Sans nom d'éditeur | Sans lieu d'édition s. d. [1895-1909] | 9.1 x 11.6 cm | Une carte
Lettre autographe signée de Georges de Peyrebrune à Catulle Mendès, 2 pages à l'encre violette sur une carte, un manque de deux mots. Appel désespéré et probablement inédit de la romancière féministe Georges de Peyrebrune adressé à son confrère le poète Catulle Mendès. Peinant à vivre de sa plume, Peyrebrune tente de placer un de ses contes dansle Journal, quotidien à grands tirages dont Catulle Mendès assurait la direction littéraire. * Comme le rapelle Lydia de Haro Hernández, "La notoriété de Georges de Peyrebrune expira pendant les premières années du XXème siècle, qui est la date du début dun déclin progressif jusquà loubli absolu. Elle meurt dans lindigence et la détresse, en novembre 1917, et son nom, comme celui de tant dautres femmes, seffaça de lhistoire". La présente lettre dévoile que Peyrebrune s'était tournée vers Catulle Mendès, le "patron des lettres françaises" (Elodie Lanceron), pour tenter d'obtenir davantage de visibilité et de rémunération : "Puisque vous avez eu la bonté de faire encore une démarche pour réclamer qu'une justice, selon vous, tardive me fut enfin rendue, j'oserai, en vous remerciant de tout mon cur, vous prier de faire encore cette grâce que mon nom paraisse une fois au Journal pour le tirer une minute de loubli. Voici un très ancien conte publié autrefois à l'Echo de Paris, je crois, et qui vous avait plu. [...] [Manque : Vous me] feriez un bien grand plaisir et je crois que cela me servirait en ce moment Quoique vous décidez, cher bon maître, soyez remercié, béni, aimé, admiré comme toujours par votre plus fervente [...] Peyrebrune" Peyrebrune et les Mendès Les rares lettres à Catulle Mendès et sa femme Jane, Jeanne Mette, (son « exquise confrère » écrira-t-elle dans son envoi autographe à celle-ci sur son roman Au pied du mât) complètent notre connaissance du combat de Peyrebrune pour son indépendance et la reconnaissance de ses pairs. Peyrebrune, dans ses missives au ton parfois très désespéré adressées au mari de Jane, le « cher maître » Catulle, fait de multiples tentatives parfois infructueuses pour placer des contes dans les journaux dont il assurait la direction littéraire - iciLe Journal, où il anime une chronique dramatique hebdomadaire entre 1895 et 1909. Catulle Mendès, bien implanté au sein de réseaux mondains et littéraires quil animait avec panache,lui vient en aide à plusieurs reprises. L'écrivain Décadent, à la croisée de divers mouvements de la fin du siècle, était connu pour avoir endossé le rôle de mentor et de soutien pour de nombreux poètes symbolistes et écrivains naturalistes : Baudelaire, Mallarmé, Verlaine et Zola entre autres. On lui doit la présentation du nom de Peyrebrune à la Légion dhonneur, aussi soutenue par Henry Houssaye, Jules Bois, José María de Heredia, Abel Hermant, Jules Claretie et Anatole France. Il rédige également une préface pour son roman Deux amoureuses (Lemerre, 1901). Mais il semble avoir manqué aux demandes de Peyrebrune, qui sen plaindra dans quelques lettres à lintéressé ainsi quà sa femme. La justice que Peyrebrune réclamait pour son uvre ne lui fut malheureusement jamais rendue de son vivant. Peyrebrune laisse ici dans cette pièce de correspondance inédite, le magistral "témoignage de son vécu personnel, les preuves des tracas subis dans sa lutte pour lémancipation et lempreinte de son cri de révolte contre lindignité de la situation faite aux femmes" (Lydia de Haro Hernández). Femme de lutte et de lettres Républicaine et dreyfusarde,« Cette provinciale, qui ne comptait que sur elle-même pour sintroduire dans le monde littéraire parisien, nétant ni fille, ni femme, ni amante de personne pouvant lui servir daval réussit à sy faire une place considérable par le seul mérite de son travail » (Lydia de Haro Hernández).George de Peyrebrune fait partie intégrante des cercles de femmes de lettres de la Belle Epoque avec qui elle entretient amitiés et correspondance. Elle s'adonne avec d
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Chancelade 17 décembre 1900 | 9.1 x 11.6 cm | Une carte
Lettre autographe signée de Georges de Peyrebrune à Catulle Mendès, 1 page et deux lignes à l'encre violette sur une carte, date "17 décembre 1900" et adresse autographes "Chancelade Dordogne". Carte probablement inédite de la romancière féministe Georges de Peyrebrune adressé au poète Catulle Mendès. Peyrebrune se réjouit enfin de la décoration des premières femmes de lettres à la Légion d'Honneur. * "Cher maître, tous mes compliments.... à M. Leygues voilà, du moins, une rosette qui fleurit au bon endroit [...] Que ne suis-je à Paris pour célébrer cette fête en famille artistique, comme j'y étais pour le ruban! Hélas, je suis aux champs ou je gèle malgré l'ardeur du soleil de midi [...]". En juillet 1900, Georges Leygues, ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts avait pris la révolutionnaire décision d'intégrer des femmes de lettres dans l'ordre de la Légion d'honneur : les premières sont Clémence Royer et Daniel Lesueur, consoeurs de Peyrebrune et collaboratrices à ses côtés au journal féministe La Fronde. Leygues était proche des Parnassiens et de Catulle Mendès, à qui il commandera en 1902 un Rapport sur le mouvement poétique français de 1867 à 1900. C'est son destinataire Catulle Mendès qui présentera le propre nom de Peyrebrune à la Légion dhonneur. Elle bénéficiera du soutien de Henry Houssaye, Jules Bois, José María de Heredia, Abel Hermant, Jules Claretie et Anatole France. Mais, pour reprendre la délicieuse expression de cette lettre, sa rosette ne fleurira jamais. Comme le rapelle Lydia de Haro Hernández, "La notoriété de Georges de Peyrebrune expira pendant les premières années du XXème siècle, qui est la date du début dun déclin progressif jusquà loubli absolu. Elle meurt dans lindigence et la détresse, en novembre 1917, et son nom, comme celui de tant dautres femmes, seffaça de lhistoire". La reconnaissance de son talent fut ardue : "je crois bien quil en sera de ce fameux prix comme de ma décoration ; cest-à-dire que ni lun ni lautre ne viendront jamais!" se lamente-t-elle neuf ans plus tard à Daniel Lesueur. Peyrebrune laisse ici dans cette pièce de correspondance inédite, le magistral "témoignage de son vécu, les preuves des tracas subis dans sa lutte pour lémancipation et lempreinte de son cri de révolte contre lindignité de la situation faite aux femmes" (Lydia de Haro Hernández). Peyrebrune et les Mendès Les rares lettres à Catulle Mendès et sa femme Jane, Jeanne Mette, (son « exquise confrère » écrira-t-elle dans son envoi autographe à celle-ci sur son roman Au pied du mât) complètent notre connaissance du combat de Peyrebrune pour son indépendance et la reconnaissance de ses pairs. Peyrebrune, dans ses missives au ton parfois très désespéré adressées au mari de Jane, le « cher maître » Catulle, fait de multiples tentatives parfois infructueuses pour placer des contes dans les journaux dont il assurait la direction littéraire - iciLe Journal, où il anime une chronique dramatique hebdomadaire entre 1895 et 1909. Catulle Mendès, bien implanté au sein de réseaux mondains et littéraires quil animait avec panache,lui vient en aide à plusieurs reprises. L'écrivain Décadent, à la croisée de divers mouvements de la fin du siècle, était connu pour avoir endossé le rôle de mentor pour de nombreux poètes symbolistes et écrivains naturalistes : Baudelaire, Mallarmé, Verlaine et Zola entre autres.Il rédige également une préface pour son romanDeux amoureuses (Lemerre, 1901). Mais il semble avoir manqué aux demandes de Peyrebrune, qui sen plaindra dans quelques lettres à lintéressé ainsi quà sa femme. La justice que Peyrebrune réclamait pour son uvre ne lui fut malheureusement jamais rendue de son vivant. Femme de lutte et de lettres Républicaine et dreyfusarde,« Cette provinciale, qui ne comptait que sur elle-même pour sintroduire dans le monde littéraire parisien, nétant ni fille, ni femme, ni amante de personne pouvant lui servir daval réussit à sy faire
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Asnières-sur-Seine 12 décembre [1909] | 9.1 x 11.6 cm | Une carte
Lettre autographe signée de Georges de Peyrebrune à Catulle Mendès, 1 page et demi à l'encre violette sur une carte, date "12 X bre" et adresse autographes "37 rue Charles Emmanuel, Asnières". Cri du coeur probablement inédit de la romancière féministe Georges de Peyrebrune adressé au poète Catulle Mendès. Peinant à vivre de sa plume, Peyrebrune se bat pour subvenir à ses besoins et adresse cette supplique à Catulle Mendès après s'être sentie abandonnée par sa consoeur Daniel Lesueur. * Comme le rapelle Lydia de Haro Hernández, "La notoriété de Georges de Peyrebrune expira pendant les premières années du XXème siècle, qui est la date du début dun déclin progressif jusquà loubli absolu. Elle meurt dans lindigence et la détresse, en novembre 1917, et son nom, comme celui de tant dautres femmes, seffaça de lhistoire". La présente lettre dévoile sa lutte désespérée pour obtenir des prix littéraires dont les dotations étaient essentielles à sa survie. Au cours de sa carrière, Peyrebrune avait précieusement cultivé ses amitiés féminines parmi ses surs darmes, et formé un véritable réseau d'entraide. Mais dans cette lettre, Peyrebrune s'inquiète de voir un de ses plus grands soutiens lui faire défaut : "On m'écrit, ce que je craignais, c'est que Mme Lesueur m'enlève, au Comité des Gens de Lettres, la majorité qui m'était favorable pour un prix. Ce sera pour moi un désastre final. Je complais sur billet de mille francs pour vivre encore un an ! Dans six jours, mon sort sera fixé."Peyrebrune briguait le prix Chauchard de la Société des Gens de Lettres. Lesueur en était la vice-présidente et première femme depuis George Sand à siéger au Comité de la Société : "Il me serait doux de penser quune femme, et une femme telle que vous, prendrait ma cause en main avec la vaillance et lautorité que chacun vous connaît" avait-elle écrit à sa conseur quelques semaines plus tôt. Elle tente ici de rassembler d'autres soutiens au sein de la SGDL - masculins, ceux-ci - et se tourne vers Catulle Mendès, le "patron des lettres françaises" (Elodie Lanceron) pour qu'il plaide sa cause auprès des membres actifs et respectés Edmond Haraucourt et Rosny aîné. Elle termine sur ces terribles paroles :"Et puis je suis si lasse de tant de luttes inutiles ! Lorsqu'on ne peut plus gagner sa vie nest-il pas juste que l'on meure ?". Sa vie rejoint la fiction, après avoir conté les malheurs des femmes de lettres déconsidérées dans son Roman d'unbas-bleu: "Enfin me voici vaincue. Rends-moi cette justice que j'ai lutté. Et quelles luttes !... Cela ne vaut rien pour une femme de venir au monde pauvre et chaste. Il n'y a pas de place pour celle-là dans aucun groupe social. Quel que soit le travail qu'elle entreprenne pour gagner sa vie, elle n'y parviendra pas sans payer à l'homme la dîme de sa chair soumise ou révoltée. Depuis la servante jusqu'à l'artiste, depuis l'ouvrière des fabriques jusqu'au bas-bleu, la femme qui travaille seule, non défendue par un mâle, légitime ou non, sera violée, avec ou sans son consentement, mais elle le sera ou elle crèvera de misère. Et cela, dans le plein épanouissement de notre société démocratisée, bénisseuse et morale, et inventrice des pullulantes bonnes uvres." (Le Roman d'unbas-bleu, Paris, Ollendorff, 1892, p. 327). Peyrebrune n'obtient pas le prix, qui revient à sa consoeur Rachilde dont elle avait fait le portait dans Une décadente (Paris, Frinzine, 1886). Le lendemain même de cette lettre, elle sera tout de même récompensée par la Société des gens de Lettres, qui lui décerne le grand prix James Hyde accompagné d'une enveloppe de 2500 francs. Peyrebrune laisse ici dans cette pièce de correspondance inédite, le magistral "témoignage de son vécu personnel, les preuves des tracas subis dans sa lutte pour lémancipation et lempreinte de son cri de révolte contre lindignité de la situation faite aux femmes" (Lydia de Haro Hernández). Peyrebrune et les Mendès Les rares lettres à Catulle Mendès et
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[Monument Catulle Mendès] Fernand Desmoulin (1853-1914), peintre et graveur. Il était chez Catulle Mendès dès le lendemain de sa mort et semble avoir vécu avec Jane Catulle-Mendès.
Reference : 014286
[Monument Catulle Mendès] Fernand Desmoulin (1853-1914), peintre et graveur. Il était chez Catulle Mendès dès le lendemain de sa mort et semble avoir vécu avec Jane Catulle-Mendès. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
Alphonse Lemerre | Paris 1899 | 11.6 x 18.6 cm | Broché
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. De rares déchirures marginales en tête du premier plat, petits manques en tête et en queue du dos, coin inférieur gauche du second plat manquant, petit accroc en queue du second plat. Exemplaire enrichi d'un exceptionnel envoi autographe de romancière à poétesse, adressé par Georges de Peyrebrune à Jane Catulle Mendès : "pour mon exquise confrère / pour ma charmante amie / Madame Catulle Mendès / En souvenir / Peyrebrune". Les éditions originales, et encore davantage les envois de Peyrebrune sont d'une grande rareté : "il est encore très difficile aujourdhui de trouver des livres de Peyrebrune" (Sophie Ménard). * Peyrebrune publie ce roman d'aventures maritimes fin 1898, peu de temps après fait paraître chez le même éditeur une réédition de son tragique et sanglant Victoire la Rouge. Alors que ce dernier s'achève sur la noyade de son héroïne,Au pied du mât met en scène une personnage féminin qui sauve son amant de la noyade : un choix narratif intéressant qui redonne un peu de puissance aux personnages féminins victimisés dans ses précédents textes. Peyrebrune obtient en 1900 le prix de Montyon de l'Académie française pour la première partie du roman. Le thème sentimental d'Au pied du mât avait sans doute davantage appaisé le jury que ses récits naturalistes critiquant ouvertement la domination des hommes sur les femmes. Par l'inversion du rôle traditionnel du héros masculin sauveur, Peyrebrune y glisse tout de même une pointe de rébellion. Mais malgré les rares récompenses officielles (elle reçoit aussi un prix de l'Académie pourVers l'Amouren 1897) sa versatilité entre histoires d'amour et de violence sera ultimement mal perçue : "Elle expérimente plusieurs genres, et cette hétérogénéité générique la dessert du point de vue de lhistoire littéraire, puisque celle-ci aime bien penser en école, en mouvement, en esthétique." rappelera Sophie Ménard (entretien avec Robin Duclos et Florence Verreault, revue Fémur). On avait encore peu exploré son lien avec Mme Jane Catulle Mendès, son « exquise confrère » écrit-t-elle ici dans son envoi sur cet exemplaire. Née JeanneMette, Jane Catulle Mendès se marie avec le célèbre poète en 1897, et se fait connaître pour ses poèmes, ses livrets de ballet et ses critiques dramatiques. Au cours de sa carrière, Peyrebrune cultive précieusement ses amitiés parmi ses surs darmes, aussi pour pallier au manque de soutien de ses confrères masculins Lydia de Haro Hernández décrit ces relations comme « un vrai réseau dentraide qui rapprochait ces femmes aux origines, aux convictions et aux situations personnelles parfois assez disparates, mais ayant toutes un point en commun qui devient un lien plus fort que tout autre: leur condition de femmes-de-lettres au milieu dun monde essentiellement dominé par les hommes. Cette correspondance est parsemée de confidences personnelles, de désillusions propres aux aléas de la vie dauteur, de mots de réconfort, de demandes dentremise auprès de tel ou tel éditeur, des contraintes et des injustices quelles rencontrent dans leur chemin du fait de leur condition de femmes ». Rarissime envoi de Peyrebrune sur un des seuls romans récompensés de son vivant. Peyrebrune, femme de lutte et de lettres Républicaine et dreyfusarde,« Cette provinciale, qui ne comptait que sur elle-même pour sintroduire dans le monde littéraire parisien, nétant ni fille, ni femme, ni amante de personne pouvant lui servir daval réussit à sy faire une place considérable par le seul mérite de son travail » (Lydia de Haro Hernández).George de Peyrebrune fait partie intégrante des cercles de femmes de lettres de la Belle Epoque avec qui elle entretient amitiés et correspondance. Elle s'adonne avec détermination au journalisme d'obédience féministe notamment dansLa Frondede Marguerite Durand, et défend la place des femmes dans les métiers littéraires. Avec Jane Catulle Mendès, elle siège dans le jury exclus
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Sans nom d'éditeur | Sans lieu d'édition [circa 1900 ?] | 12.9 x 14.6 cm | trois pages sur un bieuillet
Lettre autographe signée de Georges de Peyrebrune à Jane Catulle-Mendès, 3 pages à lencre violette sur un double feuillet, plis usuels inhérents à lenvoi. Rare lettre probablement inédite de la romancière féministe Georges de Peyrebrune adressée à sa consoeur la poétesse Jane Catulle Mendès. Peyrebrune, qui peine à vivre de sa plume, avait échoué à publier l'un de ses contes. Consolée par sa destinataire, elle désire lui offrir une botte de lilas - symboles de séduction, de nostalgie et de féminité. * Femme de lutte et de lettres Républicaine et dreyfusarde,« Cette provinciale, qui ne comptait que sur elle-même pour sintroduire dans le monde littéraire parisien, nétant ni fille, ni femme, ni amante de personne pouvant lui servir daval réussit à sy faire une place considérable par le seul mérite de son travail » (Lydia de Haro Hernández).George de Peyrebrune fait partie intégrante des cercles de femmes de lettres de la Belle Epoque avec qui elle entretient amitiés et correspondance. Elle s'adonne avec détermination au journalisme d'obédience féministe notamment dans La Fronde de Marguerite Durand, et défend la place des femmes dans les métiers littéraires. Avec Jane Catulle Mendès, elle siège dans le jury exclusivement féminin du prix littéraire de la revue La Vie Heureuse dont elle est contributrice. Aujourdhui connu sous le nom de Prix Fémina, il se voulait une contre-proposition au prix Goncourt qui excluait les uvres poétiques, et «vraisemblablement ne sera[it] jamais attribué à une uvre de femme.Il appartenait à des femmes de supprimer, avec les autres, cette double restriction» (présentation du prix La Vie Heureuse, Hachette, en 1907). Peyrebrune dévoue une grande partie de son uvre à dépeindre les vicissitudes de la condition féminine elle-même issue dune union adultérine (elle reçoit le nom de son hameau natal en Dordogne) et victime dun mariage malheureux, Peyrebrune fait entendre les voix tues et dénonce les injustices sociales. Ses romans font les portraits tragiques de femmes battues écrasées sous la pression morale de leur temps (Victoire La Rouge), écrivaines dénigrées aux accents autobiographiques (Roman dun Bas-bleu), mais présentent aussi des accents clairement naturalistes, comme Les Ensevelis sur la catastrophe minière de Chancelade. Malgré son succès, couronné par deux prix de lAcadémie française, elle peine à vivre dignement de son uvre. Le début du siècle marque le déclin de sa notoriété qui finira par plonger lintégralité de son uvre dans lombre et condamner Peyrebrune à une vieillesse miséreuse. Lhistoire littéraire ne permit pas à deux George(s) de compter parmi les classiques. De ces deux écrivaines attachées à leur campagne (périgourdine pour lune, berrichonne pour lautre), on refuse limmortalité à celle quon avait surnommée l « autre George Sand » et qui nourrissait dailleurs une grande admiration pour son aînée. Peyrebrune et les Mendès On avait encore peu exploré son lien avec Jeanne Mette, son « exquise confrère » écrira-t-elle dans son envoi autographe à celle-ci sur son roman Au pied du mât. Devenue Mme Jane Catulle Mendès après son mariage avec le célèbre poète en 1897, elle se fait connaître pour ses poèmes, ses livrets de ballet et ses critiques dramatiques. Au cours de sa carrière, Peyrebrune cultive précieusement ses amitiés parmi ses surs darmes, aussi pour pallier au manque de soutien de ses confrères masculins Lydia de Haro Hernández décrit ces relations comme « un vrai réseau dentraide qui rapprochait ces femmes aux origines, aux convictions et aux situations personnelles parfois assez disparates, mais ayant toutes un point en commun qui devient un lien plus fort que tout autre: leur condition de femmes-de-lettres au milieu dun monde essentiellement dominé par les hommes. Cette correspondance est parsemée de confidences personnelles, de désillusions propres aux aléas de la vie dauteur, de mots de réconfort, de demandes dentremise auprès
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Deux cartes postales & cinq Belles lettres autographes manuscrites & signées au poète Fernand GreghJeanne Primitive Mette, diteJane Catulle Mendès, née le16 mars 1867Ã dans le6earrondissement de Pariset morte le9 juin 1955dans le8earrondissement de Paris, est unepoétessefrançaise.Jeanne Mette est d'abord mariée à Louis Alexandre Boussac avec qui elle a deux fils, dontMarcel Boussac. Elle divorce après neuf ans, en 1895 et, de son remariage deux ans plus tard avecCatulle Mendès, dont elle aura un fils: Jean Primice Catulle-Mendès.Elle fonde le prix Primice Catulle Mendès en 1922, le prix Catulle-Mendès, ainsi que le prixVerhaerenMerci wikipédia
Jane Catulle-Mendès annonce : ...Je souhaite de faire une conférence sur lœuvre de M. Edmond Sée, auteur dramatique (...) le samedi soir, 4 mai, dans lamphithéâtre Richelieu, à la Sorbonne... Elle précise : ...De hautes personnalités littéraires prendront part à cette séance qui sera complétée par laudition dartistes de grand renom... Auteure de nombreux poèmes (Poèmes des temps heureux, 1924), Jeanne CATULLE-MENDÈS fonda le prix Primice Catulle-Mendès en 1922.
Sans nom d'éditeur | Sans lieu d'édition s. d. [1903-1904] | 12.9 x 14.6 cm | 3 pages sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Georges de Peyrebrune à Jane Catulle-Mendès, 3 pages à lencre violette sur un double feuillet, plis usuels inhérents à lenvoi. Rare lettre probablement inédite de la romancière féministe Georges de Peyrebrune adressée à sa consoeur la poétesse Jane Catulle Mendès. Peyrebrune emmène ses chers soutiens faire leur portrait en médaille grâce au nouveau procédé de la photosérie, inventé par le collaborateur de Nadar : elle prévoit d'y conduire le couple Mendès ainsi que la femme de Joseph Reinach, son grand ami et confrère, qui prit avec elle la défense du capitaine Dreyfus. Peyrebrune lui adresse une "torride requête" pour davantage de places à l'Opéra Comique, qui jouait alors l'adaptation lyrique de La reine Fiammette composé par l'illustre mari de sa destinataire, Catulle Mendès. * Dimanche Ma belle amie [...] Est-ce bien sûr que vous irez poser pour votre médaille mardi? Mr Lernac, très épris de votre beauté se fait une joie de posséder dans sa collection la merveille que vous lui permettrez de réaliser. [...] Jy conduis Mme [Henriette] Reinach, ce me serait un plaisir très vif de vous rencontrer. [...] Et le maître ? Vous seriez bien charmante de lamener. M. [Fernand] Xau avait promis à M. Lernac de lui conduire M. Mendès ; lui en a-t-il parlé seulement ? Merci mille et encore mille fois pour les places que vous mavez envoyées et qui ont fait la joie des personnes que jai conviées. Mais jai fait bien des envieux ! Aussi ai-je promis de vous adresser une torride requête. Lorsquil vous restera quelques places, un jeudi, un vendredi, faites-moi la grâce de penser à moi. Cela mest si doux de recueillir les admirations enthousiastes quéveille cette adorable Fiamette [La Reine Fiamette] ! Comme je suis heureuse de son beau succès ! Vous êtes bien charmante de me convier à vous aller surprendre un jour quelconque. Jen profiterai certainement et vous en remercie. [...] croyez-moi bien affectueusement à vous - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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CATULLE - TIBULLE & GALLUS - MASSON de PESAY (Alexandre-Frédéric-Jacques ou PEZAY, trad. de).
Reference : 30616
(1771)
A Amsterdam et se trouve à Paris, chez Delalain, 1771. 2 forts vol. au format in-8 (218 x 143 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., xv - 327 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 1 f. n.fol., 1 page de titre gravée n.fol., 365 pp., 1 f. n.fol. et 1 f. bl. Reliures uniformes de l'époque de plein veau glacé fauve, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs ornés de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, semis d'étoiles, de pointillés et de petits fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin crème, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en tête et queue, filet doré sur les coupes, tranches saumon.
Ensemble complet des deux volumes le constituant. Edition originale de la présente traduction. Belle impression sur papier fort. Les exemplaires ont conservés de belles marges. Texte en latin avec traduction française en regard. ''Catulle n'hésite pas dans son oeuvre à étaler sa passion au grand jour, le plus souvent inassouvie et malheureuse : il ne manque ni de courage, ni du sens de la provocation. C'est en ce sens qu'on peut le considérer comme un précurseur du genre élégiaque. Aucun écrivain, avant lui, ne s'était pris pour sujet de son œuvre, surtout pas pour parler de sa passion amoureuse. Les sentiments qu'un homme pouvait nourrir à l'égard d'une femme avaient, chez les Romains, quelque chose de ridicule, de dégradant, voire d'humiliant. La relation homme-femme était le plus souvent conçue dans une perspective de procréation et revêtait souvent un caractère vénal. La passion amoureuse était presque, pour ainsi dire, indigne d'un homme libre et d'un citoyen romain. Qui plus est, Catulle fait état d'un amour pluriel: il aime les femmes comme les hommes. Il se lia d'ailleurs avec les hommes les plus distingués de son temps. En se montrant tel qu'il est dans son œuvre, Catulle se montre ainsi bel et bien novateur''. Graesse II, Trésor de livres rares et précieux, p. 88 - Brunet I, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 1683 - Barbier II, Dictionnaire des ouvrages anonymes, 17910 donne pour traducteur un dénommé David - Rahir, La Bibliothèque de l'amateur, p. 357. Deux coiffes arasées. Petits manques superficiels affectant un des plats. Reliures présentant par ailleurs quelques altérations éparses. Tâches et irisations aux derniers feuillets d'un des volumes ; dont la dernière garde est lacunaire. Première garde su second volume déchirée et en passe de se désolidariser.
[Monument Catulle Mendès] Rachel Boyer (1864-1935), actrice, philanthrope, pensionnaire de la Comédie-Française. Elle créa un rôle pour Catulle Mendès.
Reference : 014277
[Monument Catulle Mendès] Rachel Boyer (1864-1935), actrice, philanthrope, pensionnaire de la Comédie-Française. Elle créa un rôle pour Catulle Mendès. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Gustave Kahn (1859-1936), poète symboliste, critique d'art. Il avait créé, avec Catulle Mendès, des matinées de poètes.
Reference : 014285
[Monument Catulle Mendès] Gustave Kahn (1859-1936), poète symboliste, critique d'art. Il avait créé, avec Catulle Mendès, des matinées de poètes. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Félix Oppenheim (?), baron, ami chez qui Catulle Mendès passa sa dernière soirée.
Reference : 014291
[Monument Catulle Mendès] Félix Oppenheim (?), baron, ami chez qui Catulle Mendès passa sa dernière soirée. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Henry Roujon (1853-1914), écrivain, membre de l'Académie française, haut fonctionnaire. Il avait été rédacteur à La République des lettres, journal fondé par Catulle Mendès.
Reference : 014292
[Monument Catulle Mendès] Henry Roujon (1853-1914), écrivain, membre de l'Académie française, haut fonctionnaire. Il avait été rédacteur à La République des lettres, journal fondé par Catulle Mendès. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
Garnier Frères, s.d. (1885), in-16, viii-143 pp, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, bon état
Catulle (C. Valerius Catullus) était un poète romain. Selon Suétone, il serait né à Vérone en Gaule cisalpine ou peut-être à Sirmio (actuelle Sirmione) sur le lac Benacus (actuel lac de Garde) en -84. Il mourut aux alentours de -54 à Rome, où il passa la plus grande partie de sa vie. Il vient à Rome en -68 et y mène une vie d'homme oisif, cultivé et fortuné. Il entre en relation avec tous les hauts personnages de son temps : Jules César, Cicéron – que Catulle détestait –, Cornélius Népos qui était un ami de Catulle, Asinius Pollion et Quintus Hortensius Hortalus.
0 Lettre autographe signée - sans date - Envoyée a Phillippe Gille Critique Littéraire . Catulle mendès ( 1841/1909 ) demande l'insertion d'une ligne dans les Échos . Catulle Mendès fut écrivain , librettiste et poète .
Bon
Paris, Chez Léger, Chez Remont, impr. Imprimerie de Crapelet 1803 2 volumes. In-8. Reliures de l’époque basane marbrée havane, dos lisses ornés de petits fers croix patées encadrés de filets et de roulettes dorés, pièces de titre maroquin vert, plats et contreplats encadrés de roulette dorée, roulette dorée sur les coupes, XLVIII-366-557 pp., frontispice, plan replié. Mors frottés, mors du vol. II fendillé en tête, mouillures marginales sur quelques pages, sinon intérieur frais.
Première édition de cette traduction. Frontispice par Girodet, gravé par B. Roger et 1 planche repliée “Le plan de la maison de campagne de Catulle”. Bon état d’occasion
Jacques Haumont, coll. "Les Délices de la Poésie Latine" 1942 1 vol. broché in-12, broché, 59 pp. Edition bilingue tirée à 1000 exemplaires, celui-ci numéroté sur Alfa. Très bon état.
1771 veau marbré (reliure assez usagée, coins em., remarques ms. sur les ff. de garde). 2 vol. in-12, (2ff.), XXIV-427pp., (1f.) et 468pp. (3ff.), Amsterdam Paris Delalain 1771,
Intéressantes remarques du traducteur : " Il faut convenir de 2 choses : l'une, que les gens du monde sçavent très-rarement le Latin ; l'autre que Catulle et Tibulle ne peuvent pas être traduits par un pédant. Des vers échappés au délire de l'Orgie ou de l'Amour…inspirés par l'alcove de Délie seront difficilement sentis et rendus par un professeur des Quatre Nations ". Desprez de Boissy l'attribue à un M. David commissaire-ordonnateur des guerres.
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
Amsterdam et Paris, Delalain, Amsterdam et Paris, Delalain1771 ; 2 volumes in-12, veau fauve marbré, dos ornés, tranches rouges. (Reliures de l’époque) 2 ff., XXIV pp., 427 pp., 2 pp. - 1 f., 469 pp., 3 pp., 2 ff. de catalogue DelainÉDITION ORIGINALE de cette traduction. Le Marquis Alexandre-Fréderic-Jacques MASSON DE PEZAY, auteur des Soirées Helvétiennes se l’attribue sur le titre. Barbier IV, 733 donne la précision suivante d’après une note trouvée sur l’exemplaire de Desprez de Boissy : “Masson de Pezay, mestre de camp de dragons, mort en 1777 s’est fait l’honneur de cette traduction ; mais elle est de M. DAVID, commissaire ordonnateur des guerres, et premier secrétaire du Prince de Montbarrey”. Cioranesco 43680 maintient Pezay comme traducteur. Mais il signale aussi l’ouvrage au nom de J. B. F. DAVID (de Chalons-sur-Marne) 22333. La Harpe en tous les cas prétendait que Pezay n’entendait pas un mot des auteurs latins qu’il a voulu traduire et que les notes qu’il a jointes à sa version sont curieuses par le ridicule, et écrites du ton d’un sergent de garnison (Corresp. littéraire I, 175). M. Noël, auteur d’une traduction de Catulle l’a jugé moins sévèrement : “Il a pour moi le mérite de m’avoir frayé la route. J’ai tâché d’éviter les écueils qu’il m’a paru n’avoir évités et de faire mieux que lui, en lui empruntant tout ce qu’il a fait de bien”.Dans le discours préliminaire, le traducteur dédie son travail “à toutes les femmes. J’en exepte seulement celles qui iront comparer la version avec le texte. Je n’aime pas les dames qui savent le latin, et ne courerai jamais risque de perdre le mien avec elles.” Les pièces “scabreuses” de Catulle, en particulier celles qui concernent les amours masculines, n’ont pas été traduites. Elles sont regroupées (pas toutes d’ailleurs ! les plus explicites manquent) dans un chapitre à part (pages 261-291) sous le titre Carmina nimium obscoena obscura aut inelegantia. Même précaution pour les vers ad Priapum de Tibulle. Schweiger I, p. 88 (qui donne la note de Barbier).
[Monument Catulle Mendès] Gaston Devore (1859-1949), écrivain, fondateur de l'Indépendant théâtral.
Reference : 014274
[Monument Catulle Mendès] Gaston Devore (1859-1949), écrivain, fondateur de l'Indépendant théâtral. P.A.S., 22 mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Contantin, prince de Brancovan (1875-1967), homme de lettres, frère d'Anna de Noailles, député roumain, fondateur de La Renaissance latine.
Reference : 014275
[Monument Catulle Mendès] Contantin, prince de Brancovan (1875-1967), homme de lettres, frère d'Anna de Noailles, député roumain, fondateur de La Renaissance latine. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Roger Marx (1859-1913), homme de lettres, critique d'art.
Reference : 014276
[Monument Catulle Mendès] Roger Marx (1859-1913), homme de lettres, critique d'art. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Jules Larat (1857-19..), médecin, écrivain.
Reference : 014279
[Monument Catulle Mendès] Jules Larat (1857-19..), médecin, écrivain. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341]
[Monument Catulle Mendès] Julio Saavedra Molina (1880-1949), critique littéraire et écrivain chilien, professeur de français.
Reference : 014280
[Monument Catulle Mendès] Julio Saavedra Molina (1880-1949), critique littéraire et écrivain chilien, professeur de français. P.A.S., mai 1909, 1p in-8 oblong. Billet de souscription pré-imprimé pour la soirée de Gala pour l'érection du monument Catulle Mendès (1841-1909), mort le 8 février 1909. Lors de cette soirée, au théâtre Sarah-Bernhardt, la grande actrice joua le rôle de Cyrano de Bergerac et le sculpteur Emile Guillaume (1867-1954) y présenta son buste du poète (il avait aussi fait un masque mortuaire). [341] Molina semble avoir eu des liens avec Sarah Bernhardt, ce qui doit expliquer sa présence à ce diner de gala.