Les éditions le Bord De L'Eau, 2012 - Agréable In-8°, broché, solide couverture illustrée soule glacée cartonnée rempliée, bien complète du CD* in finé ( sous la jaquette)235 pages, index et filmographie -
« J'aurais dû être fusillé ce jour-là. » Par un heureux concours de circonstances, Jean Blum, résistant dans le massif du Vercors, échappe de justesse aux balles de l'armée allemande. Sa vie a basculé pendant la guerre. Adieu les années d'insouciance à Paris. Comment croire en son étoile lorsqu'on en porte une jaune, offerte à la haine aveugle ? Avec la traversée de la résistance, Jean Blum devient Jean Valère. Aux lendemains de la guerre, il éprouve un sentiment de vide que le cinéma vient combler. Il en gravit peu à peu les échelons. Marcel Carné, André Cayatte, Max Ophuls. Il côtoie les plus grands, dont il devient l'assistant. En acteur ému et en observateur amusé, il croise Arletty, Jean Gabin, Simone Signoret, Roger Nimier, Julien Gracq, Cocteau, Morand et Giono. Une fois devenu metteur en scène, sa vie devient une succession de films. Son cinéma explore la condition humaine dans le registre dramatique, et avec quelques incursions dans la comédie. Il dirige des acteurs aussi différents que Maurice Ronet, Jean Seberg, Monica Vitti, Jacques Brel, Emmanuelle Riva. Entre souvenirs et anecdotes, entre gravité et légèreté, le récit de Jean Valère nous restitue des pages entières de l'histoire du cinéma français, de l'après-guerre à aujourd'hui, avec un éclairage particulier, sur l'histoire de la Nouvelle vague notamment. Le livre sera accompagné du fi lm (DVD) "La Sentence" (1959) de Jean Valère avec Robert Hossein, Marina Vlady, Roger Hanin, Béatrice Bretty, Lucien Raimbourg... et en bonus des entretiens avec Jean Valère, Robert Hossein et Marina Vlady...Préface d'Umberto Eco Livre DVD incluant " La sentence" (1959) commenté par Jean Valère, Robert Hossein et Marina Vlady. - Excellent état Franco de port France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et pays suivants desservis : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Toutes les étapes de votre achat sont accompagnées. Achat, estimations et listages France / Suisse (sur rdv).
1897 La Pauriho. Frontispice : La Misère. 1897. Eau-forte, vernis mou et gravure au soufre. 120 x 195. Très belle épreuve sur japon in folio 44x34 cm, signée deux fois è l'encre,premier tirage de l'état definitif. Dédicacé en haut à J. M. Chambon ; signé sous l'image. Long envoi autographe de 17 lignes, à l'encre signé et daté 31 dec. 1897 - Toutes marges - repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. DEDICACE : La Misère. 1897. Eau-forte originale inédite, Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe de 9 lignes à l'encre,signé à nouveau à J.M.Chambon - Toutes marges = 44 x 27,7 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe au crayon de 10 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. PS de 2 lignes à gauche - Toutes marges = 44 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; d'une vigeur de morsure incomparable . - Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La mort à la barque. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. Lou Barrulaire. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La roulotte . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La pieuvre . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Long envoi autographe a l'encre de 13 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. à gauche,dédicace à l'encre en bas à droite Toutes marges = 43,8 x 33,8 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La Gitane. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 35x 26,5 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.Le Gitan. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, non signée mais titrée è l'encre sur 2 lignes dans le haut: Toutes marges = 28 x 22 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. De Facho. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince,signée en toutes lettres au crayon sous l'image; dans le haut titre de la planche. Dans le bas dédicace de 7 lignes à l'encre : mon cher Jean Marie,vite à mon secours je suis sans metal ! : Toutes marges = 28 x 22 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1974 Marseille Le Roudelet Felibren dóu Pichoun-Bousquet et le Comité Valère Bernard 1974, en édition monumentale tirée à 160 exemplaires, “La Légende de Jean de l'Ours”, illustrée de 13 eaux-fortes, tirées par Valère Bernard lui-même, de bandeaux et de lettrines.
Le Roudelet Felibren dóu Pichoun-Bousquet et le Comité Valère Bernard ont publié :en 1974, en édition monumentale tirée à 160 exemplaires, “La Légende de Jean de l'Ours”, illustrée de 13 eaux-fortes, tirées par Valère Bernard lui-même, de bandeaux et de lettrines. Dans cette œuvre, I'auteur fait se rejoindre la légende universelle de “Jean de l'Ours” avec la légende pyrénéenne de “La Fée Esclarmonde”. C'est un peu l'histoire de “La Belle et la Bête” : Jean de l'Ours délivre Esclarmonde de sa prison,c’est-à-dire libère la langue d’Oc. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Nepos, Cornelius. - Quinte-Curce. . Justin. - Valère Maxime. - Obsequens, Juliuis.
Reference : 111944
Paris, J. J. Dubochet, le Chevalier et Comp. 1841, 270x180mm, II - 856pages, demi-chagrin noir, dos à faux-nerfs, auteur, titre et ornementations dorés, tranches marbrées. Quelques rousseurs, autrement bon état.
édition bilingue: français - latin, texte sur deux colonnes, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Valère Novarina, Teatre de Dibuixos-2587 personatges I, 311 definiciones de Déu, 2010. Barcelone, Eumo editorial/ Arts Santa Monica, 2010, 17 x 24 cm, br., couverture à rabats, 96 pp., E.O., envoi et dessin. Catalogue bilingue français/catalan de l’exposition des dessins des 2587 personnages du « Drame de la vie » accompagnés d’un film et d’une installation sonore sous la direction de Brigitte Rambaud. Textes de Vicenç Altaio, Marco Baschera, Philippe Di Meo, Jean Dubuffet [Deux lettre manuscrites] et Brigitte Rambaud. Envoi autographe signé enrichi d’un dessin de Valère Novarina à Dominique Noguez. Nombreux documents joints : cartons d’invitation, programmes et livrets de spectacles, carte postale de Valère Novarina à Dominique Noguez datée du 8-6-2010, coupure de journal, billet de spectacle (voir photos).
Fayard 1908 59 huiles sur panneaux ou cartons forts et 29 dessins à l'encre de Chine signés du monogramme, (1908), pour la plupart, formats allant de 16.2 x 12 cm, 16.5 x 25 cm., 19 x 27 cm., 22 x 11.6 cm. à 23.5 x 13.8 cm.
Rare et bel ensemble des dessins originaux ayant servi à l'illustration de "La Chanson de Naples" d'Eugène Montfort où Naples est le principal personnage. Bernard Valère (Marseille 1860-1936) se forme à lEcole des Beaux Arts de Paris ainsi quauprès de Cabanel et Puvis de Chavannes dont il est lélève.. Reconnu comme artiste et poète de la Provence et de lexpression occitane il prend la présidence de cette Société dEtudes Occitane. Ses uvres sont conservées dans plusieurs musées dont celui de Marseille. Usures, frottements à certaines huiles, petites déchirures marques et très légers accrocs. Nous joignons l'ouvrage. Paris, Les Inédits de Modern-Bibliothèque, Arthème Fayard Editeur, 1909, in-8, percaline verte éditeur, 126 pages.
Paris par la Compagnie des libraires du Palais 1665 1 vol. relié 2 tomes en 1 vol. in-12, relié plein veau moucheté tabac, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre, tranches rouges (reliure de l'époque), (10) + 368 + (4) + 284 + (4) pp. (mors fendillés, coiffes et coins usés, petite galerie de vers marginale aux derniers feuillets). Traduction française des oeuvres de Valère Maxime - recueil d'anecdotes tirées des plus célèbres historiens latins et grecs - par Jean Claveret (1590-1666), publiée pour la première fois en 1647. Ex-libris manuscrit en page de garde. Exemplaire de bonne tenue en reliure d'époque.
Le Livre de Poche 1993 1993. Valérie Valère: Le pavillon des enfants fou / Le Livre de Poche 1993 . Marc Arno: Manœuvre d'intoxication/ Fleuve Noir Espionnage N°535 1966
Très bon état
1881 Meton Librairie-Editeur, 1881, 194-283 pp, demi-chagrin vert à coins, tirage à 200 exemplaires, édition originale, dos insolés, coins frottés, des rousseurs sur les pages.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Le Livre de Poche 1983 1983. Valérie Valère - Le Pavillon des enfants fous / Le Livre de Poche 1983
Très bon état
1984 1984. Valérie Valére - Le pavillon des enfants fous / Le livre de poche 1984
Bon état
Brussel, Manteau, 1943 geillustreerde kartonomslag in kleur met flappen, 130 x 195mm., 47pp., tweekleurendruk zwart/ rood.
In goede staat. **Met opdracht, handgeschreven, gesigneerd door Valere Depauw.
Paris Adam Biro, Centre culturel suisse 1997 1 vol. Broché in-8 carré, broché, couv. illustrée, 125 pp. Edition originale sans grand papier avec un envoi autographe signé de Valère Novarina à Nathalie Sarraute. On joint le carton de l'exposition au Centre culturel suisse, octobre 1997 - janvier 1998. Très bon exemplaire.
Amstelodami, Ioannem Lanssonium, 1660. Petit in-12 (13,6 x 7,5 cm), relié plein parchemin, pages de titre figurée (manque de papier aux deux coins sans manque de texte), 486 pages + 26 pages d'index. L'auteur Valère Maxime, est un historien et moraliste romain du ier siècle apr. J.-C., contemporain de l'empereur romain Tibère. les Faits et dits mémorables, parfois intitulés Faits et paroles mémorables, un recueil d'anecdotes destinées à nourrir la réflexion et le discours des orateurs et des philosophes. Il a notamment puisé les exemples romains des guerres civiles dans le répertoire d'une littérature aujourd'hui disparue, celle des récits de la proscription, ce qui rend ses écrits précieux .L'ouvrage est composé de 9 livres. Texte en latin, intérieur bien frais, reliure solide et en bon état, d'époque.
st .
Association Communio. 2014. In-8. Broché. Etat d'usage, 2ème plat abîmé, Dos satisfaisant, Mouillures. 118 pages. Tâches et mouillures en plats. Mouillures in texte, en fin d'ouvrage, n'altérant que peu la lecture. Coins froittés.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire: Valère Novarina: Reconnaissance d'un drame- Irène Fernandez: ""En ma fin est mon commencement""- Frédéric Slaby: Thomas de Quincey, la littérature, la Bible et la vérité- Patrick Piguet: Deux regards sur le Fils prodigue, Jean Pierre Lemaire et Jean-Luc Lagarce- Pierre-Alain Cahné: Fragilité et force de la littérature?-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"