Editions universitaire, 1968. ("Classiques du Xxe siècle", n°95) In-16, broché, 126 pages.
Bon état. Couverture, dos et 4e légèrement passés, intérieur frais. [PM-LP0]
Paris, Nelson Editeurs ("Collection Nelson, n° 401"), 1955. In-16, reliure ornée éditeur en toile, jaquette illustrée, 375 pages.
Bon état. [VAR]
Paris, Nelson Editeurs ("Collection Nelson", n°176), 1951. In-16, reliure ornée de l'éditeur, jaquette illustrée, 572 pages.
Très bon état. Jaquette très légèrement défraichie. [BU-1]
Paris, France loisirs, 1997. In-12, cartonnage éditeur, jaquette illustrée, 409 pages.
2e plat de la jaquette légèrement défraichi sinon très bon état. [DV-6]
Paris, Flammarion (GF 42), 1965. in-16, broché, couverture illustrée, 184 pages.
Bon état. [HI-1]
Jacques et René Wittmann, 1947 In 8 broché, 154 pages, triage total à 830 exemplaires numérotés sur vélin chiffon
s.l. (Paris) s.d. [5 ou 12 janvier 1860], 13,6x21cm, deux pages sur un feuillet remplié.
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à l'archéologue Charles-Ernest Beulé. Deux pages rédigées à l'encre noire sur un feuillet remplié. Le destinataire de cette lettre a apposé neuf lignes manuscrites, brouillon de sa future réponse, à la suite de la lettre de Flaubert. Cette lettre a été retranscrite et reproduite sur le site internet du Centre Flaubert de l'Université de Rouen. Le transcripteur de cette missive précise: «Les lignes écrites sous la signature sont-elles de Beulé ou de Flaubert-lui-même ? L'écriture ressemble à la sienne. Stéphanie Dord-Crouslé suggère que Flaubert a pu aller voir Beulé et écrire sous sa dictée ces éléments qui répondent aux questions posées.» Cette hypothèse nous semble peu probable dans la mesure où l'on connaît la réponse de Charles-Ernest Beulé à ce courrierelle-même numérisée par le Centre Flaubert et datée du 10 février 1860. Cette réponse ne nous paraît pas induire une visite de Flaubert chez Beulé. Il nous semble plus vraisemblable que Beulé ait inscrit sous la lettre de Flaubert un brouillon de sa future réponse du 10 février 1860 qui ne sera qu'une reformulation élégante de ses notes. Beau et important témoignage des recherches colossales qu'entreprit Flaubert pour la rédaction deSalammbô. «Commencé en 1857, le roman paraît en 1862, période où l'Antiquité revient à la mode et où Carthage est « au goût du jour » grâce aux fouilles récentes de Charles-Etienne Beulé à Byrsa (1859) et dans les ports puniques.» (Vanessa Padioleau, «Flaubert et Carthage : Salammbô, roman polymorphe» in Revue Flaubert, n° 9, 2009) C'est donc à l'un des spécialistes de la question que Flaubert adresse ses questions, commentant sa récente lecture d'Ammien Marcel: «J'ai appris, dans ce même Ammien, que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte [...] Qu'est-ce que cela veut dire? Ce passage est, je crois, peu connu?» La tâche de Flaubert n'est pas mince: on ne connaît à l'époque rien ou presque sur la période de la Révolte des Mercenaires qui s'étendit sur deux années, de 240 à 238 av. J.-C. Il entame alors un travail de fourmi, appuyant ses recherches sur les textes des grands historiens de l'Antiquité qu'il lit en latin dans le texte. La lettre que nous proposons en montre d'ailleurs sa grande maîtrise : « J'ai appris, dans ce même Ammien que les Carthaginois ont pris Thèbes, en Egypte, livr[e] xvii, ch. iv. "Hanc inter exordia pandentis se late Carthaginis, improviso excursu duces oppressere Poenorum" [« À l'époque où Carthage commençait sa large expansion, les généraux des Phéniciens vainquirent celle-ci par une attaque à l'improviste »]. » Malgré ces recherches des plus approfondies, la porte de Carthage ne connaîtra qu'une très brève description dans la version finale deSalammbô. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris 9 mai 1877, 13,5x20,5cm, 2 pages sur un feuillet remplié.
Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à Léon Cladel. Enveloppe jointe. Quelques soulignements et corrections manuscrites de l'auteur. Minuscules taches d'eau. Trois petites restaurations à l'aide d'adhésif sur la seconde page ainsi que deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli du courrier. Amusante lettre dans laquelle Gustave Flaubert, dont la renommée littéraire n'est plus à faire, apporte son soutien à son ami Léon Cladel qui peine à faire publier l'un de ses ouvrages. Le « maître » - c'est ainsi que Léon Cladel nomme son confrère - démarre cette lettre avec enthousiasme: « J'ai commencé votre bouquin hier à 11 heures il était lu, ce matin à 9 ! ». Le « bouquin » dont il est ici question est L'Homme de la Croix-aux-Bufs que Flaubert avait accepté de relire pour son ami le 30 avril; il en avait d'ailleurs réclamé le manuscrit déposé chez l'éditeur Georges Charpentier à ce dernier: « Cladel m'a écrit pr me dire qu'il désirait que je lusse (pardon du subjonctif) le roman en feuilles qui est chez vous. Donc envoyez-le-moi, ou apportez-le-moi. » (Lettre du 3 mai 1877). Léon Cladel, très proche de Gustave Flaubert, semble lui avoir fait part des craintes de l'éditeur édouard Dentu quant à la publication de son ouvrage: « Et d'abord il faut que Dentu soit fou, pr avoir peur de l'im le publier. » En familier aguerri de l'impitoyable monde de l'édition, Flaubert se place en professionnel et déclare : « Rien n'y est répréhensible soit comme politique, soit comme morale. Ce qu'il vous a dit est un prétexte ? » Cette question de la répréhension morale n'est pas sans faire écho au célèbre procès intenté à l'auteur de Madame Bovary. Tel un critique littéraire dithyrambique, Flaubert complimente son confrère : « Je trouve votre livre, un vrai livre. C'est très bien fait, très soigné, très mâle. & je m'y connais mon bon. » Lecteur scrupuleux, il se permet néanmoins quelques remarques sur le manuscrit de Cladel (« J'ai deux ou trois petites critiques à vous faire (des niaiseries) - ou plutôt des avis à vous soumettre.») avant de se raviser : «Qqfois, il y a des prétentions à l'archaïsme et à la naïveté. C'est l'excès du bien. » L'attitude de Flaubert est ici quasi paternelle et en tout cas bienveillante: conscient des capacités de son ami il souhaite l'encourager et voir la publication de son ouvrage aboutir : « Mais encore une fois, soyez content & dormez sur vos deux oreilles - ou plutôt ne dormez pas - et faites souvent des uvres pareilles.» L'écrivain bienveillant évoque également dans cette missive un autre éditeur, Georges Charpentier : « Quant à Charpentier (auquel je remettrai vos feuilles vendredi - jour où je dîne chez lui) je vais lui chauffer le coco violemment, & en toute conscience, sans exagération & sans menterie. » Charpentier qui édite Flaubert depuis 1874 est devenu un proche ami de l'écrivain avec lequel il entretient une riche correspondance. En ce mois de mai 1877, il vient juste de publier Trois contes qui fut pour Cladel l'occasion d'une émouvante célébration de son maître ès Lettres : « Où diable avez-vous pris ce rutilant pinceau dont vous brossez vos toiles, les petites comme les grandes, et cette sobriété que certains latins vous envieraient ? Être à la fois Chateaubriand et Stendhal, et de plus Flaubert ». Cette admiration est réciproque et Flaubert éprouve pour ce «véritable artiste» une estime non feinte : «La fin est simplement sublime! - & du plus gd effet.» Il réitèrera, quelques semaines plus tard ses compliments : «C'est travaillé, ciselé, creusé. L'observation, chez vous, n'enlève rien à la poésie ; au contraire, elle la fait ressortir.» En effet, Cladel s'affirmera comme le véritable héritier du style flaubertien, bien plus que Zola qui lui reprochera justement de «travaille[r] sa prose avec acharnement » et de « s'efforce[r] de rendre parfaite chaque phrase qu'il écrit». C'est finalement Edouard Dentu qui publiera le manuscrit de L'Homme de la Croix-aux-Bufs ; Cladel en offrira d'ailleurs un exemplaire enrichi d'un bel envoi autographe à son estimé ami : « À mon cher maître Gustave Flaubert, 7 mai 1878. Léon Cladel. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
[De la bibliothèque de Gustave FLAUBERT] - FEYDEAU (Ernest).
Reference : 26617
(1869)
Paris, Michel Lévy Frères / à la Librairie nouvelle, 1869. Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de 2 ff. n.fol., 422 pp. et 1 f. n.fol. Reliure de l'époque de demi-chagrin maroquiné glacé olive, double filet vertical à froid porté sur les plats, dos à nerfs orné de filets en noir, filet en pointillés dorés sur les nerfs, filets stylisés dorés, larges fleurons dorés, titre doré, tête dorée.
Edition originale. Exemplaire agrémenté en tête du faux-titre d'un envoi d'Ernest Feydeau : ''à mon cher Gustave Flaubert / [signature]''. Les exemplaires avec envois provenant de la bibliothèque de Flaubert sont très rares : 241 volumes recensés. ''Au début de l’année 1857, lorsque Ernest Feydeau et Gustave Flaubert se rencontrent pour la première fois, Flaubert commence tout juste à faire parler de lui grâce à la parution dans la presse de Madame Bovary, tandis que Feydeau connaît un succès d’estime comme historien de l’antiquité pour son Histoire des usages funèbres et des sépultures des peuples anciens, dont le premier tome parut en 1856. Le premier fascicule, consacré à l’Egypte ancienne, lui valut un article élogieux de Théophile Gautier, qui sollicita ensuite ses connaissances pour la rédaction de son Roman de la momie. Auréolé de l’importance et du sérieux de ses recherches, pourvu d’un caractère naturellement affable et d’un verbe haut qui n’est pas sans rappeler la faconde de Gautier ou de Flaubert, Feydeau se lie sans difficulté avec les deux hommes, d’abord Gautier, puis Flaubert, dont il devient rapidement et pour plusieurs années l’un des plus proches amis. Au début de leur correspondance, Feydeau semble bénéficier d’un certain prestige aux yeux de Flaubert, mais très vite leur relation évolue et Flaubert s’affirme comme un modèle, mi-censeur, mi-protecteur, face à son destinataire.'' (Catherine Ripault Thomas. ””À maître Flaubert, l’élève E. Feydeau, avec une bonne accolade ”: distribution des rôles dans la correspondance entre Flaubert et Ernest Feydeau”. Travaux de Littéra- ture. Vol. XXX. Correspondance et magistère, XXX, Droz, pp.87-97, 2017, (Travaux de littérature), 979-1-090-45505-4. hal-02569940). Dos passé. Coiffe de tête élimée. Légers frottements affectant par ailleurs la reliure. Quelques claires rousseurs dans le texte. Du reste, très belle condition.
s.d. (1846), 19,5x35,5cm, une feuille.
| «Aimer, c'est vivre!/ C'est incarner le rêve, et sentir les transports / Dont l'art ne peut donner que des emblèmes morts ! » |<br>* Poème manuscrit autographe signé de Louise Colet, intitulé «Le Vrai Beau», 38 vers alexandrins à l'encre noire sur un feuillet de papier cartonné satiné de format oblong, plié en deux endroits. Une petite tache au verso vierge. Publié en 1852 sous le titre «L'Art et l'Amour», daté de 1846, dans Ce qui est dans le cur des femmes: Poésies nouvelles. Cette version manuscrite, au titre différent, présente un vers et quelques mots inédits. *** Superbe cri du cur de Louise Colet qui met en vers les conceptions - de la vie, de l'amour, de l'art - qui l'opposent à son amant Gustave Flaubert, témoignant des premiers émois de leur relation tumultueuse. Ecrit peu de temps après leur rencontre le 29 juillet 1846, le poème est une réponse enflammée à une lettre de Flaubert du 2 septembre «Oh ! va, aime plutôt l'Art que moi» à laquelle son premier vers fait explicitement référence : «Tu me dis : Aime l'art, il vaut mieux que l'amour [...] Et moi. je te réponds : La langue du poête Ne rend du sentiment que l'image incomplète». Après avoir accordé à Louise Colet quelques rares nuits passionnées à la suite de leur rencontre dans l'atelier de James Pradier, le bien nommé ermite de Croisset avait gardé ses distances pour se consacrer à l'écriture, tout en proclamant son amour pour elle. Cetteréponse poétique de Louise Colet aux échanges épistolaires de Flaubert est d'autant plus importante que ses lettres ont été détruites par l'écrivain en 1879. Les alexandrins interpellent Flaubert à la deuxième personne, dans ce manifeste théorique et lyriqueadressé à son amant de onze ans son cadet, de la main d'unepoétesse déjà reconnue de ses pairs, qui captiva d'abord le philosophe Victor Cousin, et plus tard Musset et Vigny. Elle met en forme leurs dialogues sous le prise du Romantisme, qu'elle incarne, et du Réalisme auquel Flaubert s'attache farouchement. Au-delà du rôle d'amoureuse exaspérante qu'on lui a souvent prêté, Colet revendique les élans de son cur que Flaubert ignore en lui-même; et argue que les transports du réel surpasseront toujours ceux de l'Art condamné à les imiter: «Des maîtres les plus grands les uvres les plus belles, Auprès du beau vivant, compare, que sont-elles ?» Rare vestige rescapé de la censure de Flaubert, restituant la voix de Louise Colet au sein de leur dialogue amoureux. Le poème de Louise Colet prend à la fois la forme de discussion sur l'esthétique et de tendre déclaration d'amourà Flaubert ; leurs destins de littérateurs étant inextricablement liés à leur vie intime. Tu me dis : Aime l'art, il vaut mieux que l'amour ; Tout sentiment s'altère et doit périr un jour ! Pour que le cur devienne une immortelle chose, Il faut qu'en poésie il se métamorphose, Et que chaque pensée en sorte incessamment, En parant sa beauté d'un divin vêtement. Sentir, c'est aspirer!... c'est encor la souffrance ; Mais créer, c'est jouir,! c'est prouver sa puissance ; C'est faire triompher de la mort, de l'oubli, Toutes les passions dont l'âme a tressailli! Et moi. je te réponds : La langue du poête Ne rend du sentiment que l'image incomplète ; Concevoir le désir, goûter la passion, Nous fait dédaigner l'art et sa création ; Formuler les pensers dont notre esprit s'enivre, Ce n'est que simuler la vie : aimer, c'est vivre ;! C'est incarner le rêve, et sentir les transports Dont l'art ne peut donner que des emblèmes morts ! Des maîtres les plus grands les uvres les plus belles, Auprès du beau vivant, compare, que sont-elles? Corrége et le Poussin, Titien et Raphaël, Rubens, dont la palette est prise à l'arc-en-ciel, Éblouissant nos yeux, ont groupé sur leurs toiles Des visages divins et de beaux corps sans voiles ! Mais hier, quand soudain à nos regards charmés Ces tableaux immortels se trouvaient animés, Lorsqu'au lieu de la chair que la couleur imite, Nous avons admiré cette chair qui palpite, Où le sang, à travers l'épiderme soyeux, Circule en répandant des reflets lumineux ; Lorsque nous avons vu d'exquises créatures, Dont les beaux torses nus, les bras aux lignes pures, Le sein ferme et mouvant, le visage inspiré, Faisaient vivre à nos yeux quelque groupe sacré, Oh ! n'as-tu pas senti quelle impuissante envie C'est de vouloir dans l'art inoculer la vie Et ne t'es-tu pas dit, du réel t'enivrant : La beauté seule est belle, et l'amour seul est grand ! - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, H. Piazza (« Contes de France et d'Ailleurs »), 1932. petit in-8, VII-436 pages, frontispice en couleurs + illustrations in-texte couleurs, reliure demi-maroquin, dos à nerfs décoré, tete dorée, couverture conservée.- Exemplaire n° 2335/3200 sur papier chiffon.
Bel exemplaire dans une très belle et solide reliure. Coins (surtout inférieurs) un peu émoussés et qqs frottements aux bords inférieurs. [BU-11]
Paris, Hachette (« Bibliothèque Verte »), s.d. in-16 cartonné sous jaquette illustrée, 189 pages.
Très bon état. [OM-1]
Paris, Louis Conard, 1927. in-8°, 448 pp, broche, couv.- 1/50 exemplaires sur papier de Chine, a grandes marges, numerote a la main.
Tache au premier plat sinon tres bel exemplaire, non coupe. [DV-21] Contient, pour la premiere fois, le texte integral des lettres à Louise COLET.
Paris, Fayard (« Le Livre de Demain, XCIV »), 1933. grand in-8°, 223 pages, broche, couverture illustree
Tres bel exemplaire. [HA-109/7]
Paris, Editions Athena (Collection Athena Luxe), 1951. petit in-8 (19x14cm), 260 pages, typographie en 2 couleurs, front., broche, couv. rempliee illustree en couleurs. Tirage unique de 4000 exemplaires sur velin.
Très bon état. Qqs petites déchirures en bas de couverture, intérieur très frais. [MI-10]
Paris, Garnier Freres, 1961. petit in-8°, XVI-236 pages, illustrations en noir, broche, couv., jaquette ill.
Bon etat. [LA-1]
Paris, NiL, 1995. grand in-8°, 287 pages, broche, couv.
Bel exemplaire. [CA-9]
Paris, Les Publications Techniques, 1945. in-8, 316 pages, illustrations en couleurs hors-texte, broche, couv. illustree en couleurs.
Excellent etat. [TX-9]
Paris, Fayard (« Le Livre de Demain, XXIX »), 1941 grand in-8, 124 pages, broche, couv. ill.
Bon etat (papier jauni). [HA-109/7]
Paris, Seuil ("Pierres Vives"), 1963. in-8, 297 pp, broché, couv.
Bon état. Plis au dos. [MI-11]
Paris, Classiques Garnier, 1985. in-12°, 220 pages imprimées sur papier fort, illustrations en noir, broche, couv. ill.
Excellent état. [CA28-5]
Paris, Editions Mille et Une Nuits (n° 193), 1998 in-16 (11 x 15 cm), 95 pp., broché, couv. Illustree
Bon état. [MB-5]
Paris, Julliard (« Littérature »), 1964. in-16 (semi-poche), 560 pp., broché, couv. ill.
Bel exemplaire. [LP-3]
Editions de la Maison Française, 1948 In-4° en feuilles, sous emboitage et étui de carton beige, 244 pages, illustrations en couleurs, 1/472 ex. numérotés, bel exemplaire en bon état
Paris, Garnier, 1961 In-12, reliure d'éditeur toile mauve sous rhodoïd, premier plat décoré, 473 pages, bon état