, conservé dans son élégante reliure du XVIIIe siècle.‎

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‎GUILLAUME, Charles.‎

Reference : LCS-18429

‎Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés, Par M. Ch. Guillaume, avec une explication des figures. Ouvrage dédié à MM. les cultivateurs. Cet Ouvrage, ainsi que les Instrumens qui y sont mentionnés, se vendent à l’atelier de l’Auteur, rue du Faubourg Saint-Martin. « La révolution agricole » due aux nouveaux instruments aratoires, reliée et offerte au Tsar Alexandre Ier, petit-fils de Catherine II.‎

‎Edition originale rare représentant les «Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés par Charles Guillaume» sous l’empire et la restauration. Paris, Imprimerie de Madame Huzard, Janvier 1821. In-folio oblong de (28) pp. et 12 planches numérotées. Rares rousseurs sur les planches. Plein maroquin vert à grain long, plats ornés d’une dentelle droite en encadrement, armes au centre surmontant la mention frappée en lettres d’or «Atlas d’Instruments Aratoires», dos lisse orné, roulette intérieure et sur les coupes, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque. 275 mm. x 417 mm.‎


‎Edition originale rare représentant les «Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés par Charles Guillaume» sous l’empire et la restauration. La mise au point de sa «Charrue à la Guillaume» améliora la productivité agricole française à la veille de la révolution industrielle et permit par là même le premier exode rural qui fournit les ouvriers de l’industrie nationale. «Cet ouvrage, que M. Guillaume dédie à MM. les cultivateurs, est le fruit de son amour pour le premier et le plus utile des arts, et de son zèle ardent pour sa prospérité. Fils de cultivateur, il résolut de se consacrer entièrement au perfectionnement des instrumens aratoires connus, et à l’invention de quelques autres dont il sentit le besoin et l’utilité pour l’agriculture. Il présenta au concours de la Société central d’Agriculture du département de la Seine, une charrue qu’il avait perfectionnée dans toutes ses parties, et particulièrement en ce qui regarde le soc, le versoir et la ligne de tirage. Le 5 avril 1807, cette charrue fut couronnée, et la Société décerna à son auteur une médaille d’or et un prix de 3000 francs. Cet instrument fut considéré principalement sous le rapport le plus important, le ligne de tirage, comme le meilleur non seulement de ceux qui avaient été envoyés au concours, mais encore de tous ceux qui avaient été connus et mis en usage jusqu’à ce jour. Depuis, on en a parlé avec distinction, dans plusieurs ouvrages, sous le nom de charrue à la Guillaume. Dans cet ouvrage, il a réuni la collection de toutes les machines et outils qu’il a inventés dans le seul but de contribuer à rendre la culture des terres plus parfaites, plus économique, plus facile, et conséquemment plus agréable. Il a cherché par tout à joindre la solidité à la simplicité.» Le volume, orné de 12 estampes à pleine page, décrit la Charrue à la Guillaume, celle dite «Tourne-oreille», «l’Araire perfectionnée, la Houe à Cheval, la Charrue à deux et quatre raies, le Ratissoire de jardinier, la Herse triangulaire, l’Extirpateur, le Scarificateur, le Brise-Mottes, la Hache paille, le Ratissoire à cheval, le Coupe-Racines, le Moulin à bras, la batterie à battre toutes sortes de grains, le rouleau cannelé pour battre le bled». Exemplaire imprimé sur grand papier vélin relié en maroquin vert de l’époque aux armes du Tsar Alexandre Ier, Paulowitz, petit-fils de Catherine II, empereur de toutes les Russies, né en 1777, mort en décembre 1825 à Taganroy.‎

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EUR7,500.00 (€7,500.00 )

‎"BUDE, Guillaume;"‎

Reference : CLL-387

(1532)

‎Annotationes in quattuor et viginti pendectarum libros. A la suite : Libellorumque magistri in praetorio, altera aeditio annotationum in pandectas. Relié avec : MACROBE. In Somnium Scipionis… Paris, Josse Bade, 1524.‎

‎Paris, Josse Bade, 1532 In-folio de (8), CLXXVIII ff. - (4), LXX ff., veau brun, plats entièrement ornés d'un décor estampé à froid, dos à six nerfs, fermoirs (reliure de l'époque).‎


‎"Précieuse édition donnée par Josse Bade ; elle offre, à la même date, la réunion des deux parties des Annotations sur les Pandectes. ""Ce livre était le fondement de la science juridique… Peut-être est-ce la première œuvre de philologue que nous ayons eue en France ; elle est à coup sûr un modèle de critique philologique…"" (Plattard, Guillaume Budé et les origines de l'humanisme en France). Une vision encyclopédique. Guillaume Budé n'expose pas seulement ses recherches, il explore, pour ainsi dire, devant son lecteur et en sa compagnie. Ses travaux ne veulent négliger aucune voie, fût-elle digressive. ""Dans son mouvement, le commentateur, tel que le conçoit Budé, élargit sans cesse le champ de son enquête, et il est légitime par là de parler d'encyclopédie"" (Tous les savoirs du monde, 164-180). Le Maître de la Librairie du Roy. Issu d'une grande famille de fonctionnaires royaux anoblie par Charles VI, Guillaume Budé nait à Paris le 26 janvier 1468. Son père, Jean Budé, conseiller du roi, est un lettré et un bibliophile, possesseur d'une riche bibliothèque. Après des études de droit civil, son fils assumera les charges de notaire et secrétaire du roi. Dès le début du règne de François Ier, Guillaume Budé se rapprochera de la cour royale pour y plaider la cause des belles-lettres et de la philologie. Il militera pour la création d'un collège où seraient enseignées les langues de l'antiquité, le latin, le grec, l'hébreu : c'est le futur Collège de France, fondé en 1530 par François Ier. Guillaume Budé porta le titre de ""Maître de la Librairie du Roy"". Il fut lié avec Thomas More, Bembo, Etienne Dolet, Rabelais et surtout Erasme qui écrivit, après une querelle littéraire, ""Je ne suis point réconcilié avec Budé ; je n'ai jamais cessé de l'aimer."" Relié avec : MACROBE. In Somnium Scipionis M. Tulli Ciceronis libri duo, et saturnaliorum libri VII. Cum scholii & indicibus Ascensianis. Addito libello argutissimo Censorini de die Natali, subsequente eiusdem indice. Paris, Josse Bade, 1524. (6), [IV ff. de dédicace qui manquent], CXII, IX, (I) ff. Très belle édition de l'œuvre principale de Macrobe. Elle est illustrée d'un grand bois (93 x 146 mm) représentant 3 astronomes au travail, d'une suite de 10 vignettes de style vénitien, plusieurs fois répétées ; l'une d'elles montre un joueur d'orgue et un joueur de vièle (44 x 70). Au f° XXVIII, une mappemonde d'après le bois de l'édition de Venise, 1500. Le Commentaire au Songe de Scipion est d'une importance singulière : Scipion Emilien, alors jeune commandant lors de la Troisième Guerre punique, rêve qu'il s'élève vers les régions célestes, où il est accueilli par ses deux aïeuls Scipion l'Africain et Paul Émile. Ils lui montrent et lui expliquent le mécanisme du cosmos et le principe de l'immortalité de l'âme. Très bel exemplaire, entièrement réglé, en reliure d'époque décorée. Renouard, Bibliographie des impressions et des œuvres de Josse Badius Ascensius, II, p. 231, A7 et p. 232, B3 (pour les œuvres de Budé). III, p. 55, 3 (pour Macrobe). - Mortimer-Harvard, French Sixteenth Century Books, n° 120 (pour la seconde partie des Annotations seulement). - Veyrin-Forrer, Bn, Cat. de l'exposition Guillaume Budé, 1968. - Brun, Le Livre français illustré de la Renaissance, 242-243. - Plattard, Guillaume Budé et les origines de l'humanisme en France, 17-19."‎

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(CNE)

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‎VASSÉ (Guillaume).‎

Reference : 10274

(1774)

‎[Assemblée littéraire de Guillaume Vassé]. Cahos poétique.‎

‎, , [1774 ca]. Environ 300 pièces manuscrites reliées en 1 fort volume in-4, cartonnage brun, pièce de titre en maroquin rouge recueil divers, étiquette manuscrite à l'encre du temps sur le dos Chaos poétique 1774 (reliure de l'époque). ‎


‎Guillaume Vassé : Chronique d’un Chansonnier Épicurien et de son Salon LittéraireUn salon littéraire animé au coeur du XVIIIe siècle.Guillaume Vassé, poète et chansonnier parisien, était l’âme d’un salon littéraire réputé, situé rue du Temple, à l’angle de la rue de Vendôme, dans les dernières années du règne de Louis XV. Ce cercle réunissait poètes, intellectuels et amateurs éclairés autour de lectures et de discussions animées. Parmi ses visiteurs, Madame Roland, célèbre égérie girondine, évoque dans ses mémoires un souvenir marquant de ces réunions, décrivant avec humour l’atmosphère à la fois simple et intellectuelle de ces assemblées. Le maître des lieux ouvrait les séances par la lecture de ses propres vers, souvent inspirés de la vie quotidienne et des personnalités présentes, comme ce poème dédié au petit sapajou d’une marquise.Un poète discret mais influent.Né à Paris le 14 mars 1721 et décédé en 1779, Guillaume Vassé publia peu d’oeuvres : deux opuscules, Ma Rhapsodie (ou ma Réponse) et Les Curricades, ainsi que plusieurs pièces insérées dans le Mercure de France et le Journal de Verdun. Son talent, bien que peu reconnu dans les grandes anthologies, fut salué par ses contemporains. Sylvain Maréchal, dans son Dictionnaire des athées anciens et modernes, le qualifie de « poète épicurien » et cite son épitaphe ironique : « Ici gît l’égal d’Alexandre : Moi ! c’est-à-dire, un peu de cendre ».Vassé occupa également la fonction de secrétaire du marquis de Chauvelin, un proche de Louis XV, et figura parmi les souscripteurs de l’édition Racine de 1768. Ce lien avec l’aristocratie permit au chansonnier de côtoyer les cercles influents, tout en cultivant son indépendance d’esprit et son goût pour les sujets légers et satiriques.Un recueil poétique foisonnant.Le véritable trésor laissé par Guillaume Vassé est un recueil manuscrit unique, un « chaos poétique » où sont rassemblées une multitude de pièces versifiées, souvent inédites ou anonymes. Ce manuscrit, fruit des lectures et échanges de son salon, constitue un panorama vivant des « petits sujets » poétiques typiques du XVIIIe siècle.On y trouve une variété impressionnante de formes littéraires et de thèmes :Épigrammes, satires, odes anacréontiques, pastorales, dialogues ; Fables, acrostiches, impromptus, contes légers ; Poèmes de circonstance, étrennes, chansons et épitaphes.Certaines œuvres notables incluent : Épitre à mon c... ; La pincette par Piron ; L’orange conte anacréontique ; Ode sur la guerre ; Mes tristes épîtres chagrines envoyées à M. le marquis de Chauvelin.Ce recueil reflète l’effervescence intellectuelle et artistique des salons littéraires du XVIIIe siècle, tout en offrant une vision intime des préoccupations, des plaisirs et des traits d’esprit de l’époque.Un héritage précieux.Bien que Guillaume Vassé reste peu connu en dehors de cercles spécialisés, son manuscrit représente une source inestimable pour comprendre l’univers des salons littéraires parisiens. Il témoigne d’une époque où l’art du verbe, l’esprit et l’épicurisme s’entremêlaient dans une quête de raffinement et de légèreté. Grâce à cette compilation unique, le chansonnier retrouve une place parmi les figures marquantes des « petits poètes » du siècle des Lumières, offrant un éclairage fascinant sur la vie culturelle et sociale de son temps.Sur Guillaume Vassé : Quérard X, 63 ; Conlon, XXVII, Ds 1062 ; Mémoires de Mme Roland avec une notice sur sa vie, des notes et des éclaircissements historiques par MM. Berville et Barrière (Paris, Baudoin fils, 1820, Tome I, p. 149). ‎

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‎DU BEC - CLAMORGAN - CRETIN, Guillaume - TARDIF, Guillaume - ARCUSSIA, Charles - DU SABLÉ, Guillaume - BULLANDRE, Simon de - GRUAU, Louys - LA FERRIÈRE, Comte H. de - GOURDON DE GNOUILHAC, H.‎

Reference : 8798

(1880)

‎LE CABINET DE VÉNERIE. ‎

‎Paris, Librairie des Bibliophiles (Jouaust), 1880-1888. 12 titres reliés en 13 volumes in-12, 11 volumes tirés à 300 exemplaires numérotés sur papier vergé de Hollande (après 20 Chine et 20 Whatman), et 2 volumes (X et XI) à 500 ex. sur papier vergé de Hollande (après 20 et 15 Chine et Whatman), ex-libris Henri Vieillard sur le contre plat. Reliures uniformes d'époque demi maroquin vert, dos ornés de fleurettes dorées et mosaïquées, tranches supérieures dorées, couvertures conservées, reliures signées Levasseur, dos insolés, rares rousseurs, principalement sur les tranches. Collection complète, ensemble rare.I - DU BEC. Discours de l'antagonie du chien et du lièvre. 1880 ; II - CLAMORGAN. La chasse du loup nécessaire à la Maison Rustique. 1881 ; III - Le bon Varlet de chiens. 1881 ; IV* et IV** - TARDIF, Guillaune. Le Livre de l'Art de Faulconnerie et des chiens de chasse. 1882, 2 volumes ; V - CRETIN, Guillaume. Débat entre deux dames sur le passetemps des chiens et des oiseaux, suivi de la Chasse royale, poème de H. Sahel. 1882 ; VI - Le Livre du Roi Dancus, texte français du XIIIe siècle, suivi d'un Traité de faulconnerie également inédit. 1883 ; VII - H. ARCUSSIA, Charles. La Conférence des Fauconniers. 1883 ; VIII - DU SABLÉ, Guillaume. La Muse chasseresse. 1884 ; IX - BULLANDRE, Simon de. Le Lièvre, poème. 1885 ; X - LA FERRIÈRE, Comte H. de. Les Grandes chasses au XVIe siècle. 1884 ; XI - GOURDON DE GENOUILHAC. L'Église et la Chasse. 1886 ; XII - GRUAU, Louys. Nouvelle invention de chasse pour prendre et oster les loups de France. 1888.‎


‎"Nous avons réuni sous le titre de Cabine de Vénerie, les plus anciens livres de chasse en prose et en vers, qui remontent à l'origine de la littérature cynégétique, ainsi que divers petits ouvrages du XVIe et du XVIIe siècle qui concernent chacun une espèce de chasse particulière." ‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎GUILLAUME (Guillaume Le Marchand, dit Maître)‎

Reference : 222089

‎La Nouvelle lune de maistre Guillaume.. Sur l'heureux retour de Messeigneurs les Princes‎

‎S.l., 1614 petit in-8, 8 pp., un f. vierge, demi-toile cerise (reliure moderne). ‎


‎Sur la Paix de Sainte-Menehould.Une des nombreuses pièces burlesques mises sous le nom de maître Guillaume qui a réellement existé : Guillaume Marchand (1555-1624), connu sous le nom de maître Guillaume, était en effet le fils d'un apothicaire de Louviers et il devint le bouffon du roi Henri IV. On le décrit comme un personnage grotesque, extrêmement laid, vêtu d'une longue robe rouge et tenant un bâton à la main. Il vendait ses pamphlets sur le Pont-Neuf à Paris. On ne prête qu'aux riches, et beaucoup lui ont été attribuées ...SHF, Bourgeois & André, 2071. Cioranescu, XVII, 34 339. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[GUILLAUME (Guillaume Le Marchand, dit Maître)]‎

Reference : 222035

‎Le Réveil de Maistre Guillaume, aux bruits de ce temps.‎

‎S.l., 1614 petit in-8, [32] pp. mal chiffrées 33, demi-toile cerise (reliure moderne). ‎


‎Une des nombreuses pièces burlesques mises sous le nom de maître Guillaume qui a réellement existé : Guillaume Marchand (1555-1624), connu sous le nom de maître Guillaume, était en effet le fils d'un apothicaire de Louviers et il devint le bouffon du roi Henri IV. On le décrit comme un personnage grotesque, extrêmement laid, vêtu d'une longue robe rouge et tenant un bâton à la main. Il vendait ses pamphlets sur le Pont-Neuf à Paris. On ne prête qu'aux riches, et beaucoup lui ont été attribuées ...SHF, Bourgeois & André, 2042. Cioranescu, XVII, 34 341. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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