Fondation Pierre Gianadda, 1995. In-8° br. couv. ill. Catalogue réalisé par Jean-Louis Prat à l'occasion de l'exposition à la Fondation Pierre Gianadda à Martigny, en Suisse, du 19 mai au 5 novembre 1995. Ill. n. & bl. et coul. 232 p.
Reference : 582
A l'air libre
Xavier Moles
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Vente ferme en usage dans la profession .Port en sus.
<p><meta charset="utf-8"><span>Les années de formation de Nicolas de Staël en belgique. Qui était Nicolas de Staël, cet étranger, apatride, arrivé en 1922 orphelin en Belgique où il vécut quatorze ans et y suivit ses années de formation. Quelle fut sa vie d’élève puis d’étudiant? L’accent est ici mis sur une période à ce jour quasi jamais étudiée avant 2012, celle de la formation de Nicolas de Staël.</span></p> Gand, 2025 Snoeck 104 p., cartonnage éditeur 27 x 21
Neuf
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Nicolas de Staël a vingt-trois ans quand il découvre le Maroc, où il voyagera de 1936 à 1937. Sont ici réunis pour la première fois un texte écrit pour une revue,</span><i data-mce-fragment="1">Les Gueux de l’Atlas</i><span data-mce-fragment="1">, diverses lettres à ses proches où se lisent les espoirs et errances d’un tout jeune homme et son cahier aux notes et dessins vibrants.</span><br class="autobr" data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">A Marrakech, Fès ou Télouet, il s’éprend de la population berbère, salue «leur grâce naturelle», leurs habits bleus qui «semblent faire partie du ciel».</span><br class="autobr" data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Ainsi que le souligne Marie du Bouchet dans sa présentation, «c’est un profond sentiment de la vie qui est exprimé dans ces pages, un œil qui perçoit déjà toutes les profondeurs de la lumière».</span> Paris, 2023 Arléa 192 p., illustré, broché. 12 x 20,5
Neuf
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Ensemble des lettres du peintre N. de Staël, témoignage de la vie de l'artiste, de ses voyages, de ses amitiés, mais également de ses questionnements. Sont évoqués les années de formation en Espagne et au Maroc, le succès et ses relations avec des personnalités comme R. Char ou P. Lecuire.</span> Paris, 2023 Editions Le Bruit du Temps 740 p., broché. 13 x 20
Neuf
<div data-updated-at="1538637087" data-type="product-description" data-identifier="placeholder_434" id="placeholder_434" class="placeholder"><p><span class="s1">Seul dans son atelier d’Antibes, face à la mer, Nicolas de Staël entame, le 14 mars 1955, une toile géante de 3,5 m sur 6 m : <i>Le Concert</i>. On y voit d’un côté, un piano à queue noir et, de l’autre, une contrebasse ocre, séparés par des partitions posées sur des pupitres. Mais ce qui frappe c’est le fond de la composition qui mange tout le tableau : un vermillon écarlate, comme un grand rideau de scène incandescent. Deux jours plus tard, Nicolas brûle quelques papiers, écrit trois lettres, monte sur la terrasse de son atelier et bascule dans le vide. Dans ce gigantesque tableau, dans ces deux instruments de musique – les seuls visibles de cet orchestre –, dans ce rouge de feu se trouve sans doute, enfouie, l’explication de son geste.<br></span><span class="s1">Nicolas de Staël a quarante et un an lorsqu’il peint <i>Le Concert</i>. Après dix ans de souffrances et de privations, il connaît enfin, depuis quelques mois, un réel succès.<span class="Apple-converted-space"><br></span></span><span class="s1">L’auteur a reconstitué les derniers jours du peintre et analysé comment sont peu à peu montées en lui, jusqu’à l’insupportable, une angoisse de vivre mêlée à une insatisfaction de plus en plus grande devant son travail et à un douloureux déchirement amoureux.<span class="Apple-converted-space"><br></span></span><span class="s1"><i>Cet ouvrage propose une nouvelle édition révisée du livre </i>Le Concert <i>paru en 2010 aux éditions Sens&Tonka, aujourd’hui épuisé.</i></span></p><br></div> Paris, 2019 Espaces & signes 96 p., quelques illustrations couleur, broché. 13,5 x 18,5
Neuf
<p>Nicolas de Staël incarne comme nul autre la fracture entre le besoin de création et le tourment d’exister. Stéphane Lambert donne la parole à Nicolas de Staël lors d’une nuit d’intense bouillonnement intérieur, qui le vit revenir, au volant de sa voiture, de Paris à Antibes où il devait se suicider une semaine plus tard après avoir réalisé sa dernière oeuvre, Le Concert. Puis face à ce même tableau, au musée Picasso d’Antibes, il revient sur la vie du peintre, sa fièvre visionnaire et sa solitude, qui donnent à l’oeuvre son vigoureux mystère et à l’artiste sa tragique fragilité.</p> Paris, 2015 Arlea 176 p., broché. 11 x 18
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