‎Ignace d'Antioche, Polycarpe de Smyrne ‎
‎Lettres.‎

‎Paris, Cerf, 1951‎

Reference : 91220-C1558


‎Quelques annotations.‎

€30.00 (€30.00 )
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‎[REVUE]. LETTRES FRANÇAISES. " Cahiers trimestriels de littérature française, édités par les soins de la revue SUR avec la collaboration des écrivains français résidant en France et à l'étranger ".‎

Reference : 10014

‎LETTRES FRANÇAISES. N° 11. (Janvier 1944).‎

‎LETTRES FRANÇAISES. N° 11. (Janvier 1944). Pâques-Vent [Henri Michaux] (" La Marche dans le tunnel ", seul écrit publié par Henri Michaux sous un pseudonyme), Lanza del Vasto, Marguerite Yourcenar (" Mythologie ") [cf. note ci-dessous], " Anthologie de la nouvelle poésie française ", etc. Fortes rousseurs sur la couverture. // Note concernant les n° 11 et 14 de LETTRES FRANÇAISES : En 1981, dans son " Discours de réception à l'Académie française " (au fauteuil laissé vacant par Roger Caillois), Marguerite Yourcenar a évoqué sa participation aux LETTRES FRANÇAISES : " Vers 1943, quand nous étions [Roger Caillois et Marguerite Yourcenar] volontairement des exilés l'un et l'autre, lui, sous la Croix du Sud, moi dans une île qu'illumine assez souvent l'aurore boréale, il voulut bien accepter un long essai de moi pour la revue des LETTRES FRANÇAISES, qu'avec l'appui de cette admirable protectrice des lettres, Victoria Ocampo, il dirigeait à Buenos Aires. A cette époque où la voix de la France n'arrivait que rarement jusqu'à nous, ces minces cahiers nous apportaient une preuve rassurante de la vitalité de la culture française, venue, certes, d'un autre point du monde, mais n'en prouvant que mieux son don d'universalité. Peu importe ce qu'étaient ces quelques pages assez informes, qui plus tard m'ont servi de brouillons pour certaines parties d'autres livres. J'avoue même, en les relisant dans de vieux numéros des LETTRES FRANÇAISES, m'étonner qu'un esprit doué d'une si parfaite rigueur les eût acceptées. [] Quoi qu'il en soit, à une époque où nous n'étions guère rassurés sur la survie de la culture (le sommes-nous aujourd'hui ?) ni du reste sur notre propre avenir, un tel accueil était pour un jeune écrivain encore dépaysé aux Etats-Unis une grâce accordée et un service rendu. Cher Caillois, je saisis cette occasion de vous en remercier en public. "‎


‎LETTRES FRANÇAISES. " Cahiers trimestriels de littérature française, édités par les soins de la revue SUR avec la collaboration des écrivains français résidant en France et à l'étranger ". Buenos Aires (Viamonte 548, puis (à partir du n° 5) San Martin 689). Directeur : Roger Caillois. In-8° broché. 20 numéros (dont un double - le n° 7-8 - et un quadruple - le n° 17-20) ont paru en 16 livraisons, de juillet 1941 à juin 1947. (Destribats, 427)‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR20.00 (€20.00 )

‎[REVUE]. LETTRES FRANÇAISES. " Cahiers trimestriels de littérature française, édités par les soins de la revue SUR avec la collaboration des écrivains français résidant en France et à l'étranger ".‎

Reference : 10016

‎LETTRES FRANÇAISES. N° 14. (Octobre 1944).‎

‎LETTRES FRANÇAISES. N° 14. (Octobre 1944). Victoria Ocampo, Ibarra " Jorge Luis Borges "), Jorge Luis Borges (" Assyriennes "), Marguerite Yourcenar (" Mythologie ", II) [cf. note ci-dessous], Roger Caillois, etc. Très bon état. // Note concernant les n° 11 et 14 de LETTRES FRANÇAISES : En 1981, dans son " Discours de réception à l'Académie française " (au fauteuil laissé vacant par Roger Caillois), Marguerite Yourcenar a évoqué sa participation aux LETTRES FRANÇAISES : " Vers 1943, quand nous étions [Roger Caillois et Marguerite Yourcenar] volontairement des exilés l'un et l'autre, lui, sous la Croix du Sud, moi dans une île qu'illumine assez souvent l'aurore boréale, il voulut bien accepter un long essai de moi pour la revue des LETTRES FRANÇAISES, qu'avec l'appui de cette admirable protectrice des lettres, Victoria Ocampo, il dirigeait à Buenos Aires. A cette époque où la voix de la France n'arrivait que rarement jusqu'à nous, ces minces cahiers nous apportaient une preuve rassurante de la vitalité de la culture française, venue, certes, d'un autre point du monde, mais n'en prouvant que mieux son don d'universalité. Peu importe ce qu'étaient ces quelques pages assez informes, qui plus tard m'ont servi de brouillons pour certaines parties d'autres livres. J'avoue même, en les relisant dans de vieux numéros des LETTRES FRANÇAISES, m'étonner qu'un esprit doué d'une si parfaite rigueur les eût acceptées. [] Quoi qu'il en soit, à une époque où nous n'étions guère rassurés sur la survie de la culture (le sommes-nous aujourd'hui ?) ni du reste sur notre propre avenir, un tel accueil était pour un jeune écrivain encore dépaysé aux Etats-Unis une grâce accordée et un service rendu. Cher Caillois, je saisis cette occasion de vous en remercier en public. "‎


‎LETTRES FRANÇAISES. " Cahiers trimestriels de littérature française, édités par les soins de la revue SUR avec la collaboration des écrivains français résidant en France et à l'étranger ". Buenos Aires (Viamonte 548, puis (à partir du n° 5) San Martin 689). Directeur : Roger Caillois. In-8° broché. 20 numéros (dont un double - le n° 7-8 - et un quadruple - le n° 17-20) ont paru en 16 livraisons, de juillet 1941 à juin 1947. (Destribats, 427)‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR40.00 (€40.00 )

‎[REVUE]. LETTRES FRANÇAISES. " Cahiers trimestriels de littérature française, édités par les soins de la revue SUR avec la collaboration des écrivains français résidant en France et à l'étranger ".‎

Reference : 10017

‎LETTRES FRANÇAISES. N° 14. (Octobre 1944).‎

‎LETTRES FRANÇAISES. N° 14. (Octobre 1944). Victoria Ocampo, Ibarra " Jorge Luis Borges "), Jorge Luis Borges (" Assyriennes "), Marguerite Yourcenar (" Mythologie ", II) [cf. note ci-dessous], Roger Caillois, etc. 1/25 de tête sur pur fil Liverpool Ledger, réservés aux abonnés " de fondation ". [25 ex. " de fondation " sur pur fil Liverpool Ledger / 100 ex. " de soutien " sur hollande]. Exemplaire à très grandes marges, non rogné. Quelques auréoles et rousseurs sur la couverture et sur la partie des marges dépassant du volume ; bon exemplaire cependant, et de grande rareté. // Note concernant les n° 11 et 14 de LETTRES FRANÇAISES : En 1981, dans son " Discours de réception à l'Académie française " (au fauteuil laissé vacant par Roger Caillois), Marguerite Yourcenar a évoqué sa participation aux LETTRES FRANÇAISES : " Vers 1943, quand nous étions [Roger Caillois et Marguerite Yourcenar] volontairement des exilés l'un et l'autre, lui, sous la Croix du Sud, moi dans une île qu'illumine assez souvent l'aurore boréale, il voulut bien accepter un long essai de moi pour la revue des LETTRES FRANÇAISES, qu'avec l'appui de cette admirable protectrice des lettres, Victoria Ocampo, il dirigeait à Buenos Aires. A cette époque où la voix de la France n'arrivait que rarement jusqu'à nous, ces minces cahiers nous apportaient une preuve rassurante de la vitalité de la culture française, venue, certes, d'un autre point du monde, mais n'en prouvant que mieux son don d'universalité. Peu importe ce qu'étaient ces quelques pages assez informes, qui plus tard m'ont servi de brouillons pour certaines parties d'autres livres. J'avoue même, en les relisant dans de vieux numéros des LETTRES FRANÇAISES, m'étonner qu'un esprit doué d'une si parfaite rigueur les eût acceptées. [] Quoi qu'il en soit, à une époque où nous n'étions guère rassurés sur la survie de la culture (le sommes-nous aujourd'hui ?) ni du reste sur notre propre avenir, un tel accueil était pour un jeune écrivain encore dépaysé aux Etats-Unis une grâce accordée et un service rendu. Cher Caillois, je saisis cette occasion de vous en remercier en public. "‎


‎LETTRES FRANÇAISES. " Cahiers trimestriels de littérature française, édités par les soins de la revue SUR avec la collaboration des écrivains français résidant en France et à l'étranger ". Buenos Aires (Viamonte 548, puis (à partir du n° 5) San Martin 689). Directeur : Roger Caillois. In-8° broché. 20 numéros (dont un double - le n° 7-8 - et un quadruple - le n° 17-20) ont paru en 16 livraisons, de juillet 1941 à juin 1947. (Destribats, 427)‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR150.00 (€150.00 )

‎SEVIGNE, Madame de‎

Reference : LCS-17743

‎Lettres de Madame de Sévigné, de sa famille et de ses amis. Avec trois portraits et trois fac-simile. Éblouissant exemplaire de l’édition originale collective au format in-12.‎

‎Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1818. 12 volumes. - Mémoires de M. de Coulanges, suivis de Lettres inédites de Madame de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges, d’Arnauld-d’Andilly, d’Arnauld de Pomponne, de Jean de La Fontaine… Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1820. 1 volume. Soit 13 volumes in-12, maroquin bleu nuit à grain long, roulette à fond perlé sertie de filets droits autour des plats, dos lisses ornés d’un décor doré à fond criblé, damiers dorés en pied, chaînette intérieure dorée, doublures et gardes de tabis parme, tranches dorées. Riche reliure de l’époque signée Lefebvre. 162 x 98 mm.‎


‎Précieuse édition collective originale de format in-12 des « Lettres de Madame de Sévigné ». Première édition critique des Lettres de Madame de Sévigné, établie par Louis-Jean-Nicolas Monmerqué (1780-1860). Parues en 1818, en 10 volumes in-8, chez J.J. Blaise, celui-ci en donna la même année cette édition en 12 volumes in-12. Les Mémoires de M. de Coulanges parurent simultanément en 1820 dans les deux formats. Tchemerzine loue grandement la première édition critique de Monmerqué imprimée en 1818. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe siècle. La première édition critique est celle de Monmerqué [Paris, Impr. De P. Didot l’aîné : J.J. Blaise, 1818-1819, 10 vol. in-8] ; elle contient près de cent lettres inédites et plus de trois cents fragments également inédits. » (Tchemerzine, V, 829). « L’édition Monmerqué de 1818 est la meilleure que l’on eût jusqu’alors de cette immortelle correspondance (elle est ornée ici de 4 portraits, 6 fac-similé et une planche de monnaie). Il est convenable de réunir à cette édition le volume intitulé : Mémoires de M. De Coulanges ; suivis de Lettres inédites de Mme de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges… Paris, Blaise, 1820, in-8 ». Brunet. Ces deux volumes sont ici réunis. « M. de Monmerqué a fait jouir le public du véritable texte de madame de Sévigné, par une édition augmentée de quatre-vingt-quatorze Lettres inédites, de deux cent quarante-six Lettres auxquelles il a restitué des passages également inédits, et de deux cent cinquante-six Lettres, ou qui n’avaient pas été réunies à la collection, ou dans lesquelles il a été rétabli des passages imprimés en 1726, en 1734, mais retranchés ensuite par des considérations qui n’existent plus. En conférant les diverses éditions originales, en méditant les mémoires du temps, il a rétabli une foule de passages omis ou altérés, et il a résolu des difficultés sans nombre. Les avantages d'un travail aussi précieux sont développés par l’éditeur dans une Notice bibliographique ; et M. de Saint-Surin y a joint une Notice fort étendue sur madame de Sévigné, sur sa famille et ses amis. Cette édition est le résultat de tant de recherches, qu’on peut la considérer comme la source où puisent avec plus ou moins de liberté tous ceux qui réimpriment les Lettres de notre inimitable épistoliaire ». Le dernier volume est terminé par une table analytique et alphabétique. Quelques exemplaires de luxe furent imprimés sur papier vélin. Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Neveu par alliance de Jean-Claude Bozérian, Lefebvre travailla un temps avec son oncle, avant de reprendre son atelier lorsque celui-ci se retira vers 1810. Il exerça jusque vers 1831. Le vocabulaire ornemental utilisé ici est d’un grand raffinement, en particulier le damier doré repris en pied de chaque volume. Exposition : Culot (P.), Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, Bibliotheca Wittockiana, 16 sept. 2000 - 10 févr. 2001, Bruxelles, n°85, avec reproduction.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR17,500.00 (€17,500.00 )

‎BALZAC, Guez de.‎

Reference : LCS-17636

‎Lettres choisies du sieur de Balzac. Première partie - Seconde partie. Edition originale en reliure de l’époque, l’un des rarissimes exemplaires de luxe imprimé sur grand papier.‎

‎Ses « Lettres » demeurent un document de premier ordre sur l’histoire de la langue. Sonore, claire et harmonieuse, la prose de Balzac est un modèle des lettres classiques. Paris, Augustin Courbé, 1647. 2 tomes en 2 volumes in-8 de : I/ (12) ff. dont 1 frontispice, 640 pp., (8) ff., de table ; II/ (1) f., 683 pp., (17) pp. Ex libris manuscrit dans la marge blanche de la p. 15 du 1er volume, répété p. 31 du second volume. Plein veau brun granité, double filet doré encadrant les plats, dos à nerfs ornés, tranches marbrées. Reliure de l’époque. 219 x 137 mm.‎


‎Édition originale des 258 lettres choisies de Guez de Balzac, écrites de 1637 à 1647, « son œuvre littéraire la plus significative ». Elle fut plusieurs fois réimprimée (Brunet, I, 632). Tchemerzine I, 415. L’un des rarissimes exemplaires de luxe imprimé sur grand papier mesurant 25 à 30 mm de plus que les exemplaires du tirage courant, conservé dans ses élégantes reliures de l’époque. « En 1647 paraissent les Lettres Choisies, 258 lettres en sept nouveaux livres (OC., L. X-XVI). Balzac y vise une éloquence du cœur, excitant les passions douces et humaines, où «la puissance de contraindre, est desguisée en Art de persuader », où règnent la raillerie fine et l’atticisme. Balzac instaure un nouvel « humanisme », héroïque et moderne, embrassant sous le nom de politesse le cœur, le goût et la raison. Prosateur et poète latin du premier rang, il comble l'ambition majeure des statuts de l'Académie par le triomphe indiscuté des lettres françaises. Résigné au Dieu caché, il a foi en une création rationnelle et s'efforce de repenser selon la nature la société et l'art. « Observateur », il élabore une politique où la culture pourrait rendre « plus humains » princes et sujets. Chantre de la retraite, mais mondain toujours, il plaide pour l'urbanité contre la double trahison d'une arrogante ignorance et du pédantisme. « Atticiste » enfin, il témoigne pour un travail à la Malherbe qui n'étouffe pas la spontanéité ni « la raisonnable fureur » d'un Théophile. Force et majesté, mais douceur ; diversité, mais ordre, économie et choix ; sérieux, mais finesse de la raillerie et gaieté, telles sont les marques de l'art de plaire et persuader qu'il propose à la cour et à la bonne société, et qui fondent un authentique classicisme Louis XIII. » « Ayant commencé cette correspondance durant son séjour à Rome, Balzac y emploie les termes raffinés d'une conversation de société. Il exprime ses jugements sur les œuvres du temps, raconte sa vie, témoigne de l'intérêt à tout ce qui lui semble digne d'être vécu. II réserve surtout ses épîtres élégantes à Chapelain, à Boisrobert, à Voiture et à Conrart, Dans une forme parfaite, mais aride, l'écrivain juge des choses de son époque et fait entendre sa voix de critique littéraire. » « Véritable oracle des « précieux » et de l’Hôtel de Rambouillet, il cherche à imposer la loi en matière de style ; sa compétence fait de lui le réformateur de la prose française comme Malherbe avait été celui de la poésie. II s'adresse, par exemple, au chancelier Séguier, pour lui dire sa gratitude et le louer de sa sagesse. Ou bien il remercie une dame pour quelque sachet de parfum ; ou un personnage, pour certaine recommandation ; ou encore des amis, pour quelque cadeau. Il lui arrive aussi de se défendre contre les critiques malveillants qui attaquent son style ou de proclamer que la vertu a plus de prix que la situation sociale. Il disserte sur la manière dont, à Rome, sont élus les Papes, ainsi que sur les plaisirs de la ville ; il cherche à ramener un litige à des justes proportions, il discute de politique et montre sa déférence à l'égard des Jésuites. Son argumentation raffinée, toujours sûre, est parfois présentée de manière pompeuse. » Ses « Lettres » demeurent un document de premier ordre sur l’histoire de la langue. Sonore, claire et harmonieuse, la prose de Balzac est un modèle des lettres classiques. Brunet (I, 632) ne cite qu’un seul exemplaire imprimé sur grand papier vendu au prix élevé de 95 F OR en 1858. De la bibliothèque Albert Natural avec ex-libris.‎

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