Buffetaud, E. et C. Pichois (Iconographie choisie et commentée par) (Gérard de Nerval)
Reference : 46511
(1993)
Gallimard Cuir Paris 1993
Très bon In-12. 284 pages. Sous étui illustré. Coll. "Bibliothèque de la Pléiade".
Société du Mercure de France 1907 VII-427 pages in12. 1907. Relié. VII-427 pages. Paris Société du Mercure de France 1907 - 4ème édition. In-12 (185x118 mm) VII-427 pages. Livre relié Demi-Cuir Dos à quatre faux-nerfs titré en lettres dorées. Avec une notice et un portrait en frontispice. Reliure en état moyen avec le dos insolé et frotté. Papier jauni. Poids : 430 gr
Etat Correct
Classiques Garnier 1958 LXIX-982 pages Fort In-12. 1958. broché sous jaquette. LXIX-982 pages. Textes établis avec un sommaire biographique une étude sur Gérard de Nerval des notices des notes un choix de variantes et une bibliographie par Henri Lemaitre. Edition illustrée
Bon Etat
Gallimard Jaquette en très bon état Cuir Paris 1964
Très bon In-12. 1328 pages. Édition "Gide et Nerval" épuisée. Coll."Bibliothèque de la Pléiade".
S. e. In-8 Couverture souple Athènes 1967
Très bon 115 pages. Texte de Gérard de Nerval accompagné d'une étude de l'oeuvre.
Paris s. d. [avril 1841] | 13.50 x 21 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Hippolyte Delaunay rédigée à l'encre noire.Nom du destinataire de la main de Nerval au dos du feuillet. Une pliure centrale inhérente à la mise sous pli. Cette lettre a a été retranscrite dans lesOeuvres complètesde Nerval à la Pléiade. Gérard de Nerval est enfin «libre et sorti de la maison Blanche» après y avoir séjourné des suites de sa crise du début printemps 1841. Il ne s'agit toutefois pas d'une sortie définitive mais probablement d'une permission accordée par le docteur Blanche à son patient, ce dernier ne sortira définitivement qu'en novembre 1841. L'écriture, difficilement lisible par endroits, montre la fébrilité de Gérard de Nerval, qui cherche à renouer avec le milieu littéraire: «J'apporte des masses de copie, pour vous et trois ou quatre autres journaux.» Hippolyte Delaunay fut rédacteur en chef de la revue L'Artiste dans laquelle Nerval publia le 11 avril de la même année un article intitulé «Mémoires d'un Parisien, Sainte-Pélagie 1832». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 11 février 1844 | 10.40 x 13.60 cm | quatre pages sur deux feuillets
Trois lettres autographes signées par Gérard de Nerval (2 pages signées «?Gérard?»), Théophile Gautier (1 page) et un troisième scripteur qui n'a pas signé (1 page), adressées à Louis Desessart. La troisième lettre a été rédigée par un certain «?Robert?» (cf. la lettre de Nerval) Louis Desessart, éditeur attitré de Théophile Gautier, publia avec Barba la pièce Léo Burckart de Nerval en 1839. À la suite d'ennuis financiers, il fut contraint de se réfugier «?dans cette triste et charmante ville de Bruxelles?». Les trois amis rédigent ce courrier à Paris, où ils se sont retrouvés au retour du long voyage en Orient qu'entreprit Nerval?: «?J'ai vu l'Égypte 6 mois?; puis j'ai séjourné en Syrie 3 mois à Constantinople 4 mois le reste en route. C'est assez beau. Je ne m'amuse plus qu'en voyage et je vis double autant que je puis.?» Ce voyage force l'admiration de Théophile Gautier qui ne se rendra que des années plus tard en Turquie et en Egypte?: «?Je suis à Paris et voudrais être au Caire d'où Gérard arrive.?» L'exotisme des voyages lointains contraste ici violemment avec la tristesse et l'austérité de l'Europe?: «?Quelle tristesse que Paris quand on revient des pays éclairés du soleil.?» (Nerval) D'autant plus que, loin des rêves d'évasion, Paris rime avec travail et mélancolie?: «?Nous sommes comme les gens malades qui ne se trouvent bien nulle part. Je crois que le bon temps est passé et que les bonnes heures d'autrefois où nous disions tant de sages folies ne reviendront plus. À quoi sert de vivre puisqu'il faut travailler et qu'on ne peut ni voir ses amis ni leur écrire ni rien faire de ce qu'on voudrait??» (Gautier) Les deux écrivains sont très compatissants quant à l'exil belge de leur ami, Bruxelles apparaissant ici comme la capitale du spleen?: «?Quoi?! Vous êtes encore dans cette triste et charmante ville de Bruxelles?! [...] Bruxelles est encore plus noir, pauvre garçon?!?» (Nerval) Cette triple lettre a en réalité été rédigée à l'initiative de «?Robert?»?: «?N'est-ce pas, mon cher ami, que je suis habile à faire oublier mes torts? [...] je trouve le moyen en compensation, de t'envoyer ces autographes de deux de tes [...] camarades, de tes plus doux souvenirs, de deux célébrités qui malgré toutes leurs sympathies, toute leur affection pour toi, ne t'eussent jamais écrit un mot, si je ne leur avais pas taillé leurs plumes, affrété leur papier, comme à de petits enfants boudeurs, et si je ne leur eusse dit?: écrivez tout de suite, tout de suite à l'exilé que vous aimez le mieux.?» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris D. Giraud et J. Dagneau 1852 1 vol. Relié in-12, demi-maroquin tête de nègre à coins, dos à nerfs, caissons ornés d'un double encadrement de filets à froid, tête dorée (Lortic), XVI + 356 pp., gravure allégorique en frontispice et fac-similé hors-texte.Edition originale avec un envoi autographe signé de Nerval aux frères Goncourt, dans une fine reliure de l'époque par Lortic, leur relieur préféré.Ce précieux exemplaire est resté inconnu des biographes. On ne connaît pas d'autre livre de Nerval dédicacé aux Goncourt ; dans le catalogue de leur bibliothèque ne figurent que les deux volumes des Scènes de la vie orientale parus en 1850, sans envoi donc. Le Journal des Goncourt évoque surtout Nerval au moment de son suicide, Jules ayant été dessiner la rue où le poète se donna la mort. Cependant, à l'époque de leur collaboration à L'Éclair, les Goncourt ont signé deux articles sur Nerval, le premier le 10 juillet 1852 sur Les illuminés ou les Précurseurs du socialisme (n°27, p.8-9), le second sur Lorely, souvenirs d'Allemagne le 18 septembre 1852 (n° 37, p. 126-127). C'est sans aucun doute à cette occasion que Nerval leur dédicaça ce volume. La Bibliothèque historique de la Ville de Paris a par ailleurs présenté à l'exposition Nerval de 1996 (n°436 du catalogue) un exemplaire du Salon de 1852 avec envoi des Goncourt au poète (coll. part., ancienne coll. J.E. Blanche).Quelques rousseurs marginales, sinon superbe exemplaire.
s. l. s. d. [1853] | 13.50 x 8.80 cm | une feuille
Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à son ami Georges Bell, quatre lignes rédigées au crayon de papier et signées de son prénom "Gérard". Trace de tampon au verso. Deux petits trous d'épingle sans atteinte au texte, deux traces transversales de pliure inhérentes à la mise sous pli du billet. Ce petit mot a été rédigé lors de l'avant-dernier séjour de l'écrivain chez le Docteur Blanche en 1853. Ce billet a été retranscrit dans le tome 3 desOeuvres complètesde Nerval à la Pléiade. Gérard de Nerval fit la connaissance de Joachim Hounau,connu sous lenom de plumeGeorges Bell, chez Joseph Méry, à Marseille en 1843, au retour de son voyage d'Orient. Bell fut un très proche ami de Gérard de Nerval qui, agonisant, l'appelera à son chevet. Les autographes de Gérard de Nerval sont très rares. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1948 S.l.n.d. (ca 1948), ensemble de 28 ff. (270 x 210 mm) manuscrits à lencre noire, dune écriture très lisible, quelques ratures.
Lensemble nest pas signé mais la première partie du manuscrit, Une escale rue Richelieu : Gérard de Nerval à Cythère, est parue dans la Revue dhistoire littéraire de la France, 48e année, pp. 296 à 308, larticle étant signé de Gilbert Rouger.Gilbert ROUGER (1903-1978), professeur agrégé, auteur douvrages à caractère pédagogiques. Grand amoureux et spécialiste du poète, il a établi et annoté une édition des Voyages en Orient (P., Imprimerie Nationale de France, 1950, 4 vol.) ; il est lauteur de lavertissement dune édition des Voyages en Orient (P., Club des Libraires de France, 1955, 2 vol.) ; il est lauteur dune notice biographique, une notice historique et littéraire, des notes explicatives, des jugements, dun questionnaire et des sujets de devoirs pour Pages choisies de Gérard de Nerval (P., Classiques Larousse, 1936) ; et enfin lauteur de lintroduction et la présentation des uvres de Nerval (P., Editions Alpina, 1958).
Très bel exemplaire conservé dans sa fine reliure de l’époque et provenant de la bibliothèque de Paul Eluard. Paris, Victor Lecou, 1852. In-12 de vii pp., 354 pp., (1) f. de table. Demi-veau lavallière, pièce de titre de maroquin vert, tranches marbrées. Reliure de l’époque. 175 x 106 mm.
Précieuse édition originale de cet ouvrage de Nerval «peu commun et recherché». (Clouzot, p. 223). Vicaire, IV, 57; Carteret, II, 219. Le volume réunit des essais et nouvelles publiés en revue entre 1839 et 1850 consacrés à de prétendus «fous». Cette édition originale contient les portraits de Raoul Spifame roi de Bicêtre, de l'abbé de Bucquoy, de Cazotte, de Cagliostro, de Quintus Aucler et surtout celui de Restif de la Bretonne avec lequel Nerval avait en partie identifié son destin : comme Restif, Nerval fut prote d'imprimerie, il s'éprit d'une actrice dont il fit son idole, il adopta la théorie des ressemblances et celle de la transmigration des âmes. «Œuvre de Gérard de Nerval (1808-1855), publiée en 1852 chez Victor Lecou. Cette galerie de portraits d’illuministes est la réunion d’articles publiés, dans des revues, à des époques diverses. Ces excentriques notoires, fous, inspirés, pseudo-mystiques, ‘précurseurs du socialisme’ (c’était le sous-titre que devait porter l’ouvrage), dont certains se rapprochent de Nerval, l’auteur ne les suit pas en aveugle et il se garde de perdre son ironie. Certains critiques ont vu même dans ‘les Illuminés’ une condamnation formelle de cette maladie de l’esprit qui sévit vers la fin du XVIIIe siècle [...] La nostalgie de la vieille foi chrétienne se montre dans ‘les Illuminés’ et le regret que la Renaissance et la Révolution aient porté à cette foi des coups terribles: non que Nerval montre quelque espoir d’un retour victorieux du christianisme. Il n’y a ici qu’une affection triste, la même que Barrès témoignera à l’égard de ces choses, le souhait, simplement humain, de ‘s’attacher avec larmes et avec prières aux pieds sanglants de ce Christ détaché de l’arbre mystique, à la robe innocente de cette Vierge mère, expression suprême de l’alliance antique du ciel et de la terre, dernier baiser de l’esprit divin qui pleure et qui s’envole». (Dictionnaire des Œuvres, III, 672). Très bel exemplaire de cette originale recherchée conservé dans sa fine reliure de l’époque. De la bibliothèque Paul Eluard avec ex libris «Après-moi le sommeil». Cette provenance est remarquable pour ce livre précurseur du surréalisme.
1826 P., Touquet, Galerie Vivienne, s.d. (1826), 1 vol. in-32° (110 x 70) broché sous couverture verte imprimée en noir, de 61 pp. Rousseurs essentiellement concentrées en premières et dernières pages, très bel exemplaire dans son brochage d'origine.
Seconde édition, revue, corrigé et augmentée, parue la même année que l'originale et tout aussi extrêmement rare. Complainte longtemps considérée comme le premier livre de Gérard de Nerval. Lauteur principal, présenté sous le pseudonyme de Cadet-Roussel, serait Félix Bodin, publiciste et historien, auteur de plusieurs opuscules littéraires et politiques de petits formats.À lépoque de cette publication, il était lami de Gérard de Nerval qui lui aurait dédié ses premières ébauches en le désignant également sous le pseudonyme de Cadet-Roussel, notamment dans Les Hauts Faits des Jésuites et dans Monsieur Dents court ou le cuisinier dun grand homme publiés en 1826.Nerval serait cependant lauteur de deux couplets, ainsi que lindiqua son ami Nadar dans une lettre (Journal pour rire, avril 1852), sans malheureusement révéler lesquels.De plus, il existe un exemplaire de la troisième édition avec un ex-dono manuscrit en couverture, de la main de Nerval, à Mr d'Allemagne.On peut penser que dautres collaborateurs participèrent à cette publication, la mention au titre dune Société de Publicistes, Jurisconsultes, et Gens de lettres, laisse supposer quil sagit effectivement dune uvre collective.Cet opuscule se compose de 21 couplets en vers, chacun accompagné de notes, suivis du chapitre XXVII de la genèse sur le droit daînesse, avec la version latine à gauche et sa traduction en regard.Il y eut quatre éditions différentes publiées la même année, la première de 55 pages, la seconde (la nôtre) de 61 pages, la troisième de 31 pages ainsi que la dernière de 32 pages qui comprend deux couplets et deux notes supplémentaires.Réf. biblio. : Max Brix, Manuel Bibliographique des uvres de Gérard de Nerval, p. 39 ; Catalogue de l'exposition Gérard de Nerval, Paris, Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, 1996, p. 8, n° 35 ; Clouzot, p. 126.
1844 8 pages in-8 à l'encre brune (21 x 13,8 cm) sur 4 double feuillets, adresse autographe et marques postales au dos du dernier feuillet (avec petit manque de papier amputant la fin de deux mots), sous chemise demi-maroquin noir.Manuscrit complet, seul connu, de cette fantaisie sur les théâtres parisiens rédigée pour Le Diable à Paris. Nerval y esquisse une sorte de physiologie des claqueurs, ceux qu'on appelle "Romains" dans l'argot du théâtre : ces faux spectateurs recrutés pour ovationner ou bien huer les spectacles et dépeints notamment par Balzac dans ses Illusions perdues. Après un rappel des origines de cette tradition, Nerval constate sa généralisation dans le théâtre de son temps, et il s'amuse à détailler l'influence et la hiérarchie des claqueurs à partir de sa propre expérience de critique dramatique.Ce beau manuscrit de premier jet surchargé de corrections fut adressé à Pierre Jules Hetzel par courrier depuis Amsterdam le 23 septembre 1844 avec une amusante apostille signée "Gérard" in-fine et les cachets de la poste faisant foi. L'éditeur fit tirer un jeu d'épreuves conservé à la bibliothèque Spoelberch de Lovenjoul, mais le texte ne parut finalement pas dans Le Diable à Paris. Il est resté inédit jusqu'en 1948 où la "Revue d'histoire du théâtre" en publie une version fautive, avant d'être repris en Pléiade dans les Œuvres complètes (tome I, p. 848-854) avec cette note des éditeurs J. Guillaume et Cl. Pichois : "On ne sait pour quelle raison cet article fut exclu : par le pittoresque du sujet et la vivacité de l'expression, c'est un bel exemple de l'article de genre" (p. 1819).Les manuscrits littéraires de Nerval sont rares et très recherchés.
Notre collection se présente sous formes de tomes annuels ou semestriels, sous reliure cartonnage à dos toilé (fin XIXe siècle). Nous disposons des 6 premiers tomes (de 1835 à 1838). Tous les tomes sont complets de leur frontispice et de leurs gravures. Malgré d'inévitables rousseurs (éparses et assez peu marquées), l'ensemble est en bon état. // C'est dans l'entreprise de ce " Monde dramatique " que Gérard de Nerval engloutit l'héritage de son grand-père et contracta des dettes qui le suivirent tout au long de sa vie. Nerval ne dirigea " le Monde dramatique " que pendant les deux premières années de sa parution. Dans le tome II, page 345, on peut lire un article (non signé) à la gloire de Mademoiselle Jenny Colon - son portrait à pleine page, dessiné par Gavarni, illustre cet hommage. // Textes de Gérard de Nerval (qui signe G, ou ne signe pas), Théophile Gautier, Frédéric Soulié, Alexandre Dumas, Roger de Beauvoir, Jacques Arago, Alphonse Karr, Jules Janin // Gravures de Célestin Nanteuil, Paul Gavarni, Camille Rogier, Henry Monnier, Napoléon Thomas, Louis Lassalle...
Paris (1 - puis 5 -, rue des Filles-Saint-Thomas). Fondateurs : Gérard de Nerval et Anatole Bouchardy. Grand in-8°. Périodicité hebdomadaire puis bi-hebdomadaire. Cette revue parut de mai 1835 à septembre 1841.
Nerval, Gérard de (Édition publiée sous la dir. de J. Guillaume et Cl. Pichois)
Reference : 47235
(1989)
Gallimard Cuir Paris 1989
Très bon 3 vol. in-12. 2073, 1851 et 1692 pages. Volumes 1 et 3 sous étuis illustrés, volume sous jaquette en très bon état. Coll. "Bibliothèque de la Pléiade".
Club international de bibliophilie / Jaspard, Polus et Cie Cuir Monaco 1960 Ed. numérotée
Très bon Fort in-4. 154 pages. Légers accrocs à la reliure. Reliure plein chagrin marine, décor mosaïqué, couvertures et dos conservés, reliure de Pierre Ouvrard. Exemplaire no. 38/250/300. Complet des 34 eaux-fortes : 23 vignettes et 11 pleine page hors-texte dont celle en couverture. (Monod, 8634).
Paris Hotel de Sagonne 1946 222 pages in-8. 1946. broché. 222 pages. - Préface de H. Clouard. Grand In-8 étroit (263x128 mm) 222 pages. Livre broché couverture rempliée et imprimée en rouge et noir sous chemise cartonnée et étui. Histoire littéraire d'une vie au XVIIIe siècle. Ex. n° 630 sur vélin ivoire pur chiffon à la forme des papeteries de Lana (Un des 750). Etui frotté aux coupes sinon très bon état. Poids : 560 gr
Bon Etat
Bordas (Coll. "Les grands maitres") 1948 243 pages in-8. 1948. cartonné. 243 pages. In-8 avec cartonnage éditeur (223x145 mm) XXII-243 pages. Préface de René Dumesnil - Edition illustrée en noir et annotée par Jean Richer. Cartonnage en état correct un peu frotté en tête de dos avec un mors fendu sur 3 cm. Intérieur avec rousseurs. Poids : 410 gr
Cartonnage en état correct un peu frotté en tête de dos avec un mors fendu sur 3 cm. Intérieur avec rousseurs
Paris Librairie L. Conquet 1886 134 pages in-12. 1886. broché. 134 pages. In-12 broché avec couverture rempliée (177x119 mm) 134 pages. Souvenirs du valois - Préface par Ludovic Halévy. 42 compositions dessinées et gravées à l'eau-forte par Ed. Rudaux. Ex. n° 670 sur vélin (Un des 825) - Tirage à 1000 ex. (Planches effacées). Couverture en bon état avec le dos légèrement bruni. Des rousseurs à la tranche sinon intérieur avec peu de rousseurs souvent marginales. Poids : 170 gr
Paris Editions Jules Tallandier (Coll. "Les belles oeuvres littéraires") 1929 275 pages in-8. 1929. broché. 275 pages. In-8 broché avec couverture rempliée (193x143 mm) 275 pages. Frontispice en noir. Couverture en état correct un peu gauchie avec des coupures aux mors. Intérieur propre avec une coupure marginale page 37. Poids : 380 gr
Paris Bibliothèque des éditions Richelieu 1950 364 pages in-8. 1950. relié. 364 pages. In-8 (222x167 mm) 364 pages. Livre relié Demi-Cuir vert à coins Dos à cinq faux-nerfs titré en lettres dorées Tranche supérieure dorée Couverture conservée (plats et dos). Ex. sur papier de chiffon filigrané (Un des 500). Texte établi et annoté par Gilbert Rouger - Tome III seulement. Hors-texte gravés sur bois par Henri Renaud et dessinés par Yves Trevedy. Reliure en très bon état général. Intérieur propre. Poids : 1030 gr
Le club français du livre (Les Portiques) 1968 XVIII-739 pages in8. 1968. Relié. XVIII-739 pages. Pleine peau sous jaquette rhodoïd. Ex. n° 2712
Etat Passable Dos insolé avec des frottements importants aux coupes supérieures. Intérieur propre
Imprimerie Nationale 1997 493+477 pages In-8. 1997. Cartonnages toilés sous jaquettes. 493+477 pages. Présentation et notes de Jacques Huré. Avec quelques illustrations en noir. Les deux ex. ont des n° d'éditions différents
Etat correct. A noter la charnière intérieure du volume II un peu fragilisée sinon bon état
Bordas 1948 XXII-243 pages collection Les grands maitres. in-8. 1948. Cartonnage éditeur. XXII-243 pages. Avec des illustrations en noir
Bon Etat Général
Richelieu 1950 in-8. 1950. Plein cuir avec dos décorés Couvertures conservées Tranches supérieures dorées. Texte établi et annoté par Gilbert Rouger - Hors-texte gravés sur bois par Henri Renaud et dessinés par Yves Trevedy - Ex. n° 1737 sur alfa ivoire (Un des 3500)
Etat correct. Dos des reliures insolés et un peu frottés. Intérieurs propres