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‎CONSTANTIN (Père) - VIRLOGEUX (Louis).‎

Reference : 5679

‎La vie de sainte Procule, patrone de Gannat. ‎

‎ Moulins, imprimerie Pottier, 1968 ; in-8, broché. 2ff.-XX-245pp.-2ff. Non coupé, parfait état. ‎


‎Le Père Constantin était un frère Capucin, installé dans le couvent de cet ordre qui existait depuis le XVIIème siècle à Gannat. Son vrai nom était Gilbert Rabusson, fils de Joseph Rabusson, sieur de Vaure, lieutenant général de la ville et châtellenie de Gannat. La dévotion à sainte Procule, patronne de Gannat, avait été ranimée au XVIIème s. et le Père Constantin entreprend de retracer l'histoire de cette martyr chrétienne qui aurait vécue au XIIème siècle, serait fille des comtes de Rodez, serait venue à Gannat pour fuir le mariage et y aurait été décapité par son fiancé en colère. Le manuscrit du Père Constantin date de 1714, il en existe plusieurs copies dont une de 1722, conservée à Gannat. C'est ce dernier texte qui asservi à la transcription intégrale de Louis Virlogeux ‎

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‎TSATSOS (Constantin)‎

Reference : 31537

(1977)

‎La Grèce et l'Europe.‎

‎ Le président de la République hellénique au Secrétaire perpétuel Lausanne, Centre de recherches européennes, 1977. 1 vol. (180 x 240 mm) de 55, [6] p. et 1 f. Broché. Edition originale. Envoi signé : « Pour Maurice Genevoix, le grand maître des Lettres Françaises, Tsatsos ». ‎


‎En 1977, Constantin Tsatsos, président de la République hellénique et philosophe de formation, publie à Lausanne La Grèce et l'Europe. Ce bref essai, nourri d'érudition, plaide pour une vision exigeante de l'Europe : non pas une construction strictement économique, mais une civilisation portée par l'idée grecque de l'homme libre et raisonnable, enracinée dans la culture, le droit et la mémoire. À ses yeux, « le dialogue entre Athènes et l'Europe ne peut jamais cesser », car il est la condition d'une fidélité à l'esprit. Formé en Allemagne et francophone accompli, Tsatsos a toujours considéré l'Europe comme un espace culturel avant d'être une entité politique ; en méditatif européen, soucieux de redonner à la civilisation grecque sa vocation formatrice et à l'heure où l'Europe cherche son unité, il prône un « dialogue entre Athènes et l'Europe [qui] ne peut jamais cesser, car il est le dialogue de l'homme avec sa propre dignité. » L'hommage à Genevoix n'est pas purement protocolaire : il repose sur une affinité réelle. Si « le grand maître des Lettres Françaises » ne fut ni philosophe ni diplomate, il incarna dans la littérature française une parole d'humanité, de fidélité au passé et de transmission que Tsatsos ne peut ignorer. Peu connu mais essentiel à cet égard, son texte L'Olympie (publié en 1964 dans le volume Regards sur le monde antique édité par l'UNESCO), témoigne de cette résonance intérieure entre l'auteur et la Grèce. Dans ce court hommage à la lumière du Péloponnèse et aux ruines sacrées d'Olympie, Genevoix écrit avec une simplicité quasi liturgique la présence immobile de la grandeur antique, et le respect silencieux qu'elle inspire à l'homme du XXe siècle. Il est également l'auteur, en 1924, d'un Euthymos, vainqueur olympique : dans ce roman, il retraçait la vie du pugiliste Euthymos de Locres, triple vainqueur olympique, qu'il érige en figure légendaire de l'Antiquité. La Grèce entrera dans la Communauté européenne en 1981, peu après la présidence de Tsatsos et trois ans avant la mort de Genevoix. ‎

Librairie Walden - Orléans
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‎CONSTANTIN-WEYER (Maurice).‎

Reference : 14184

‎Vichy et son histoire des origines à nos jours.‎

‎ Vichy, Szabo, [imprimerie Wallon], 1947 ; in-4, en feuilles sous chemise et étui de l'éditeur. 121 pp.-1 f.- 43 hors-texte. Très bon état. ‎


‎Édition originale tirée à 611 exemplaires, un des 60 sur vélin chiffon filigrané Johannot numéroté 92, illustré d'un bois gravé en couleurs de Paul Devaux (Pavillon Sévigné) répété sur la couverture et en frontispice, et de 42 vignettes contrecollées hors-texte dessinées par Gaston Gaby, Robert Mazuel, A. Veyre, M. Robert et René Margotton, ces dernières sont lithographiées et aquarellées par l'artiste. Quelques illustrations in-texte en sanguine. Le texte de Constantin-Weyer est d'une portée historique assez générale mais donne un aperçu rapide et agréable de l'évolution de la ville. Une part importante est consacrée aux années de guerre et d'après guerre qui est l'occasion pour l'auteur de livrer des souvenirs personnels. ‎

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‎[MANUSCRIT]. FAUCHER (César et Constantin).‎

Reference : 228966

‎[Correspondance avec Laffon de Ladébat]..‎

‎S.l. [La Réole ou Bordeaux], 5 avril 1791 - 10 ventôse an VI [28 février 1798] 90 pièces in-4 ou in-folio, en feuilles. ‎


‎Correspondance active de premier ordre, rassemblant les lettres écrites par les deux "Jumeaux de la Réole", les frères César et Constantin Faucher (1760-1815), à leur ami André-Daniel Laffon de Ladébat (1746-1829), à partir de 1791 député Feuillant de la Gironde à l'Assemblée législative. Le rôle des trois hommes dans les événements révolutionnaires du département étant central, on saisira sans peine l'importance de cet échange. Constantin fut par exemple maire de La Réole de novembre 1791 à décembre 1792, et César lui succéda à ce poste de décembre 1792 à janvier 1793.Nous avons fait le choix de présenter dans leur ordre chronologique, mais mêlées, les missives des deux frères ; la raison principale en est l'indistinction a priori des lettres : elles sont très rarement signées ou paraphées (de Ce pour César, de Cin pour Constantin), et, à l'instar des traits physiques de César et Constantin, présentent de grandes similitudes graphiques (sans être vraiment identiques absolument, on comparera par les exemples les deux formes des h et des d). Certains jours, les deux frères écrivent chacun une lettre à Laffon ; d'autres, ils se contentent d'une souscription à la suite de la missive de l'un des deux. Les matières couvrent à la fois les affaires nationales traitées à l'assemblée par Lafon de Ladébat, et la politique locale de la Gironde, assumée par les deux frères, avec un entrecroisement permanent (mais avec une prédominance normale des affaires locales). Les deux frères ne se privent pas de donner à maintes reprises leur opinion sur la politique générale menée à Paris, et elle n'est pas amène, notamment sur le grand sujet de la guerre avec les puissances européennes.I. [1791].1. Du mardi 5 avril 1791. Sur le convoi de Mirabeau ("Mon ami, nous avons accompagné hier le convoi de Mirabeau, l'assemblée en corps, le corps électoral, la municipalité, les députés de toutes les sections, des détachements de tous les bataillons, toutes les sociétés ou clubs, les ministres du Roi et la moitié de Paris assistèrent à ces funérailles, jamais deuil n'a été plus général et plus profond").2. Du 24 avril 1791. Sur le buste de Mirabeau et le choix entre plusieurs artistes ("Hier le concours pour ces bustes fut ouvert aux Jacobins ; il n'y eut qu'une voix pour celui de M. Dumont. On y retrouvoit l'âme et la vie de Mirabeau ... Houdon vint à ce concours, mais sans y mettre son buste").3. Du 6 août 1791. Sur les obstacles qui sont suscités aux deux frères dans la Gironde ("Le district a demandé au département par le courrier de vendredi dernier de suspendre mon frères pendant deux mois de ses fonctions, et cela sous le prétexte que les délibérations et arrêtés de la municipalité n'ont pas le ton de respect et de soumission que la hiérarchie commande").4. Du 29 novembre 1791. Sur l'effervescence des esprits.5. Du 9 décembre 1791. Annonce une lettre du maire de La Réole [= Constantin]. On joint un billet du même jour signé de Constantin : Copie de la lettre écrite le 9 Xbre 91 au Directoire du district de La Réole.6. Du 13 décembre 1791. Brosse un tableau très sombre de la situation générale ( "L'effroi est celui de la banqueroute, et celle-ci paroît inévitable si nous fesons la première attaque, ainsi qu'on dit que le Roi en a donné l'ordre. C'est la faute la plus grande et la plus cruelle qu'on pût faire : comment, sans marine disciplinée, sans sûreté du côté de l'armée, convaincus de l'infidélité des officiers, sans un sol pour le prêt, sans crédit, troubles intérieurs, factieux enhardis, ministres infidèles, disette, gardes nationales indisciplinées et neuves, clergé intrigant, jugez si le jour même de la déclaration de guerre n'est pas un signal du plus grand désordre").7. Du 17 décembre 1791. "Vous êtes et nous sommes dans la crise. Elle est violente (...). Je voudrais que le Roi écrivît à l'armée une lettre fière, grande, majestueuse, mais confiante et qu'elle [soit] remise à chaque soldat, plus une au peuple pour l'inviter à la paix, à l'union, à l'exécution des loix & à s'en raporter aux soins de l'Assemblée nationale et du pouvoir exécutif".8. Du 31 décembre 1791. "Allons, mon cher Monsieur, faites bonne contenance - réünissez-vous pour sauver la patrie, il en est peut-être encore tems".II. [1792].9. Du 5 janvier 1792. Sur le mauvais état de la forteresse de Blaye, qui ne serait pas en mesure d'affronter l'attaque d'une escadre ennemie.10. Du 7 janvier 1792. Sur l'agitation des esprits relativement à la guerre.11. Du 9 janvier 1792. Nouvelles difficultés dans les séances du conseil municipal. "Si, si fait, je suis un fou de me passionner pour l'administration quand tout ce qui m'environne est de glace".12. Du 26 janvier 1792. Sur son opposition à la guerre qui se prépare : "Je m'oppose à la guerre. Notre situation nous coutte beaucoup, la guerre coûtera infiniment d'avantage, tuera tout crédit, fera naître peut-être la guerre civile, et puis point d'armée, &c."13. Du 31 janvier 1792. Longue lettre sur l'impréparation du pays à la guerre : "L'évêque d'Autun [Talleyrand] ne doit pas réussir à Londres. Que voulez-vous qu'on fasse d'une nation qui n'a ni armée, ni matelots, ni argent, ni crédit ; pas d'assiette assurée, point de paix intérieure, point d'union entre les deux pouvoirs bien prouvée, &c. C'est s'y prendre trop tard. Il falloit traiter l'été, et conclure après la sanction..."14. Du 3 février 1792. Critique sévère de l'assemblée législative : "Votre assemblée rétrograde. Combien elle est au-dessous de l'ancienne, et où est cette gravité, cette sagesse, cette constante application aux principales affaires ? Pourquoi cet ascendant que vous laissez prendre aux tribunes ? Pourquoi cette confiance aux frases de ces orateurs politiques de deux jours qui croyant être capables de mener un empire parce que, depuis la Révolution, ils lisent les journaux ?"15. Du 3 février : Sur des troubles occasionnés dans la région par les divisions religieuses.16. Du 9 février 1792 : Sur sa mauvaise santé qui l'oblige à ne pas assister aux séances du directoire.17. Du 11 février 1792. Nouvelles critiques de l'assemblée : "Comment est-il possible que ce malheureux côté gauche ne s'apperçoive pas du danger affreux qui nous menace dehors et dedans ?"18. Du 15 février 1792. Sur l'installation du tribunal criminel du département.19. Du 24 février 1792. Intervention en faveur de Pierre Larquey fils, jeune greffier au tribunal.20. Du 5 mars 1792 (3 bifeuillets, signés César). Longue lettre donnant quantité de nouvelles notamment locales (les inondations récentes et les dégâts occasionnés). Insiste sur la nécessité de rédiger un code matrimonial.21. Vers le 10 mars (signé César). Sur un mariage passé devant la municipalité et qui est menacé d'une action en nullité.22. Du 12 mars 1792. Sur la politique de fermeture des églises en Saintonge.23. Du 23 mars 1792. Sur la mort de l'Empereur [Léopold II], et les agitations persistantes de l'assemblée.24. Du 20 mars 1792. Nouvelles de Saint-Domingue (Les Cayes, Jacmel), et des massacres de blancs qui s'y déroulent : "Voilà où l'orgueil aristocratique et la rupture d'un concordat quand on est le plus foible nous ont conduits. Je vous donné à penser quel effet cela peut produire pour la constitution relativement aux ports de mer et au commerce d'exportation à l'étranger".25. Du 22 mars 1792. Obstacles persistants rencontrées par la muncipalité.26. Du 26 mars 1792 (deux bifeuillets). Sur les relations entre les différents corps administratifs.27. Du 28 mars 1792. Sur la nomination des nouveaux ministres.28. Du 30 mars 1792 (6 pp.). Politique locale.29. Du 31 mars 1792. "Les colons et les armateurs crient contre le décret sur les colonies. On le sçaura là-bas avant le départ des forces, et il y peut produire le plus mauvais effet, je le crains".30. Du 2 avril 1792 (10 pp., signées César). Sur le jugement de Bertonneau, administrateur opposé aux Faucher, et refusant de loger les volontaires dans sa résidence de La Réole.31. Du 2 avril. Grande lassitude des fonctions municipales ...32. Du 3 avril 1792. Sur les finances de la commune.33. Du 3 avril. "Nous dressons un état de nos dettes et de nos ressources. Il nous faut quelques avances de toute nécessité".34. Du 11 avril 1792. Expédie un exemplaire du jugement contre Bertonneau (qui est joint à la lettre sous forme de placard in-folio, signé de Constantin Faucher, président du tribunal de police).35. Du 14 avril 1792. "Votre décret contre les costumes des prêtres me paroît très propre à gâter les affaires. Tous nos fonctionnaires en murmurent".36. Du 17 avril 1792. "Tout ceci s'appaisera, j'y compte : mais la liberté de culte ? n'y comptez pas de longtems. Les deux espèces de prêtres ne vallent rien - intollérans de part et d'autre".37. Du 21 avril 1792. "La guerre est la mort de la constitution. Je le prédis, et après elle, la débâcle sera généralle".38. Du 21 avril. "La paix règne ici, mais je pense qu'il nous sera impossible d'établir la liberté du culte. Le peuple est poussé par le club, celui-ci par quelques enragés que je ne connais pas".39. Du 24 avril 1792. "Par un extraordinaire adressé à un particulier, nous avons appris que le Roi alloit faire usage le 19 de l'initiative. Je tiens cela pour un grand, le plus grand des malheurs".40. Du 25 avril 1792 (2 bifeuillets). Sur les émeutes frumentaires (La Réole serait la seule ville épargnée dans la région). 41. Du 25 avril. "J'ai votre lettre sur la guerre. Elle m'oppresse à ne pouvoir respirer".42. Du 25 avril. Complète les lettres de son frère du même jour.43. Du 28 avril 1792. Sur la communication de la déclaration de guerre du 20 avril : "Le jour que nous apprîmes la déclaration de guerre, il s'ouvrit au club une souscription pour en payer les frais .."44. Du 30 avril 1792 (5 pp.). "Je n'ai aucune foi au cabinet de Londres. C'est sur le fait du commerce, le cabinet de Cartage. Le principe mercantile est celui de l'avarice ; celui de l'ambition n'est pas toujours en activité, il a des pauses - celui du profit n'en a jamais".45. Du 4 mai 1792 (2 bifeuillets, signés César). "Je vous mandai le dernier courrier, mon ami, ma nomination comme commissaire pour aller à Paris deffendre les intérêts de notre commune" (notamment la suspension de son frère).46. Du 5 mai 1792. "J'entends de toute part et dans tout le Royaume, les imbéciles compter sur la désorganisation des armées ennemies, &c., &c. Quelle confiance françoise ! quelle ignorance crasse !"47. Du 7 mai 1792 (2 bifeuillets, signés César). Nouvelles de la région.48. Du 7 mai. "Cet échec est d'une importance bien grave à mes yeux. Je ne puis chasser de ma tête qu'il ne vienne de ce qu'on travaille le peuple et l'armée. Je parle de cette affreuse et cannibale indiscipline. Sans l'intrigue démoniaque de ces enragés qui veulent tout détruire et nous ramener à l'anarchie généralle pour rétablir l'Ancien Régime, ce désordre n'auroit pas eu lieu."49. Du 10 mai 1792. Mauvaises nouvelles de l'agitation de La Réole, et aussi en provenance de Saint-Domingue.50. Du 11 mai 1792 (6 pp.). "Nous vous envoyons la délibération du bureau municipal qui fut annullée par le directoire de département à cause des expressions vives et amères et manquant de respect ..."51. Du 15 mai 1792. Sur les débuts malheureux des opérations militaires.52. Du 18 mai 1792 (par César). Sur la reprise des fonctions de Constantin Faucher comme maire de La Réole le 16 mai précédent : "Nos concitoyens redoublent leurs témoignages d'attachement le jour que mon frère a repris ses fonctions (avant-hier). Plus de 400 citoyens presque tous pères de famille sont venus le chercher avec une musique nombreuse à leur tête".53. Des 18-19 mai 1792. Sur l'arrestation arbitraire par la foule de 6 prêtres réfractaires.54. Du 21 mai 1792. "Je frémis sur votre Paris. Prenez un parti, un parti sévère, sans cela vous vous fusillerez avant la Saint-Jean".55. Du 26 mai 1792. Sur la multiplication des complots et menées "aristocratiques" ...56. Du 4 juin 1792. Sur les poursuites engagées par la commune de Castillon contre le directoire de la Gironde.57. Du 18 juin 1792 . Lutte sourde entre la commune et le district ..58. Du 2 juillet 1792 (2 bifeuillets). "Nous venons de nous trouver dans une position critique : le club de Bordeaux nous a envoyé une lettre imprimée et circulaire pour nous demander de nommer sans retard deux commissaires qui se rendront sur le champ à Bordeaux pour y former un comité central qui avisera au moyen de sauver la chose publique presque désespérée".59. Du 4 juillet 1792 (9 pp., avec une apostille paraphé Ci). Sur les menées de la Société des Amis de la Constitution de Bordeaux, et les traces négatives laissées dans l'opinion départementale par la suspension de Constantin.60 Du 16 juillet 1792. "Mon frère et moi sommes ici sous le poignard des assassins : il y a quatre jours qu'un membre de notre Société des amis de la Constitution a été renversé sans mouvement d'un coup violent dans la poitrine, au moment où il entroit dans la salle du club".61. Du 16 juillet. Sur l'arrivée du décret de la "patrie en danger". 62. Du 17 juillet 1792. Sur un massacre de 3 prêtres à Caudéran.63. Du 20 juillet 1792. Menées diffamatoires contre les deux frères.64. Du 23 juillet. Émigration d'un grand nombre de prêtres en Espagne.65. Du 25 juillet 1792. Sur l'agitation à l'assemblée nationale.66. Du 29 juillet 1792. Félicité Laffon de Ladébat sur l'obtention de poste de président de l'assemblée (il y a avait été élu le 23 juillet).67. Du 31 juillet 1792. Visite de Ramond de Carbonnières (1755-1827), député à la Législative, cible de l'extrême gauche, et qui avait demandé un congé pour sa santé (il ne reviendra plus à l'assemblée), et se retira à Tarbes. "Eh bien, vous aviez bien raison de dire que votre présidence seroit orageuse."68. Du 4 août 1792. Sur la conscription des volontaires envoyés aux frontières. 69. Du 6 août 1792 (de Bordeaux). Sur l'enrôlement du bataillon bordelais au Champ de Mars.70. DU 6 août (de Libourne). Sur les menaces qui s'accumulent.71. Du 11 août 1792. Sur le bataillon de volontaires.72. Du 12 août 1792. - 73. Du 15 août 1792. "Je gémis sur la situation de l'État. Je le tiens pour perdu depuis plus de 6 mois. Malgré cela, il faut chercher à le sauver".74. DU 16 août 1792. Déroulement de la fête civique.75. Du 20 août 1792. "Il ne nous parvint point de détails sur les affreux événemens qui ont ensanglanté la capitale : vous me feriez plaisir de m'en envoyer une relation imprimée, il doit en courir beaucoup".76. Du 23 août 1792. Sur une adresse non parvenue à l'assemblée.77. Du 27 août 1792. Sur les "trahisons" ...78. Du 1er septembre 1792. Sur la perte de Longwy. 79. Du 4 septembre 1792. Sur la retraite de Metz.80. Du 6 septembre 1792. Élection de Vergniaud et Guadet pour la Gironde (à la Convention).81. Du 8 septembre 1792. Sur les massacres de septembre à Paris : "Cette invasion sanguinaire dans les prisons fait frémir. Je sens bien que la vengeance est le principe de ces meurtres. Si je la blâme, je suis malgré moi porté à l'indulgence quand parti du peuple moi-même, je vois et touche les trahisons ministérielles &c. Ces gueux-là nous ont tué".82. Du 9 septembre 1792. Sur les députés de la Gironde élus à la Convention. 83. Du 10 septembre 1792. Exaltation des clubs popualires.84. Du 11 octobre (2 bifeuillets). Vifs reproches sur l'absence de nouvelles ...85. Du 14 octobre 1792. - 86. Du 26 octobre 1792. - 87. Du mercredi 26 décembre 1792 (2 bifeuillets). - 88. Du 31 décembre 1792. Correspondance avec Ramond "qui se plonge dans les bains de souffre des Pyrénées".III. 1793.89. Du 12 janvier 1793. "Nous sommes encore plus impatiens de recevoir la nouvelle constitution que le jugement".IV. 1798.90. Du 10 ventôse an VI [28 février 1798] (2 bifeuillets, signés du général César Faucher). Cette lettre n'est pas adressée à Laffon, mais à Tronson du Coudray (1750-1798), alors déporté en Guyane : "Vous avez laissé ici des amis bien vrais avec lesquels je fais commémoration de vous et de mon immuable ami Ladébat [également déporté, mais qui survivra]. Moret, Thibaudeau, Menou et Lehoc sont en communauté de sentimens avec moi pour vous aimer, vous plaindre, gémir de l'aveuglement du Directoire qui frappe de la déportation l'un des plus chauds Républicains, de plus ardent ami de la liberté".Cf. Lemay (Edda) : Dictionnaire des législateurs, II, pp. 445-448 p. 634 (pour le voyage de Ramond).ON JOINT une pièce judiciaire relative à Constanttin Faucher : Jacques Bouilhac, domicilié de la commune et canton de Saint-Ferme, aux citoyens juges du tribunal civil du département de la Gironde (un bifeuillet in-folio écrit sur trois pages, contenant la requête de Bouilhac et la sentence du tribunal). Du 15 frimaire an VIII [6 décembre 1799], concerne une affaire de logement de troupes : "Depuis un an, par suite de la conduite la plus étrange et la plus oppressive de la part du citoyen Constantin Faucher, je suis privé de l'usage de ma maison et de celuy de mes meubles. Une saisie mobiliaire a été faite à mon préjudice par ledit Faucher, il a établi des séquestres et accompagné cet acte de rigueur d'une garnison ..." Le tribunal, dans son jugement, ordonne le retrait de la garnison. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎CONSTANTIN DE MAGNY. Claude-François.‎

Reference : 43191

(1729)

‎Dissertation critique sur le Paradis perdu, poëme héroïque de Milton.‎

‎ 1729 Paris. Veuve Pissot. 1729. 1 volume in-12, pleine basane brune craquelée et frottée, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge. (4) ff. ; 226 pp. ; (2) ff. ‎


‎Premier grand commentaire du Paradis perdu de Milton. Avocat, secrétaire du Maréchal d’Estrée puis bibliothécaire du roi Auguste III, Constantin de Magny se fit connaître grâce à cet ouvrage. ‎

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‎[LITTERATURE] - CONSTANTIN-WEYER (M.)‎

Reference : J0195

(1935)

‎Source de joie. ‎

‎Paris, J. Ferenczi & Fils Éditeurs, 1935 ; in-8, 192 pp., broché. Collection « le Livre moderne illustré», N° 217. Maurice Constantin-Weyer fut un grand voyageur, il a vécu 10 ans au Canada. Son oeuvre connu un certain succès pour ses romans d'aventure. Illustration de Marcel Mouillot. Bon état.‎


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‎JELENSKI (Constantin).‎

Reference : 5161

‎LEONOR FINI.‎

‎ Lausanne, La Guilde du Livre, 1972. In-4, pleine toile éditeur, jaquette couleur et rhodoïd conservée, 175 pp. ‎


‎Très belle publication. Planches contrecollées en couleurs, dessins et photographies hors-texte. Exemplaire en parfait état. Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR80.00 (€80.00 )

‎CONSTANTIN-WEYER (Marice).‎

Reference : 4163

‎La Bourrasque. ‎

‎ P., Rieder, 1925 ; in-12, broché. 249pp. achet sec sur le feuillet de titre. Parfait état. ‎


‎Edition originale tirée à 117 exemplaires, un des 100 sur pur fil Lafuma, avec un envoi autographe de l'auteur. La Bourrasque fait partie des romans de l'épopée canadienne, inspirés à Constantin-Weyer par les dix années qu'il passa dans la région du Manitiba entre 1904 et 1914. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR50.00 (€50.00 )

‎ CONSTANTIN-WEYER (Maurice).‎

Reference : 3773

‎L'Aventure vécue de Dumas Père.‎

‎ Genève, Editions du Milieu du Monde, 1944. In-12, broché, 331 pp. ‎


‎ Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR20.00 (€20.00 )

‎CONSTANTIN-WEYER Maurice.‎

Reference : 30407

‎P.C. De compagnie.‎

‎ Paris, Editions Rieder, Prosateurs français contemporains, 23 janvier 1930. In-12, broché, non coupé, 231 pp. (Couvertures et dos défraichis mais bon état intérieur). ‎


‎Edition originale. Un des exemplaires numérotés. " Pages sur la guerre 14-18 ". Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR20.00 (€20.00 )

‎CONSTANTIN-WEYER (Maurice).‎

Reference : 12010

‎La vie du Général Yusuf.‎

‎ P., NRF Gallimard (Coll. Vies des hommes illustres N°54), 1930 ; in-12, broché. 237pp.-1f. Portrait en frontispice et 1 planche dépliante (Bataille d'Isly). Bon état. ‎


‎Est-ce parce que Maurice Constantin-Weyer avait épousé d'une lointaine parente du général Yusuf qu'il lui consacra cette biographie ? Avec son style efficace de journaliste il retrace l'histoire romanesque de Joseph Ventini qui fut enlevé par des pirates barbaresques à l'âge de six ans, fut élevé dans la religion musulmane, reçu une éducation soignée au sein du harem du Bey et devint un mamelouks distingué par sa bravoure. Il réussit à s'enfuire et rejoindre un navire français... Il participa aux côtés des Français à la prise d'Alger, puis à celle de Bône, son initiative fut décisive à la baitaille Isly... Auréolé de gloire il fut fait colonel, reçu la Légion d'honneur, puis la Grand Croix après l'expédition d'Orient, épousa une jeune lorraine rencontrée lors d'un voyage à Paris, mais connut la disgrace par suite de jalouseries et d'intrigues et fut obliger de revenir en France où il mourut en 1866. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR13.00 (€13.00 )

‎[LIVRES ANCIENS] - VOLNEY (Constantin-François, comte de)‎

Reference : G0920

(1822)

‎Les ruines, ou méditations sur les révolutions des empires. ‎

‎Paris, Bossange Frères, Libraires, 1822 ; in-12, VIII-384 pp. + 5 pl. hors-texte, dont 2 dépliantes, reliure demi-cuir bleu nuit d'époque, dos lisse, tranches jaspées. Constantin-François Chasseboeuf de la Giraudais, comte de Volney, était un philosophe et un orientaliste français et l’un des pères de l'ethnologie, de l'anthropologie et de la sociologie. Jeune, il étudia la médecine, les langues orientales, l'histoire et le droit. Il rencontra Franklin, d'Holbach et Diderot, ce qui le confirma dans son athéisme. Il apprend l'arabe et décide de partir en voyage en Syrie et en Egypte, dont il publia le récit à son retour. Il partit en Bretagne, pour faire avancer ses idées révolutionnaires dès les États généraux, en 1789. Elu parlementaire à la Constituante, il se rendit en Corse et fit la connaissance de Napoléon. Il enseigna à l'école normale. Par la suite, il partit visiter les États-Unis, devint très ami avec Napoléon, avant même son coup d'état, mais se brouilla très rapidement avec lui, qui le nomma sénateur malgré tout. Il mourut en 1820. L'ouvrage Sur Les Ruines, ou Méditations sur les Empires évoque le principe par lequel les empires naissent, prospèrent et finissent par périr. Néanmoins, Volney y prône la tolérance religieuse, en précurseur de la laïcité. Illustré de deux frontispices, une page de titre et de deux planches dépliantes contenant trois tableaux. Bon état.‎


Phone number : 06 87 32 55 92

EUR80.00 (€80.00 )

‎CONSTANTIN-WEYER Maurice.‎

Reference : 10932

‎La Vie du Général Yusuf.‎

‎ Paris, Gallimard, Vies des Hommes illustres, 1930. In-12, broché, 237 pp. ‎


‎Exemplaire du S.P. Portrait en frontispice et grande planche rempliée : Prise de la Smala d'Abd-El-Kader (tableau d'Horace Vernet). Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR20.00 (€20.00 )

‎[STENDHAL]. CONSTANTIN Abraham.‎

Reference : 6184

‎IDÉES ITALIENNES SUR QUELQUES TABLEAUX CÉLÈBRES. " Deuxième édition, revue et annotée par Stendhal ". Etablissement du texte et avant-propos par Danielle Plan. Préface d'Henri Martineau.‎

‎Paris. Le Divan. 1931. In-16 broché. Couverture gris-bleu imprimée en rouge et noir. XXXIII + 316 pages. 1/1.500 sur vergé Lafuma. [25 Rives teinté / 1.500 vergé Lafuma]. Très propre. Pages non coupées.‎


‎" Ce livre a paru sous le seul nom d'Abraham Constantin. Il a passé longtemps pour l'uvre authentique de l'estimable peintre genevois. Si je le range néanmoins au nombre des ouvrages de Stendhal, c'est que l'on sait aujourd'hui de source sûre que celui-ci en fut le principal artisan " (Henri Martineau, " L'uvre de Stendhal ", p. 613). DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR30.00 (€30.00 )

‎[STENDHAL]. CONSTANTIN Abraham.‎

Reference : 6185

‎IDÉES ITALIENNES SUR QUELQUES TABLEAUX CÉLÈBRES. " Deuxième édition, revue et annotée par Stendhal ". Etablissement du texte et avant-propos par Danielle Plan. Préface d'Henri Martineau.‎

‎Paris. Le Divan. 1931. In-16 broché. Couverture gris-bleu imprimée en rouge et noir. XXXIII + 316 pages. 1/1.500 sur vergé Lafuma. [25 Rives teinté / 1.500 vergé Lafuma]. Très propre. Pages non coupées. Envoi autographe d'Henri Martineau au Pr. Pierre Jourda*.‎


‎" Ce livre a paru sous le seul nom d'Abraham Constantin. Il a passé longtemps pour l'uvre authentique de l'estimable peintre genevois. Si je le range néanmoins au nombre des ouvrages de Stendhal, c'est que l'on sait aujourd'hui de source sûre que celui-ci en fut le principal artisan " (Henri Martineau, " L'uvre de Stendhal ", p. 613). * Pierre Jourda (1898-1978) fut un éminent professeur de lettres, doyen de la Faculté des lettres de l'Université de Montpellier de 1936 à 1969. Seiziémiste de formation, il fut aussi un spécialiste reconnu de Stendhal, donnant plusieurs éditions critiques de ses uvres, participant à un grand nombre de colloques, produisant une impressionnante quantité d'articles. La ville de Montpellier garde vif le souvenir du Professeur Pierre Jourda ; dans le quartier des Beaux-Arts, une rue porte son nom. La relation d'amitié entre ces deux beylistes de premier ordre que furent Henri Martineau et Pierre Jourda, dura de 1928 à 1958, année de la mort de Martineau. Dans le volume " Hommage à Henri Martineau " qui constitue le dernier numéro de la revue Le Divan, Pierre Jourda évoque leur première rencontre - et ses nombreuses suites - dans la librairie du Divan, qui longtemps exista à l'angle des rues Bonaparte et de l'Abbaye (Paris VIe). DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR50.00 (€50.00 )

‎VOLNEY (Constantin Chasseboeuf, comte de).‎

Reference : 26750

‎OEUVRES COMPLETES de C.-F. Volney, comte et pair de France. Mises en ordre et précédées de la vie de l'auteur.‎

‎ Paris, Bossange Frères, 1821. 8 volumes in-8° ; demi-veau marron, dos à nerfs plats orné de fleurons à froid et de roulettes et filets dorés, tranches marbrées (reliure époque). ‎


‎T 1 : portrait-frontispice et 3 planches, dont 2 dépliantes. T II : 2 cartes repliées et 2 planches dépliantes. T III : 2 cartes repliées et 3 planches dépliantes. T IV : 1 carte repliée et 1 planche dépliante. T. V : 3 tableaux dépliants h.t. Et 1 planche dépliante. T. VI : 2 cartes repliées (Ajaccio et la Corse) et 1 planche dépliante. T. VII : néant. T. VIII : 17 tableaux hors-texte dont certains dépliants. Vicaire. VII. 1129.Coins frottés au tome VIII mais BEL EXEMPLAIRE, absolument sans rousseurs (papier vélin ?). Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎CONSTANTIN-WEYER Maurice.‎

Reference : 4685

‎Du sang sur la neige.‎

‎ Paris, A La Cité des Livres, 1931. Un volume, in-8, broché, couverture bleu ciel rempliée, 67 pp. ‎


‎Édition originale. Un des 1000 exemplaires numérotés sur vergé d'Arches. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR40.00 (€40.00 )

‎COUKIDIS (Constantin).‎

Reference : 5172

‎La Grèce inconnue ne fait plus mystère.‎

‎ Athène, par C. Coukidis, 1962 ; in-8, broché, non coupé, 454 pp. ‎


‎Illustrations dans le texte. Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR35.00 (€35.00 )

‎CONSTANTIN-WEYER (Maurice).‎

Reference : 3254

‎Vichy et son histoire des origines à nos jours. ‎

‎ Autrementcourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1997 ; petit in-8, broché. 194pp.-4ff. 10 planches hors-texte. Parfait état.‎


‎Réédition de ce texte de Constantin-Weyer (prix Goncourt 1934 et Vichissois d'adoption) publié en 1947 pour "redorer" le blason de Vichy après la guerre et servir de publication à l'usage des visiteurs curieux de l'histoire de la reine des villes d'eaux. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR15.00 (€15.00 )

‎STENDHAL (Henri Beyle, dit); CONSTANTIN (Abraham):‎

Reference : 16009

(1840)

‎Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres.‎

‎Florence, Cabinet scientifique-littéraire de J. P. Vieusseux, 1840. Grand in-8 de VI-358 pages, demi-basane verte, dos lisse orné de filets dorés. ‎


‎Orné d'un frontispice gravé figurant la maison de la Fornarina à la porte Sellimiana dans le Trastevere (probablement de la main de Constantin).Decorated with an engraved frontispiece representing the house of the Fornarina at the Sellimiana gate in the Trastevere (probably by the hand of Constantin). Edition originale. C'est Paul Arbelet, qui en 1923, attribue la paternité de ce texte à Stendhal. Après un gros travail de recherche, dû à Sandra Teroni et Hélène de Jacquelot, il est permis de savoir quelle est la part prise par Stendhal dans cet ouvrage qui est à la fois une monographie sur Raphaël et un manuel d'apprentissage à la vision du tableau. Travail de symbiose, Stendhal se greffe sur l'écriture de Constantin. Rédigées entre 1835 et 1837, les dix-sept notices sur les tableaux que le peintre sur porcelaine avait copié afin de faire des émaux, seront le début du texte. Puis Stendhal encouragera son ami à élargir son propos, en évoquant les palais, les églises de Rome, et les plus beaux tableaux. C'est lui qui propose le titre; c'est encore Stendhal qui se livre à un important travail de rédaction et de révision — il réécrit parfois complètement et rédige des passages voire des chapitres entiers. Il veille à la mise au net, à la présentation typographique, aux titres courants, mais aussi à l’articulation du texte (il s’est chargé de répartir la matière en chapitres), texte qu’il complète sur épreuve et jusqu’au stade du manuscrit final, car c’est encore lui qui signe les « bons à tirer ». C'est donc une véritable œuvre à quatre mains. Très bel exemplaire, malgré un dos passé. Ex-libris de Charles Gautier. V. Lieber, Ex-libris genevois, n°203; voir l'édition du texte par S. Teroni et H. de Jacquelot aux éditions Beaux-Arts de Paris.First edition. It was Paul Arbelet, who in 1923 attributed the authorship of this text to Stendhal. After a great research work, due to Sandra Teroni and Hélène de Jacquelot, it is possible to know what part Stendhal plays in this work which is both a monograph on Raphael and a learning manual to read the paintings. Work of symbiosis, Stendhal is added on the writing of Constantin. Written between 1835 and 1837, the seventeen explanatory leaflets on the paintings that the painter on porcelain had copied in order to make enamels, will be the beginning of the text. Then Stendhal will encourage his friend to broaden his words, by evoking the palaces, the churches of Rome, and the most beautiful paintings. It is him who proposes the title; it is still Stendhal who makes an important work of writing and revision - he sometimes rewrites completely and writes passages or even entire chapters. He keeps a watchful eye on set up of printing page,on the typographical presentation, to the running titles, but also to the lining sentence of the text (he was responsible for dividing the material into chapters), text which he completes on proof sheet and until the final manuscript, because it is still him who signs the "ready for press". It is a real work with four hands. Very nice copy. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF1,500.00 (€1,607.80 )

‎[Constantin Guys] - ‎ ‎Baudelaire, Charles - Guys, Constantin (ill.)‎

Reference : 4303

(1920)

‎Causeries. Illustrations de Constantin Guys. Préface de F.-F Gautier.‎

‎Paris Aux éditions du Sagittaire, chez Simon Kra 1920 in-16 broché Paris, Aux éditions du Sagittaire, chez Simon Kra, 1920. 15 x 15,5 cm, in-16, 125 pp., frontispice et 13 en-têtes gravés sur bois (l'un en deux états) par Robert Dill d'après Constantin Guys, broché sous couverture de papier marbré à rabats.‎


‎Edition originale, établie par André Malraux, de ces articles parus dans le "Tintamarre" en 1846 et premier tirage des 14 compositions inédites de Constantin Guys. Tirage à 790 exemplaires. Celui-ci, non numéroté, l'un des 50 exemplaires de tête sur JAPON impérial comportant une SUITE des bois sur CHINE. Déchirures avec perte de papier à la couverture, deux planches de la suite froissées dont l'une avec accident au centre du sujet. (MONOD, 1054 ; CARTERET, IV, 61 : "édition originale et premier tirage recherché") Assez bon ‎

Phone number : 01 48 24 13 55

EUR170.00 (€170.00 )

‎"Constantin Cavafy Marguerite Yourcenar et Constantin Dimaras"‎

Reference : 17386

(1958)

‎"Présentation critique de Constantin Cavafy 1863-1933 suivie d'une traduction intégrale de ses poèmes"‎

‎"1958. Paris Éditions Gallimard 1958 e.o. (fausse mention de 8ème ed.) - Broché 12 cm x 18 5 cm 292 pages - Poèmes de Constantin Cavafy trad. de Marguerite Yourcenar et Constantin Dimaras - Bon état" ‎


Librairie Sedon - Rochefort

Phone number : 06 19 22 96 97

EUR150.00 (€150.00 )

‎Aglaé,Hélian Jacques,Constantin Jean - Constantin Jean - Constantin Jean‎

Reference : 23713

(1955)

‎Partition de la chanson : V'la l'tambour ‎

‎ Hélian 1955‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR8.00 (€8.00 )

‎Constantin Jean,Cesar Big - Constantin Jean - Constantin Jean‎

Reference : 21173

(1954)

‎Partition de la chanson : Mets ta robe ananas ‎

‎ Comufra 1954‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Les Compagnons de la Chanson,Hélian Jacques,Constantin Jean,Sala Gilles - Constantin Jean - Constantin Jean‎

Reference : 78480

(1953)

‎Partition de la chanson : Lettre à Virginie ‎

‎Partitions sur le Prénom Comufra 1953‎


‎ Etat moyen Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )
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