Archives des lettres modernes Archives des Lettres modernes, 1978. In-8 broché de 110 pages. Numéro 7. Interférences 2. Joseph Jurt Bernanos et Jouve. Michel Estève : Bernanos et Bresson. Très bon état
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Revue des lettres modernes Revue des Lettres modernes, 1968. In-8 broché de 211 pages. volume 9. Nouvelle histoire de Mouchette, de Bernanos à Bresson. La revue des lettres modernes, N° 175 - 179. Rares passages discrètement soulignés au crayon de papier sinon très bon état
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Revue des lettres modernes Revue des Lettres modernes, 1982. In-8 broché de 205 pages. Volume 17. Bernanos et la fonction de l'écriture. Très bon état
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Revue des lettres modernes Revue des Lettres modernes, 2001. In-8 broché de 259 pages. Volume 22. Autour de "Nouvelle histoire de Mouchette". Très bon état
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Revue des lettres modernes Revue des Lettres modernes, 1967. In-8 broché de 156 pages. Volume 8. Interférences Julien Green - Paul Claudel. Très bon état
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Revue des lettres modernes Revue des Lettres modernes, 1960. In-8 broché de 131 pages. Numéro 56 - 57. Très bon état
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Rio de Janeiro, Éditions France libre, (juillet) 1946 1 vol. (200 x 275 mm) de 115 p. et [1] f. Broché, non coupé, couvertures à rabats. Édition originale. Portrait-frontispice en héliogravure. Tirage unique à 250 exemplaires sur vélin, signés par l'auteur (n° 222).
"On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. » Le texte fut rédigé à la fin de l'année 1944, au Brésil, puis fut ensuite donné au Comité de la France Libre qui le fit imprimer et publier sur place dans cette édition à petit nombre. Cet essai visionnaire est sans doute le plus dense et le plus importants des essais de Bernanos, qui écrit ces lignes - "les dernières que j'écrirai au Brésil, après sept années d'exil -", dont le titre principal devait être "Hymne à la liberté". Georges Bernanos met en garde les hommes contre la civilisation des machines et la technique déshumanisante, dont l'objectif est de nier l'existence de l'âme et donc d'abolir la liberté. A l'homme productif, modèle de la société technicienne, Bernanos oppose le modèle antique de l'homme contemplatif. " C’est un membre du Comité de la France libre de Rio de Janeiro qui lui a suggéré de l’intituler « La France contre les robots ». Une puissante intuition. Le mot « robot » était encore neuf dans la langue française. Il était apparu dans une pièce de théâtre de l’écrivain tchèque Karel Čapek intitulée R.U.R, Rossum’s Universal Robots, jouée à Paris en 1924. En tchèque, robota signifie « travail forcé », « corvée ». Dans la pièce, les robots fabriqués à la chaîne condamnent les individus à l’oisiveté. Une guerre s’ensuit entre les hommes désœuvrés et les machines révoltées contre leurs créateurs. En 1944, avant que paraissent les nouvelles de science-fiction d’Isaac Asimov, le mot « robot » renvoyait encore à un automate à forme humaine, à l’homme-machine d’une civilisation nouvelle. Les robots n’avaient pas fait leur apparition dans les chaînes de production industrielle (1961) ou dans les tâches ménagères (1963). Leur nom évoquait une rivalité dangereuse avec l’espèce humaine. Quand le mot « robot » fait son entrée en littérature française en 1944, il le fait simultanément chez deux écrivains, Georges Bernanos et Antoine de Saint-Exupéry. Le 31 juillet 1944, avant d’embarquer pour son dernier vol, l’écrivain-aviateur a laissé cette lettre sur la table de sa chambre : « Si je suis descendu, je ne regretterai absolument rien. La termitière future m’épouvante. Et je hais leurs vertus de robots. Moi, j’étais fait pour être jardinier. » (in Georges Bernanos et la question de la technique, Revue des Deux Mondes, 2021, p. 106 et sq.) L'ouvrage est dédié à Auguste Rendu, justement Président du Comité de la France Libre au Brésil et à ses membres. La longue et importante préface est adressée Rendu et ses amis : " Vous étiez pour la plupart des hommes tranquilles et laborieux, attachés à leur métier, à leur négoce, à leur famille, et généralement peu soucieux de politique. La nouvelle de l’armistice vous a tous frappés de stupeur avant de vous enflammer de colère. Vous n’avez pas discuté l’armistice, vous avez refusé d’entrer dans les prétendues raisons de l’armistice. Vos adversaires en profitent pour vous accuser d’intransigeance, et même de fanatisme. Ils ont ainsi dupé un certain nombre de naïfs qui, dans le but de rassurer leur propre conscience, ne demandaient pas mieux que de vous croire aveuglés par la passion (…) Les événements vous ont donné raison, ils ont donné raison à vous et à l’honneur. Cela devrait clore le débat. Malheureusement ce n’est ni à vous, ni à l’honneur que se sont ralliés vos anciens adversaires ; ils ne se sont ralliés qu’au succès, afin d’en tirer parti (…) Nous souhaitons autant que personne l’union des Français ; je ne voudrais pas la retarder d’un jour, d’une heure. Mais, il y a quelque chose de plus précieux que l’union, ce sont les principes au nom desquels on s’unit. L’esprit de l’armistice est inséparable de l’esprit de collaboration, le drame de l’armistice et celui de la collaboration ne font qu’un seul et même drame, celui de la conscience nationale, obscurcie par les équivoques. La loyauté inflexible d’hommes tels que vous a dissipé ces équivoques. Il ne faut pas qu’elles se retrouvent un jour, sous une forme ou sous une autre, dans la conscience des futurs petits Français.". Les autres membres du Comité à qui l'ouvrage est dédié sont Marcel Layolle, Jean Hauser, André Faure, René Bouguié, Léon Reuché, René Wurmser, Maurice Cellier, Pierre Aubaud, Louis Hutier et Arthus Germain et Yves Mainguy. Le feuillet de dédicace ne sera imprimé que pour l'édition française paru chez Robert Laffont en 1947. L'ouvrage original, comme les précédents titres de Bernanos au Brésil (Lettre aux Anglais, Monsieur Ouine, Le Chemin de la Croix-des-Âmes) est imprimé sous la direction de Charles Ofaire, le fondateur des éditions Atlântica editora, et principal éditeur francophone au Brésil. Charles Ofaire aura exprimé son engagement en faveur de la France Libre par ce texte, mais aussi en publiant - en français comme en portugais - la biographie de Charles de Gaulle de Philippe Barres. Après la Guerre, il quitte Rio de Janeiro à l’appel de Charles de Gaulle qui compte lui confier, comme à Georges Bernanos, d’importantes responsabilités. Outre Bernanos, L’Atlantic Editora publia le Jeanne d’Arc de Jules Michelet, des ouvrages engagés en faveur des alliés comme L’Honneur des poètes, et mit en place une collection, « Les Cahiers de la Victoire », consacrée à des ouvrages de résistance.
Précieux ensemble autographe concernant le premier texte polémique de Bernanos : 21 lettres autographes, inédites, et cinq pages autographes concernant La Grande peur des bien pensants. Vésenex, Toulon, Hyères, août 1930 - c. septembre 1934. 56 f. de formats divers reliés en 1 vol. (235 x 285 mm). Demi-chagrin havane à coins, pièce de titre en long. Précieux ensemble autographe concernant le premier texte polémique de Bernanos. L’ensemble est composé des éléments suivants : - 1 portrait de l’auteur par Laure Albin-Guillot (tirage sur papier, 180 x 255 mm), signé dans la planche et daté 1927, avec envoi « à Pierre Bessand-Massenet, à son amitié si diligente et si discrète, avec ma très affectueuse gratitude, G. Bernanos » ; - 21 lettres autographes signées (formats divers), avec enveloppes conservées ; - 1 manuscrit autographe de 3 pages , rédigé à l’encre bleue : fragment de La Grande peur des bien-pensants ; - 2 pages autographes, rédigées à l’encre bleue, concernant des corrections à apporter ; - 1 tiré à part d’« Édouard Drumont. Conférence de M. Georges Bernanos », issu des Cours et conférences d’Action française (octobre 1929), dont c’est l’édition originale.
Importante correspondance inédite à Pierre Bessand-Massenet (1899-1985), collaborateur chez Grasset de 1926 à 1939, puis chez Plon dont la collection « La Palatine » deviendra sous son impulsion et celle de Maurice Bourdel (avec lequel Bernanos échangera également une correspondance) une véritable maison d’édition. En février 1933, Bernanos, de passage à Paris, forme avec Bessand-Massenet le projet de « cahiers » périodiques, qu’il rédigerait seul comme un « journal » qu’il donnerait à Grasset, réservant à Plon ses romans. La première lettre est écrite depuis Vésenex (22 août 1930), où réside Bernanos pendant la cure qu’il fait au village voisin de Divonne-les-Bains ; il y soignera une crise d’angoisse qui le tient depuis le mois de juin. Il vient de perdre coup sur coup sa mère et son ami l’abbé Sudre – les lettres de cette période sont ainsi sur papier de deuil. Il y est question comme pour une grande partie des lettres suivantes de La Grande Peur des bien-pensants, commencé en 1928. En cet été 1930, Bernanos arrive donc au terme de deux ans de travail sur le premier de ses textes polémiques dont le titre initial « Démission de la France » sera remisé pour celui de La Grande Peur… qu’il concéda de guerre lasse après avoir ferraillé : « Je tiens absolument à Démission de la France, avec - en sous-titre et en aussi gros caractères qu’il vous plaira : Ed. Drumont, prophète en son pays » (lettre du 28 novembre 1930). S’ensuit à ce sujet entre lui et Grasset un malentendu qu’il demande à Bessand-Massenet de dissiper (lettre du 19 mars). Bernanos avait encore imaginé un autre titre « Au bord des prochains charniers », dont il avait confié l’idée à Louis Brun (lettre écrite depuis Vésenex en juillet). Parti pour Toulon à la fin de l’été, il va séjourner avec sa famille d’abord à la villa « Sainte-Victoire » , puis à la villa « Les Algues » avant de s’établir plus durablement à la Bayorre (près d’Hyères) dans la villa « Fenouillet ». Les Bernanos ne quitteront la Côte d’Azur qu’en octobre 1934 pour rejoindre les îles Baléares ; les lettres de cet ensemble sont écrites, sauf exception, depuis Hyères ou Toulon. On y voit l’écrivain toujours en proie à de grandes difficultés financières : « l’équilibre de mon budget […] étant une sorte de miracle hebdomadaire » écrit-il à Bessand-Massenet (Toulon, 2 décembre 1930), il réclame quelque liquidité à la place d’un chèque dont il n’a visiblement pas le temps d’attendre l’encaissement. L’on sait que le propriétaire de la villa Fenouillet fit vendre « abusivement aux enchères le mobilier, les livres et les papiers de l’écrivain qui, dégoûté, ne s’y oppose pas ». Bientôt le livre va paraître et, pour le portrait qu’on lui demande, dont un tirage a été monté dans cet ensemble manuscrit, Bernanos indique « les meilleurs clichés sont chez Madame Albin-Guyot. Je crois qu’il y a un profil encore inédit, et capable de me faire grand honneur »…. Le 14 février 1931, alors que son livre est achevé d’imprimé, il se confie à son ami : « La moitié de ce que j’aurais voulu exprimer manque, hélas ! mais il y a des pages déchirantes, je les ai écrites avec une telle crispation du cœur. » Il ne se fait pas d’illusion quant à Grasset : « Je crains bien qu’il ne se fiche du bouquin comme de sa première et lointaine maîtresse » (Toulon, 1er avril). Entre mille difficultés, Bernanos, en contact avec la veuve de Drumont (dans le besoin), essaie de l’aider (lettre du 26 mai 1931). Le 22 juin, il est Hyères où il a installé toute sa famille et écrit à Bessand-Massenet ce qu’il rapportera d’ailleurs dans l’un de ses livres, pourquoi il préfère travailler dans un lieu public : « seul entre quatre murs, je puis me croire une espèce de génie. Au café sous le regard sceptique des garçons, ce n’est réellement pas possible ! » La dernière lettre de cette année 1931 (le 4 novembre), il sort d’une maladie où il a failli « dériver tout doucement au large de la mer sans rives, et sans l’autorisation du dictateur Bernard Grasset ». Toujours de Hyères, le 28 juin, Bernanos demande à Bessand-Massenet d’être le parrain de l’enfant que Jeanne attend et lui confie que leur amitié « a grandi presque malgré moi, ou du moins presque sans que j’y pense ». Fin août, il s’agit de l’Allemagne : « croyez-vous, ou ne croyez-vous pas possible une enquête sur Hitler, et la jeunesse allemande ? De toutes manières, je ne voudrais réellement pas mourir sans avoir dit quelque chose du drame wagnérien qui se joue en ce moment là-bas ». Son fils Jean-Loup est né le 30 septembre 1933 et il réitère sa demande à Bessand-Massenet pour qu’il en soit le parrain. Deux autres lettres viennent clore cette période avant le départ pour les Baléares. Bernanos qui avait eu en juillet un très grave accident de moto qui le laissera définitivement infirme s’en doute déjà : « J’ai vu hier ‘l’électrologue’ et le radiologue (ou graphe). Évidemment, je commence - ou plutôt continue à croire - que je traînerai la patte toute ma vie ». Cette précieuse réunion de lettres à Pierre Bessand-Massenet s’achève par une longue missive écrite depuis les îles Baléares en 1935. Bernanos est furieux contre l’éditeur Plon, la « veuve Garancière », dont il n’a pas reçu tout ce qu’il espérait en terme d’avances alors qu’il a achevé une bonne partie d’Un crime et de M. Ouine, et parle d’un « autre roman dont elle possède plus de deux cents pages et qu’il m’est très facile d’achever en cinquante », et de 110 pages « d’un autre livre [Journal d’un curé de campagne], lesquelles pages sont certainement les plus émouvantes que j’ai écrites […]. Tout ce travail (sauf M. Ouine) a été fait depuis fin avril 1934, c’est-à-dire en huit mois, en dépit d’un mois de maladie, et de cinq à six semaines perdues pour le déménagement (!), la vente de mon mobilier, l’installation ici »… Il aimerait pouvoir « travailler tout de suite à [s]on journal », à condition de le payer à la page : « Il me semble, je vous jure, que ce journal serait beau. Et demain, il sera sans doute trop tard. Tous crevés, même les salauds ! » Enfin, deux lettres, l’une à Pierre Gaxotte pour lui recommander Pierre Bessand-Massenet, « un des cœurs les plus réellement fiers que je connaisse » et une autre à un « ami » pour lui annoncer la naissance de Jean-Loup : « Un petit garçon vient de dégringoler en ce bas-monde - dégringoler est le mot qu’il faut. Un quart d’heure a suffi. […] Que ne puis-je aussi vite donner un livre à la Postérité ! » Le manuscrit de La Grande Peur… dont sont conservées ici les dernières pages de la conclusion est à notre connaissance le seul fragment autographe connu de ce texte, puisqu’on ignore tout du manuscrit, qui n’a jamais été vu et qui a probablement été détruit. C’est une mise au propre avec peu de ratures, signée par Bernanos et suivie de deux pages manuscrites relatives à des corrections relevées sur les épreuves de La Grande Peur… Bernanos a noté la page et la ligne et ce qu’il y faut rectifier - les pages 411 à 447. Précieux ensemble, d’un intérêt de premier ordre sur la composition et l’élaboration de La Grande Peur. C’est encore à Bessand-Massenet, par ailleurs historien, que Bernanos demandera des informations documentaires lorsqu’il travaillera (1938) à Jeanne d’Arc, relapse et sainte. Il fut de ceux que Bernanos considérera comme de ses fidèles amis, témoin de ces quelques années capitales (et la rupture définitive avec l’Action française en particulier), avant qu’il ne quitte la France.
Gallimard Gallimard, 1972. In-12 broché, couverture à rabats. 80 pages. Dos un peu bruni et une toute petite tache au premier plat sans gravité. Très bon exemplaire
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Librairie plon 1951 in12. 1951. Broché jaquette.
jaquette défraîchie mais de bonne tenue tranches fânées intérieur assez propre assez bonne tenue
Lausanne, la Guilde du Livre, collection La petite Ourse, 1956. In-12 broché, buflette décorée. Portrait de l'auteur par Hans Erni en frontispice.
Tirage limité à 10030 exemplaires numérotés, le nôtre 2155.
Plon in12. Sans date. Broché.
dos recollé couverture défraîchie bords frottés intérieur jauni propre
Plon Plon 1952, In-12 broché, 245 pages non coupées. Très bon état.
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Lausanne, la Guilde du Livre, collection La petite Ourse, 1956. In-12 broché, buflette décorée. Dos fendu, sans perte. Portrait de l'auteur par Hans Erni en frontispice.
Tirage limité à 10030 exemplaires numérotés, le nôtre un des 30 exemplaires réservés aux animateurs, numérotés en romain (le nôtre spécial-superstitieux, le XIII).
Lausanne, la Guilde du Livre, 1958. In-8, pleine toile décorée. En belle condition.
Tirage limité à 10030 exemplaires numérotés, celui-ci numéro 7951.
Club français du livre 1951 in8. 1951. Cartonné.
Bon Etat couverture défraîchie intérieur propre
Plon Plon 1927, In-12 broché, 318 pages en grande parti non coupées. Bon état
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Artheme fayard 1950 187 pages in8. 1950. broché jaquette. 187 pages.
avec sa jaquette feuilles brunies
Saint clair 1976 in12. 1976. Cartonnage editeur.
Très Bon Etat étiquette collée à l'intérieur de la première de couverture
Des amis du livre 1949 in8. 1949. Cartonné.
Bon Etat un peu taché livre couvert
Paris, Plon, " Présences ", 1947. In-12, broché, 318 pp.
Un texte inédit de BERNANOS. Photos sur demande.
S.A. Ricordi. 1957 Copyright. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 55 pages.. . . . Classification Dewey : 782.1-Théâtre musical, opéra
Musique de Francis Poulenc - Texte de la pièce de Georges Bernanos porté à l'opéra avec l'autorisation de Emmet Lavery - Scénario de philippe Agostii et du R. .V .Bruckberger - Classification Dewey : 782.1-Théâtre musical, opéra
Manuscrit autographe inédit. [Rouen, 1927]. 7 pages 1/2 en 8 f. (210 x 270 mm) encre noire sur papier quadrillé + 1 page avec coupure de presse contrecollée [extrait d'un article de Vallery-Radot]. Manuscrit autographe inédit avec corrections et variantes. La longue citation du texte de Vallery-Radot n'a pas été retranscrite par Bernanos, qui a laissé un blanc à la place qu'elle devait occuper (f. 2), préférant joindre à son manuscrit de travail le texte imprimé qu'il a soigneusement contrecollé sur un feuillet à part.
« Mesdames, Messieurs, Il n'est pas facile de parler d'un ami sans parler de soi, et même sans en parler avec quelque complaisance, car ce qu'un homme a de meilleur en lui, c'est en somme, ses amitiés. [...] » Cette importante conférence se tient quelques mois après la parution de Sous le soleil de Satan. Bernanos s'est souvent expliqué sur la conjoncture historique lors de la naissance de ce roman, et ses déclarations ont peu varié dans leur substance : il est sorti de la guerre métamorphosé ; il avait été un militant insolent, un journaliste très polémique et un étudiant un peu dandy : « j'aimais le bruit », confie-t-il lui-même dans cette conférence consacrée à son ami Robert Vallery-Radot. Ce dernier, fils d'un bibliothécaire du palais du Louvre et littérateur, est le frère de l'écrivain René Vallery-Radot. Chef de section en 1914-1918, il reçoit la Croix de guerre et la Légion d'honneur et se lia d'amitié avec Bernanos. Ce manuscrit a été reproduit pour la première fois en 1952 dans le Bulletin des amis de Georges Bernanos (25 décembre 1952, p. 27 à 31). C'est sa seule parution imprimée.
Rio de Janeiro, Atlantica Editora, (février) 1942. 1 vol. (140 x 200 mm) de 303 p. et [1] f. Broché. Édition originale. Envoi signé : « Pour Dominique Braga, nous nous sentirons à nouveau chez nous à Paris. Affectueusement, Bernanos ».
C'est le premier ouvrage publié par Bernanos au Brésil, avant Le Chemin de la Croix-des-âmes et Monsieur Ouine, tous les deux en 1943. Tous seront édités par Charles Ofaire, un exilé suisse mi-aventurier, mi-homme de lettres, alors patron de la puissante Atlantica Editora. Cette Lettre aux anglais se veut un livre de « grand chemin », comme le surnomme les notes de La Pléiade : « Bernanos s'y est mis au large et à l'aise : il parle de l'avenir du monde aux citoyens du monde, et son apocalypse n'a pas encore fini d'épuiser ses révélations. Car il a pressenti, par-delà le conflit de 1939-1945, la guerre universelle dans laquelle nous sommes actuellement comme une lutte à mort de l'homme, ou de ce qu'il en reste, contre les puissances inhumaines de l'homme et de l'idéologie ». L'ouvrage est dédié à son fils Yves, qui rejoindra les FFL à Londres en 1942 et participera au débarquement allié en Normandie. Connu comme écrivain, Dominique Braga (Domingos de Figueiredo Braga) est brésilien, par ses parents. Né en 1892 à Paris, il y fit toute sa carrière : critique et directeur littéraires de l´Europe Nouvelle, critique musical au Monde nouveau, rédacteur en chef de la revue Europe, directeur littéraire des Editions Rieder et enfin directeur de la collection « La Grande Fable » à la Librairie Plon - où il fait la connaissance de Bernanos. Nommé, en 1929, chef de la section littéraire de l'Institut internationl de coopération intellectuelle de la Societé des Nations, il occupe ce poste jusqu'à s'exiler en 1940 au Brésil de ses aïeux et y retrouver Bernanos. Pionnier de la littérature sportive, il connut un succès avec 5 000, publié en 1925, monologue intérieur d'un coureur de 5 000 m pendant une épreuve des Jeux olympiques de 1924 à Paris - qui inspira au cinéma Les Chariots de feu - où il introduit la technique cinématographique du ralenti dans sa narration ; où le rythme de lecture s'accorde avec la foulée : la tête gamberge, les jambes sont à la peine et une communion de destins se noue sur la piste. « Les athlètes qui courent en groupe, quelles que soient les hostilités qui les divisent, trouvent dans l'escorte de leurs rivaux une assistance » écrit-il. Dans une autre de ses chroniques, Braga s'emballe pour la Finlande où « le sport est considéré presque comme un culte », regrette les mauvais gestes, s'inquiète d'un Tour de France trop commercial mais se délecte d'un tel spectacle sur les routes de l'été. Citons aussi une longue nouvelle, Quinze hommes à Twickenham, récit circonstancié d'un match de 1926 opposant l'Angleterre à la France lors du Tournoi des V Nations. Notre défaite (11-0) et la rencontre en elle-même ne prennent qu'une part infime dans cette épopée à hauteur d'hommes, embarquant le lecteur dans un voyage au coeur des Bleus pendant tout un week-end.
Société des amis de George Bernanos 1953 1 vol. broché in-8, agrafé, 79 pp. Bon état.