Lieutenant-colonel Eddy Bauer Colonel Rémy
Reference : 300015441
(1984)
ISBN : 9782880971007
Lieutenant-colonel Eddy Bauer Colonel Rémy
Reference : 300015536
(1984)
ISBN : 9782880971007
Colonel Rémy Lieutenant-colonel Eddy Bauer
Reference : 300024201
(1984)
ISBN : 9782880971052
Christophe Colomb 1984 144 pages 1984. 144 pages.
1892 BaUDOIN 1892 Colonel Langlois. L'ARTILLERIE DE CAMPAGNE EN LIAISON AVEC LES AUTRES ARMES. Baudoin, 1892, 2 vols in8 1/2 basane ,619 -394 pp. Croquis, plans dans de texte.Cachets ex biliothèque, les dos ont été recollés. Ouvrage néanmoins en bon état et bien solide. Suivant le poids et la destination les envois sont expédiés par transporteur ou par la poste . Si toutefois vous désirez la Poste, merci de nous contacter.
P, M Seheur, 1931, in4°br , 157pp , petis manques de papier sur le dos. Langue: Français
London J. M. Dent & Sons, sd ( 1920 ) , petit in4° , emboitage percaline bordeaux éditeur contenant contenant 10 cartes repliées Volume 2 ( sur 2 ) seul contenant les cartes couleurs des batailles.
Paris, Challamel aîné - Librairie algérienne et coloniale, 1887. In-8, 179-(3) pp., reliure de l'époque demi-percaline (dos légèrement frotté, marges jaunies). Tampon humide.
* Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1901. In-8, (6)-315-(1) pp., reliure moderne demi-veau rouge, dos orné, tête mouchetée, couverture conservée.
Sous une jolie reliure. * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Cheminements Editions.1996.In-4 toilé avec jaquette ill.en couleurs.110 p.Ills.en couleurs de Margot.TBE.
Paris, Payot, 1929. "Coll. de Mémoires, Etudes et Documents pour servir à l'Histoire de la Guerre Mondiale". In-8 broché, 463 p. Traduit de l'anglais par B. Mayra et le Lt-Colonel de Fonlongue. Avec 8 illustrations et 1 carte h.-t. en dépliant. Très bon état.
P., Charles-Lavauzelle, s.d. (1903), in-8°, 144 pp, 2 plans, un portrait du colonel Taillant, 3 illustrations, reliure toile havane, dos lisse, pièce de titre basane havane, couv. conservée, bon état. Rare
"La petite place de Phalsbourg fut, avec Belfort et Bitche, celle de nos forteresses de l'Est qui opposa à l'envahisseur, dans la dernière guerre, la résistance la plus tenace et la plus honorable. Le siège qu'elle soutint alors méritait bien d’être retracé, et c'est ce qu'a fait parfaitement M. le commandant Hollender, un enfant de Phalsbourg. À ses souvenirs personnels, il a joint les documents conservés dans la famille du colonel Taillant, qui était gouverneur de Phalsbourg en 1870 ; il à écrit ainsi un travail précis, clair, vivant et qui, sans la moindre phrase, sans le moindre effort de rhétorique, émeut profondément le lecteur. (...) Les moyens de défense étaient des plus pauvres : les fortifications dataient de Vauban et se trouvaient de plus en mauvais état ; l'artillerie comptait un petit nombre de pièces, presque toutes d'ancien modèle ; la garnison n'allait qu'à 1.682 hommes, dont la moitié n'avaient jamais manié un fusil, avec un seul officier du génie et trois officiers d'artillerie seulement. Et, dans ces conditions, Phalsbourg tint plus de quatre mois, du 10 août au 13 décembre, repoussa des attaques très vives, endura la famine, la variole, des bombardements répétés, et ne se rendit que faute de vivres. C'est que Phalsbourg avait ce qui manqua à Metz, un homme de cœur pour diriger la lutte. Ah ! quel brave soldat que ce colonel Taillant, alors simple commandant, et combien ferme dans son devoir ! Les Allemands lui apprennent avec soin tous nos malheurs, le désastre de Sedan, la révolution à Paris, la capitulation de Strasbourg et de Metz, et, chaque fois, ils l'invitent à leur rendre la place, en lui offrant les conditions les plus avantageuses. Toujours il refuse, et quand, enfin, il sera forcé d'ouvrir ses portes, vaincu par la faim, non par le canon, il ne le fera qu’après avoir encloué les pièces, scié les affûts, détruit les poudres et les cartouches. La garnison le seconde parfaitement : le bataillon de ligne et les isolés de divers corps qui se sont réfugiés à Phalsbourg après la défaite de Wœrth, font des sorties, toujours heureuses, surprennent et massacrent les avant-postes ennemis, et rentrent en ville en ramenant les bestiaux enlevés dans les villages voisins, qui aideront à prolonger la résistance ; les mobiles gardent les remparts, en blouse et en sabots, par ce dur hiver ; un certain nombre se font soldats du génie pour mettre les fortifications en état ; d’autres s'improvisent artilleurs pour servir les pièces, et deviennent très vite des artilleurs fort experts, dont. l’adresse ne laisse pas de répit aux Allemands. Que dire de la population civile ? Le 14 août, la ville est bombardée pendant toute la journée ; plus de 5.000 obus tombent dans cette étroite enceinte de 400 mètres de long sur 300 de large; presque toutes les maisons sont en flammes ; comme un parlementaire s'est présenté, le maire va trouver le gouverneur et le supplie de continuer la défense ! Le siège est fini qu'ils n’ont pas encore épuisé l'héroïsme et l'esprit de sacrifice : au risque d'être fusillés par les patrouilles allemandes ou de mourir dans les neiges, les jeunes gens fuient les uns après les autres pour rejoindre nos armées. Quelques-uns hésitent : les jeunes filles les apostrophent dans les rues et les obligent à s’en aller. Un enfant de dix-huit ans demande à son père la permission d’en faire autant : « Je commençais à trouver que tu tardais bien à partir », répond le père ! (...) M. le commandant Hollender a orné son livre d'un portrait du colonel Taillant, d'une reproduction de la statue du maréchal comte de Lobau, né à Phalsbourg en 1770, d’un plan de la ville et d’un croquis des environs, il l’a terminé par plusieurs appendices, entre autres une biographie de Taillant, une liste des officiers sous ses ordres, une notice historique sommaire sur Phalsbourg, enfin une série de documents sur les sièges de la place par les Alliés en 1814 et 1815." (E. Duvernoy, Annales de l'Est, 1900) — "Le Siège de Phalsbourg de M. le lieutenant-colonel Hollender, est le récit d'un épisode glorieux de la guerre de 1870, écrit d'après les papiers du colonel Taillant, le défenseur de la place. L'auteur a grossi utilement son volume de notices et d'annexes se référant à son sujet. Signalons, entre autres, celles qui ont trait au blocus de Phalsbourg en 1814 et en 1815." (Polybiblion, 1903)
Editions Sociales, 1980, in-8°, 495 pp, 24 pl. de photos et documents hors texte, broché, bon état
Le colonel Fabien et d'autres jeunes dans la résistance, dans les maquis et l'insurrection parisienne. — "M. Albert Ouzoulias est un de ces nombreux Corréziens qui combattirent dans les rangs de la Résistance française. Mais, moins qu'à ses origines, c'est à son appartenance au parti communiste qu'il dut de jouer un rôle de premier plan dans la lutte armée, sous le pseudonyme de colonel André. À travers son livre transparaît la nostalgie d'une période dure où les soucis idéologiques, à l'échelon du combattant, s'effaçaient devant la camaraderie et les exigences de la lutte. Ce "livre d'or" est d'abord un témoignage personnel. Il éclaire des figures mal connues. Celle notamment du fameux "colonel Fabien", – une photographie de ses faux papiers d'identité le montre notamment en ecclésiastique, – de Danièle Casanova, de cent autres jeunes résistants connus ou inconnus. Il rend également hommage à ceux des catholiques qui combattaient aux côtés des communistes, et notamment à ce révérend père Jacques (Bunel), du couvent des carmes d'Avon, dont il écrit : "En dehors de la croyance en l'autre monde, presque rien ne nous séparait sur la plupart des problèmes, immédiats et ceux de l'avenir." Celui qui fut le chef des "bataillons de la jeunesse" rappelle encore le premier "procès" à la Chambre des députés, où six de ses camarades et un jeune ouvrier de Goussainville comparurent en grande pompe, en présence de la presse et du cinéma, le 4 mars 1942, pour s'entendre condamner à mort. Ils seront fusillés le 9 mars au Mont-Valérien." (Le Monde, 1967) — "Albert Ouzoulias (colonel André), prisonnier de guerre en 1940, s'évade. Le 2 août 1941, à 26 ans, il est chargé de la direction des « Bataillons de la jeunesse » avec, à ses cotés, le glorieux colonel Fabien. Membre du Comité militaire national des FTP, il y assume la responsabilité de commissaire national aux opérations et connaîtra dans le détail les combats et les hommes dont il parle. Les Bataillons de la jeunesse, c'est l'histoire vraie et humaine de beaucoup de jeunes résistants de 1940 à l'insurrection parisienne, de ceux qui « croyaient au ciel » à ceux qui « n'y croyaient pas », du père Jacques au colonel Fabien."
Nanteuil Isabelle de Lajoinie Lyliane Baltzer Pascal Colonel Moutarde
Reference : 500252230
(2013)
ISBN : 9782047319598
BORDAS 2013 160 pages 19x1 6x25 6cm. 2013. Broché. 160 pages.
Etat correct
Hachette 1934 1934.
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