(Paris), Les Editions de Minuit, (1995). Un vol. au format gd in-12 (193 x 143 mm) de 141 pp., broché.
Reference : 31606
Edition originale. Tirage de tête : un des 30 exemplaires du tirage numéroté sur vergé de Vizille (seul papier) ; plus 7 hors-commerce. ''C'est une photo de tout petit format et dentelée sur les bords, comme on en faisait avant. Elle a beau manquer de contraste, on parvient cependant à le deviner, lui, devant les buts. Il a dans les douze à treize ans. Le match doit être commencé, regardez comment il se tient, aux aguets, tête penchée. Peut-être ne voit-il pas ce qui se passe à l'avant, à cause du brouillard, par exemple ? Je crois me souvenir d'un match où il y avait du brouillard ... Dans ce cas, avant que les attaquants surgissent, on ne peut qu'attendre, en imaginant le meilleur, comme un superbe arrêt, ou le pire, comme prendre un but bête à la dernière seconde. D'ailleurs, je me souviens qu'avant, dans ces âges-là, ça lui arrivait souvent de ne faire qu'attendre, tenir contre le temps qui dure, pour qu’enfin, après, ...'' Très belle condition. Exemplaire non coupé.
Babel Librairie
M. Mathieu Salzgeber
3, Rue André Saigne
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Conformes aux usages de la profession.
Paris, Le Livre contemporain, (3e trimestre) 1958. 1 vol. (120 x 185 mm) de 215 p., [2] et 2 f. Broché, couverture illustrée par Piem, sous emboîtage (Julie Nadot). Édition originale (pas de grands papiers). Envoi signé : «Allez, Serge [Gainsbourg], on les aura ! Boris Vian». Bien complet de la planche de musique dépliante, bande de parution conservée.
« La chanson, disons-le tout de suite, n'a rien d'un genre mineur. Le mineur ne chante pas en travaillant et Walt Disney l'a bien compris, qui faisait siffler ses nains. Le mineur souffle en travaillant, pour éviter que le charbon ne lui entre dans la bouche. N'étant pas un genre mineur, la chanson joue, cela va de soi, un rôle majeur », écrivait Boris Vian dans «En avant la zizique ». Le plaisir d'un bon mot ? Certainement, c'est chez Boris Vian que Gainsbourg le goûte le plus dans la fin de ces années cinquante. Vian n'a rien publié depuis l'Arrache-coeur et prépare son «En avant la zizique ». Et celui qui s'appelle Lucien Ginzburg vient, à l'aube de l'année 1958, de prendre une décision radicale : il arrête définitivement la peintre, détruit tout son travail d'atelier et décide d'une nouvelle vie, et d'un nouveau nom : Gainsbourg, en hommage au peintre anglais Gainsborough, et Serge qui souligne ses origines russes. Son père lui trouve une place de pianiste-guitariste au cabaret "Milord l'arsouille", où il accompagne la chanteuse Michèle Arnaud, et rencontre Boris Vian, avec qui il partage le même humour cynique et le sens aigu de la dérision. Quelques mois plus tard, Serge Gainsbourg signe chez Philips, label qu'il ne quittera jamais. Avec l'arrangeur de Boris Vian, Alain Goraguer, Gainsbourg compose son premier disque, "Du chant à la une !", qui obtient, malgré des critiques sévères, le Grand Prix de l'Académie Charles Cros, prestigieuse récompense musicale, grâce en particulier au titre "Le poinçonneur des Lilas". Suite à la dureté des attaques contre Gainsbourg lors de la parution de ce premier disque, Boris Vian, quelques mois avant sa mort, va alors signer un article dithyrambique dans le Le Canard Enchaîné, numéro du 12 novembre 1958 : « Allez, lecteurs ou auditeurs toujours prêts à brailler CONTRE, contre les fausses chansons et les faux de la chanson, tirez deux sacs de vos fouilles et raquez au disquaire en lui demandant le Philips B 76447 B... réclame non payée, je ne travaille plus chez Philips, et j'y travaillerais encore que ce serait exactement pareil. C'est le premier 25 cm 33 tours d'un drôle d'individu nommé Gainsbourg Serge et né à Paris le 2 avril 1928. En ce qui me concerne j ‘espère que ce ne sera pas le dernier. En ce qui vous concerne, c'est vous qui pouvez faire que ce ne soit pas le dernier. Un disque, c'est coûteux à fabriquer, un nouvel artiste, c'est coûteux à lancer, surtout quand les disquaires, noyés sous le tout-venant et paralysés par les augmentations de TVA, n'ont même plus le temps d'écouter ce que les maisons de disques leur envoient. Qu'entendrez-vous sur ce disque ? D'abord - honneur à ceux que l'on oublie toujours - vous entendrez, soutenant Gainsbourg et s'entendant avec lui comme larrons en Parlement, Alain Goraguer et les neuf arrangements qu' il a écrits sur les chansons. Chacun, techniquement parlant, vaut dans les 17 à 19 sur 20, malgré un piano parfois mal accordé ; mais ça, c'est pas la faute de Goraguer ; un piano doit être accordé sur le vibraphone quand il y en a un à la séance. Vous entendrez (...) trois réussites techniques (carrure, style, chutes, etc.) absolues : « Le poinçonneur des Lilas », sombre, fiévreuse et belle (...) « Douze belles dans la peau » est d'aussi bonne qualité (...) « La femme des uns sous le corps des autres » est une amère et joyeuse réussite (...) Et quand vous aurez écouté tout ça, filous comme vous êtes, vous viendrez me dire que Gainsbourg n'a pas une grande voix. Bon, elle est un peu sourde, il a des nasales un peu trop nasales, mais il ne chante pas l'opéra, si vous voulez l'opéra, achetez Depraz. Vous viendrez aussi me dire que ce garçon est un sceptique, qu'il a tort de voir les choses en noir, que ce n'est pas «constructif» ... (si, si, vous dites des choses comme ça). A quoi je répondrais qu'un sceptique qui construit des paroles et des musiques comme ça, faudrait peut-être y regarder à deux fois avant de le classer parmi les désenchantés de la nouvelle vague ... Pourtant, il manque une chose à ce disque. Une chanson, peut-être la meilleure de Gainsbourg. Elle narre les amours d'un boulet de canon et d'une jambe de bois qui cherche à se placer. Cette chanson s'appelle « Friedland ». Gainsbourg l'a enregistrée. Mais elle ne figure pas sur le disque. Il faut l'écouter à Milord l ‘Arsouille, où chante Serge. Quant à ses défauts ou ses qualités, nous n'en parlerons pas. Car il est trop difficile de cerner l'étrange personnage qu'est Monsieur Gainsbourg. L'homme a plus d'une pirouette pour se dérober ". "En avant la zizique" paraît presque au même moment, pendant cet hiver 1958. C'est vraisemblablement le seul ouvrage que Vian ait dédicacé à Gainsbourg, lequel aura été, « de par sa singularité, son cynisme, son côté aigre-doux, le plus influencé par Vian », qui lui servira de révélateur : " J'encaisse ce mec. Blême sous les projos, balançant des textes ultra-agressifs devant un public sidéré. J'en prends plein la gueule et je me dis: 'Je peux faire quelque chose là-dedans'"»., (Serge Hureau, directeur du Hall de la Chanson, le Centre national du patrimoine de la chanson). Boris Vian devait décéder quelques mois plus tard, un peu plus d'un an après leur rencontre décisive. Le 25 juin 1959, Vian fera un malaise cardiaque pendant la projection de J'irai cracher sur vos tombes.
Collectif - J. CHOLEAU - Y. PENFELD - L. KERVRAN - Claire CHARLES-GENIAUX - BOPISECQ, d'Alger - Yves du MEINGA - Dr S. 96TARA - Y. Le DIBERDER - M. BOURREAU - J. MORLEC - B. KERVERZIOU - J. MAHEZ - I. KERPERT - Aldrig a Naoned - L.M. RIWALL - A. de La BORDERIE - J. LANCELOT - Y.-G. KERONNES - L. de La HAUTE-DIBOIS - L. de VILLARTAY - J.-J. Le MAGUEREZE - R. PRADIG (PRAUD) - GALAAD - L. JARNOUEN de VILLARTAY - C. CHASSE - E. Le BARZIC - G. Le CLER - M. DUVAL - La savary ve duclos - J. de VILLERS
Reference : 22759
RENNES, imp./ Rigault/VITRE, Siège social - Revue In-8, 24,5 x 16 cm - Broché - Environ 40 pages par fascicule - Certaines couvertures illustrées - Illustrations en texte N° 43, 1948 au N° 96 de 1963 - Globalement en bon état, sauf 64 & 75, 90 & 96 - Au TOTAL 36 NUMEROS
Certains numéros peuvent être vendus à l'unité au prix de 15 - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Revue Militaire - Revue d'Histoire - Etat-major De L'armée - Section Historique - Chapelot 14 x 22 Paris 1912 Un fort volume in-8, reliure demi-basane chagrinée bleu nuit moderne, dos à quatre nerfs soulignés de filets dorés orné de trois fleurons dorés, titres dorés, plats et gardes marbrés, réunissant un ensemble d'articles parus en 1912 et 1913 dans la "Revue dhistoire rédigée à létat-major de larmée (section historique)". Le volume contient les articles suivants: 1 - L'avant-garde depuis les origines jusqu'à la fin du XVIIe siècle, n° 138, juin 1912, pp. 353-381., cartes / 3 - L'avant-garde dans les armées de la Révolution, n° 140, août 1912, pp. 205-225. / 2. L'avant-garde au XVIIIe siècle, n° 139, juillet 1912, pp. 1-17. / suite "Révolution", n° 141 septembre 1912, pp. 380-400 et n° 142, octobre 1912, pp. 34-55 / 4 - L'avant-garde dans la campagne de 1796-1797 en Italie, n° 143, novembre 1912, pp.177-209. / 5 - L'avant-garde dans la campagne de 1800 en Allemagne, n° 144, décembre 1912, pp. 353-386. / 6 - L'avant-garde pendant la campagne d'Allemagne en 1805 (R.T.), n° 145, janvier 1913. pp. 1-38, cartes. / 7 - L'avant-garde pendant la campagne de 1806 (Iéna, Lübeck), n° 146, février 1913, pp.177-208. 8 - La sûreté dans les opérations de décembre 1806 (Pultusk) (L.F.), n° 147, mars 1913, pp. 357-383. / 9 - L'avant-garde pendant la campagne de 1807 (V.B), n° 148, avril 1913, pp. 1-21 et n° 149, mai 1913, pp. 181-214. / 10 - La sûreté dans la campagne de 1809 (L.F.), n°150, juin 1913, pp. 383-413, cartes, et n° 151, juillet 1913, pp. 36-71. / 11 -La notion d'avant-garde chez les écrivains militaires de 1815 à 1859, n° 152, août 1913, pp. 185-214. / 12 - L'avant-garde pendant la campagne de 1859 en Italie, n° 153, septembre 1913, pp.185-214, carte et n° 154, octobre 1913, pp. 1-26. Edition originale complète de ces études, éditées en livre chez Chapelot en 1914. "La Revue d'histoire" a été créée en janvier 1901. Elle prend la suite de la "Revue militaire - Archives historiques". Elle paraîtra jusquen mars 1914. Interrompue par la guerre, la parution reprendra de manière éphémère de janvier 1938 à octobre 1939. Les publications de la Section Historique de l'armée, certaines publiées en volumes, demeurent des études de références, notamment sur les guerres de la Révolution et de l'Empire. Bel ensemble documentaire dans une reliure élégante. (B48) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST.
[L'Avant-Scène] - L'Avant-Scène, journal du théatre (revue)
Reference : 66614
(1953)
20 vol. in-8 rel. pleine percaline bordeaux, couvertures conservées, L'Avant-Scène, 40 pp. par numéro soit 8160 pp. au total
Remarquable ensemble, en reliure uniforme, de cette fameuse revue bimensuelle consacrée au théâtre. Cette revue avait initialement publiée, de 1949 à avril 1952, sous le titre de "Opéra, supplément théâtre". Du numéro 60 au numéro 73, la revue s'intitula "Radiopéra" avant d'être renommée "l'Avant-Scène" à partir du numéro 74, de mars 1953. A partir du numéro 238, ce nom fut étendu en "l'Avant-Scène Théâtre", pour la distinguer du nouveau "l'Avant-Scène Cinéma".Chaque numéro de l'Avant-Scène traite en détail (texte, photos, analyse) d'une pièce de théâtre jouée à l'époque de la publication. Ce dossier était complété par une analyse de l'actualité théâtrale du moment. Les photographies noir et blanc laisse un témoignage des débuts de carrière de très grands noms du théâtre puis du cinéma français.Un incontournable pour tous les amateurs de théâtre ainsi que pour les admirateurs de toute une génération de très grands comédiens.
EXEMPLAIRE EXCEPTIONNEL, L'UN DES PLUS COMPLETS QUI SOIT, ABONDAMMENT ENRICHI, dont 15 dessins originaux de Grandville, Johannot, Devéria, nombreuses suites dont érotiques, Lettres autographes...BERANGER (Pierre-Jean de).
Reference : 13727
(1834)
1834 P., Perrotin, 1834, 1857, 1860 et 1865, Les Marchands de Nouveautés, 1866 (Supplément), 6 ouvrages en 7 volumes in-8° (242 x 151), 1/2 maroquin vert foncé à coins, filets dorés, dos à nerfs orné, tête dorée, non rogné (V. CHAMPS) de (2) ff. (faux-titre et titre) - XCV-320 pp. ; 413 pp. (faux-titre et titre inclus) - (1) f. (avis au relieur) ; 411 pp. (faux-titre et titre inclus) - (1) f. (avis au relieur) ; (3) ff. (« A Joseph Bernard ») - 397 pp. (faux-titre et titre inclus) - (1) f. (avis au relieur) - 43 pp. (titre inclus) (« Dix chansons, complément des éditions publiées avant 1847 ») - 4 pp. (catalogue de léditeur) - 159 pp. (faux-titre et titre inclus) (« Chansons de Béranger - Supplément ») ; (2) ff. (faux-titre et titre) - III-374 pp. - (1) f. (catalogue de léditeur) ; (2) ff. (faux-titre et titre) - 416 pp. - (1) f. (avis au relieur) ; (2) ff. (faux-titre et titre) - 344 pp. + 1 f. (156 bis et 217 bis au verso) - 8 pp. (catalogue de léditeur).Dos passés. Transferts de quelques gravures, très bel ex. en reliures uniformes de Victor Champs
Précieux exemplaires des oeuvres de Béranger publiées par Perrotin, abondamment truffés.- Oeuvres complètes (Chansons 1 à 4) : Edition en partie originale, la première à porter le titre d'Oeuvres complètes."Cette édition est plus complète que toutes celles qui l'ont précédée ou suivie. Béranger la regardait comme définitive ; elle le fut en effet, puisque celles de 1835, 1836, etc., et même celle de 1847, si l'on excepte de cette dernière les 10 chansons nouvelles, ne sont que des réimpressions de celle de 1834, moins le supplément. " (Brivois, Bibliographie de l'oeuvre de P.-J. de Béranger, p. 46.)Lillustration comprend 104 compositions hors texte, dont un portrait-frontispice légendé représentant Béranger devant la fenêtre de sa prison, gravé daprès une composition d'Ary Scheffer (tome 1), et 103 hors-textes légendés gravés en taille-douce d'après des compositions d'Achille Devéria, Tony et Alfred Johannot, Charlet, Grenier, Théophile Fragonard, Isabey, Henri Monnier, Horace Vernet, etc. On compte également un portrait à pleine page de Béranger, gravé sur bois d'après une composition de Nicolas-Toussaint Charlet (tome 4) et le fac-similé dune lettre autographe de Béranger avec sa transcription.100 de ces compositions proviennent d'un nouveau tirage de la suite publiée de 1828 à 1833 ; 3 sont inédites.Exemplaire sur papier vélin, dont la quasi-totalité des gravures sont en double état sur chine collé, avant et avec la lettre. Le premier portrait est en 3 états, sur vélin avec la lettre, sur chine collé avant la lettre et sur chine collé avec la lettre. Seules les planches "Les Gaulois et les Francs", "Fils du pape" et "Infiniment petits", qui sont les 3 nouvelles gravures, sont en 1 seul état sur chine collé. Les figures intitulées "Le Bedeau", "Le Dieu des bonnes gens" et "Les missionnaires" sont en 3 états sur chine dont 1 portant une légende différente, à savoir "Dame Jeanne", "Un conquérant" et "Une mission". La vignette de la chanson "Le Bon dieu" est intitulée "Il met le nez à la fenêtre". Plusieurs des planches sont en 3 ou 4 états dont l'eau-forte pure.Le quatrième volume se termine par les deux rares suppléments respectivement intitulés Dix chansons de P.J. de Béranger, complément des éditions publiées avant 1847 (Perrotin 1857), et Chansons de Béranger, supplément, proposant les chansons érotiques (Marchands de nouveautés, 1866). Ces deux suppléments sont imprimés sur papier vélin. - Dernières chansons (5e volume) : Edition originale posthume (Perrotin, 1857).- Ma biographie (6e volume), parue en 1860, est ici en troisième édition, plus ample que les précédentes de 1857 et 1859. Le texte est augmenté de nombreuses notes de l'éditeur et l'appendice a été refondu.Cette édition est illustrée d'un portrait en pied dessiné par Charlet, d'une photographie d'après le marbre de M. Geoffroy-Dechaume et de 8 planches gravées d'après Daubigny, Sandoz et Wattier.Le portrait est en 2 états, dont l'épreuve d'artiste sur chine collé avant la lettre, avec les noms gravés à la pointe, et les planches sont en 3 ou 4 états.- Musiques des Chansons de Béranger (7e volume) : Neuvième édition.EXEMPLAIRE EXCEPTIONNEL, L'UN DES PLUS COMPLETS QUI SOIT, ENRICHI DES PIÈCES SUIVANTES :- Oeuvres complètes (Chansons 1 à 4) :- 2 vignettes qui avaient été supprimées intitulées "La Bonne fille" gravée par Dulompré d'après Bellangé (I, p. 41), en 2 états sur chine collé, avant et avec la lettre et "Les Gaulois et les Francs" gravée par Ashby d'après Victor Adam, également en 2 états (I, p. 92).- Suite dite "Lemud" de l'édition Perrotin de 1847, en 2 à 9 états (chine collé avant la lettre, sur vélin avant la lettre, etc.), comprenant un portrait de l'auteur dessiné d'après nature par Auguste Sandoz et gravé par Pannier, ainsi que 52 planches gravées d'après les compositions de Nicolas-Toussaint Charlet, Charles François Daubigny, Tony Johannot, François-Joseph-Aimé de Lemud, Grenier, Pauquet, Penguilly, Raffet, de Rudder et Auguste Sandoz. L'une des gravures, intitulée "le Vieux vagabond", est dédicacée par le graveur Vallot au dessinateur Pauquet. Selon Brivois, ces gravures "sont certainement les plus belles qui aient été faites pour les Oeuvres de Béranger, tant sous le rapport du dessin que de la gravure. Il y a peu de livres modernes pouvant soutenir la comparaison."- Portrait de Béranger gravé par Hopwood sur chine collé et 119 (sur 120) planches d'après Grandville, le tout réalisé pour l'édition Fournier de 1836. Les planches de Grandville sont ici sur papier de Chine.- Suite des 40 lithographies en couleurs de Henri Monnier pour l'édition de 1828, plus 4 autres lithographies, version réduite de 4 des planches de l'album in-8 également publié vers 1828, respectivement intitulées : "Les Petits coups" (I, p. 232), "Ma vocation" (I, p. 299), "Mon habit" (II, p. 57) et "LOrage" (II, p. 299). 15 des 40 lithographies sont ici en double état, en couleurs et en noir sur papier vélin.- Suite des 15 lithographies érotiques en couleurs de Henri Monnier.- Suite des 8 planches érotiques non signées, gravées sur acier, dont 4 sur chine collé et 1 en double état sur chine ("Missionnaire").- 6 petites illustrations gravées sur bois d'après Daubigny, provenant de l'édition in-32 des oeuvres complètes données par Perrotin en 1847.- 7 portraits gravés de Béranger dont 2 en 2 états et 1 en 3.- 15 DESSINS ORIGINAUX dont 6 au crayon et 2 au crayon et lavis, inédits, 2 étant signés Eustache Lassan, ainsi que 7 lavis originaux se rapportant à l'illustration, dont 1 de Grandville (I, p. 174, non signé), 2 de Tony Johannot (I, p. 195 non signé et III, p. 12 signé), 2 d'Alfred Johannot (II, p. 145 non signé et II, p. 185 signé), 1 d'Eugène Devéria (III, p. 67 signé) et 1 de Grenier (IV, p. 28 non signé).- 3 Lettres autographes signées de Béranger (IV, en tête).- Dernières chansons :- Suite des 14 gravures hors texte d'après les compositions d'Aimé de Lemud. Elles sont ici en 3 ou 4 états.- Suite des 26 figures en couleurs de Monnier dans le genre des 40 faites en 1828, comprenant 1 portrait de l'artiste, 1 portrait de l'auteur et 24 compositions pour les chansons. Cette suite fut publiée en 1873.- Ma biographie : - Dessin original au crayon non signé de la Grenadière (p. 373)