Paris, (1902) 1902 4 volumes in-4, demi-chagrin rouge, dos à nerfs, têtes dorées, couvertures et dos conservés, reliure moderne, XIV, [1] f., 444 pp.; VIII, p. 453 - 939, 1 p., [4] f.; [4] f., p. 949 - 1426, [5] f.; [3] f., XL, p. 1429 - 1940, [4] f. Texte sur deux colonnes. Nombreuses figures dans le texte. Tableau synoptique à chaque volume. Bel exemplaire.
“Voici un des livres les plus importants de notre épôque et dont l’utilité ne sera contestée par personne.” Charles Monselet. La plus grande encyclopédie culinaire jamais réalisée (Oberlé, 258)). 5000 articles, 6000 recettes, 2000 figures dans le texte, 4 planches coloriées ; l'étymologie, la synonymie en trois langues, l'histoire, l'analyse chimique de tous les aliments naturels et composés, les propriétés hygiéniques appropriées aux âges et aux sexes, d'après le besoin réclamé par l'individu ; le régime, les prophylactiques, les eaux minérales, la climatologie, les aliments respiratoires, les cuisines végétarienne, assyrienne, grecque, romaine, française, anglaise, allemande ; la recette des mets, entremets, charcuterie, confiserie, pâtisserie, glacerie, distillerie et conserves alimentaires ; la biographie de tous les cuisiniers illustres et la terminologie culinaire. Joseph Favre fut le chef des Maisons Riche et Chevet. Bon état d’occasion
Genève, Imprimerie Atar, 1940. In-8 broché de 40 pages, couverture imprimée.
Portrait de Guillaume Favre en frontispice. "Guillaume Favre (1770-1851) s'est adonné successivement à l'étude de la minéralogie et de l'antiquité. Durant quelques années, il fréquenta le cercle de Coppet sans abandonner pour cela son domicile à Genève. Bibliophile, Guillaume Favre a constitué une bibliothèque pour laquelle il fit construire une aile à la Ville La Grange, propriété familiale. Cette belle collection est aujourd'hui administrée par la Bibliothèque de Genève" [Bibliothèque de Genève].
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que le pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai le maître. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention des catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siège ; Nomination d'un ambassadeur à Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des évêques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des Affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des Affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siège, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-percaline bordeaux à la bradel, dos lisse orné d'un fleuron et d'un double filet doré en queue (rel. de l'époque), pt trace de mouillure au coin des 10 premiers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que Je pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai je maitre. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention dus catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siége ; Nomination d'un ambassadeur a Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des éveques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siége, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Imprimerie des dernières nouvelles de Colmar 1959 In-4 broché, 83- 2 pp. 160 dessins à la plume d’Edouard Hofer dans le texte et à pleine page.
Préface de Camille Schlumberger. Signé par l’auteur. Bon état d’occasion
Grasset 1939 In-12, demi-basane brune, dos à nerfs, fleurons dorés, 307 pp.
Bon état d’occasion
Baconnier Frères - Alger 1933 In-4 broché. Bon état d’occasion.
Charles Brouty (1897-1984) est un artiste reporter de l'Algérie heureuse et du Sahara. Bon état d’occasion Illustrés romantiques et modernes
Massin 2007 In-4 cartonné, sous jaquette illustrée, 253 pp; Nombreuses illustrations en couleurs. L’Âge d’or de l’affiche graphique, par opposition à l’affiche photographique qui règne en maître depuis des années 70, commence dès 1880 dans le domaine du tourisme par le chemin de fer. Liée au développement de l’industrie automobiel, au début du xxè siècle, l’affiche exprime non seulement un message publicitaire, mais devient aussi un monde d’expression artistique à part entière. Elle amuse, fait rêver, et innove. L’affiche graphique exprime tous les grands courants artistiques, de l’Art nouveau à l’Art déco.
Très bon état d’occasion
J. Lemonnyer, Libraire-éditeur 1883 Réédition de 1779. Grand in-8, broché, IV + 84 pp., 4 planches sous serpente, à pleine hors texte, culs-de-lampe. Dos fendillé avec pliures, petites rousseurs éparses. Bon exemplaire d’une édition peu fréquente.
Ornés de belles figures en taille douce par Leclerc, à son Altesse Sérénissime, la Princesse de Lamballe, quatre poèmes octosyllabiques, joliment érotiques, chantant quatre rencontres entre dieux et déesses, à chaque heure de la toilette (le matin, le midi, le goûter, le soir). Bon état d’occasion
Le Temps Apprivoisé - LTA 1996 In-4 relié 31,2 cm sur 22,8. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Elsevier Sequoia 1972 In-4 relié. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Patrice de Sarran, Favre Pierre, Maillard Pierre, Leveel Pierre, La Nouvelle République du Centre-Ouest
Reference : 74070
(1979)
La Nouvelle République 1979 In-8 relié. 105 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Paris, Paul Ollendorff 1882 In-8 22 x 13 cm. Reliure demi-percaline beige, IV-451 pp. Reliure légèrement passée, rousseurs marginales.
Exemplaire enrichi d’un envoi autographe de l’auteur. Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Reliure frottée avec petit accroc. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Un des coins de la reliure émoussés. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Alpha, Grammont S.A, Salvat editores 1977 In-4 reliure similicuir vert éditeur, classeur 27,5 cm sur 21,7. 300 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Marabout 1984 In-12 broché 18 cm sur 11,4. 375 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Paris, Bernard Grasset, impr. Floch, à Mayenne 1939 In-12 19 x 11,5 cm. Reliure demi-basane verte, dos à nerfs, premier plat de couverture conservé, 307 pp. édition originale sur papier d’éditeur.
Bon état d’occasion
Jules FAVRE prie le maire de ...vouloir bien vous trouver aujourd'hui 20 janvier à deux heures au ministère des affaires étrangères pour affaires urgentes...Deux jours avant la date de ce courrier, dans la galerie des Glaces au château de Versailles, le roi de Prusse est proclamé empereur des Allemands. Le 20 janvier, le gouvernement se résout à demander un armistice qui sera finalement signé une semaine plus tard. C'est sans doute pour cette réunion que Jules Favre convoque son correspondant. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux cotés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.