s. d. [circa 1950] | 21 x 27 cm | 3 pages sur 3 feuillets perforés agrafés
Manuscrit autographe inédit d'un projet de scénario cinématographique de Boris Vian. 3 pages sur 3 feuillets rédigées à l'encre noire et bleue et au stylo bille bleu. Ratures, corrections et notes marginales. Pliure centrale sans gravité. Une coupure verticale sur le premier feuillet, sans manque de texte. Amusant projet cinématographique raillant l'impitoyable monde des maisons de disques alors que Boris Vian fait la connaissance de Jacques Canetti qui lui ouvrira les portes de Polydor (qui deviendra Philips). La seconde page présente quelques lignes exposant le synopsis du projet: «Deux maisons de disques rivales se trouvent enlisées dans une guerre de concurrence acharnée. Chacune attend pour agir de savoir ce que prépare l'autre [...]» Boris Vian semble avoir une idée bien précise de l'ambiance du film, indiquant déjà des détails techniques d'importance: «Début du film en bistre (historique) [...] arbre découpé (voix des chênes) [...] ou à la guillotine (ombre dans la cour) [...] côté cinémassacre-ballet Hitchcock dans l'action». Il a également une idée assez arrêtée des les acteurs choisis pour interpréter les différents personnages: «[Jacques] Dufilho, [Hubert] Deschamps [...] Personnage de Georges Cravenne (Y.[ves] Robert ou Darry Cowl», bien qu'il ne semble pas encore décidé pour l'interprète du «personnage de Barclay».Fidèle à son humour, il imagine ponctuer l'intrigue de «sketches de démonstration», d'une «parodie du ballet M.G.M.» ou encore de «sketches satiriques venant couper le burlesque». La part belle est, compte tenu du sujet, faite à la musiqueet plus précisément au rock'n'roll: «Un seul orchestre spécialisé dans le rock, et chacune des deux maisons essaie de se l'approprier[...] Rock et Roll sont associés». Influencé par les maîtres de la science-fiction américaine d'après-guerre qu'il admire, Vian introduit dans ce scénario des éléments propres au genre de l'anticipation; les «Maisons de disques s'espionnent à coup de téléviseurs perfectionnés» et il y a même des «Martiens». L'écriture rapide et les ajouts marginaux de ce manuscrit témoignent de la vivacité de Boris Vian, infatigable travailleur à l'imagination prolifique. Dans son langage non-conformiste, il multiplie les idées sur le papier: «il faut moderniser notre organisation. On fait défiler les mecs et on les abat à coup de presse-papier quand ils sont trop vieux [...] chacun des maisons pousse au cul son grand docteur». Comme le souligne Noël Arnaud dans ses Vies parallèles de Boris Vian, «Boris Vian s'est (...) intéressé au cinéma de manière active, et à plusieurs reprises. Il a composé des scénarios (certains ont même été tournés), il est apparu comme acteur dans différents films et il a écrit des commentaires de courts métrages.» Un documentaire intitulé Le Cinéma de Boris Vian, sorti en 2010, relate la passion de Boris Vian pour le cinéma et sa collaboration avec le réalisateur Pierre Kast qui disait de son ami: «J'aimerais beaucoup - c'est un des plus grands regrets de ma vie - j'aimerais beaucoup entrer dans une salle de projection, avec un bon fauteuil et plusieurs dizaines d'heures devant moi, et regarder les vingt films que Boris rêvait de faire.» (Pierre Boiron, Pierre Kast 1985). Ironie du sort, c'est dans un fauteuil de cinéma que Boris s'éteindra...devant l'adaptation qu'il exécrait de son roman J'irai cracher sur vos tombes. Provenance : Fondation Vian - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. 6 janvier 1951 | divers | 6 feuillets
Ensemble complet du manuscrit et du tapuscrit de travail de Boris Vian, genèse de la chanson"Pour bercer ma peine". - un feuillet et deux papillonsperforés rédigés à la main à l'encre par Boris Vian. Nombreuses ratures. - Un feuillet plié en deux rédigé à l'encre de la main de Boris Vian également, comportant le titre de la chanson et les mentions suivantes : "6.1.51 - Boris Vian 3 rue D'Aumale St Tropez Var" - deux feuillets perforés tapés à la machine, mise au propre du manuscrit. La musique de ce texte fut composée parLouis Bessières et la chanson fut interprétée par Magali Noël. "Le6 janvier 1951, Boris Vian passe l'examenobligatoire d'admission à laSacemsur le thème imposé "Pour bercer ma peine". Sa qualité d'auteur reconnu lui permettra désormais de percevoir des droits d'auteur. Rappelons qu'en 1951, il a déjà publié huit romans : Vercoquin et le Plancton, L'Ecume des Jours, J'irai cracher sur vos tombes, Les Morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux, Elles se rendent pas compte, L'Automne à Pékin, L'Herbe rouge, un recueil de nouvellesLes Fourmis, et un recueil de poésieCantilènes en gelée, présenté une pièce de théâtreL'Equarrissage pour tous, fais des traductions (Le Grand Sommeil,La Dame du lac...), écrit des articles, et tout cela ne lui a rapporté que très peu d'argent car ses livres se vendent mal, hormis le trop célèbreJ'irai cracher sur vos tombes. Boris Vian doit passer à autre chose de plus lucratif si possible. On peut dire qu'il s'y emploie de ce pas en se lançant dans la chanson." (Oeuvres de Boris Vian, Tome 11) Dans la fiche professionnelle de Boris Vian à la SACEM, on lit le pseudonyme qu'il s'est choisi : Vernon Sinclair... L'examen d'entrée à la SACEM fut instauré en 1878 et perdurera jusqu'en 1991. Les aspirants à l'adhésion - qui donnait notamment le droit à une pension - disposaient d'une heure à une heure et demie pour composer une chanson sur un thème imposé. Le centre d'examen du 10 de la rue Chaptal vit ainsi défiler les plus grands noms de la chanson française et les thèmes les plus décadents: Bourvil dut composer, en 1944, sur le thème «Totor le tatoué» tandis que Georges Brassens reçut l'intitulé «Les étrennes de mon amie» en 1942. Il faut croire que Boris Vian fut reçu par un examinateur peu fantaisiste et la chanson qu'il écrivit lors de son examen est d'une rare mélancolie: Je ne sais pourquoi l'on persiste A ressasser tous ses chagrins Pourquoi lorsque l'on est trop triste On veut prendre le dernier train Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. [chez l'auteur] | s. l. 10 octobre 1945 | 22 x 17 cm | 17 pages sur 9 feuillets
Manuscrit autographe original de la nouvelle de Boris Vian, écrite en 1945 et publiée dans le recueil posthume Le Loup-Garou en 1970. Manuscrit très dense de 17 pages sur 9 feuillets, rédigé à l'encre noire, avec biffures et corrections, sur desfeuilles à carreaux perforées et daté «25.10.45» à la fin du texte. Un des très rares manuscrits datés par l'auteur. Exceptionnel manuscrit de la première nouvelle de Boris Vian, écrite à 25 ans, quelques mois après la Libération. * Les premières tentatives littéraires de Bison Ravi datent de l'hiver 41-42, selon Michelle Vian qui lui demande à cette époque de lui composer un conte de fées. L'exercice donne au jeune ingénieur l'envie de se lancer immédiatement dans un autre récit fantaisiste, sans queue ni tête, au seul usage de ses amis,Troubles dans les Andains. Deux ans plus tard, il s'attèle à ce qui deviendraen 1947son premier roman publié, grâce à Raymond Queneau, Vercoquin et le plancton. Mais avant la rencontre fondamentale avec ce mentor et père spirituel qui lui ouvrira les portes de la Maison «Blanche» de Gallimard, l'écriture n'est pour Vian qu'un jeu, sans conséquence ni ambition, pour combattre la morosité des années d'Occupation. La véritable passion du médiocre ingénieur Vian est le jazz et sa relative professionnalisation dans la troupe de Claude Abadie. Lorsque le 18 juillet 1945, il signe son contrat pour la collection «La plume au vent» créée et dirigée par Queneau, Boris Vian considère sans doute qu'il n'a encore rien écrit. Son «uvrette» Vercoquin ecaetera, timidement envoyé à Queneau le mois précédent, sera affublée d'une préface désabusée et d'une dédicace en forme d'excuse. Martin, achevé en octobre 1945, est donc sa première uvre d'écrivain et sa toute première nouvelle, genre dans lequel il excellera, comme le soulignent M. Lapprand, C. Gonzalo et F. Roulmann dans l'édition de La Pléiade : «L'écriture incisive de Boris Vian sied à merveille aux textes courts. [] Elle a trouvé sa première expression dans la pratique de la "nouvelle", entendue à l'anglo-saxone comme short storydont Vian appréciait hautement la lecture. Entre 1945 et 1958, sa plume alerte donne jour à 45 courts récits []. Vian goûte tant l'exercice, qu'il en produit pas moins d'une trentaine [] de 1945 à 1948 [parmi lesquelles] seules cinq rest[èr]entinédites du vivant de l'auteur.» Martin ne paraitra que 11 ans après sa mort dans le recueil Le Loup Garou, sans mention de sa place essentielle dans la genèse de l'uvre et de l'artiste. Pourtant, cettepremière nouvelle de Vian présente des caractéristiques uniques qui en font une uvre pivot. Entièrement centrée sur les grandes passions de Vian, le jazz et les voitures américaines, cette pérégrination se distingue surtout des productions précédentes par son style. A l'aube d'une carrière d'écrivain du moins rêve-t-il ainsi son avenir qui sera plus tumultueux qu'il ne l'espère Boris ne choisit pas le style de Vian, mais celui de Sullivan. Martin est en effet une nouvelle dans le pur style du roman noir à l'américaine, sans pour autant que Vian se fende d'une intrigue ou d'un véritable projet narratif. Martin ne raconte rien d'autre que la soirée passablement décevante d'un trompettiste «amateur marron», c'est-à-dire semi-professionnel, sollicité pour jouer dans un band improvisé lors d'une soirée organisée pour les G.I's. Ni introduction, ni climax, ni dénouement, le récit semble être un pur exercice de style, mais de ce styleencore totalement inédit pour l'écrivain en herbe, qui sera celui de J'irai cracher sur vos tombes, Elles se rendent pas compte, Les morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux, les seuls succès littéraires anthumes de leur «traducteur». Les personnages de Martin paraitraient tout droit sortis du néant, si le lecteur moderne ne reconnaissait Miqueut, chef de bureau du narrateur, tout simplement emprunté à Vercoquin, Doddy le batteur absent, qui n'est autre que Claude Léon, un d
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Barnum's Digest. 10 Monstres Fabriqués par Jean Boullet et traduits de l'américain par Boris Vian. ( Exemplaire avec dédicace et dessin de Boris Vian à Marc Doelnitz ). Paris, Aux Deux Menteurs, sans date (1948 ). Plaquette in-8 en feuilles de non paginé ( d’environ 30 pages ) au format 13,5 x 21 cm. Couverture illustrées à rabats. Dos muet, insolé avec petite restauration, effectué au filmoplast, au verso. Plats légèrement insolés. Intérieur frais. Textes de Boris Vian accompagnés de 10 dessins à l'érotisme déviant de Jean Boullet, en hors texte. Rare édition originale tirée à uniquement à 250 exemplaires, avec comme précisé par Noël Arnaud, et annoncé au justificatif, il semblerait bien que " La plupart des exemplaires ne soient pas numismatés ". Exceptionel exemplaire, enrichi d’une dédicace et d’un petit dessin de Boris Vian, à Marc Doelnitz. Dédicace certainement réalisé lors d’une soirée au Club " Le Tabou ". Livre en provenance de la bibliothèque de Marc Doelnitz, qui fut ami intime de Boris Vian, Jean Cocteau, Christian Bérard, Marie-Laure de Noailles, et du Marquis de Cuevas, mais aussi animateur du Saint-Germain-des-Prés de l'après-guerre, cofondateur du Tabou et du Club de Saint-Germain. Il fut une des figures marquantes du quartier, avec Juliette Gréco et bien sur, Boris Vian. Provenance idéale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
S. n. | s. l. s. d. [1948-1949] | 31 x 20 cm | 3 feuillets
Secrète et précoce chanson, à l'écriture hâtive et aux nombreuses ratures, sans doute écrite sur le coin de table d'un caveau, hommage aux troglodytes célèbres et aux zazous anonymes de Saint-Germain-des-Prés - Un feuillet à carreaux perforé rédigé par Boris Vian à l'encre bleue, nombreuses ratures et corrections, quelques déchirures marginales. Ce feuillet est plié en trois, comme s'il s'agissait de la maquette d'un tract. En tête du feuillet, quelques essais manuscrits de la main de Vian confirment que ce texte était peut-être destiné à devenir l'hymne d'un cercle de germanopratins : « CLAC : Cercle Littéraire des amis des caves / Cercle libre des amateurs de cuisse. » Au verso de ce feuillet, des notes manuscrites de Vian probablement en vue d'animer ce cercle qui ne fut, à notre connaissance, jamais créé : « Tableau d'affichage - signé le troglodyte de la semaine [...] Manifestes à faire signer toutes les semaines. » -Un papillon perforé prélevé sur un feuillet de cahier d'écolier reprenant la strophe « Pour venir au Tabou » et la suivante, également de la main de Boris Vian. La première strophe n'apparaît pas dans son intégralité sur le feuillet principal. Une trace d'adhésif au verso. -Un feuillet perforé tapé à la machine, mise au propre du manuscrit. En bas à droite, la date « 1948-1949 » est indiquée. Cette chanson - une des toutes premières de Vian - est un véritable hymne germanopratin, qui ne fut jamais interprétée hors des caveaux.Il préfigure le fameux Manuel de Saint-Germain-des-Prés qui ne paraîtra qu'en 1974. Elle fut retranscrite, avec les strophes dans un ordre différent, dans le tome 11 des uvres complètes de Boris Vian consacré à ses chansons, mais certains vers barrés de notre manuscrit demeurent bien lisibles et inédits : « Quand on n'sait pas danser / Il vaut mieux s'en passer ». Alexandre Astruc, cité à deux reprises dans la chanson, témoigne dans ses mémoires de la création de celle-ci : « Je dois reconnaître qu'en dépit de l'alcool qu'on pouvait y ingurgiter, je n'aimais pas vraiment les caves, ni les pitreries de Vian, auquel je reconnaissais pourtant un réel talent de pasticheur et de pince-sans-rire. Il avait écrit une chanson très drôle sur les cocktails que donnait Gaston Gallimard chaque premier vendredi du mois. Tout ce que la littérature française comptait de plus sérieux s'y retrouvait, cul par-dessus tête, les jambes des femmes battant l'air dans leurs jupes new-look, sur l'herbe tendre des pelouses de Gaston, tant le préposé à la boisson, un homme rougeâtre du nom de Bitodos, avait coutume de forcer sur la dose d'alcool. En voici, autant que je m'en souvienne les paroles édifiantes : « Et le vendredi soir / On va chez Gallimard / On mang' des pt'its gâteaux / Offerts par Bitodos / Et l'on voit Jean Genet / qui se fait... enculer / Tandis que sur l'gazon / Astruc rend son gougeon... » (A. Astruc, La tête la première, 1975). Cette mention précise de l'impertinente chanson dans ses souvenirs des caveaux parisiens prouve qu'Astruc a entendu Vian l'interpréter, sans doute même à plusieurs reprises. La mémoire d'Astruc n'est pourtant pas tout à fait exacte et la chanson de Boris Vian, bien au-delà de l'évocation des garden-parties de Gaston Gallimard, constitue un véritable hommage au mode de vie germanopratin, alors en péril. Cette chanson grivoise fut en effet rédigée aux derniers souffles du Tabou, célébrissime club-cave fondé en 1947 où Boris Vian régnait en maître, entouré d'autres illustres personnalités citées dans ce tableau : « Les gens de Saint-Germain S'amusent comme des gamins ls lisent du Jean-Paul Sartre En mangeant de la tartre. » Deux strophes rendent hommage à la mythique cave de la rue Dauphine : « Pour venir au Tabou Faut être un peu zazou Faut porter la barbouze Et relever son bénouze - Dans une ambiance exquise On mouille sa chemise Et quand y'a trop d'pétard Ça finit au mitard » tandis que deux autres évoquent l'avenir des zazous : « Ma
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Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 23 de 1948. In-4 agrafé de 26 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Howard McGhee. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial: Laissons faire le temps par André HodeirNotes sur Howard McGhee paar André HodeirSlam Stewart par Boris VianBertha Chippie Hill par Boris VianLa Grande Semaine du jazz par Frank BauerSur un disque d'Erroll Garner: critique croisée par Jack Diéval, Jean Constantin, André persiany, Raphaël Schecroun, Claude Bolling, Maurice Meunier, Jean-Claude Fohrenbach, Albert Ferreri, Pierre Gérardot, Léon Kaba, André Hodeir, Boris Vian et Jean GaspardLes quatre générations du jazz français par Franck TénotRetour sur le concert de Dizzy par Ernest Borneman (2, trad. Michèle Vian)Revue de presse par Boris Vian (6)Tribune libre: Les Blancs et la musique des Noirs par Daniel Georges, A propos du Be-Bop, A propos de la radio…Les livres, revuesL'histoire du Hot Club de France par Charles Delaunay (5)Fausses notes: au boogieland par Le Raisin Moisi (Boris Vian)Il y a dix ans… L'archéologue de service (Boris Vian)DéfinitionsJazz-pastiche: Ce qu'ils écriraient sur «Cemetary Blues» de Bessie Smith par PAT (Boris Vian)Courrier des lecteurs par André HodeirMémorial: Chick Webb (1909-1939)Instantané: Dicky WellsLa radioTournoi national des orchestres amateursDisques par Frank TénotDisques parus aux USA par Daphnis (Boris Vian)Association des collectionneurs de jazz françaisEditions, Les editions du Hot Club par Albert FerreriMots croisésLe coin des musiciens: Concerts des JMF par Guy Montassut, Où jouent-ils?, La radiodiffusionb Française est en danger, Hot clubs allemands, Le jazz à Casablanca, Charmantes soirées par Michel de Villers, EchosFédération des Hot Clubs françaisPhotos: Howard McGhee, Slam Stewart, Bertha Chippie Hill/Rudy Blesh/Max Gordon, Erroll Garner, Coleman HawkinsDessins: Erroll Garner et Dizzy Gillespie par MorissardSuperbe état général. Edition originale. Rare
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s. d. [1953] | 21 x 27 cm | 14 feuillets
14 feuillets rédigés à l'encre violette sur feuillets perforés à petits carreaux. Treize d'entre eux sont numérotés en haut à droite de la main de l'auteur (3, 4, 5, 7, 8, 10, 11, 12ème non numéroté mais sur lequel le texte se poursuit normalement, 13, 14, 15, 16, 19 et 22). Le début du texte manque ainsi que certains feuillets (entre les n°5 et 7, ainsi qu'entre les n°8 et 10 et les n°11 et [12]). Nombreuses biffures, ratures et corrections. Quelques traces marginales d'adhésif. Très beau brouillon en très grande partie inédit témoignant de l'amour inconditionnel du dandy germanopratin pour l'automobile. Passionné de mécanique et de conduite, Boris Vian posséda de nombreux modèles de voitures; sa favorite fut incontestablement sa Brasier Torpédo 1911, ancien taxi de la Marne dont il fit l'acquisition au printemps 1950. Dans un précédent article donné à Constellation et intitulé «Et dire qu'ils achètent des voitures neuves!» (n°46 février 1952), Claude Varnier décritamoureusement leur rencontre : «Ma voiture a quarante ans tout juste: elle a été construite en 1911. Avant de l'avoir trouvée, j'en ai conduit beaucoup d'autres; aucune ne m'a jamais donné autant de satisfaction.» Etrange auto dotée d'un pot de chambre amovible et d'un évier escamotable, à l'image des machines fantastiques que Boris Vian inventa pour ses romans, elle fut la seule à figurer sur la pochette de l'un de ses albums, Chansons possibles ou impossibles, sur lequel figurent les plus grands succès du chansonnier. L'homme et la voiture sont inséparables, Boris y promène Duke Ellington lors de ses visites à Paris «et ce sera un insigne honneur, accordé à quelques jolies femmes de sa connaissance, Eléonore Hirt ou Olga, une voisine, que de prendre la pluie pour des heures, la capote empêchée, sur la route du soleil» (Philippe Boggio, Boris Vian, 1993). En centralien appliqué, il apprécie la conduite capricieuse et la mécanique désuète de sa Brasier, comme en témoigne le manuscrit que nous proposons. Le texte est en effet ponctué de descriptions élogieuses du splendide véhicule:«elle s'est rhabillée de neuf: peinture blanche, cuir rouge, capitonnage exécuté par un ouvrier d'époque, s'il vous plaît.» Claude Varnier loue les qualités exceptionnelles de sa voituretout en soulignant les affres de la conduite d'un modèle ancien: «je suis obligé de la grimper en troisième et le régime du moteur baisse (...) mais une Brasier ne cogne jamais: elle monte ou s'arrête(on n'a d'ailleurs qu'à changer de vitesse pour éviter ce désagréable phénomène ». Son carrosse ne manque pas d'attirer les regards: «il est bon de voir la foule, spontanément, apprécier l'effort d'un isolé pour mettre l'accent sur la qualité française [...] Je vois à votre voiture que vous êtes quelqu'un de bien, qui respecte les traditions. » Si le début du manuscrit est relativement fidèle à la version finale de l'article de Constellation, il en est tout autrement de la suite. En effet, alors que Claude Varnier, parti en virée vers la Normandie, se fait arrêter pour excès de vitesse par un policier, ce personnage n'apparaît pas dans notre manuscrit, où il est éclipsé par la présence de la célèbre Zizi Jeanmaire, proche amie de Boris Vian : «Mon amie Zizi est venue me souhaiter bon voyage; elle apprécie tellement le confort de ces baquets capitonnés qu'elle ne descend qu'à la Porte de Saint-Cloud, la nostalgie dans l'il et cinq cents balles de taxi devant elle, funèbre perspective.Je lui ai bien proposé de l'enlever, mais elle pense que ça se saurait, avec une voiture comme ça...» Le personnage de Zizi est associé à celui d'Odile, «une personne sage». Le Dictionnaire des uvres de Boris Vian nous apprend que «Vian affectionne ce prénom pour ses chroniques de Constellation où il désigne l'épouse du narrateur, parisienne charmante.» Le reste de l'histoire fait la part belle à l'autobiographie. Boris Vian y évoque un séjour à Caen en compagnie de Jo Tréhard, créateur du Festival
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Paris, 3 Baudets, 1958. Programme des 3 Baudets, in-12 agrafé, de 12 pages au format 12 x 15,5 cm. Couverture illustrée. Programme du spectacle de Boris Vian " Ciné-Massacre " au Théâtre des 3 Baudets dirigé par Jacques Canetti pour la nouvelle version, remaniée, de 1958. Boris Vian avait écrit Ciné-Massacre en 1952, spectacle à sketches parodiant les grands genres du cinéma et qui connut un vrai succès sur la scène de la Rose rouge, monté par Yves Robert. En 1954, Jacques Canetti proposa à Boris Vian de faire une nouvelle adaptation du Ciné-Massacre. Ce dernier accepta tout de suite et remania sensiblement son spectacle qui fut donné avec succès de mai à juillet 1958 dans une mise en scène encore d’Yves Robert avec des décors de Jean-Denis Malclès. Notre programme contient 16 photos des artistes, du metteur en scène et de l'auteur, ( Jean-Marie Amato, Guy Pierauld, Edmond Tamiz , Rosy Varte, Bob du Pac, Jean Yanne, Philippe Clay, Souris, Christian Méry, Yves Robert, Denise Benoît, Jacques Brel, Roger Comte, Colette Valéry, Gilbert le Roy, Bernard Regnier et Boris Vian ) accompagnées en grande majorité d'hilarantes notices écrites par Boris Vian. Complet de la feuille à découper " 5 Questions de Jacques canetti ". Rarissime édition originale, surtout dans un tel état de fraicheur, proche du neuf.
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s. d. [1958] | 20.90 x 26.90 cm | 4 pages sur 4 feuillets
Manuscrit autographe de Boris Vian intitulé "Conseil de révision (des opinions)" à propos de Paul Anka. 4 pages rédigées au stylo à bille bleu sur 4 feuillets perforés réunis par des agrafes. Ratures et corrections. Pliure transversale en marge gauche sans gravité. Le manuscrit était destiné à «l'élite», c'est-à-dire aux lecteurs duCanard enchaîné, il a finalement été publié dansLa Belle époque(1980). Bel article faisant la promotion du concert à l'Olympia du jeune Paul Anka, alors âgé de dix-sept ans, plus de dix ans avant le succès planétaire de My Way. Boris Vian vieillit d'ailleurs un peu la «vedette américaine»: «Paul Anka est un garçon de vingt ans qui écrit ses chansons et qui les chante.» Vian, lui aussi compositeur et interprète souligne pourtant: «Comme il n'en écrit pas des douzaines, il chante aussi d'autres que les siennes, par exemple «Jingle Bells» puisque c'est l'hiver et Noël.» Le chroniqueur insiste sur le snobisme du public parisien difficile et visiblement peu réceptif à la variété américaine: «Paul Anka, le soir de la première, a fait un triomphe aux «populaires», ce qui a refroidi le parterre, savamment composé de vedettes, demi-vedettes, quarts de vedettes et figurants habituels de ces cérémonies.» Boris Vian répond ensuite point par point aux détracteurs du chanteur, enchaînant les louanges: «Il chante juste, très en place et semble capable de «swinguer» à la latine [...] Il a une excellente présence et presque trop de métier pour son âge. [...] Il «en fait» beaucoup moins que l'on ne pouvait le craindre d'après les disques et la publicité.» Très au fait des nouveautés musicales américaines, Boris se risque à un petit classement, sans perdre son légendaire humour, tout à fait en phase avec le ton caustique du Canard enchaîné: «C'est donc un chanteur classique s'il en fut, et l'Anka de malheur que j'avais craint est jusqu'ici, à mettre bien en avant des Kalin Twins, ces deux affreux singes, et du grimaçant Presley (lui, on l'a vu au cinéma).» Comme l'indique le titre de cet article "Conseil de révision", Boris Vian semble avoir changé d'avis quant au jeune chanteur après avoir assisté à sa première française; dans un autre projet d'article pour le Canard enchaîné rédigé quelque temps plus tôt, il déclarait: «Vous connaissez, évidemment, le dernier surnom du jeune chanteur Paul Anka, le beuglant du Canada. Il est court et charmant: l'Anka de malheur.» Provenance : Fondation Vian - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s. d. [1957] | 21.30 x 27 cm | 4 feuillets
Ensemble complet du manuscrit et des tapuscrits de travail de Boris Vian, genèse de la chanson "Java mondaine". - un feuillet à carreaux perforés rédigé à la main au stylo bille bleu par Boris Vian. En bas du feuillet, également de la main de Boris Vian, la mention : "Musique H. Salvador - Paroles B. Vian" - un feuillet perforé tapé à la machine, mise au propre du manuscrit, sur lequel Boris Vian a écrit en marge le nom de "Chantal" qu'il a envisagé pour remplacer celui d'Hubert dans la chanson. Cette modification ne sera pas retenue. - deux autres feuillets tapuscrits sur papier pelure, l'un encollé sur un papier cartonné On joint également la partition de la chanson diffusée par les éditions Eddy Barclay. Cette chanson fut interprétée parJacqueline François puis parHenri Salvador. On passait un soir av'nue du Bois Et le p'tit Hubert dit qu'est-ce qu'on voit C'étaient les fusées du quatorze juillet On a décidé d's'encanailler Y avait un p'tit bal au métro Jasmin qui tournait Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. 1957 | 21 x 27 cm | 4 feuillets perforés
Quatre tapuscrits, dont un encollé sur un carton souple, de 39 lignes chacun de la chanson de Boris Vian "Trompette d'occasion initialement baptisée "Le jazz hot". Pour trois d'entre eux, Boris Vian a barré "Le jazz hot" pour modifier le titre à la main et rebaptiser la chanson "Trompette d'occasion". Boris Vian en écrivit le texte en 1957, Henri Salvador en composa la musique et l'nterpréta à de nombreuses reprises notamment pour la publicité. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s. d. [1958] | 21.20 x 27 cm | 5 feuillets (13,5x21cm) + 1 feuillet (20,8x27,1cm) + 2 feuillets cartonnés (20,9x27,9cm) + 2 feuillets de partition (19,9x27,5cm)
Ensemble complet du manuscrit et du tapuscrit de travail de Boris Vian, genèse de la chanson "Une bonne paire de claques". - cinq feuillets perforés de papier blancrédigés au stylo bille bleu de la main de Boris Vian présentant le texte intégral de la chanson. Nombreuses ratures et corrections. - un feuillet perforé de papier à carreaux rédigé au stylo bille bleu de la main de Boris Vian d'une strophe inédite jamais ajoutée à la chanson. - deux feuillets perforés contrecollés sur carton, transcriptions du texte intégral et de la strophe inédite. - deux feuillets de partition piano-chant imprimée par les éditions de la Lyre en 1962. Cette chanson, dont l'air sage contraste avec la violence des paroles, connut de nombreux interprètes Louis Massis (1959), Anne Gacoin (1960), Les Charlots (1969), Mouloudji (1976), Henri Salvador (1979), L'Orchestre du Grand Turc (1990), Les Poubelles Boys (1994 et 1999), Les Victor Racoin (1999), Fabienne Déroche (2009), Les Bisons Ravis (2010). «En 1957, un certain Henry Cording enregistre "Rock and Roll Mops". [...] D'ailleurs derrière Henry Cording se cache en fait le chanteur Henri Salvador, et les auteurs de la chanson sont Michel Legrand pour la musique et Boris Vian pour les paroles. Ils récidiveront l'année suivante avec le «Blues du dentiste» et «Une bonne paire de claques dans la gueule».» (J.-L. Calvet, La bande-son de notre histoire) Le manuscrit de la chanson présente quelques différences avec la version tapuscrite. Le «Tiens, salope!» des deux versions a été tout à fait abandonné dans le chant. Sur le feuillet quadrillé, titré «Modification pour «Une bonne paire de claques»», figure une savoureuse strophe qui ne fut jamais ajoutée à la chanson finale: «Les compliments, ça fatigue et ça lasse / Et puis c'est rare que ça soye (sic) bien tourné / Une vraie raclée qui vous laisse quelques traces / C'est plus sincère et toujours apprécié.» Une bonn'paire de claques dans la gueule Un bon coup d'savate dans les fesses Un marron sur les mandibules Ca te f'ra une deuxième jeunesse Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. [chez l'auteur] | 98 rue du Faubourg Poissonnière Xe, Paris s. d. [1950] | 21 x 27 cm | 18 feuillets numérotés
Important manuscrit autographe original signé de la nouvelle de Boris Vian écrite en 1950, initialement parue dans la revue Bizarre n°32-33 de 1964, puis publiée dans le recueil posthume Le Loup-Garou en 1970. Nom et adresseautographe de Boris Vianen tête du manuscrit. Manuscrit abondamment corrigé,rédigé à l'encre bleue et violette sur le verso de chaque feuillet,avec un placard de corrections encollé en page 13. Impressionnante nouvelle d'anticipation dans laquelle Boris Vian prophétise l'intelligence artificielle comme module de conversation appuyé sur l'intégration de données encyclopédiques : «Le modèle que vous voyez ici est destiné à acquérir l'ensemble des connaissances du grand memento encyclopédique Larousse de 1978 en seize volumes[...]. C'est une machine administrative, Florence. Elle doit servir de conseil (...). A chaque demande de renseignements (...), elle fournira (...) la réponse typique d'une culture française très étendue. En toute circonstance elle indiquera la marche à suivre, (...) expliquera de quoi il s'agit et comment se comporter (...). Il faut qu'elle absorbe tout. Elle n'a une chance d'avoir un comportement équilibré que si elle sait tout. C'est à cette seule condition qu'elle peut rester objective et impartiale.» Contrairement aux utopies de l'époque, le narrateur de Vian ne conçoit pas une "I. A." ayant une pensée et une sensibilité individuelle mais un véritable agrégateur de savoirs doté d'un moteur de recherche autonome et efficace.La sensibilité de son robot sera au contraire la cause de son échec, puisque en absorbant Toi et moi le roman à l'eau de rose de Paul Géraldy, l'ordinateur tombera amoureux puis agressera son concepteur. Mais s'il pressent Google et Chat Gpt plus de 50 ans avant leur apparition, Boris Vian cherche surtout dans ce petit conte futuriste à mettre en scène les relations hommes-femmes, véritable sujet de cette nouvelle dans laquelle il inverse joyeusement les rapports de séduction. Très rare manuscrit romanesque signé par Boris Vian. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 25 de 1948. In-4 agrafé de 32 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Sidney Bechet. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial: Les taches d'encre par André HodeirLe Duke sur la pente de la facilité? Duke Ellington plays the blues par André HodeirSarah Vaughan par Peter TannerLevons le masque de Max Roach: A 24 ans, Roach pourrait donner des leçons de technique à ses maîtres… par Leonard Feather (trad. Boris Vian)Mémorial: Johnny Dodds (1892-1940)Instantané: (Albert) Al CaseyUne nouvelle étoile du jazz français: Jean-Claude Fohrenbach par Guy MontassutIl faut en finir avec les chefs-d'œuvre par Robert YacL'Histoire du Hot Club de France par Charles Delaunay (6)Revue de presse par Boris Vian (8)Nouvelles de New York par Kenny ClarkeDuke Ellington à Paris (propos recueillis par Michèle Vian)Le Festival belge de Knokke par Boris VianTribune libre: La guitare dans l'orchestre Be-Bop par Robert AubertLes disques par Robert Aubert, André Hodeir et Franck TénotDix petits disques par Jean CarpentierLes derniers disques publiés en Amérique par Armand LeclercqNous avons reçu de New York par l"on Vidalie et Léon KabaCollectionneurs, La Radio, le referendum de radio 48 par Jean GaspardFausses notes: Toujours en voyage… par Le Raisin Moisi (Boris Vian)Les Livres: introduction à la musique de jazz d’André Hodeir par Pierre Gérardot, To Be or Not to Bop de Nard Griffin par Daphnis (Boris Vian)Editions, Editions du Hot Club, Ecole de jazz par Claude Laurence (André Hodeir)Le coin du professionnel: Les musiciens américains et la main d'œuvre étrangère par Le Professionnel, La belle saison. par Michel de Villers, Silhouette du Hot Club: Maurice Meunier par Franck Ténot, Où jouent-ils?, L'interview du mois: Gaby Wagenhein par RIFFédération des Hot Clubs françaisPhotos: Sidney Bechet, Django Reinhardt, Duke Ellington avec Billy Strayhorn et Johnny Hodges, Sarah Vaughan, Johnny Dodds, Max Roach, Al Casey, Jean-Claude Fohrenbach, Leonard Feather avec Woody Herman et Dizzy Gillespie, Duke Ellington et André Hodeir, Dizzy Gillespie et Kenny Clarke, Georges Hadjo et Géo Daly au Liban,Dessins: Louis Armstrong et Duke Ellington par Morissard, Maurice Meunier, Claude Bolling, Roger Chaput, Gaby wagenhein, Illinois JacquetSuperbe état général. Edition originale. Rare
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 28 de 1948. In-4 agrafé de 32 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Bill Coleman. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial: le prix de la nouvelle sur le jazz à Maurice GhnassiaEn marge du référendum: le jazz et l'opinion publique par Pierre SartetHommage à Charlie Christian par Robert AubertThe Kid Ory's Jazz Band par Floyd Levin (trad. Maurice Ghnassia)Louis Jourdan & son Tympany Five par Léon Kaba et Albert Ferrari(James) Jimmy Mundy vous parle…: un célèbre arrangeur à ParisMémorial: Gertrude Ma Rainey (1886-1939)Instantané: Earl HinesL'ABC du jazz par Georges Daniel et André Hodeir (3)Alors! On s'encroûte? par Michel de VillersFausses notes: Le dernier des Bigoiniens par Le Raisin Moisi (Boris Vian)Michel de Villers par Maurice GhnassiaL'histoire du Hot Club de France par Charles Delaunay (9)Johnny Hodges quitte le Duke par Jean GaspardYoung Man With a Horn par Dorothgy Baker (2, trad. Boris Vian)Katherine Dunham à ParisNouvelles d'Amérique par Léonard Feather: Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines, Lester Young,Tears: Stan Hasselgard est mortBill Coleman à Paris par Robert AubertRevue de Presse par Boris Vian (11)Festival de Knokke en Belgique: réponse à Boris Vian de M. Poustochkine (critique hollandais)Les livres: Jazz, musica d'oggi par Livio Cerri par André HodeirLes disques par Albert Ferreri, André HodeirNous avons reçu de New York et d'ailleurs par Léon Kaba et Léon VidalieCollectionneurs par Albert FerreriSilhouettes du Hot Club: Roger Paraboschi par Aristo-Fan (Boris Vian)L'interview du mois: Louis Vola par RIFLe coin des musiciens: comptes rendus Jazz Parade (Théâtre Edouard VII) n°5, 6, 7, 8 par Jean Gruyer et Robert AubertEditions, Editions du Hot Club, Ecole de jazz par Jean GruyerFédération des Hot Clubs français: Jazz Parade, XIIe tournoi national des orchestres de jazz amateursHot Club Magazine, Belgique:Interview du mois: Jean Toots ThielemansJazz Parade: 211e concert du Hot Club de Belgique par M. SalomonJazz Records par Carlos de Ratzitzky et Albert BettonvilleNaar Aanleiding van een Tornooi par Walter Edwards (article en flamand)Activité du HC de BelgiquePhotos: Bill Coleman, Charlie Christian, Kid Ory, Louis Jordan, Jimmy Mundy, Michel de Villers, Katherine Dunham, Arnett Cobb, Stan Hasselgard, Erskine Hawkins, Roger Paraboschi, Louis Vola, Toots ThielemansDessins: Slam Stewart et Coleman Hawkins par MorissardSuperbe état général. Edition originale. Rare
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Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 31 de 1949. In-4 agrafé de 32 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Tiny Grimes. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial: Le plus cher des biens par André HodeirLe Jazz et l'opinion publique (3) par Pierre SatetLe musicien blanc de jazz par Georges DanielFausses notes: les mauvaises actions par Le Raisin Moisi (Boris Vian)Jimmie Noone "Géant du jazz" par André HodeirFrench Drummers 1949 par Guy Montatssut (Arthur Motta, Roger Paraboschi, Tony Inghi, Claude Marty)Histoire et analyse du Ragtime par le Dr. Bartlett D. Simms et Ernest Borneman (2, trad. Boris Vian))Du vieux style dans la nature au Bop en chemin de fer: impressions d'Amérique 1949 par Charles DelaunayL'ABC du jazz par Georges Daniel et André Hodeir (6)Les concerts: Jazz Parade du 30 janvier, 6, 13, 20, 27 février 1949 par Franck Ténot, La radio, L'Edward's Band à travers l'Europe (Don Byas, Coleman Hawkins, Michel de Villers, Géo Daly, Bernard Peiffer, Jean Bouchety, Roger Paraboschi)Young Man With a Horn par Dorothy Baker (4, trad. Boris Vian)Revue de Presse par Boris Vian (14)Jazz Hot Magazine: Le grand prix du disque 1949 a été décerné par l'Académie Charles Cros à Trumpet No End par Duke Ellington et son orchestre.En présence de Sidney Bechet, Charles Delaunay "décore" Charlie Parker. Pour la première fois, Ils ont joué ensemble.Charlie Parker et Art Tatum à Paris seront les vedettes de la Grande Semaine de "Jazz Parade". Où jouent-ils à New York?Les disques par Albert Ferreri, André Hodeir, Otto Link, Franck TénotNous avons reçu de New York par Léon Kaba et Léo VidalieSilhouette du Hot Club: Jean Berdin (dm) par Boris VianPortrait du mois: Paul Vernon par Franck TénotLe coin des musiciens: Le jazz en Norvège par Jack Denjean, Night in Paris par Robert Aubert, Siffler dans un violon par Michel de Villers, Où jouent-ils?Editions par Jean GruyerFédération des Hot Clubs françaisHot Club Magazine, BruxellesApostrophe d'un Belge à ses amis belges par Jean de TrazégniesInterview du mois: Jacky TunisJazz Records Collector's… Guide par Carlos de Radzitzky et Albert BettonvilleDe Verhouding Platenverzamelaar-Muzikant par Raoul Van Maercke (en flamand)Commerçants et… camelots par le Hot Club de BelgiqueHot Club Magazine: gloires musicales au Panthéon part Jean de TrazégniesJazz-Revue, LausanneEditorialL'Edward's Band en suisse par Ivan CantacuzènePseudonymes et enregistrementsBusiness et Music par D.-V. IvanovicPhotos: Tiny Grimes, Roger Paraboschi, Tony Inghi, Claude Marty, Charlie Parker, Charlie Ventura, Tadd Dameron, Jazz at the Philaharmonic, Colemaan Hawkins, jean Berdin, Paul Vernon, Jacky Tuniserroll Garner, Yetty Lee, Sarah VaughanDessins: Bernard Peiffer, Roger Paraboschi par MorissardSuperbe état général. Edition originale. Rare
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s. d. [circa 1950] | 21 x 27 cm | 8 pages sur 8 feuillets & 10 pages sur 10 feuillets
Manuscrit autographe inédit et complet d'un projet de sketch de Boris Vian intitulé «Deux heures de colles».Chaque liasse, contenant respectivement huit et dix feuillets, est retenue par une agrafe. La première, rédigée dans des encres de différentes couleurs et comportant de nombreuses ratures, ajouts et petits dessins marginaux, comprend deux feuillets d'idées pour l'ébauche du sketch, un feuillet relatant sa structure et cinq feuillets de texte et didascalies. La seconde, moins raturée et intégralement rédigée à l'encre verte, est une version définitive du texte reprenant la structure et les idées du premier jet sans pour autant les conserver dans leur intégralité. Dans ces notes jamais publiées ni jouées, le sketch se déroule dans une salle de classe où différents professeurs se succèdent pour délivrer des leçons dans chacune de leurs matières. Les spectateurs sont supposés former une assemblée d'élèves turbulents et participer activement aux différentes activités imaginées par Vian. Les professeurs sans vergogne malmènent les élèves: «vous êtes des khons, de lamentables ratés[...] quelques interrogations auxquelles je vais procéder maintenant vont vous démontrer mieux qu'un long discours à quel point vous être abrutis. » Le texte, très humoristique et d'une grande modernité, n'est pas sans rappeler le genre des «talkshows» actuels et leurs cascades de gags et de jeux. On trouve ainsi un grand nombre de matières fantaisistes vouées à structurer les différentes interventions: «cours du supporter de match», «cours de digest», «cours d'optimisme bourgeois», «cours de liberté», «cours de diffamation», «cours d'exploitation de psychanalyse», etc. On perçoit la nostalgie de Vian pour le passé et sa fascination pour le futur: « Vous voyez 1900 avec 50 ans de recul, avec vos yeux de 1950, mais pour les gens de l'an 2000, 1950 sera aussi charmant que 1900 pour nous. Apprenez à voir votre époque avec les yeux de l'an 2000. » Transparaît également son amour des voituresà travers la mise en scène d'un «type qui rentre par le fond de la scène dans un bruit effrayant, avec sa traction (une calandre ou un moteur sous le bras) ...» Visionnaire, Vian? Ce texte est en tout cas empreint d'une conscience écologique: «Le professeur insiste sur le gâchis qui caractérise la société actuelle et l'intérêt, par conséquent, d'un cours de récupération des produits inutilisés.» Le génial inventeur envisage en tout cas de présenter une «machine» de recyclage à ses spectateurs. Il dénonce également, sous couvert d'humour, la pénurie des logement parisiens et leur mauvais agencement: «on ne trouvait pas d'appartement à cause des collectionneurs d'appartements [...] Ce qui est difficile c'est de vivre dans les appartements qu'on vous propose; mais quelques-uns de nos anciens élèves qui ont eu la chance de faire un stage dans un immeuble d'essai construit par Le Cornemusier vont vous faire une démonstration. [...] façon de vivre en rampant en rampant dans les appartements extrêmement bas de plafond.» Il faut dire que Boris était un expert de l'ergonomie des espaces, en témoigne l'agencement de son petit appartement de la Cité Véron. Point d'orgue du manuscrit, Vian livre un superbe passage sur la vieillesse: «Enfin, le secret de la réussite: la vieillesse. Sketch: quelques jeunes, se disant «place aux jeunes» échouent car trop de vieux barrent la route. Ils kidnappent, pour se venger, quelques vieux. On met les vieux au régime le plus mauvais pour eux: beaucoup manger, beaucoup boire, beaucoup baiser, beaucoup danser. Finalement, ils séduisent les petites amies des jeunes et s'en vont avec elles. A la suite de quoi les jeunes décident de se vieillir artificiellement: s'opèrent mutuellement en s'arrachant les cheveux, en se teignant, se ridant, etc... Devenus vieux, ils trouvent tout, leurs amies reviennent et chur d'apothéose.» Ironie du sort pour Boris qui se savait, dès son plus jeune âge condamné et qui s'éte
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S. n. | s. l. s. d. [entre 1956 et 1959] | 21.30 x 27 cm | trois feuilles perforées
Ensemble complet des manuscrits et tapuscrits de travail de Boris Vian, genèse de la chanson "Mambo mon coeur". - un feuillet perforé à carreaux rédigé au crayon de papier de la main de Boris Vian. Nombreuses ratures. - un feuillet perforé blanc rédigé à l'encre bleue également par Boris Vian. - une mise au propre tapée à la machine à écrire sur un feuillet blanc perforé. Cette chanson d'amour ne fut jamais interprétée. Cela fait bien longtemps que je te connaissais, mon coeur Cela fait bien longtemps que je te connaissais Et tu ne savais pas ce que c'est que d'aimer, mon coeur Et tu ne savais pas ce que c'est que d'aimer Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s. d. [entre 1954 et 1959] | 21 x 27 cm | 3 feuillets
Ensemble complet du manuscrit et du tapuscrit de travail de Boris Vian, genèse de la chanson "Une vocation". - deux feuillets à carreaux perforés rédigés à la main à l'encre bleue par Boris Vian. - un double feuillet à carreaux ayant probablement servi de chemise à l'ensemble portant en tête de la première page le titre, de la main de Boris Vian - un feuillet perforé tapé à la machine, mise au propre du manuscrit Cette chanson, évoquant le destin d'un ouvrier de Bois Colombe éméché qui rejoint la marine, ne fut jamais interprétée. Il était né à Bois Colombe Mais ne rêvait que d'océan Et l'appel des sirènes blondes Lui travaillait déjà le sang Un soir en sortant de l'usine Il but un petit coup de trop Lâcha les copains, les copines Et s'en alla sur son vélo Au Havre il arriva quand même Vers les quatre heures du matin Un cargo s'en allait vers Brême Et recueillit le clandestin Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s. d. [1956] | 21 x 27 cm | 3 feuillets
Ensemble complet du manuscrit et des tapuscrits de travail de Boris Vian, genèse de la chanson "La vie en rock". - un feuillet à carreaux perforés rédigé à la main au crayon de papier par Boris Vian. En tête du feuillet, ce dernier a inscrit : "Musique J. Vermont" et "Paroles J. Vermont", en bas à droite : "Poursuites J. Vermont". Nombreuses ratures et corrections. - un feuillet à carreaux perforés rédigé à la main à l'encre bleue par Boris Vian. - un feuillet perforé tapé à la machine, mise au propre du manuscrit. Cette chanson, pastiche de la chansonLa Vie en rosed'Edith Piaf,ne fut pas interprétée. Quand J'descends dans mon bistro J'mets vingt ball'dans l'phono J'entends la vie en rock Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 134 de Juillet-Août 1958. In-4 agrafé de 38 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Teddy Buckner. Plats et intérieur frais. SommaireCourrier des lecteurs par Michel de VillersJazz à la radio par François BoncourJazz et VacancesLe programme du Festival de Cannesle Festival de KnokkeClaude Hopkins raconte ses souvenirs par Rudy PowellLes disques par Christian Bellest, Pierre Cressant, Jacques Demêtre, Demètre Ioakimidis, Kurt MohrCritiques croiséesFunky or not Funky par Max-Henri CabridensLes Cheveux sur la soupe: U.S. Go Home par Tonton Hot (Boris Vian)Claude Gousset, trombone éclectique: les préjugés de style tendent à disparaître par Philippe KoechlinLes cabarets de ParisJazz à la carte: France John Lewis, André Hodeir, Roger Guérin, Michel Hausser, Richard Benett; Grande Bretagne: Sarah Vaughan; Italie: Norman Granz; Belgique: Tears Roland Durselen (par Charles Delaunay); USA: Louis Jordan, John Graas, Noble Watts, Gerry Mulligan, Louis Armstrong et Anita O’Day, Mahalia Jackson, Joe Albany, Thelonious Monk, Gil Evans, gerry Mulligan, Bill Evans, Kid OryRevue de la presse par Boris Vian (108)Jazz Quiz par Demètre IoakimidisDiscographie de Charlie Parker (3e partie) par Guy Kopelowicz et François Postif (suite des n°132-133)Photos: Teddy Buckner, Ella Fitzgerald, Donald Byrd, Dizzy Gillespie par Nelsen et Richardson, Art Taylor par Popsie, Barney Wilen, Stéphane Grappelly par J.-C. Bernath, Paul Rovère, Guy Lafitte par J.-C. Bernath et Mainbourg;, Claude Hopkins-Menuisier par Rudy Powell, Ernest Bass Hill, Claude Hopkins Orchestra: Fernando Arbelo/Henry Turner/Sylvester Lewis/Bobby Sands/Walter Jones/Ovie Alston/Edmond Hall/Eugene Johnson/Alber Snaer/Pete Jacobs, George Stevenson, Fred Norman/Floyd Stump Brady/Vic Dickenson, Jabbo Smith/Shirley Clay/Lincoln Mills, Bobby Sands/Chauncey Haugton/Ben Smith/Gene Johnson, Claude Hpkins/Walter Johnson/abie Baker/Pete Jacobs, Reunald Jones/ALbert Snaer/Herman Autry par Harry Rossner, Emmett Hobson, Curby alexander, Leon Comegys, Claude Hopkins/John Brown/Rena Collins/Scoville Browne/Eddie Gibs par Leonard Greene, Monk Mongomery (bar)/Jimmy Cleveland/Babs Mohr/Quincy Jones/Demètre Ioakimidis/Oscar Estell/Clifford Brown/Raymond Rè/Clifford Scott/Clifford Solomon/Art Farmer, Dango Reinhardt par Hervé derrien, Claude Gousset, Sarah Vaughan, Milt Jackson par Hans E. Hael, Kenny Clarke par JP Leloir, Alix Combelle/M. Donnay/J.-J. Léger/ Henri Bernard/H. JanotDessins: Claude, Maurice Henry, Nory Compère.Superbe état général. Edition originale. Rare
SommaireCourrier des lecteurs par Michel de VillersJazz à la radio par François BoncourJazz et VacancesLe programme du Festival de Cannesle Festival de KnokkeClaude Hopkins raconte ses souvenirs par Rudy PowellLes disques par Christian Bellest, Pierre Cressant, Jacques Demêtre, Demètre Ioakimidis, Kurt MohrCritiques croiséesFunky or not Funky par Max-Henri CabridensLes Cheveux sur la soupe: U.S. Go Home par Tonton Hot (Boris Vian)Claude Gousset, trombone éclectique: les préjugés de style tendent à disparaître par Philippe KoechlinLes cabarets de ParisJazz à la carte: France John Lewis, André Hodeir, Roger Guérin, Michel Hausser, Richard Benett; Grande Bretagne: Sarah Vaughan; Italie: Norman Granz; Belgique: Tears Roland Durselen (par Charles Delaunay); USA: Louis Jordan, John Graas, Noble Watts, Gerry Mulligan, Louis Armstrong et Anita O’Day, Mahalia Jackson, Joe Albany, Thelonious Monk, Gil Evans, gerry Mulligan, Bill Evans, Kid OryRevue de la presse par Boris Vian (108)Jazz Quiz par Demètre IoakimidisDiscographie de Charlie Parker (3e partie) par Guy Kopelowicz et François Postif (suite des n°132-133)Photos: Teddy Buckner, Ella Fitzgerald, Donald Byrd, Dizzy Gillespie par Nelsen et Richardson, Art Taylor par Popsie, Barney Wilen, Stéphane Grappelly par J.-C. Bernath, Paul Rovère, Guy Lafitte par J.-C. Bernath et Mainbourg;, Claude Hopkins-Menuisier par Rudy Powell, Ernest Bass Hill, Claude Hopkins Orchestra: Fernando Arbelo/Henry Turner/Sylvester Lewis/Bobby Sands/Walter Jones/Ovie Alston/Edmond Hall/Eugene Johnson/Alber Snaer/Pete Jacobs, George Stevenson, Fred Norman/Floyd Stump Brady/Vic Dickenson, Jabbo Smith/Shirley Clay/Lincoln Mills, Bobby Sands/Chauncey Haugton/Ben Smith/Gene Johnson, Claude Hpkins/Walter Johnson/abie Baker/Pete Jacobs, Reunald Jones/ALbert Snaer/Herman Autry par Harry Rossner, Emmett Hobson, Curby alexander, Leon Comegys, Claude Hopkins/John Brown/Rena Collins/Scoville Browne/Eddie Gibs par Leonard Greene, Monk Mongomery (bar)/Jimmy Cleveland/Babs Mohr/Quincy Jones/Demètre Ioakimidis/Oscar Estell/Clifford Brown/Raymond Rè/Clifford Scott/Clifford Solomon/Art Farmer, Dango Reinhardt par Hervé derrien, Claude Gousset, Sarah Vaughan, Milt Jackson par Hans E. Hael, Kenny Clarke par JP Leloir, Alix Combelle/M. Donnay/J.-J. Léger/ Henri Bernard/H. JanotDessins: Claude, Maurice Henry, Nory Compère Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 17 de 1947. In-4 agrafé de 26 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Jack Diéval. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial par André Hodeir (nouveau rédacteur en chef)Rupture au HCFLa grève du disquebrèves: Woody Herman et Stan Kenton, Dizzy Gillespie en Europe, Nat king Cole Trio, Les Nicholas Brothers à ParisUn tournoi Be-Bop-Nouvelle Orléans par Gilbert Mac KeanLe jazz à la radio par André HodeirLe jazz au Conservatoire par jack DiévalLe jazz et ses gestes par Hugo Hachebuisson (Boris Vian)Le jazz musique d'ambiance par Charles DelaunayMémorial Leon RappoloInstantané Muggsy SpanierEn parlant de be-bop: musiciens modernes par jack CarmenJazz et jugement de goût par Lucien MalsonFausses notes: Le cas Vauchant par Le Raisin moisi (Boris Vian)Souvenirs de la Nouvelle-Orléans par Frank Big Boy GoodieErroll Garner par André Hodeir (Discographie)Aimé Barelli et son orchestre par Frank BauerLivres par Chloe (Boris Vian)Revue de la presse (annonce de la rubrique confiée à Boris Vian), annonce de la Revue de la danse n°1 avec Madeleine Gauthier et Franck TénotDisques par Franck TénotDerniers disques étrangersEditions, Ecole de jazzLe coin du musicien: Où jouent-ils?, Le tournoi et la nuit du jazz, Aimé Barelli et son orchestre à Pleyel, L'original Quintette du HCF à Pleyel, concert du 5 octobre de Philippe Brun (CR, Pierre Michelot, André Persiany)Fédération des Hot Clubs français: la nouvelle fédération, Hot Club de Paris, la saison, prochain concert,La scission des Hot ClubsLettres d'un membre, lettre d'un Hot Club à Hugues Panassié, Lette de Charles Delaunay aux lecteursphotos: Jack Diéval, Dizzy Gillespie, Leon Rappolo, Muggsy Spanier, Ray brown et Al HAig, Lucky thompson, Dodo Marmarosa, Milt Jackson, Big Boy Goodie, Erroll Garner, Aimé Barelli et son orchestre, Janine RotanteSuperbe état général. Edition originale. Rare
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 21 de 1948. In-4 agrafé de 26 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Earl Hines. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial par André HodeirLouis Armstrong à PAris par André HodeirLe Festival de Nice par Boris Vian, envoyé spécial de CombatEchos du festival: Lucky Thompson…Dizzy Gillespie à Paris par André HodeirDizzy's Echoes par Jacques MartineauFausses notes: Essai d'article à la manière de «Samedi-soir» par le Raisin Moisi (Boris Vian), Définitions par Henri MarchalOpinions: Le jazz et ses frères par René FalletDe la critique: Les partisans par Charles DelaunayTears: Red Mac Kenzie est mort par Léonard FeatherMémorial: Joe King OliverInstantané: Edward Kennedy Duke EllingtonJimmy Lunceford est mort… Vive l'Orchestre de Lunceford par Peter TannerLe Problème de la section rythmique par Pierre GérardotMilton Buckner par André HodeirL'Histoire du Hot-Club de France par Charles Delaunay (3)Retour du Hot Five par Henry VadasRevue de presse par Boris Vian (4)Jazz Hot vous répond: lettre de Hugues Panassié et réponse de Charles DelaunayRadio: A l'écoute du festival, Echos de la radio par Daphnis (Boris Vian)Editions, editions du Hot Club, Ecole de jazz par Albert FerreriDisques par Franck TénotDerniers disques américains, Disques anglais, Collectionneurs de jazz, Bourse aux disquesTournoi international des orchestres de jazz amateursLe coin des musiciens: A propos du festival de Nice: une mise au point d'Aimé Barelli, où jouent-ils?, Le nouvel orchestre du Hot Club de France: Hubert Fol, Eddie Bernard, Echos: Hubert Rostaing, Barclay's Club (ex-Bœuf sur le toit), Le concert du 15 février par Franck TénotSilhouettes du Hot Club: Raphaël SchecrounFédération des Hots Clubs français: Tournée Dizzy Gillespie (Lyon et Marseille), Tournée de Graeme BellPhotos: Earl Hines, Louis Armstrong, Lucky Thompson, Milton Mezz Mezzrow, Dizzy Gillespie, Cecil PAyne, Howard Johnson, Pozo Gonzales, Jack Teagarden et Louis Armstong au concert de Dizzy Gillespie, Red Mac Kenzie, Eddie Wilcox, Hot Five, Raphaël Schecroun, Kenny ClarkeDessins: Louis Armstrong et Ella Fitzgerald par MorissardSuperbe état général. Edition originale. Rare
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Jazz Hot, La Revue Internationale du Jazz, n° 22 de 1948. In-4 agrafé de 26 pages au format 27 x 21 cm. Couverture illustrée Christian Bellest. Plats et intérieur frais. SommaireEditorial: Les vaches grasses par André HodeirPour ou contre le Be-Bop:• Retour sur le concert de Dizzy Gillerspie par Ernest Borneman (trad. Michèle Vian)• Introduction au Be-Bop par Ross Russell (trad. Boris Vian)• Dizzy trouve la sortie par Robert YagPropos sur une musique par Lucien MalsonSuite des résultats du referendum: Les musiciens de demain par Franck TénotRéflexions sur le concert de Milton Mezz Mezzrow par Boris VianImpressions d'une «Figue Moisie» sur le concert de Mezz Mezzrow par Henry VadasEncore la radio par Charles Delaunay et André Hodeir, Echos des ondesBernard Peiffer: petite biographie par André HodeirL'Histoire du Hot Club de France par Charles Delaunay (4)Fausses notes: Du Paradis à l'enfer par henri Marchal, Quelques définitions par Michel de Villers, Je ferai un petit papier la-dessus… par Le Raisin Moisi (Boris Vian)Avant de partir en vacances, Cab Calloway termine la saison en plein Harlem par Félix ManskleidMémorial: Teddy Weatherford (1903-1945)Instantané: Mary-Lou WilliamsTournoi national de jazz: orchestres amateursCharlie Ventura par Peter TannerRevue de presse par Boris Vian (5)Disques par Franck TénotAssociation des collectionneurs de jazz françaisEditions, école de jazz, éditions du Hot Club par Albert FerreriLe coin des musiciens: Amateurs et professionnels, Où jouent-ils?, Svend Asmussen à Paris, Le quintette en Angleterre, A propos de l'orchestre de Tony Proteau par Frank Bauer, Du syndicat des artistes musiciens, Mise au point/Hugues Panassié, Concert di 14 mars 1948 à l'Ecole normale: Michel Emo, Benny Vasseur, Géo Daly, Jack Diéval, Willy KettEchosSilhouettes du Hot Club: Claude Pallier (cl)Federation des Hot Clubs françaisPhotos: Christian Bellest, Aimé Barelli, Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Mezz Mezzrow, Baby Dodds, Bernard Peiffer, Cab Calloway, Charlie Ventura, Mary Lou Williams, Claude Pallier, Willy Kett (vib), Jack Diéval Quartet, Dizzy Gillespie et Mezz Mezzrow à Marseille, Lionel Hampton, Glyn Paque (as)Dessins: Mezz Mezzrow, Christian Bellest par MorissardSuperbe état général. Edition originale. Rare
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Vian Boris - Salvador Henri,Berg Harold,Bolling Claude,Goraguer Alain,Vian Boris - Vian Boris
Reference : 87829
Tutti 1970 approx.
Bon état Format Coquille Piano