191 books for « georges lepape »Edit

‎L'oiseau bleu. Féerie‎

‎Paris, Le Livre, 1925. 935 g Grand in-8, plein maroquin rouge, dos lisse orné, plats encadrés d'une bande de maroquin noir accompagnée de filets et d'une roulette, roulette intérieure, coupes guillochées, tête dorée, couvertures et dos conservés, [1] fb., [4] ff., 212 pp., [1] f., [1] fb.. Illustré de 14 aquarelles originales de Georges Lepape reproduites au pochoir par J. Saudé. Ouvrage tiré à 460 exemplaires, celui-ci un des 400 sur vélin à la forme des papeteries d'Arches. Mahé, Bibliographie des livres de luxe, II, 763. Dos très légèrement passé. . (Catégories : Livres illustrés, )‎

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‎ Les Choses de Paul Poiret vues par Georges Lepape. ‎

‎ Album grand in-4 carré, plats cartonnés, titre imprimé en rouge, pendentif tressé noir.Véritable chef-d'?uvre de Georges LEPAPE (1887-1971), comprenant 12 planches montées sur onglets et coloriées au pochoir avec rehauts d'or et d'argent par Saudé, sur une note orienta- lisante totalement novatrice pour la mode fémi- nine de l'époque. Paul Poiret lance, selon son expression, des coupes et des couleurs « comme des loups dans une bergerie ».Cet album est considéré par beaucoup comme le plus beau livre sur la mode de l'époque. ‎

‎Paris Chez Paul Poiret 1911 Non paginé. In-4. Cartonné. Exemplaire parfaitement conservé, malgré les habituelles décharges des planches. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ À 1 000 EXEMPLAIRES, CELUI-CI ÉTANT L'UN DES 700 COMPRENANT LES PLANCHES SUR JAPON SANS REMARQUES.EXEMPLAIRE DE GEORGES LEPAPE, complet de la pochette de protection comprenant une vignette contrecolle?e repre?sentant la ce?le?bre «Femme au Turban», tire?e sur chine.On y trouve e?galement ajoute?es dans l?exemplaire, les pie?ces suivantes:- Vignette de la pochette monte?e en te?te,- 4 CROQUIS ORIGINAUX SUR PAPIER CALQUE DE LEPAPE, non signe?s, dont deux monte?s en te?te et deux place?s a? la fin, l?un monte? l?autre volant,- invitation de Paul Poiret a? la dernie?re soire?e qu?il donna dans son ho?tel du faubourg Saint-Honore? le 24 de?cembre 1924, «a? l?occasion de son prochain changement d?adresse et pour fe?ter sa nomination dans l?ordre de la le?gion d?honneur». En bas du carton figure l?indication manuscrite: «Coll. Georges Lepape»,- invitation a? la fe?te donne?e par Paul Poiret chez lui le samedi 24 Juin 1911, intitule?e «La Mille & deuxie?me nuit», adresse?e a? M. et Mme Georges Lepape, colle?e sur papier ve?lin,- 2 photographies originales et deux autres photographies de?coupe?es, de la soire?e «La Mille & deuxie?me nuit», la premie?re repre?sentant une vue d?ensemble de la soire?e et la seconde montrant Monsieur et Madame Paul Poiret. Cette dernie?re comporte la signature au crayon de Guy Arnoux. Ces photos sont colle?es sur papier ve?lin,- reproduction sur papier couche? d?une illustration en couleurs de Lepape, colle?e,- 3 factures originales vierges volantes de la maison de couture Paul Poiret, chacune illustre?e d?une composition diffe?rente de Georges Lepape. ‎

‎La Gazette du Bon Ton - Art - Modes & Frivolités - Lucien Vogel, Directeur. 1e année Avril 1913 - N°6. (NUMERO COMPLET).‎

‎ 1913 P., Emile Lévy éditeur, Librairie Centrale des Beaux-arts, 1913, 1 vol. in-8° (256 x 200) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, publicité en noir et orange au plat inférieur pour les parfums Pinaud, illustrée par Charles Martin, de (6) ff. (faux-titre, titre, table des matières et table des planches du Tome I de la Gazette (Novembre 1912 à avril 1913)) - IV pp. (Publicités) - (32) pp. (paginées de 161 à 192) - X planches hors texte. Dos légèrement insolé, petites déchirures au dos, pas de page de sommaire (apparemment normal dans les premiers numéros), très bel exemplaire par ailleurs. ‎

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‎10 planches hors texte (pl. I à X), coloriées au pochoir de Léon BAKST - Charles MARTIN - Georges LEPAPE (2) - Javier GOSE - Fabius LORENZI - Pierre BRISSAUD - Louis STRIMPL - DRESA - André E. MARTY.Les pages publicitaires contiennent : Eau de jeunesse Jane Hading (ill. Marty) - V. Darcy (ill. Georges Lepape) - Automobiles Panhard & Levassor (ill. Lepape) - Hôtel Westminster + 2 illustrations en couleurs à pleine page : Chez Mercier ill. par Pierre Brissaud - La malle de voyage Sormani (ill. Georges Lepape).Articles illustrés en couleurs: - Lettre à une provinciale (texte de Jean-Louis Vaudoyer, dessins de Pierre Brissaud) - Les Robes de Bakst (Gabriel Mourey, Léon Bakst) - Chapeaux et petits théâtres (Henry Bidou, Paul Méras) - Alentours, pourtours & dessous (Emile Henriot, Charles Martin) - Du prestige de la mode aux Etats-Unis (André de Fouquières, Louis Strimpl) - Ombrelles (Nada, Georges Lepape) (transfert d'un ancien pochoir à la dernière page) - Mademoiselle Adamine, modiste (texte et dessins de Maggie Salzedo) - Le goût au théâtre (Lise-Léon Blum, José Zamore) - La mode et le bon ton - Explication des planches. Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Modes & Frivolités" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202. ‎

‎La Gazette du Bon Ton - Art - Modes & Frivolités - Lucien Vogel, Directeur. 1e année Juillet 1913 - N°9. (NUMERO COMPLET).‎

‎ 1913 P., Emile Lévy éditeur, Librairie Centrale des Beaux-arts, 1913, 1 vol. in-8° (256 x 200) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, de IV pp. (Publicités) - (32) pp. (paginées de 257 à 288) - X planches hors texte. Dos très légèrement poussiéreux, pas de page de sommaire (apparemment normal dans les premiers numéros), très bel exemplaire par ailleurs. ‎

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‎10 planches hors texte (pl. I à X), coloriées au pochoir de Georges LEPAPE (2) - Guy ARNOUX - Louis STRIMPL - André E. MARTY - DRESA - George BARBIER - Javier GOSE - Maurice TACQUOY - Pierre BRISSAUD.Les pages publicitaires contiennent : Eau de jeunesse Jane Hading (ill. Marty) - Cie PLM - Carrosseries Rothschild (ill. Pierre Brissaud) - Automobiles Panhard & Levassor (ill. Georges Lepape) - Hotels des Roches noires, Victoria... 2 illustrations à pleine page : Un chapeau de ruban pour l'été, Modèe Charlotte Hennard (non signé mais certainement ill. par Javier Gosé) - Deux costumes de sport, Modèle James & Co (ill. Georges Lepape).Articles illustrés en couleurs: - L'art de faire un bouquet (texte de Gabriel Mourey, dessins non signés) - Manchons d'été (Pierre de Trévières, Georges Lepape) - La route est belle, belle, belle !.. (André Picard, Javier Gosé) - Les jeux de plein air, les jeux et les joueurs (J.G., André-E. Marty) - Trunks and bags (Emile Henriot, Maurice Tacquoy) - Le Goût au Théâtre (Lise-Léon Blum, André-E. Marty) - Costumes de Sports (Roger et bernard Boutet de Monvel) - La mode et le bon ton - Explication des planches. Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Modes & Frivolités" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202. ‎

‎La Gazette du Bon Ton - Art - Modes & Frivolités - Lucien Vogel, Directeur. 1e année Mai 1913 - N°7. (NUMERO COMPLET).‎

‎ 1913 P., Emile Lévy éditeur, Librairie Centrale des Beaux-arts, 1913, 1 vol. in-8° (256 x 200) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, de IV pp. (Publicités) - (32) pp. (paginées de 193 à 224) - X planches hors-texte. Dos très légèrement insolé, petite tache en première de couverture, pas de page de sommaire (apparemment normal dans les premiers numéros), très bel exemplaire par ailleurs. ‎

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‎10 planches hors texte (pl. I à X), dont 1 à double page, coloriées au pochoir, de Pierre BRISSAUD (2) - Georges LEPAPE (2) - Paul MERAS - Javier GOSE - André E. MARTY - H. ROBERT DAMMY - George BARBIER - Bernard BOUTET DE MONVEL.Les pages publicitaires contiennent : Parfum Jane Hading (ill. Georges Lepape) - V. Darcy (ill. Georges Lepape) - L'Institut Suédois Harboë (ill. Marty) - Hôtel Westminster + 3 illustrations en couleurs à pleine page : Chez Mercier ill. par Pierre Brissaud - Avant le match, Modèle James & Co, ill. non signée - Pouyanne, teinturier (ill. Charles Martin).Articles illustrés en couleurs: - Le mariage à la campagne (Texte d'Henry Bidou, dessins de Pierre Brissaud) - Les Voiles (Jean Giraudoux, André-E. Marty) - Présence et utilité de la présence des enfants dans les mariages (Emile Henriot, Maggie Salzedo) - De la coiffure (Nozière, Javier Gosé) - Les Caprices de la Ligne (Gabriel Mourey, Enrico Sacchetti) - Le goût au théâtre (Lise-Léon Blum, A.-E. Marty) - Le Ruban (texte et dessins de Drésa) - La mode et le bon ton - Explication des planches. Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Modes & Frivolités" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202. ‎

‎Georges Lepape ou l'élégance illustrée.‎

‎Paris Herscher 1983 1 vol. relié in-4, cartonnage éditeur, jaquette en couleurs, 174 pp., nombreuses reproductions en noir et en couleurs. Infime déchirure au coin de la jaquette, sinon en très bonne condition.‎

‎La Gazette du Bon Ton - Art - Modes & Frivolités - Lucien Vogel, Directeur. Octobre 1913 - N°12. (NUMERO COMPLET).‎

‎ 1913 P., Emile Lévy Editeur, Librairie Centrale des Beaux-arts, 1913, 1 vol. in-8 (245 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de (6) ff. (faux-titre, titre, table des matières et table des planches du Tome II de la Gazette (Mai 1913 à Octobre 1913)) - IV pp.. (publicités paginés I à IV) - 32 pp. (paginées de 353 à 384) - X planches hors texte.Dos légèrement poussiéreux, pas de page de sommaire (apparemment normal dans les premiers numéros), très bel exemplaire par ailleurs. ‎

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‎10 planches hors texte (pl. I à X), coloriées au pochoir de Bernard BOUTET DE MONVEL - Etienne DRIAN - Louis STRIMPL - Georges LEPAPE - Javier GOSE - Maurice TACQUOY - Pierre BRISSAUD - André E. MARTY - H. ROBERT DAMMY - George BARBIER.Les pages publicitaires contiennent : Parfum Jane Hading (ill. Georges Lepape) - Robes et Femmes - Chez Mercier, ill. de Paul Méras. Articles fortement illustrés en couleurs de : Nozière "De la mode", dessins de Schetti - Francis de Miomandre "Fourrures d'hier et d'aujoud'hui", dessins de Strimpl, Jacques Boulenger "Les manteaux", dessins de Bernard Boutet de Monvel, Pierre de Trévières "Les fétiches", dessins de Gosé, René Blum "Le gant", dessins de Maggie, Paul Cornu "Sous le casque", dessins de Guy Arnoux, Nada "La mode du bon ton", dessins de Soulié, Explication des planches.Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).Réf. biblio. : Colas 1202. ‎

‎ Les Choses de Paul Poiret vues par Georges Lepape. ‎

‎ Album grand in-4 carré, plats cartonnés, titre imprimé en rouge, pendentif tressé noir.Véritable chef-d'?uvre de Georges LEPAPE (1887-1971), comprenant 12 planches montées sur onglets et coloriées au pochoir avec rehauts d'or et d'argent par Saudé, sur une note orienta- lisante totalement novatrice pour la mode fémi- nine de l'époque. Paul Poiret lance, selon son expression, des coupes et des couleurs « comme des loups dans une bergerie ».Cet album est considéré par beaucoup comme le plus beau livre sur la mode de l'époque. ‎

‎Paris Chez Paul Poiret 1911 Non paginé. In-4. Cartonné. Exemplaire parfaitement conservé, malgré les habituelles décharges des planches. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ À 1 000 EXEMPLAIRES, CELUI-CI ÉTANT L'UN DES 700 COMPRENANT LES PLANCHES SUR JAPON SANS REMARQUES.Un ouvrage iconique, celui de la silhouette parisienne libérée du corsage grâce à l'inspiration de Paul Poiret. Le chef-d'?uvre de Georges Lepape !Rare dans un si bel état de fraîcheur. ‎

‎L'Oiseau bleu. Féérie. Avec quatorze aquarelles originales de Georges LEPAPE. [Et:] Georges LEPAPE. Décors et costumes pour «L'Oiseau Bleu» de Maurice Maeterlinck. Avec une préface de Gérard d'Houville.‎

‎ Paris, «Le Livre», 1925 (achevé d'imprimer daté 1924) et 1927. Deux volumes in-8 (16,4 x 24 cm). Deux volumes brochés, couvertures rempliées. Titre passé au dos du volume Décors et costumes avec une toute petite déchirure sur le bord de la couverture, sinon beaux exemplaires. Premier volume : [10], 212, [1], [1 bl.] pp. Édition ornée de 14 aquarelles reproduites au pochoir par G. Saudé: la vignette de couverture, 1 frontispice et 14 vignettes dans le texte. Tirage limité à 465 exemplaires numérotés plus 25 hors commerce. Un des 400 sur Arches. Le frontispice est contresigné par Lepape au crayon. Deuxième volume : [4], x, [1], [1 bl.], [1], [1 bl.] pp. Album de 61 planches dont 7 décors à double page mises en couleur au pochoir par J. Saudé. Tirage limité à 225 exemplaires numérotés plus 5 hors commerce. Un des 200 sur Arches. ‎

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‎La Gazette du Bon Ton - Art - Modes & Frivolités - Lucien Vogel, Directeur. N°9 - 1922 - 5e année. (NUMERO COMPLET).‎

‎ 1922 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1922, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de (2) ff. (sommaire, publicités, numérotées XXXIII à XXXVI) - 28 pp. (texte, numéroté de 257 à 284) - 8 planches coloriées au pochoir et 8 Croquis H.T. coloriés au pochoir. Dos légèrement insolé, petit accroc en coiffe supérieure, très bon état par ailleurs. ‎

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‎8 planches hors texte (pl. 64 à 71), coloriées au pochoir, de Georges LEPAPE - Eduardo BENITO (2) - George BARBIER (2) - Pierre MOURGUE - Charles MARTIN - THAYAHT pour des créations de Jeanne Lanvin, Worth, Rodier, Kriegck, Paul Poiret, Madeleine Vionnet, Martial et Armand, Lus et Befve - 8 Croquis hors texte, coloriés au pochoir pour des tissus de Bianchini(Croquis I à VIII). Articles illustrés en couleurs: Les Robes asymétriques (texte de Georges-Armand Masson, dessins de Bénito) - Coquetterie féminine (George Cecil, Ch. Martin) - Les chapeaux pliants (Vaudreuil, Mario Simon) - Le Golf (Pierre Mourgue) Cantines d'Auto (Celio, Ch. Martin) - Armorial des écrivains (Bonnefon, Joubert de Bussy) - Le Bois dans la mode (Caylus, Pierre Mourgue) - La soirée au théâtre (Pierre Mourgue)."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202. ‎

‎Georges Lepape ou l'élégance illustrée‎

‎Herscher, Paris, 1983‎

‎Relié, jaquette illustrée, nombreuses illustrations, comme neuf.‎

‎L'abbesse de Castro‎

‎Emile Chamontin | Paris 1942 | 16 x 24.50 cm | relié sous étui‎

‎Edition illustrée de lettrines, de vignettes en couleurs ainsi que de 8 planches hors-texte par Georges Lepape, un des 36 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête. Reliure en demi chagrin turquoise à coins, dos à quatre nerfs très légèrement décoloré, plats de papier à effet moiré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couverture et dos conservés, tête dorée. Agréable exemplaire. Notre exemplaire, ainsi qu'il l'est stipulé à la justification du tirage, est bien complet de l'eau-forte originale de Georges Lepape qu'il a signée. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎OEUVRES COMPLETES. Compositions hors texte de Georges Lepape. Premières poésies. 1828 - 1833. Poésies nouvelles. 1833 - 1852. Comédies et proverbes I. Comédies et proverbes II.Comédies et proverbes III. Mélanges de litérature et de critique. Contes et nouvelles I. Contes et nouvelles II. La confession dun enfant du siecle. Oeuvres posthumes. En 11 volumes. ‎

‎ P., Le Vasseur, 1937. 11 vol. brochés sous chemise et étui recouverts de papier à la cuve, étiquette au dos et sur le premier plat de l'étui. 144 illustrations en couleurs et hors texte de Georges LEPAPE. Les impressions sont de l'atelier Draeger Frères. Les couvertures et les ornementations intérieures sont de Draeger. 1 des 69 ex. sur Japon impérial signé par l'artiste. Complet des 2 cuivres dorés et encrés ayant servi au tirage des hors-textes, de 2 aquarelles originales ayant servi à l'illustration, de 2 suites en couleurs et en noir et blanc (2 fois 144 planches). Fente au dernier étui (contenant les cuivres). Très bon état.‎

‎Poids assez conséquent, environ 15 kg. La librairie fermera ses portes en 2025. Des remises de 25 à 50 % peuvent s'appliquer au cas par cas.‎

‎Œuvres posthumes et fac-similés d'autographes. Compositions hors-texte de Georges Lepape. Vol 10 des Œuvres Completes d'Alfred de Musset‎

‎ 1938 Le Vasseur & Cie, Editeurs, Paris. 1938. 1 vol in-4, broché, couverture rempliée illustrée, sous emboîtage cartonné de l'éditeur. Avec 14 hors-texte en couleurs de Georges Lepape gravés sur cuivre et tirés dans les ateliers de Draeger Frères. Couverture et ornementation intérieure de Draeger. 255 pages - Tirage limité à 2820 exemplaires. Un des 500 exemplaires sur Hollande van Gelder. N° 124/2820 ‎

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‎bon état, quelques rousseurs sur les tranches et sur l'emboîtage - petite fente sur un coin de l'emboîtage ‎

‎OEUVRES COMPLÈTES. (11 volumes). Tome I : Premières Poésies 1828-1833. Tome II : Poésies Nouvelles 1833-1852. Tome III- IV- V : Comédies et Proverbes. Poésies. Tome VI : Confession d'un Enfant du Siècle. Tome VII - VIII : Contes et Nouvelles. Tome IX : Mélanges de Littérature et de Critique. Tome X : Oeuvres Posthumes. tome XI suite de 144 planches en noir ‎

‎ 1937 Le Vasseur & Cie., Paris 1937 11 volumes ( dont une suite en noir des 144 planches sous le meme emboitage individuel in 4 brochés couvertures rempliées sous emboitages individuels - 390 pp. + 355 pp. + 391 pp. + 343 pp. + 395 pp. + 266 pp. + 271 pp. + 255 pp. + 307 pp. + 255 pp., Exemplaires n° 227 / 500 ,sur hollande van gelder (2ème papier après 1 + 69 sur Japon impérial et 500 sur Hollande Van Gelder et 2250 exemplaires sur velin de rives). 144 compositions hors-texte en couleurs de Georges LEPAPE, gravés sur cuivre et tirés dans les ateliers de Draeger Frères. Texte encadré d'un filet bleu. Vol. I - "Premières poésies" ; Vol. II - Mélanges de littérature et de critique" ; Vol. III - "Comédies et proverbes I" ; Vol. IV - "Comédies et proverbes II" ; Vol. V - "Comédies et proverbes III" ; Vol. VI - "La confession d'un enfant du siècle" ; Vol. VII - Contes et nouvelles I" ; Vol. VIII - "Contes et nouvelles II" ; Vol. IX - Poésies nouvelles" ; Vol. X - "Oeuvres posthumes". Magnifiques illustrations, état superbe. Très bon ensemble. PH+ A + I ‎

‎- soit 11 volumes renfermant 144 hors-texte en couleurs, gravés sur cuivre par Georges Lepape et tirés dans les ateliers de Draeger Frères. Texte à encadrement de filet bleu. Couvertures souples ornées d'une vignette, titre au 1er plat et au dos. Tous sous étuis de papier marbré argent et or sur fond bleu ciel. Tirage limité à 2820 exemplaires, ex. N° 227 sur 500 avec une suite en noir des 144 planches avec emboitage ‎

‎Images de notre Délivrance.‎

‎ Editions du Pavois, 1944, 1 volume de 24.5x30.5 cm environ, 48 pages, en feuillets sous chemise et emboîtage. Exemplaire N° 434, un des 962 ex. sur Ankor, avec les dessins de Claude Lepape. Etui insolé avec frottements un angle, bon état‎

‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

‎Oeuvres de Alfred de Musset MELANGES DE LITERATURE ET DE CRITIQUES 10 tomes Compositions hors texte de Georges Lepape. Tome I : Poésies 1828-1833, Tome II : Poésies 1833-1852, Tome III- IV- V : Comedies et Proverbes Poésies, Tome VI : Confession d'un Enfant du Siècle, Tome VII : Contes et Nouvelles (1), Tome VIII : Contes et Nouvelles (II), Tome IX : Mélanges de Littérature et de Critique, Tome X : Oeuvres Posthumes.‎

‎Paris, France: Le Vasseur & Co. Editeurs, 1937. . Ouvres de Alfred de Musset MELANGES DE LITTERATURE ET DE CRITIQUES 10 tomes Compositions hors texte de Georges Lepape. Tome I : Poésies 1828-1833(390 pages), Tome II (303 pages) : Poésies 1833-1852, Tome III (391 pages)- IV (342 pages)- V (391 pages) : Comedies et Proverbes Poésies, Tome VI (366 pages) : Confession d'un Enfant du Siècle, Tome VII (371 pages) : Contes et Nouvelles (1) (255 pages), Tome VIII : Contes et Nouvelles (II), Tome IX : Mélanges de Littérature et de Critique (354 pages) , Tome X : Oeuvres Posthumes (255 pages). Illustrations de George Lepape. Exemplaire numéro 12/70 sur Japon impérialSous emboîtage cartonné bleu . Dimentions 20 cm par 24 1/2 cm. .‎

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‎Le banquet‎

‎ Flammarion Paris, Flammarion 1953. In-12 broché, couverture rempliée de 213 pages. Texte encadré. Illustrations de G. Lepape. Collection : Les classiques de l'amour. Tirage limité numéroté sur vélin des papèteries de Navarre. Très bon état‎

‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

‎Gazette du Bon Ton. Art - Modes & Frivolités. Année 1922 - 5e Année - Numéro 6 - Revue Mensuelle [ Avec 7 croquis en couleurs sur 8 et 6 planches en couleurs sur 8 ]‎

‎1 vol. in-8 en feuillets sous chemise, Publications Lucien Vogel, Condé Nast Editeur, Paris, Naville et Cie, Genève, Rodriguez Giles et Cie, Buenos-Ayres, 1922, pp. 165-195 et pp. XXI-XIII avec 6 planches hors texte en couleurs sur 8 (42, 44, 45, 46, 47, 48) et avec 7 croquis de Mode (croquis XLII à XLVII) sur 8‎

8 Images

‎Manquent les 2 planches de Charles Martin et Marty, "L'été" et "La caline" et un croquis de mode. Les planches suivantes sont bien présentes : Suzanne et le Pacifique, par Siméon ; Longchamp, par Bénito ; Le nid de Pinsons, par Marty ; L'entrevue matinale par Georges Lepape ; La glace, par Marty et Espérez... par Georges Barbier. Sixième numéro de l'année 1922 de cette très remarquable revue de grand luxe, essentielle pour la connaissance de la mode, et à laquelle collaborèrent les tous meilleurs artistes de l'époque. Les illustrations en couleurs, dans le texte ou hors-texte, sont toujours magnifiques et d'un coloris très vif, restituant avec éclat les plus belles créations de Cheruit, Paul Poiret, Doucet, Redfern, Worth, Paquin, etc. Parmi les articles de ce numéro : "Anecdotes romantiques" d'Edmond Jaloux, Les Robes-Pagnes de Vaudreuil, "En mer ou costumes originaux et pratiques pour faire du yacht, du bateau à voile, l'été sur la mer" par Emile Henriot, "Armorial des écrivains français" par Jean de Bonnefon, "Pyjamas d'enfants" par Georgette Berckmans, "Le Ton de Paris" par George Barbier, etc... Prix en l'état pour cet exemplaire incomplet de 2 planches en couleurs et d'un croquis (manquent 2 planches en couleurs et 1 croquis en couleurs, rares rouss., bon exemplaire par ailleurs). ‎

‎Pénélope. Robe d'intérieur (pl.2, La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°3)‎

‎Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Serais-je en avance ? Manteau de théâtre de Paul Poiret (pl.6, La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°2)‎

‎Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎L'Embarras du choix. Costume tailleur de Paul Poiret (pl.6, La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°3)‎

‎Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite en dehors du cadre de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails ‎

‎On nous regarde ! Manchons nouveaux pour l'été (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1913 n°9)‎

‎Paris Juillet 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Le Collier nouveau. Robe du soir de Paul Poiret (pl.10, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Janvier 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎L'Aumône. Tailleur de fantaisie (pl.11, La Gazette du Bon ton, 1914 n°2)‎

‎Paris Février 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎