1919 Paris, Société Littéraire de France, 1919, 188 p., demi-chagrin, environ 23x14cm, premier plat d'origine conservé (restauré et taché), environ exemplaire numéroté 753 (l'un des 1200 sur vélin de Lafuma), illustré de bois gravés par Achille Ouvré, avec un bel envoi de l'auteur à Charles Daudet (plus connu sous le pseudonyme de Charles-Albert, militant anarchiste puis socialiste). Cuir de la reluire insolé, page de faux-titre tachée mais sans préjudice pour l'envoi, bon état pour le reste.
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Plon 1926 Librairie Plon, 1926, 279 p., broché, édition originale dos un peu aplati vers le premier plat, des rousseurs sur les pages.
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CHOISY, François-Timoléon de ( Mme la comtesse des Barres ou Mme de Sancy).
Reference : 98643
Utrecht, Van de Water, 1727, 2 tomes reliés en un volume in-12 de 165x95 mm environ, 236-276 pages, pleine basane fauve marbrée, dos à nerfs portant titres dorés sur pièce de titre bordeaux, gardes marbrées, tranches rouges. Dorures ternies, quelques rousseurs, petites épidermures (volume restauré).
François-Timoléon de Choisy, ou Mme la comtesse des Barres ou Mme de Sancy, né le 16 août 1644 à Paris où il est mort le 2 octobre 1724, est un abbé et homme de lettres français. Mémoires pour servir à l'histoire de Louis XIV, par feu M. l'abbé de Choisy, édité et préfacé par François-Denis Camusat, Utrecht, Van de Water ; Amsterdam, Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A la Librairie Plon, La Palatine, 1930, 361 p., broché, exemplaire numéroté H6 (l'un des 153 exemplaires sur Hollande Van Gelder), pages non rognées, bords des pages roussies, bon état.
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A la Librairie Plon, la Palatine, 1933, 382 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H49 (l'un des 77 exemplaires sur Hollande Van Gelder), bas du dos émoussé, dos insolé, bon état pour le reste.
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Librairie Plon, 1949, 383 p., broché, exemplaire numéroté H5 (l'un des 62 exemplaires sur Hollande van Gelder), pages non rognées, bon état.
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Plon 1936 A la Librairie Plon, la Palatine, 1936, 458 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H12 (l'un des 62 exemplaires sur Hollande van Gelder), des rousseurs sur la tranche et sur la bordure des pages, des franges sur le bas du dos, bon état pour le reste.
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Plon 1933 A la Librairie Plon, la Palatine, 1933, 376 p., broché, page non rognées, exemplaire numéroté H49 (l'un des 77 exemplaires sur Hollande Van Gelder), couverture insolée, bon état.
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Plon 1934 A la Librairie Plon, La Palatine, 1934, 336 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H49 (l'un des 77 exemplaires sur Hollande Van Gelder), deux petites déchirures en bordure des plats, bas du dos froissé, des rousseurs sur la tranche, bon état pour le reste.
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Plon 1935 A la librairie Plon, la Palatine, 1934, 471 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H30 (l'un des 62 exemplaires sur Hollande Van Gelder), bas du dos décollé et émoussé, début de fente sur un plat, intérieur propre.
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Plon 1931 A la Librairie Plon, La Palatine, 1931, 407 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H6 (l'un des 120 exemplaires sur Hollande Van Gelder), bas du dos froissé, un trait au crayon sur le dos, bon état pour le reste, intérieur propre.
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Plon 1931 A la Librairie Plon, La Palatine, 1931, 360 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H 49 (l'un des 120 exemplaires sur Hollande Van Gelder), des franges sur le bas du dos, dos insolé, quelques rousseurs sur le second plat et la tranche, bon état pour le reste, intérieur propre.
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Plon 1932 A la Librairie Plon, la Palatine, 1932, 365 p., broché, pages non rognées, exemplaire numéroté H49 (l'un des 82 exemplaires sur Hollande Van Gelder), dos insolé, une trace noire d'environ 2cm sur le premier plat, bon état.
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Librairie Plon, La Palatine, 1938, 442 p., broché, l'un des 60 exemplaires sur Hollande, pages non rognées, bas du dos émoussé et coins des plats cornés, bon état pour le reste.
Tome 11 seul. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Librairie Delagrave, 1928, 1 volume de 23x28.5 cm environ, 196 pages, reliure demi chagrin à coins, dos à 5 nerfs, avec titres dorés. Reliure signée Muller. Couvertures conservées. Bon état.
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1943 Edition clandestine de 1943, 169 p., environ 13x10cm, broché, dos insolé, bon état.
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[London]: Publish'd ... by I. F. W. Des Barres [in 'The Atlantic Neptune', November 1st 1780. Etching, with engraving and roulette work, on three joined sheets. 33 1/4 x 64 1/4 inches overall. A large format sea chart: the greatest coastal map of Nova Scotia, originally issued in Des Barres' 'The Atlantic Neptune' ,exemplaire entoilé et roulé vus les dimensions 167 x 80 cm environ
toilage ancien use ;mauvais etat,manques aux plis,prix en consequence;a restaurer .J.F.W. Des Barres (c. 1729-1827) was born in Basle Switzerland but went to military school in England. He became a colonial administrator in Nova Scotia and also served as governor of Quebec. Des Barres was commissioned for the surveying project in 1762, and dedicated ten years to the gathering of the charts and publication of the atlas. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Phone number : 33 04 94 63 34 56
P., Emile-Paul Frères, 1917, pt in-8°, 110 pp, broché, couv. papier gris avec titres en noir, bon état
Barrès publie en 1917, dans l’Echo de Paris, une série de sept articles, intitulée « En regardant au fond des crevasses » dans lesquels il apostrophe le gouvernement. Les crevasses pour Maurice Barrès ce sont toutes les « affaires » d’espionnage et de trahison en cours comme celle dite « l’affaire du Bonnet Rouge ». Barrès et le journal "L'Action Française" accusent Louis Malvy, alors ministre de l'Intérieur, de trahir la France en fournissant à l'Allemagne des renseignements militaire et diplomatiques. Pour se défendre et se disculper, Malvy provoque un débat à la Chambre des Députés. Mais il sera forcé de démissionner en septembre 1917, et une juridiction d'exception sera créée en vue de son inculpation. Barrès rapporte avec véhémence les arguments de son attaque contre Malvy à la Chambre et divers éléments à charge. — "... Nous voici arrivés à 1917, aux moments sombres de la guerre : par une suite de fautes inconcevables, les généraux vainqueurs, les hommes de la Marne et de la Somme, se trouvent écartés. Un Gouvernement faible, d'économistes, d'idéologues ; à l'offensive manquée d'avril, à la chute de tant d'espérances succède un accès de découragement, qu'aggrave une redoutable attaque par l'intérieur. C'était un pullulement de louches personnages, d'aigrefins, de figures équivoques et véreuses; des allées et venues suspectes au delà des frontières, des complaisances inquiétantes et des complicités inavouables de la Sûreté ; une presse immonde au grand jour salissait la patrie, déshonorait la gloire, bafouait l'énergie, excusait l'abandon ; il y avait des chèques saisis et rendus par ordre à des bandits, des secrets étranglés au fond d'une prison avec un lacet de soulier; c'était une entreprise de démoralisation, derrière laquelle on devinait toujours le même personnage, qui pontait sur la défaite de la patrie. Le Gouvernement hésitait. Mais il faut lire dans Barrés l'histoire de ces dix mois. Ce fut l'heure la plus critique de la guerre : on faisait la guerre sur deux fronts, – contre l'ennemi du dehors et contre l'ennemi du dedans ; contre les gaz allemands et contre le défaitisme et le pacifisme à l'intérieur. C'est dans ces moments-là que Barrés est sublime. Pudique, retenu, un peu contraint dans l'enthousiasme, la colère le rend superbe : superbe de courage, d'indignation et de mépris. Le terrible pamphlétaire, le cruel polémiste n'eut jamais plus de génie : il a des paroles qui soufflettent, de ces mots qui sont des fers rouges. Les séances de la Chambre, la suite de scènes atroces qu'il intitule : “Dans le cloaque”, “En regardant au fond des crevasses”, valent les plus belles pages de Leurs figures : ce sont les Châtiments du régime parlementaire. « J'ai, disait-il, le don de voir clair. » (...) Mais Barrés ne s'en tint pas là : il eut aussi son heure d'histoire, le jour ou il dénonça en pleine Chambre la « canaille du Bonnet rouge », et où un ministre livide, devant son réquisitoire, s'abîma comme une loque, convaincu de forfaiture. Ce jour-là, la France respira mieux..." (Pierre Troyon, Revue des Deux Mondes, 1924)
P., Emile-Paul Frères, 1917, pt in-8°, 110 pp, broché, couv. salie (couverture papier ivoire avec auteur en noir, titre et éditeur en rouge), bon état. Edition originale, tirage numéroté sur vélin (n° 860), non justifié
Barrès publie en 1917, dans l’Echo de Paris, une série de sept articles, intitulée « En regardant au fond des crevasses » dans lesquels il apostrophe le gouvernement. Les crevasses pour Maurice Barrès ce sont toutes les « affaires » d’espionnage et de trahison en cours comme celle dite « l’affaire du Bonnet Rouge ». Barrès et le journal "L'Action Française" accusent Louis Malvy, alors ministre de l'Intérieur, de trahir la France en fournissant à l'Allemagne des renseignements militaire et diplomatiques. Pour se défendre et se disculper, Malvy provoque un débat à la Chambre des Députés. Mais il sera forcé de démissionner en septembre 1917, et une juridiction d'exception sera créée en vue de son inculpation. Barrès rapporte avec véhémence les arguments de son attaque contre Malvy à la Chambre et divers éléments à charge. — "... Nous voici arrivés à 1917, aux moments sombres de la guerre : par une suite de fautes inconcevables, les généraux vainqueurs, les hommes de la Marne et de la Somme, se trouvent écartés. Un Gouvernement faible, d'économistes, d'idéologues ; à l'offensive manquée d'avril, à la chute de tant d'espérances succède un accès de découragement, qu'aggrave une redoutable attaque par l'intérieur. C'était un pullulement de louches personnages, d'aigrefins, de figures équivoques et véreuses; des allées et venues suspectes au delà des frontières, des complaisances inquiétantes et des complicités inavouables de la Sûreté ; une presse immonde au grand jour salissait la patrie, déshonorait la gloire, bafouait l'énergie, excusait l'abandon ; il y avait des chèques saisis et rendus par ordre à des bandits, des secrets étranglés au fond d'une prison avec un lacet de soulier; c'était une entreprise de démoralisation, derrière laquelle on devinait toujours le même personnage, qui pontait sur la défaite de la patrie. Le Gouvernement hésitait. Mais il faut lire dans Barrés l'histoire de ces dix mois. Ce fut l'heure la plus critique de la guerre : on faisait la guerre sur deux fronts, – contre l'ennemi du dehors et contre l'ennemi du dedans ; contre les gaz allemands et contre le défaitisme et le pacifisme à l'intérieur. C'est dans ces moments-là que Barrés est sublime. Pudique, retenu, un peu contraint dans l'enthousiasme, la colère le rend superbe : superbe de courage, d'indignation et de mépris. Le terrible pamphlétaire, le cruel polémiste n'eut jamais plus de génie : il a des paroles qui soufflettent, de ces mots qui sont des fers rouges. Les séances de la Chambre, la suite de scènes atroces qu'il intitule : “Dans le cloaque”, “En regardant au fond des crevasses”, valent les plus belles pages de Leurs figures : ce sont les Châtiments du régime parlementaire. « J'ai, disait-il, le don de voir clair. » (...) Mais Barrés ne s'en tint pas là : il eut aussi son heure d'histoire, le jour ou il dénonça en pleine Chambre la « canaille du Bonnet rouge », et où un ministre livide, devant son réquisitoire, s'abîma comme une loque, convaincu de forfaiture. Ce jour-là, la France respira mieux..." (Pierre Troyon, Revue des Deux Mondes, 1924)
Plon, 1993, gr. in-8°, xxvii-1128 pp, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, bon état
Les Cahiers sont un miroir le long de la vie et l’œuvre de Maurice Barrès, qui oscillèrent entre égotisme et nationalisme. C’est aussi la matrice de ses romans. L'un des derniers grands documents sur le monde littéraire et politique de la IIIe République. On y croise notamment Jean Jaurès, Émile Zola, Alphonse Daudet, Paul Bourget, Anatole France et tous les figurants d’un théâtre lyrique sur lequel roulent le feu de la vie, l’obsession de la mort, la vulnérabilité des hommes. — "Don prodigieux de 'reporter'. Admirable quand il relate (mariage d'Arthur Meyer). Pages surprenantes (récit d'une visite à l'hôpital de la Pitié), comparables aux meilleures de 'Choses vues' de Hugo... La connaissance et l'acceptation de ses limites, de ses manques, de ses faiblesses (souvent il se les exagère) donnent à ces pages un accent qui saisit le cœur. Et comment ne point admirer l'expression, presque toujours parfaite, d'une volonté si constamment appliquée à obtenir de soi le meilleur ?" (André Gide) — "Peut-on sauver Barrès, faire relire aujourd’hui ses Cahters ? Le temps serait-il venu de tirer l’auteur du Culte du moi et des Déracinés, mort en 1923, de l’enfer où il séjourne depuis un bon demi-siècle ? Barrès est un antimoderne exemplaire car nul ne fut plus ambivalent, plus joueur que lui à l'égard de la modernité, à la fois partie prenante de celle-ci, l'exténuant dans sa vie, mais lui résistant dans ses conséquences politiques et sociales, égotiste à la Stendhal ou à la Baudelaire, mais réactionnaire à la Balzac ou à la Barbey d'Aurevilly. Barrès entama la rédaction de ses cahiers le 11 janvier 1896, au lendemain des funérailles de Verlaine. Les Cahiers semblent relever du genre des souvenirs, mais l’entreprise se révèle vite plus diverse, plus complexe..." (Antoine Compagnon)
S.n.e. 1940. In-16 agrafé. Fils de Maurice Barrès, opposé au national-socialisme, Philippe Barrès se met au service de la France libre en juin 1940 et rédige en 1941, en exil à New York, la première biographie du général de Gaulle. E.O. premier plat légèrement frotté autour de l'agrafe.
[Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie] - BARRES, Jean-Baptiste ; (BARRES, Maurice)
Reference : 68131
(1923)
Edition originale sur papier de fil, 1 vol. on-12 reliure plein maroquin noir, dos à 5 nerfs, couvertures conservées, Librairie Plon, Plon-Nourrit et Cie, Paris, s.d. [ 1923 ], XIX-331 pp.
Bel exemplaire. "Maurice Barrès a bien mis en lumière dans sa préface ce qu'il y a de naïf et de savoureux dans ces souvenirs de son grand-père, vélite de la Garde. On lira avec amusement le récit du sacre, celui d'Austerlitz et sa célèbre veillée, l'entrevue de Tilsit, la nomination au grade de sous-lieutenant, le Portugal en 1810, la campagne d'Allemagne [ ...]" (Tulard, 45).
Dans son œuvre, Maurice Barrès explore les thèmes de l'amour, de la perte et de la décadence à travers le prisme de la ville de Venise. Son style littéraire est empreint de symbolisme et de romantisme, rappelant les œuvres des écrivains du XIXe siècle. Barrès utilise une prose émotive et lyrique pour dépeindre la beauté tragique de Venise qui se meurt sous le poids de la modernité. Ce roman est un chef-d'œuvre de la littérature symboliste français, célébrant la nostalgie et la mélancolie. Maurice Barrès, écrivain français renommé, était fasciné par les idées nationalistes et régionalistes de son époque. Son engagement politique et sa sensibilité artistique se reflètent dans "La mort de Venise", où il explore les tensions entre tradition et modernité. Barrès a puisé son inspiration dans ses voyages à Venise et sa fascination pour la culture italienne. Je recommande vivement "Amori et dolori sacrum: La mort de Venise" aux lecteurs passionnés par la littérature symboliste et les réflexions sur la civilisation en déclin. Ce roman captivant offre une vision poétique et introspective de la perte et de la beauté éphémère de Venise. vol relié, 180x140, demi toile, bon état intérieur, 312pp. Couvertures d'origines conservées. Paris, Félix Juven, 1906 ref/78/5
Le Puy [en Velay], Imprimperie J. B. Lacombe, an IX (1801] ; in-8. 43pp. Demi-basane brune, titre doré en long. Rousseurs sur le titre, mais bon exemplaire.
L'auteur était l'arrière grand-père de Maurice Barrès. (cf Maurice Barrès, "Mes Cahiers", Plon, tome 2), officier de santé, et membre de la Socitété d'agriculture du Puy en Velay, il devint maire de Blesle et conseiller général. Il était le père de Jean-Baptiste, membre de la Garde impériale de Napoléon, auteur des "Souvenirs d'un officier de la Grande Armée", publiés par Maurice Barrès en 1923.
Numéro spécial de la revue "La Plume" n° 47 1891 1 vol. broché in-8, en feuilles, p. 119 à 136. Texte sur double colonne et une illustration inédite de A.-F. Cazals. Au sommaire : Maurice Barrès (La littérature du " Moi "), Anatole France (Le Jardin de Bérénice), Charles Maurras (Une réponse de Lazare le réssucité à Sénèque le Philosophe), Léon Deschamps (Les théories de Maurice Barrès appréciées par M. Ernest Lavisse), Léon Dequillebecq (Le Bonheur de mourir), etc. Couverture très légèrement passée (comme toujours, sinon intérieur très correct. Ex-libris.