Sixieme edition A PARIS CHEZ BELIN AN XII 1804Trois tomes reliés plein veau marbré dos à nerfs pieces de titre et tomaisons rouge , une gravure par tome , photos sur demande
RAY PF6
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, marquise d').
Reference : 99404
(1865)
P., Bibliothèque-Charpentier, s.d. (v. 1865), 2 vol. in-12, viii-460 et 500 pp, notes, reliures demi-chagrin havane, dos lisses ornés en long, têtes dorées, signets (rel. de l'époque), bon état
Madame d'Epinay (1725-1783), femme de lettres et d'esprit, fut l'amie de Rousseau, Voltaire, Diderot, Duclos, Grimm, Raynal, de l'abbé Galiani, etc., qu'elle reçut dans son salon. — "Femme-écrivain, salonnière et amie des philosophes et des écrivains célèbres au XVIIIe siècle, Louise d'Épinay est l'auteur de Mémoires dont l'originalité se situe à deux niveaux : du point de vue du contenu d'abord, car c'est une histoire de sa famille et des événements littéraires du siècle, histoire cependant « auto-réfléchissante » et remplie de ses propres sentiments et réflexions ; puis, du point de vue de la forme, puisqu'il s'agit d'une combinaison singulière de lettres, souvenirs et pages de journal à la première personne et de petits récits à la troisième personne..." (Sanda Nemeth-Badescu, Dalhousie French Studies, 2005) — "Les Mémoires de Madame d'Epinay sont peut-être l'ouvrage qui nous fait le mieux connaître la société polie du XVIIIe siècle." (Introduction).
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, marquise d').
Reference : 106311
(1865)
P., Charpentier, s.d. (1865), 2 vol. in-12, viii-460 et 500 pp, notes, reliures demi-maroquin noir à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état
Madame d'Epinay (1725-1783), femme de lettres et d'esprit, fut l'amie de Rousseau, Voltaire, Diderot, Duclos, Grimm, Raynal, de l'abbé Galiani, etc., qu'elle reçut dans son salon. — "Femme-écrivain, salonnière et amie des philosophes et des écrivains célèbres au XVIIIe siècle, Louise d'Épinay est l'auteur de Mémoires dont l'originalité se situe à deux niveaux : du point de vue du contenu d'abord, car c'est une histoire de sa famille et des événements littéraires du siècle, histoire cependant « auto-réfléchissante » et remplie de ses propres sentiments et réflexions ; puis, du point de vue de la forme, puisqu'il s'agit d'une combinaison singulière de lettres, souvenirs et pages de journal à la première personne et de petits récits à la troisième personne..." (Sanda Nemeth-Badescu, Dalhousie French Studies, 2005) — "Les Mémoires de Madame d'Epinay sont peut-être l'ouvrage qui nous fait le mieux connaître la société polie du XVIIIe siècle." (Introduction).
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, marquise d').
Reference : 126599
(1903)
P., Société des Bibliophiles / New York, Merrill and Baker, s.d. (1903), 3 vol. in-8°, xlviii-337, vii-348 et viii-356 pp, 15 gravures et portraits hors texte sous serpentes, reliures percale bleue de l'éditeur, titres dorés au dos, têtes dorées, reliures frottées et lég. décolorées, bon état Tiré à 503 ex. numérotés sur vergé (Versailles Edition). Texte en anglais
Complet en 3 volumes. De cette "Versailles Edition" limitée et numérotée, seuls 503 exemplaires en anglais ont été imprimés (n° 349, les 3 volumes sont numérotés). Compilée par Léon Vallée, la collection “Courtiers and Favourites of Royalty” comprend vingt volumes de « Mémoires de la Cour de France avec illustrations et fac-similés de documents provenant des Archives nationales françaises ». — Madame d'Epinay (1725-1783), femme de lettres et d'esprit, fut l'amie de Rousseau, Voltaire, Diderot, Duclos, Grimm, Raynal, de l'abbé Galiani, etc., qu'elle reçut dans son salon. — "Femme-écrivain, salonnière et amie des philosophes et des écrivains célèbres au XVIIIe siècle, Louise d'Épinay est l'auteur de Mémoires dont l'originalité se situe à deux niveaux : du point de vue du contenu d'abord, car c'est une histoire de sa famille et des événements littéraires du siècle, histoire cependant « auto-réfléchissante » et remplie de ses propres sentiments et réflexions ; puis, du point de vue de la forme, puisqu'il s'agit d'une combinaison singulière de lettres, souvenirs et pages de journal à la première personne et de petits récits à la troisième personne..." (Sanda Nemeth-Badescu, Dalhousie French Studies, 2005) — "Les Mémoires de Madame d'Epinay sont peut-être l'ouvrage qui nous fait le mieux connaître la société polie du XVIIIe siècle." (P. Boiteau).
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 227058
Paris, Charpentier, s.d. 2 vol. in-12, [4]-VIII-460 pp., [4]-500 pp., demi-percaline verte à la Bradel, dos orné (reliure de l'époque).
La première édition de cette version nouvelle est de 1863, tandis que l'originale remonte à 1818.Les Mémoires de la Marquise d'Épinay sont en fait un roman à base réaliste, mais ils ont été publiés dès le départ sous le genre trompeur des mémoires : car tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du Deffand ou de Madame Geoffrin. Il fallut attendre 1951 et l'édition de Roth pour y voir un peu plus clair.Vicaire III, 581-82. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
GALIANI (Ferdinando), ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d').
Reference : 237198
Paris, Desjonquères, 1992 - 1997 5 vol. in-8, 327 pp., 301 pp., 265 pp., 254 pp., 288 pp., brochés. Marques et annotations au stylo noir au tome IV.
C'est la meilleure et la plus complète édition de cette correspondance de l'économiste napolitain et de Madame d'Epinay ; les publications partielles du XIXe siècle pèchent par plusieurs aspects. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 199305
A Paris, chez Brunet, 1818 3 vol. in-8, X-391 pp., 407 pp. et 432 pp., basane brune cailloutée, dos lisse orné aux petits fers, roulette dorée en encadrement sur les plats, tranches marbrées (rel. de l'époque). Petites usures des coiffes mais bon exemplaire. Ex-libris de Bonnault.
Les mémoires de la Marquise d'Épinay sont écrits sous la forme d'un roman mais son imagination s'arrêtait là : tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du deffand ou de Madame Geoffrin. La correspondance vient compléter cette peinture de cette société de philosophe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 200577
À Paris, chez Volland, 1818 3 vol. in-8, [4]-X-391 pp., [4]-407 pp. et [4]-432 pp., demi-basane blonde à petits coins de vélin, dos lisses ornés, filets, pointillés et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison, tranches citron mouchetées de rouge (rel. de l'époque). Certaines coiffes un peu frottées, petit mque à deux mors au contact d'une coiffe, discrète trace de mouillure sur qqs ff. (T. I) et qqs brunissures. Supra-libris en pied R. P. Bruyère.
Seconde édition publiée l'année de l'originale.Les Mémoires de la Marquise d'Épinay sont écrits sous la forme d'un roman mais son imagination s'arrêtait là : tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du deffand ou de Madame Geoffrin. La correspondance vient compléter cette peinture de cette société de philosophe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 201675
Paris, Charpentier, 1865 2 vol. in-12, [4]-VIII-460 pp., [4]-500 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs ornés de filets à froid et de fleurons dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Dos légèrement insolés.
La première édition de cette version nouvelle est de 1863, tandis que l'originale remonte à 1818.Les Mémoires de la Marquise d'Épinay sont en fait un roman à base réaliste, mais ils ont été publiés dès le départ sous le genre trompeur des mémoires : car tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du deffand ou de Madame Geoffrin. Il fallut attendre 1951 et l'édition de Roth pour y voir un peu plus clair.Viciare III, 581-82. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 221339
À Paris, chez Volland, 1818 3 vol. in-8, [4]-X-391 pp., [4]-407 pp. et [4]-432 pp., demi-basane fauve dos lisses ornés, filets, pointillés et fleurons dorés, tranches citron mouchetées de rouge (rel. de l'époque). Usures aux coiffes supérieures.
Troisième édition publiée l'année de l'originale.Il s'agit en fait de la remise en vente de la seconde édition avec une nouvelle page de titre, la collation étant en tout point identique à cette dernière.Les Mémoires de la Marquise d'Épinay sont écrits sous la forme d'un roman mais son imagination s'arrêtait là : tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du deffand ou de Madame Geoffrin. La correspondance vient compléter cette peinture de cette société de philosophe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 228685
A Paris, chez Brunet, 1818 3 vol. in-8, X-391 pp., 407 pp. et 420-2 pp., demi-chagrin vert, dos à nerfs, filets dorés (reliure postérieure).
Edition originale.Les mémoires de la Marquise d'Épinay sont écrits sous la forme d'un roman mais son imagination s'arrêtait là : tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du Deffand ou de Madame Geoffrin. La correspondance vient compléter cette peinture de cette société de philosophe.Bon exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
ÉPINAY (Louise-Florence-Pétronille Tardieu d'Esclavelles, madame d')
Reference : 230930
A Paris, chez Brunet, 1818 3 vol. in-8, X-391 pp., 407 pp. et 420-2 pp., cartonnage papier violine à la Bradel (reliure postérieure). Dos passé, papier frotté, qqs usures, petite tache en queue du tome 1.
Edition originale.Les mémoires de la Marquise d'Épinay sont écrits sous la forme d'un roman mais son imagination s'arrêtait là : tous les personnages qui entrent en scène sont ceux de son entourage, maquillés sous un faux nom. On y retrouve ainsi toute la société littéraire qu'elle fréquentait, de Rousseau à Grimm, de Diderot à d'Holbach, dans les salons de Madame Du Deffand ou de Madame Geoffrin. La correspondance vient compléter cette peinture de cette société de philosophe. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Paris, Charpentier, 1863 2 vol. in-8, VIII-460 pp. et 500 pp., demi-chagrin rouge, dos à nerfs (rel. de l'époque). Cach. Pélissier-Jacqmin.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT - LIEN DE PAIEMENT, NOUS CONSULTER.
Louise d'Épinay 1725-1783 ( Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles)
Reference : 85688
(1822)
Paris Alexis Eymery : Imp. Joly, Dôle 1822, in-18 (8,5x13,9cm), élégante reliure romantique,demi-chagrin noir à dos long décorés de motifs dans le goût du temps, touches tranches dorées, XVI, 192p., 226p., 216p., 180 p. Edition en bel état de conservation complète des 12 gravures hors-textes. De rares rousseurs & marques du temps.En préambule, l'Avertissement sur la seconde édition parisienne (la première parue à Leipsick en 1774), suivi d'une Lettre de l'Auteur à l'Editeur de la première édition.
En 1756, Louise d'Épinay se préoccupait déjà du thème de l'éducation dans ses Lettres à mon fils. Elle rédige Les Conversations d'Émilie à l'intention de sa petite-fille, Émilie de Belzunce, sous la forme de dialogues vivants entre une mère et sa fille. Elle cherche également à encourager les autres mères à suivre son exemple quant à l'enseignement de leurs filles, elle insiste sur l'importance fondamentale jouée par la mère dans l'éducation de celles-ci, qu'elle soit morale ou physique. Louise d'Épinay passe ainsi plusieurs heures par jour avec Émilie, et rédige les commentaires de la jeune fille, mais aussi ses questions, ses réflexions, ce qui constitue l'essentiel du texte. Elle interroge également, et remet en cause, les procédés et théories mises en place par ses prédécesseurs .Le public réserva un accueil très favorable au traité lors de sa première parution. Ses idées eurent une probable influence sur les traités de pédagogie postérieurs aux Conversations, à savoir sur les écrits d'Isabelle de Charrière, de Germaine de Staël, de Nicolas de Condorcet, d'Arnaud Berquin, d'Henriette Campan ou encore de Pestalozzi. À sa mort, ce fut Grimm qui prit alors la jeune Émilie de Belzunce sous sa protection. Source : Wikipédia