Marseille, chez l'auteur, 1818 in-12 demi basane havane marbrée, dos lisse orné de fleurons dorés. 168 pp. (Reliure début XXe. Quelques rares et minuscules rousseurs).
Établi dès 1795 à Marseille, Joseph Chardon (1758-1840), publie son premier Almanach historique à partir de 1803, ne se limitant pas à fournir des adresses administratives mais en donnant un précis historique de la ville, un index des rues, un résumé des Académies, les noms et adresses par professions…
[Loi Gouvion-Saint-Cyr] [Armée française de la Restauration] [France. Chambre des pairs 1818]
Reference : 105359
(1818)
Paris, S.n. 1818 4 volumes. In-8 21,5 x 13,5 cm. Reliures demi-basane bleu-marine, dos lisses ornés de filets dorés, en pagination multiple environ 500 pp. par volume. Ensemble en très bon état.
Interventions des Pairs sur le projet de loi de recrutement dans l’armée, dite loi Gouvion-Saint-Cyr, qui, votée le 10 mars 1818, réafirme le principe révolutionnaire de conscription qui avait été aboli par la Charte de 1814. Le recrutement militaire se fera désormais par le volontariat et par tirage au sort : il s'agit donc d'une loi égalitaire, bien qu'il soit possible de payer pour “racheter” un remplaçant. Par ailleurs, les nobles n'entreront plus directement en tant qu'officiers. Ce système restera en vigueur jusqu'en 1872. Très bon état d’occasion
1906 Paris : L. Mulo,Manuels Roret 1906- 440 p. ; in-18 broché, tache couverture et dos,rousseurs éparses tranches,rare
Pour bien connaître les fraudes.Edition la plus complète de ce classique plusieurs fois imprimée dans la seconde moitié du XIX e siècle. Chwartz III 49-50 qui indique les 2 e, 3 e et 5 e éditions. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
2. Gand, chez J.N. Houdin, 1818, in-8°, 21 x 13 cm, 31 pp, cartonnage muet d'époque Ce tableau de M. David, peint à Bruxelles, en 1818, a été exposé à Gand, au profit de l'Atelier de Bienfaisance. Cette Notice fut lue dans la séance du 12 juin 1818 de la Société Royale des Beaux-Arts et de Littérature.
1817 Bureau de l' Almanach du commerce 1817,in8 broché,sans couvertures ni dos,448p.- incomplet,partie France seule ?,trés rare,signé par l'auteur bas page de titre ; dans l'etat- Auteur, Imprimeur libraire - Naissance : 1764-11-19, Grandvillard (canton de Fribourg, Suisse) Mort : 1818-01-18, Paris (France)
J.De La Tynna (1764-1818), fait paraître en l’an VI (1797-1798) le premier Almanach du Commerce de Paris à partir du relevé des rôles des patentes. Il avait donc accès à une précieuse documentation lui permettant de préparer des éditions ultérieures pour un public élargi. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
JOURDAIN, Ancien Avocat aux conseils du roi, Membre du conseil de Famille convoqué le 8 Janvier 1818, par devant le Juge de Paix, Monsieur Colmet de Sancerre, à la requête du sieur Brachet-Ferrières - Louis-Antoine-François de Marchangy, Avocat-Général à la Cour Royale de Paris "lun des plus brillants orateurs du barreau français" , lun des acteurs de la localisation de Brocéliande en Bretagne.
Reference : 48394
1/2 Reliure basane - Dos lisse havane à filets dorés - accroc à la coiffe supérieureI) 1818 - PARIS, Imp. A. Beraud - Frontispice gravure de Madeleine-Rosalie Thourein - 55 Pages II) 1811- PARIS, Imp. L.G. Michaud - 32 Pages.III) 1822 - PARIS, Chez A. Boucher - 241 Pages.IV) 182. -XIV-89 pages.Légères traces de mouillures en page de titre- Bon exemplaire
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Paris, Audot, Libraire 1818 Fort in-12 18 x 10 cm. Reliure de l’époque plein veau havane marbré, dos lisse orné de petits fers dorés encadrés de dentelles et de roulettes dorés, pièce de titre maroquin grenat, XX-984 pp., 4 planches hors-texte, catalogue éditeur 23 pp. in fine. Coiffes et coins usés, intérieur correct. Ouvrage peu courant.
Bon état d’occasion
Chesterfield, Philip Dormer Stanhope (1694-1773 ; comte de). Auteur présumé du texte; Hill, John (1716?-1775). Auteur présumé du texte; Brissot de Warville, Félicité (1759-1818).Traducteur; Dodsley, Robert (1704-1764)
Reference : 23811
(1782)
1782 A Londres et se trouve à Paris, chez Belin, Libraire, rue S. Jacques.1782, XXIV-200 p. ; in-8,plein veau granité,plats ornés d'une frise dorée,dos lisse muet orné,charniéres fendues et recollées sommairement,restaurable,texte frais,édition originale trés rare,dans aucune bibliothéque ?
ouvrage de morale et d'éducation traduit en français par Félicité Dupont (1759-1818), aide-préceptrice des enfants de Louis-Philippe d'Orléans dit Philippe Egalité (1747-1793). Félicité Dupont fut attachée en 1782, sous les ordres de Madame de Genlis (1746-1830), à l'éducation des enfants du duc de Chartres, et habita avec eux et la comtesse-gouverneur le pavillon de Bellechasse qui dépendait du couvent du même nom. Elle dut démissionner de ses fonctions l'année suivante pour suivre à Londres Jacques Pierre Brissot de Warville (1754-1793) qu'elle venait d'épouser. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
VISCONTI ENNIO QUIRINO. (1751-1818). VISCONTI PHILIPPE-AURELE. (1754-1831).
Reference : 1219
1818-1822 ENSEMBLE DE 8 VOLUMES IN-8 (15 X 22,5 X 32 CENTIMETRES ENVIRON) DE (6) + 362, 376 + (8), 298, 381, 283, 301, 270 ET LXXXVII + 352 + (15) PAGES, RELIURE D'EPOQUE 1/2 BASANE HAVANE, DOS LISSE ORNE DE FILETS DORES, TITRE DORE, TRANCHES MOUCHETEES. ILLUSTRE D'UN PORTRAIT DE L'AUTEUR EN FRONTISPICE ET D'UN PORTRAIT DU PAPE PIE VI DANS LE TOME 1, D'UN PORTRAIT DU PAPE PIE VII DANS LE TOME 8 ET DE 63 + 67 + 64 + 62 + 65 + 68 + 70 ET 56 PLANCHES, DONT DE TRES NOMBREUSES PLANCHES DOUBLES OU REPLIEES. OUVRAGE COLLATIONNE, COMPLET DE TOUTES LES PLANCHES FIGURANT DANS LES DIFFERENTES TABLES DES ILLUSTRATIONS. QUELQUES PETITES TRACES D'USURE EXTERIEURE SANS GRAVITE, CACHETS DE CLASSEMENT DE BIBLIOTHEQUE PRIVEE, SINON BEL EXEMPLAIRE, INTERIEUR TRES FRAIS.
1818 basane racinée, mq. dos, Ier plat presque détaché. in-8 oblong, 104pp., s.n. 1818
Recueil très cosmopolite mais à dominante anglaise d'airs à la mode au début de la Restauration.
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
Victor Tourneur (1818-1889), prêtre, vicaire de l'archevêque de Reims, vice-président de l'Académie de Reims.
Reference : 017002
Victor Tourneur (1818-1889), prêtre, vicaire de l'archevêque de Reims, vice-président de l'Académie de Reims. L.A.S., Reims, 23 juin 1879, 1p in-8. Au libraire Léon Techener (1833-1888). Commande d'un ouvrage dans le bulletin du bibliophile. [396]
Victor Tourneur (1818-1889), prêtre, vicaire de l'archevêque de Reims, vice-président de l'Académie de Reims.
Reference : 017003
Victor Tourneur (1818-1889), prêtre, vicaire de l'archevêque de Reims, vice-président de l'Académie de Reims. L.A.S., Reims, 23 juin 1879, 1p in-8. Au libraire Léon Techener (1833-1888). Annulation de sa commande envoyée par courrier le matin même [397]
Marc Fournier (1818-1879), directeur du théâtre de la Porte Saint-Martin.
Reference : 016706
Marc Fournier (1818-1879), directeur du théâtre de la Porte Saint-Martin. L.A.S., 22 décembre 1856, 1p in-4. Il ne peut se rendre à une assemblée en raison de sa santé, joint une lettre de son médecin et charge M. Hostein (?) de voter pour lui. [386]
Félix Godefroid (1818-1897), compositeur, harpiste belge. L.A.S., Paris, 15 avril 1851, 3p in-8. Au compositeur et organiste - d'origine belge - Charles Vervoitte (1819-1884). « Excusez-moi, mon cher Vervoitte, d'avoir tardé à vous donner de mes nouvelles. En arrivant à Paris, j'ai trouvé une quantité de choses qu'il a fallu faire immédiatement. Je ne suis pas encore débarrassé de tout, car j'organise en ce moment un grand concerte à l'Opéra Comique, mais au moins, grâce à la semaine sainte, je puis prendre ma plume et causer par son entremise un moment avec vous. D'abord encore une fois merci pour votre aimable et bon accueil. J'avoue que jamais je n'en ai reçu un plus cordial, et qui m'ait procuré autant de satisfaction. Je voudrais vous rendre la pareille, malheureusement je ne suis pas maître de chapelle, je n'ai pas pour domicile une des plus superbes cathédrales du globe, pourtant le peu qu'il me sera possible de vous offrir lorsque vous viendrez à Paris, partira tout droit du coeur, et de ce côté-là, vous n'aurez rien à désirer. J'ai laissé un bon souvenir à Rouen, et j'en suis bien heureux car souvent en province le goût tout différent de celui de la capitale demande d'autres effets. Vos journaux m'ont traité d'une façon bien digne et si vous voyez Maireaux [i.e. Amédée Méreaux] et [Adolphe] Botte, vous les remercierez de nouveau. Au sujet du sot article publié par le journal du Havre, je vous rends grâce d'avoir répondu par la petite note que vous m'avez envoyée. Cette histoire est ridicule de bêtise, et n'est pas le moins du monde intéressante, parce qu'est est brutalement écrite. On doit vous envoyer de chez Heugel les différentes choses que j'ai composées pour le piani, il va sans dire que c'est tout bonnement un souvenir que je vous offre, car je n'attache aucune importance à ces petites idées musicales. Mon portrait se trouvera dans l'envoi. Ainsi que quelques morceaux pour Maireaux et Botte que je vous prie de leur envoyer. Au revoir donc mon cher Vervoitte, faites des compliments de ma part à votre famille, et croyez à ma sincère affection. Félix Godefroid. J'oubliais de vous dire que j'ai donné deux de vos choeurs, Le Printemps et le Regina Caeli, qui seront exécutés prochainement à l'église de Belleville par une société de choeur ». Godefroid est en effet de retour d'une tournée en province. En mars 1851, en l'espace de 8 jours, il a été à Rennes, Laval, Le Mans, Rouen, Le Havre, Amiens, Nancy et Metz, avec, semble-t-il, beaucoup de succès. Son concert eut lieu le dimanche 30 mars. Vervoitte est alors maître de chapelle à la cathédrale de Rouen. Très belle lettre. [345]
Félix Godefroid (1818-1897), compositeur, harpiste belge. L.A.S., Paris, 5 mai 1851, 3p in-12. Au compositeur - d'origine belge - Charles Vervoitte (1819-1884). « Mon cher Vervoitte, Avez-vous reçu les morceaux que je viens de vous expédier par un des marchands de musique de Rouen. Si on a négligé de vous les faire parvenir, voyez donc après, chez un des marchands de musique de votre ville. Il en a pour [Adolphe] Botte et Maireaux [Amédée Méraux]. J'écris à ces deux messieurs et ne connaissant pas leur adresse, je viens vous prier de leur faire tenir mes lettres. Je leur demande de me rendre le service de propager ma musique de piano qui se vend partout parfaitement, excepté à Rouen. Vous devriez bien en bon camarade vous en occuper aussi, et pousser Maireaux. Maireaux et Botte peuvent beaucoup et, s'ils voulaient, mon affaire se ferait parfaitement. Vous même si vous vouliez en en parlant, en en faisant jouer quelques unes, vous me feriez beaucoup de bien. Ainsi, mon cher Vervoitte, je compte sur vous et j'y compte parce que vous semblez avoir de l'amitié pour moi, qui vous le rends de tout mon coeur. Donnez-moi donc de vos nouvelles, paresseux. Maintenant que je ne suis plus auprès de vous, vous m'oubliez. Dites-moi si vous avez reçu ma musique, car je m'en informerais auprès de mon éditeur. La saison ici est bientôt terminée et voilà l'instant du départ. J'irai peut-être à Londres, mais pas pour longtemps car j'ai des engagements à Vichy. J'espère toujours donner un concert à Vieppe en m'appuyant sur vous. Adieu, je vous serre la main d'amitié. Félix Godefroid ». Vervoitte est alors maître de chapelle à la cathédrale de Rouen et Godefroid a fait un concert à Rouen le dimanche 30 mars 1851. Beau courrier. [345]
Félix Godefroid (1818-1897), compositeur, harpiste belge. L.A.S., Paris, 26 mars 1851, 3p in-8. Au compositeur - d'origine belge - Charles Vervoitte (1819-1884). « Mon cher Monsieur, Votre bonne et aimable lettre ne m'est parvenue que samedi dernier, il est plus que probable que la personne qui en était chargée ne connaissait pas mon adresse. Je ne viens pas vous parler du concert de dimanche dont les arrangements sont terminés entre M. Martin de Villiers et moi, mais j'avais à coeur de vous faire mes remerciements pour l'offre obligeante que vous me faites en me proposant de descendre chez vous. Si je devais rester quelques jours à Rouen, je le ferai avec le plus vif plaisir, mais comptant arriver le samedi soir et partir le lendemain, je ne voudrais pas pour quelques heures de séjour vous donner tout cet embarras. J'ai aussi à vous remercier d'avoir pensé à moi pour le concert de vos pauvres, et je vous assure que dans cette circonstance, j'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour m'arranger avec votre société. Dans aucune ville je vous assure on ne m'a donné une somme aussi faible. Souvent le double. Et même plus à Bordeaux, mais il est presque inutile de parler de nouveau d'une chose entièrement réglée maintenant, seulement je tenais à vous prouver, Monsieur, que vous n'avez pas trop augurer de moi, en croyant à mon bon vouloir. Je suis charmé de vous retrouver à Rouen et, sitôt mon arrivée, j'irai vous faire ma visite, à moins cependant que je n'arrive un peu tard. Croyez-vous qu'il soit utile de retenir une chambre à l'avance à l'hôtel de France où je compte descendre ? Si je n'ai pas d'engagements ici, je compte arriver samedi soir, le premier convoi de dimanche matin n'arrivant qu'à midi. Le concert est je crois à une heure ? Vous seriez bien bon de m'envoyer un programme. Si l'on fait des grandes affiches, je me recommande à vous pour que l'on donne certaine importance à mon nom. Ici je vous parle tout franchement comme on doit le faire entre artistes. On me traite ainsi à Paris, et je serai bien heureux de recevoir le même accueil en province. Allons, je vous quitte, en me réjouissant du plaisir de vous serrer bientôt la main. Mes meilleures amitiés. Félix Godefroid. Veuillez faire penser à l'estrade que j'ai demandée à M Martin de Villiers. Si le concert a lieu sir le théâtre, j'ai absolument besoin d'une estrade qui rétablisse le niveau. Vous savez que toutes les scènes sont inclinées vers la rampe ». Le concert eut donc lieu le 30 mars 1851. Henri-Louis Martin de Villiers (1780-1855), homme politique, est qualifié « d'amateur instruit et distingué ». On trouve une publication en 1854 : Rapport sur une messe en musique de M. Vervoitte (lu à l'Académie de Rouen le 22 juillet 1853). Très belle lettre. [345]
Félix Godefroid (1818-1897), compositeur, harpiste belge. L.A.S., mercredi 23 avril, 1p in-8. Il accepte l'invitation de sa correspondante. [345]
Félix Godefroid (1818-1897), compositeur, harpiste belge. L.A.S., samedi 11 mars 1854, 1p in-8. Avec adresse et cachet au dos. Au chanteur Stéphen de La Madeleine (1801-1868). « Mon cher Monsieur, Je suis trop heureux de faire un peu de musique chez vous pour ne pas aller au devant de vos désirs. Je vous appartiens corps et âme jeudi prochain. Ma harpe sera rue Tronchet à 7h, ne vous en inquiétez pas. Excusez le laconisme de ma lettre, je vous écris en toute hâte. Mille amitiés sincères. Félix Godefroid ». [345]
Félix Godefroid (1818-1897), compositeur, harpiste belge. L.A.S., mercredi 9 mars 1853, 1p in-8. Il remercie son correspondant d'avoir accordé à monsieur Roger la permission de chanter et lui demande s'il a pu remettre à M Deligny une autre autorisation. [345]
Fessard, Claude (l'Aîné) (Paris, en 1740 - Paris, vers 1803), graveur, Moreau, Louis (avant 1764 - en 1791), dessinateur, Née, François Denis (Paris, en 1732 - Paris, 1818), editeur
Reference : 27519
Paris Née François Denis [entre 1781 et 1796] Une Gravure originale , technique : Eau-forte, en noir sur papier vergé crème, format de la gravure : 35 cm de haut par 52,5 cm de large, PARIS. «VUE D'UN DES ASPECTS INTERIEURS DU JARDIN DE BAGATELLE, représentant le Pont de la Cascade de l'Hermitage, planté d'après les dessins d'Alexandre Belanger premier Architecte de Mgr Comte d'Artois»: [estampe] par L. MOREAU Pinxit. Dirigé par Née François Denis. Série Ile de France N°85, [Paris], [entre 1781 et 1796] Née François Denis Editeur,
Vue des jardins de Bagatelle, dessinés pour le comte d'Artois, futur Charles X. Quelques promeneurs flânent sur les pelouses et dans les allées bordées d'arbres. LE PAVILLON DE BAGATELLE, est né dun simple défi lancé par la reine Marie-Antoinette à son beau-frère, le comte dArtois. Une histoire digne dun conte ! ...... Nous sommes en 1777. Le comte dArtois, frère cadet du roi Louis XVI, vient dacheter un domaine en piteux état, situé dans le bois de Boulogne. Curieuse de voir ce quil compte en faire, Marie-Antoinette, espiègle et moqueuse, lui lance un défi audacieux : Faire bâtir un château en moins de trois mois, lair de dire : "Impossible ! Tu ne pourras jamais relever un tel défi, mon cher beau-frère !". Mais le comte dArtois, piqué dans son orgueil et connu pour son goût du faste, relève immédiatement le gant. Défi relevé ! .... Tic, tac Les jours défilent, et les ouvriers saffairent jour et nuit sous la direction de larchitecte François-Joseph Bélanger. On creuse, on sculpte, on élève les murs à une vitesse folle. En seulement 64 jours, un petit chef-duvre voit le jour : la "Folie" de Bagatelle ..... ESTAMPE SUPERBE ........... TRÉS RARE ....... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
André Mouret (1745-1818), général. L.A.S., Tours, 21 brumaire an 9 [12 novembre 1800], 2p in-4. Au général Louis François Jean Chabot (1757-1837). Il le préviens qu'il vient d'être nommé chef de la 3e demi-brigade de vétérans « qui s'organise à Tours » et lui indique l'état des compagnies qui sont destinées à former la brigade. Il recevra avec plaisir les ordres et instructions de Chabot. [93]
André-Antoine Bernard dit Bernard de Saintes (1751-1818), magistrat, député de Charente Maritime à la Convention dont il sera président, régicide ; Jean Guimberteau (1744-1812), magistrat, député de Charente, régicide.
Reference : 015760
André-Antoine Bernard dit Bernard de Saintes (1751-1818), magistrat, député de Charente Maritime à la Convention dont il sera président, régicide ; Jean Guimberteau (1744-1812), magistrat, député de Charente, régicide. L.A.S. de Bernard et contresignée par Guimberteau, Saintes, 9 juin an 2 [i.e. 1793], 2p 1/2 in-folio. Très intéressante lettre aux représentants du peuple assemblés en commission à Niort pour critiquer comment s'y passe la levée des 300 000 hommes au début du soulèvement vendéen : « L'immensité des troupes qui retournent chaque jour de l'armée de la Vendée nous étonne et nous afflige. Ce ne sont pas seulement les pères de famille et les utiles cultivateurs des campagne qu'on renvoie, mais une infinité de jeunes gens des villes dont le physique annonce des guerriers consommés et qui hors du combat n'ont de ressource que dans la débauche de l'oisiveté. Quoi ? Les brigands nous assiègent de toute part. Loin d'être vaincus, leur nombre s'accroit chaque jour avec leur audace, une victoire décisive ne les a pas encore anéantis et nos défenseurs les plus habitués à la tactique des armes à et la localité du pays insurgé sont renvoyés sous prétexte d'un remplacement qui ne peut que devenir funeste à la république ! ». Ils continuent ainsi sur les problèmes et notamment les dangers pour la république, et l'évolution de leur commission. Cachet de la société de statistique des Deux-Sèvres (dissoute). Très beau document. [93]
1803 A Paris, chez Grégoire, libraire, rue du Coq-St-Honoré, no 135, et chez Thouvenin, librairie, quai des Augustins, no 44. [A Dijon, de limprimerie de Carion], an XI de la République Française, 1803. Un volume petit-in-8° (112 x 185 mm) de [4]+IV+130 pages, marges courtes; demi-reliure moderne en peau fauve, dos lisse orné.
Troisième édition collective et néanmoins rare de ces épîtres (la première date de 1791, comportant 5 lettres, et la seconde de 1801, comportant les 6 lettres), dont les deux premières avaient déjà été imprimées dans des périodiques en 1775 et 1776 et la sixième en 1795. Lex-jésuite Jean-Baptiste Fiard (Dijon, 1736-Dijon, 1818) sy livre à son obsession: la dénonciation de lexistence en France dune secte en communication avec les démonset soumise à la présence active ici-bas de leur prince ! Les «prodiges» de Mesmer et des somanmbules magnétiques, puis les événements de la Révolution, auraient selon lui confirmé cette intuition. Du pur «complotisme», dans la même veine que l«Essai sur la Secte des Illuminés», du marquis de Luchet (1789), et les «Mémoires pour servir à lHistoire du Jacobinisme», de labbé Barruel (1797-1799), quoique dun point de vue différent, ces deux derniers auteurs ne croyant pas, eux, à la sorcellerie.
Paris, Testu, s.d. in-8, 967 pp., basane fauve, dos lisse orné (reliure de l'époque). Mors supérieur fendu et début de fente aux mors inférieur.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bern, F.F. Burgdorfer, Lzg., Schmid, 1817, kl. in-8vo, 359 S. + 1 S. + mit gest. Titel, 6 (davon 3 dplblgr.) gest. Tafeln + 3 gef. Bl. Notenbeilagen, rosa farb. O.-Pappband. + Schuber.
346 S. + 1 Bl. Mit gestochenem Titel, 5 (von 6) Kupfern und 5 gestochenen Musikbeilagen. OPp. mit Einbd.-Illustration. Rücken beschabt und etwas gelockert, Sprache: deutsch.
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